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Nuage de mots clés

Photographie | Dix-neuvième siècle | Architecture | Géographie | Gravure | Casse-noix | Peinture | Dessins et plans | Instruments de musique | Musique | Biologie animale | Monuments historiques | Ustensiles de cuisine | Métiers | Saucisses | Instruments à vent | Chiens de chasse | Cuivres (instruments de musique) | Cor | Aliments | ...
Napoléon Ier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eff1cd-napoleon-ier

Napoléon Ier

Napoléon Ier, empereur des français. Jacques-Louis David, est un peintre, membre de l'Académie des beaux-arts, et conventionnel français né le 30 août 1748 à Paris et mort le 29 décembre 1825 à Bruxelles. Il est considéré comme le chef de file de l’École néoclassique, dont il incarne le style pictural et l’option intellectuelle. Il opère une rupture avec le style galant et libertin de la peinture rococo du XVIIIe siècle représentée à l'époque par François Boucher et Carl Van Loo, et revendique l’héritage du classicisme de Nicolas Poussin et des idéaux esthétiques grecs et romains, en cherchant, selon sa propre formule, à « régénérer les arts en développant une peinture que les classiques grecs et romains auraient sans hésiter pu prendre pour la leur ».

Aires linguistiques du nord-est algérien. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc7e93-aires-linguistiques-du-nord-est-algerien

Aires linguistiques du nord-est algérien

Aires linguistiques du nord-est algérien. Sources : XIXe siècle : Salem Chaker, Textes en Linguistique Berbère, Éditions du CNRS, Paris, 1984, ISBN 2-222-03578-3, p. 28 (carte LAPMO-YA) ; XXe siècle : Pierre Bourdieu, Sociologie de l'Algérie, PUF, coll. « Que sais-je ? » n° 802, Paris, 1980, 6e éd. (1e éd. 1958), ISBN 2-13-036387-3, p. 10.

Alphabet enchanté, la lettre F. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313b232-alphabet-enchante-la-lettre-f

Alphabet enchanté, la lettre F

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : A la main de Joseph, cette faux en relief Et l'homme qui salue au-dessous sont des F. L'eustache de Joseph a l'air d'un petit f. Eustache = du prénom de son inventeur présumé, Eustache Dubois, coutelier à Saint-Étienne au XVIIIe siècle. Inventé à Saint-Étienne avant la Révolution française, ce couteau rudimentaire, vendu à bas prix, connut une grande popularité, au point de servir de nom générique, aux XIXe et XXe siècles, à de nombreux types de couteaux de poche à usage aussi bien domestique que criminel : à virole ou à cran d'arrêt, à une ou plusieurs lames, à manche de bois, de corne ou de métal. Source : http://fr.wiktionary.org/wiki/eustache.

Ancien moulin à café. Source : http://data.abuledu.org/URI/520c0ee1-ancien-moulin-a-cafe

Ancien moulin à café

Ancien moulin à café de ménage manuel. Autrefois, les grains de café étaient écrasés à la meule de pierre ou au mortier et au pilon. L'invention et la fabrication du moulin à café, inspirées des moulins à poivre, accompagnent cependant la diffusion du café en Occident : de nombreux modèles professionnels ou domestiques se succèdent. Dès le XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIV, on fabrique des moulins à café en fer, mais c'est à partir du XIXe siècle que les moulins à café pénètrent réellement de nombreux foyers, notamment les modèles de la société Peugeot frères dont le premier date de 1832. Aujourd'hui, l'énergie électrique a souvent remplacé la manivelle.

Ancien phare de Richard sur l'estuaire de la Gironde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a988da-phare-de-richard-

Ancien phare de Richard sur l'estuaire de la Gironde

Le phare de Richard se trouve à Jau-Dignac-et-Loirac. Comme tous les phares de l'estuaire de la Gironde, il n'est plus en activité. Dans la commune de Jau-Dignac-et-Loirac, en bordure des « polders de Hollande » aménagés au XVIIe siècle sur la rive gauche, un arbre guidait la navigation sur l'estuaire de la Gironde, l'arbre de Richard. Au début du XIXe siècle, l'arbre est abattu par la tempête. Un phare en maçonnerie est construit en 1843, haut de 18 mètres. Ce lieu devient le rendez-vous communal et des bals populaires sont organisés. En 1993 est créée l'Association communale du phare de Richard. Elle est animée par une équipe de bénévoles qui gère ce patrimoine culturel. Du phare de Richard se dessine un superbe panorama sur l'estuaire de la Gironde, les côtes charentaises et les "polders de Hollande". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Richard

Ancien poulailler-porcherie dans les Pyrénées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156a10f-ancien-poulailler-porcherie-dans-les-pyrenees

Ancien poulailler-porcherie dans les Pyrénées

Ancien poulailler du 19ème siècle (daté de 1878) avec ferronneries et porcherie en pierre de Lourdes, maison Borie, ''en ço de Borie'', à Bourréac-65. On notera en particulier la présence de deux lauburus, ou croix basque, sculptés dans la pierre dont un de part en part. La maison bigourdane désigne un type d'habitat dont les spécificités architecturales puisent leurs origines dans la Bigorre des XVIIIe et XIXe siècles. La porcherie et le poulailler, souvent situés l'un sous l'autre, constituent un bâtiment d'élevage auquel on apporte le plus grand soin esthétique.

Animal théorique. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d32073-animal-theorique

Animal théorique

Reprise et mise en couleur de l' "Animal théorique" ; D, appareil digestif ; R, appareil respiratoire ; E, appareil excréteur ; C, appareil circulatoire ; N appareil nerveux. Source : figure 24 du cours de zoologie de Paul Bert (1833-1886), Leçons de zoologie" 1881 ; Éditeur : G. Masson (Paris). Proposé au XIXe siècle comme modèle fictif et pédagogique présentant les systèmes associés qui caractérisent selon lui l'organisme animal. Les flèches désignent les flux de nutriments, d'oxygène, d'excréments et/ou d'excretas.

Automate japonais Karakuri. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ecc1c3-automate-japonais-karakuri

Automate japonais Karakuri

Automate japonais Karakuri, circa 1800. Les karakuri ningyō sont des poupées mécaniques ou automates fabriqués au Japon du XVIIe siècle au XIXe siècle. Le mot karakuri signifie « mécanisme » ou « astuce ». En japonais, ningyō est écrit en deux caractères séparés qui signifient « personne » et « forme ». Il peut être traduit par marionnette, mais aussi par poupée ou effigie. Les mouvements de la poupée constituent une forme de divertissement.

Basset Fauve de Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51609be7-basset-fauve-de-bretagne

Basset Fauve de Bretagne

Le basset fauve de Bretagne est une race de chien de chasse originaire de France, de Bretagne (comme l'indique son nom). Très populaire au XIXe siècle dans sa région d'origine, il a acquis sa renommée nationale dans les 30 dernières années du XXe siècle. Malgré son air farouche, c'est un chien calme et affectueux qui a souvent tendance à rechercher la compagnie des humains. Il est très gentil avec les enfants quel que soit leur âge. Son côté rustique et joueur fait qu'il s'adapte très bien à tout environnement, y compris à la ville mais à condition de l'y habituer très tôt. En tant que chien de chasse, on l'emploie surtout pour chasser le lapin de garenne. Son poil rêche lui permet de s'aventurer sans problème dans les fourrés pour y débusquer le gibier. Il est très endurant (mais attention à bien hydrater le chien en battue car les dépenses énergétiques sont très importantes. Ne pas hésiter non plus à augmenter les rations journalières). En meute, le basset fauve de Bretagne est sociable. Les conflits entre chiens sont généralement très rares. Si le cas se présente, les échauffourées sont courtes, mais suffisamment longues pour réinstaurer la hiérarchie. Le groupe est dirigé par un meneur, facilement identifiable par sa robustesse, son caractère.

Cabanon de Cézanne en Provence. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c9df23-cabanon-de-cezanne-en-provence

Cabanon de Cézanne en Provence

Maison de Cézanne dans les Carrières de Bibémus, Aix-en-Provence, France. Les Carrières de Bibémus figurent souvent dans ses tableaux. Les carrières de Bibémus sont un site à l'est d'Aix-en-Provence où étaient extraites, du XVIIe au XVIIIe siècles, des pierres dites « de Bibémus », ayant servi à la construction de nombreux bâtiments de la ville. Les carrières, d'une superficie de 7 hectares, seront abandonnées à la fin du XIXe siècle à la suite de l'utilisation grandissante de la pierre de Rognes, jugée de meilleure qualité.

Cabrette d'Auvergne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533abdb9-cabrette-d-auvergne

Cabrette d'Auvergne

La cabrette (ou musette) est un instrument à vent de la famille des cornemuses, apparue au XIXe siècle dans la communauté auvergnate de Paris et qui s'est ensuite rapidement répandue en Haute-Auvergne et Aubrac. Elle comporte un tuyau mélodique et un tuyau d'accompagnement (bourdon), mais ce dernier obturé n'est pas toujours fonctionnel, ce qui permet d'utiliser la note dominante grave de l'instrument à la fois comme effet rythmique et comme pédale harmonique. Autrefois le sac en peau de chèvre (d'où le nom de l'instrument) se gonflait à la bouche comme la plupart des cornemuses. L'ajout du soufflet remonte au milieu du XIXe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cabrette

Canal de la rue des Teinturiers à Avignon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050d87b-canal-de-la-rue-des-teinturiers-a-avignon

Canal de la rue des Teinturiers à Avignon

Canal de la rue des teinturiers à Avignon, Vaucluse, dite rue des Roues. La mémoire collective a gardé le souvenir des 23 roues à aubes qui y furent en activité. Entre le XVe siècle et le XIXe siècle, elles fournirent en énergie toute une industrie textile liée à la soie et à la laine. Son nom récent de rue des Teinturiers est dû à l'installation de cette profession qui utilisait l'eau pure de la Sorgue pour laver ses étoffes. Alors qu'il n'y avait que dix moulins à garance sur la Sorgue en 1804, trente-cinq ans plus tard, on en comptait cinquante. La découverte de la « garancine », produit tinctorial actif de la racine avait donné un véritable coup de fouet à la production. En 1854, dans le département, les seules communes de Caumont, Entraigues, Monteux, Pernes et Le Thor produisirent la moitié de la production mondiale et allèrent ensuite jusqu'à 65 %.

Canotier en paille avec ruban. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8de8-canotier-en-paille-avec-ruban

Canotier en paille avec ruban

À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.

Carte ancienne des dialectes basques. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc7bb6-carte-ancienne-des-dialectes-basques

Carte ancienne des dialectes basques

Ancienne carte des dialectes basques : classification, aujourd'hui périmée, établie au XIXe siècle par Louis Lucien Bonaparte.

Casse-noix anglais en bronze. Source : http://data.abuledu.org/URI/5100f94d-casse-noix-anglais-en-bronze

Casse-noix anglais en bronze

Casse-noix en bronze "Fidèle serviteur" (Trusty Servant) - Winchester - fin XIXe siècle, représentant un animal fantastique, l'hircocervus du latin hircus = bouc + cervus = cerf.

Casse-noix en bois anciens. Source : http://data.abuledu.org/URI/527868e5-casse-noix-en-bois-anciens

Casse-noix en bois anciens

Casse-noisettes à vis (XIXe siècle) en bois fruitier tourné. Le casse-noix à vis, que l'on trouve plus rarement, permet au contraire un écrasement progressif de la coquille, mais son emploi n'est pas pratique.

Cervelas. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b8c959-cervelas

Cervelas

Le cervelas (de l'italien cervellata, du latin cerebellum, le diminutif de cerebrum, « cerveau ») est une saucisse consommée notamment en Suisse, en Allemagne, en Alsace et dans le Nord de la France ainsi qu'en Belgique. À l'origine, c'est une charcuterie faite de viande et de cervelle (d'où son nom) de porc. Dès le XVe siècle, sa recette « Per fare bon cervellate de carne de porco o de vitello giovine » (Pour faire un bon cervelas de viande de porc ou de jeune veau) – où les ingrédients sont arômatisés de safran – est donnée par Maestro Martino dans son ouvrage Libro de Arte Coquinaria3. Et jusqu'à la fin du XIXe siècle, le cervellata entre dans la composition du risotto à la milanaise.

Chat de Geoffroy. Source : http://data.abuledu.org/URI/55014180-chat-de-geoffroy-

Chat de Geoffroy

Chat de Geoffroy (Oncifelis geoffroyi) au zoo de Karlsruhe, Allemagne. Le chat de Geoffroy a un pelage de couleur jaune ocre dans le nord de son aire de répartition et plutôt gris argenté dans le sud. Il porte de nombreux points noirs, ronds et nets disposées sur les flancs et le dos, et des rayures sur le haut des membres et la queue. De taille modeste, il peut mesurer 60cm et peser 5kg. Ce chat a été nommé en l'honneur du zoologiste français du XIXe siècle, Étienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772-1844), décédé l'année où le chat a été scientifiquement décrit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chat_de_Geoffroy

Château de Chantilly . Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac3997-chateau-de-chantilly-

Château de Chantilly

Vue générale du château de Chantilly depuis l'entrée du parc. Le château se situe à Chantilly (Oise), dans un site remarquable de la vallée de la Nonette, affluent de l'Oise. C'est une reconstruction du XIXe siècle sur des plans de l'architecte Honoré Daumet pour l'avant-dernier fils du roi Louis-Philippe Ier, Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897), héritier du domaine, qui y installa ses collections de peintures, de dessins et de livres anciens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Chantilly

Chateau de Pesteils dans le Cantal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5383aac1-chateau-de-pesteils-dans-le-cantal

Chateau de Pesteils dans le Cantal

La façade du Château de Pesteils, sur la commune de Polminhac, dans le Cantal. Le donjon de 40 m de haut date de la fin du Moyen Âge, XIVe et XVe siècles, au début de la guerre de Cent Ans. Pendant la deuxième moitié du XVIIe siècle, ont été réalisés le corps de logis et le pavillon d'angle. Le château a été remanié par l'architecte Émile Lemaigre à la fin du XIXe siècle. Au XIXe siècle leurs décors intérieurs ont été remaniés dans le goût néo-gothique puis réaménagés au début du XXe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Pesteils

Château du Burck à Mérignac. Source : http://data.abuledu.org/URI/566732a9-chateau-du-burck-a-merignac

Château du Burck à Mérignac

Château du Burck à Mérignac-33 datant du XVIIIe siècle et agrandi de deux ailes basses de style néoclassique au XIXe siècle.

Château viticole en Bourgogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a7c256-chateau-viticole-en-bourgogne

Château viticole en Bourgogne

Château viticole du XIXème siècle de Corton André, à toiture en tuiles vernissées. Le château est construit à la fin du XIXe siècle, sur l’emplacement d'un ancien château du XVIIIe siècle, au pied de la colline de Corton, sur des caveaux du XVe siècle. Il se situe au cœur d'un vaste domaine de 150 hectares de grands crus Corton (rouge) et Corton-charlemagne (blanc). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Corton_Andr%C3%A9

Chemin de halage à Saint-Cirq-Lapopie. Source : http://data.abuledu.org/URI/553aacdb-chemin-de-halage-a-saint-cirq-lapopie

Chemin de halage à Saint-Cirq-Lapopie

Chemin de halage des gabarres de Bouziès à Saint-Cirq-Lapopie (Lot) utilisé du Moyen-Age jusqu'à la fin du XIXe siècle servant aujourd'hui de chemin de randonnée (parc naturel des Causses du Quercy). En arrière-plan le pont du chemin de fer reliant Cahors à Cajarc.

Chevaux de cirque. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ea96c-chevaux-de-cirque

Chevaux de cirque

Croquis de chevaux de cirque, 1899, par Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901). Dans son acception moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, des numéros de dressage et de domptage d’animaux, des spectacles de clowns, des tours de magie. La première représentation d’un cirque moderne date du 9 janvier 1768 et a été présentée par Philip Astley à Londres. Vétéran de retour d’Amérique, il décide de représenter surtout des spectacles équestres égayés par des bateleurs. Le mariage du monde équestre militaire et du monde forain autour du cercle est établi. Cette nouvelle forme de spectacle, fondée essentiellement sur des exercices équestres, fut ensuite introduite en France par Astley en 1774, puis reprise par Antonio Franconi et ses descendants. C'est seulement au XIXe siècle lors des vagues de colonisation que furent introduits en France et en Allemagne les premiers animaux sauvages.

Chicorée de Bruxelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/54621966-chicoree-de-bruxelles

Chicorée de Bruxelles

Chicorée de Bruxelles après forçage. La racine de la chicorée de Bruxelles ou chicon (Cichorium intybus var. Foliosum), après forçage, donne une salade pommée appelée endive, Witloof, ou chicon en Belgique et dans le Nord de la France. Cette culture a été d'abord lancée en Belgique vers 1850 et s'est étendue dans le nord de la France à la fin du XIXe siècle. De plus en plus, le forçage se pratique en plein champ, avec l'utilisation de câbles chauffants et de films plastiques de protection. Aujourd'hui les endives sont principalement cultivées en salles dans l'obscurité. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chicor%C3%A9e

Chien rouge de Bavière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5160bf3e-chien-rouge-de-baviere

Chien rouge de Bavière

Le Chien de rouge de Bavière (Bayerischer Gebirgsschweißhund) est un chien originaire d'Allemagne. Il y a environ 160 ans en Allemagne, la plupart des cerfs et des chevreuils étaient chassés sur de grands domaines en haute montagne. La situation évolua vers le milieu du XIXe siècle. On diminua l’étendue des parcelles de chasse. Les chiens courants autochtones de haute montagne (Hochgebirgsbracke), avec lesquels on avait encore pratiqué les grandes chasses aux courants n’avaient plus le droit d’être utilisés. À la fin de ce XIXe siècle, on mit en œuvre une protection intense du cerf. Dans le même temps, on élabora des armes de meilleure qualité et de plus grande portée qui modifièrent complètement la manière de chasser. Dès lors, le recours à un chien de rouge capable de faire du bon travail sur la piste froide d’un gibier blessé devint indispensable. La variété la plus légère du chien de rouge du Hanovre fut tout d’abord utilisée, appréciée par les chasseurs pour son calme et sa sûreté au pistage. Mais ce chien qui souvent n’aimait pas poursuivre, ou poursuivait sans donner de la voie (héritage des limiers) ne convenait pas parfaitement aux conditions difficiles de la chasse en haute montagne. On repensa donc aux chiens de chasse autochtones que l’on utilisait depuis des temps immémoriaux, y compris en tant que chiens de rouge, et on entreprit le croisement dans l’espoir de rassembler les qualités des deux races.

Chien Saint-Bernard avec son tonnelet. Source : http://data.abuledu.org/URI/53980af7-chien-saint-bernard-avec-son-tonnelet

Chien Saint-Bernard avec son tonnelet

Chien Saint-Bernard avec son tonnelet accroché au collier. L'imaginaire populaire les affuble d'un tonnelet de rhum accroché au cou qui serait destiné à revigorer les victimes du froid. Cette pratique a été utilisée surtout à la fin du XIXe siècle dans la recherche de personnes perdues dans les montagnes ou victimes d'une avalanche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chien_du_Saint-Bernard

Collation médiévale. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101010e-collation-medievale

Collation médiévale

Dans ce tableau de John Everett Millais (1829-1899), peintre et illustrateur britannique préraphaélite du XIXe siècle, le personnage au premier plan à gauche se sert d'un casse-noix. Le tableau a été peint en 1849 mais la scène, qui illustre un poème de John Keats (1795-1821), "Isabella, or the Pot of Basil", est censée se passer au Moyen Âge.

Confiseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b5d948-confiseur

Confiseur

Le confiseur est, depuis le XIXe siècle, un artisan spécialisé dans la confiserie, fabrication de produits comestibles dont le sucre est un composant essentiel. Le métier de confiseur est souvent couplé à d'autres activités proches : chocolatier, glacier, pâtissier.

Cor naturel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec48b2-cor-

Cor naturel

Le cor naturel est l'ancêtre du cor d'harmonie. Il était très usité dans la musique jusqu'à la fin du XIXe siècle. Le cor naturel produit des sons en nombre limité, et ne peut effectuer des gammes chromatiques, comme le cor en fa qui l'a de nos jours remplacé.

Cor omnitonique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300bb16-cor-omnitonique

Cor omnitonique

Cor omnitonique : J.B. Dupont, Paris, début du XIX ème siècle - Paris, Musée de la musique. Le cor omnitonique est un cor d'invention sur lequel les tons de rechange ont été intégrés à l'instrument. Un tube mobile permet d'ouvrir le ton souhaité et de fermer les autres. Le changement de tonalité est donc facilité. En revanche, ce dispositif alourdit considérablement l'instrument et ne facilite donc pas forcément le jeu. Ces cors élaborés vers le premier quart du XIXe siècle illustrent les différentes recherches faites à cette époque pour affranchir le cor de ses limitations chromatiques naturelles. Les cors omnitoniques furent rapidement relégués dans l'oubli par la découverte en 1815 et la diffusion du piston à travers l'Europe. Certains cors omnitoniques relèvent plus de la curiosité que d'un instrument de musique.

Coussins de Haute-Provence. Source : http://data.abuledu.org/URI/53346618-coussins-de-haute-provence

Coussins de Haute-Provence

Indiennes en Haute-Provence. Une Indienne était un tissu peint ou imprimé fabriqué en Europe entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Indienne_%28tissu%29

Coviello. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c16ca0-coviello

Coviello

Coviello, ou Covielle en français, est un personnage napolitain de la commedia dell'arte. Aux XVIe et XVIIe siècles, le personnage est interprété principalement par Ambrogio Buonomo (en duo avec Andrea Calcese) puis Salvator Rosa et Gennaro Sacco ainsi que Giacomo Rauzzini et Tommaso Ristori au XVIIIe siècle. On assure qu’au commencement du XIXe siècle, le type de Coviello figurait encore parfois dans les canevas des marionnettes italiennes, où il remplissait un rôle assez semblable à celui de l’ancien Capitan ; comme son caractère, son costume était alors transformé, et il portait un chapeau noir empanaché de trois plumes rouges, un pourpoint à crevés rouges, des chausses noires avec une trousse rouge et jaune, un manteau rouge, puis les gants, les bottes à entonnoir, le baudrier et l’épée du Capitan. En passant à la scène française, Coviello est devenu Covielle et Molière l’a mis en scène dans Le Bourgeois gentilhomme, en faisant un valet, une sorte de Gros-René très proche parent de celui du Dépit amoureux. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860.

Craste dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074b84e-craste-dans-les-landes

Craste dans les Landes

Craste en pays de Born (Landes, France) : Une craste (du gascon crasta, issu du latin castrum) désigne, dans les Landes de Gascogne, un fossé de drainage, généralement creusé dans le sable, aménagé pour assainir la lande humide. En usage depuis des siècles, la craste se généralise au milieu du XIXe siècle afin de faciliter l’écoulement des eaux et rendre possible la mise en culture du pin maritime. Le terme est passé dans le vocabulaire régional courant. Avant la loi relative à l'assainissement et de mise en culture des Landes de Gascogne de 1857, des crastes se trouvaient derrière chaque airial, en limite des champs. Elles s'accompagnaient invariablement du barrat, nom de la levée faite avec la terre retirée du fossé, d'où l'expression gasconne : « Si i a barrat, i a crasta » (S’il y a barrat, il y a craste). Les Landais en font par la suite un des éléments essentiels du drainage des vastes étendues marécageuses composant leur territoire. Saint-Amans les cite en 1818 sous leur nom gascon : « Le moyen de remédier à ces inconvénients (eaux stagnantes) d’une manière aussi prompte d’efficace serait (…) d’y ouvrir beaucoup de ces larges fossés nommés « crastes » dans le langage du pays ». Après la loi du 19 juin 1857, les services départements de Gironde créent au total 2190 km de crastes dans ce département, quitte aux communes de s’y raccorder par la suite.

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Don Quichotte - 07. Source : http://data.abuledu.org/URI/55740dc2-don-quichotte-07

Don Quichotte - 07

Adaptation pour enfants de Don Quichotte par Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616) parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, album scanné et mise en page par Cyrille Largillier. Illustration par Armand-Louis-Henri Telory (1820-1874), texte par als33, mai 2015.

Don Quichotte - 13. Source : http://data.abuledu.org/URI/55741760-don-quichotte-13

Don Quichotte - 13

Adaptation pour enfants de Don Quichotte par Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616) parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, album scanné et mise en page par Cyrille Largillier. Illustration par Armand-Louis-Henri Telory (1820-1874), texte par als33, mai 2015.

Dulcitone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fef8-dulcitone

Dulcitone

Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone

Écuyère du Cirque Franconi. Source : http://data.abuledu.org/URI/514eaa79-ecuyere-du-cirque-franconi

Écuyère du Cirque Franconi

Gravure représentant un exercice d'écuyère au cirque Franconi, époque du Consulat, gravure de Debucourt, d'après Horace Vernet (1789-1863). Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). p323. Au XIXe siècle, le cirque équestre s'est développé dans les cirques stables construits dans différentes villes de France, à Paris puis en province. La famille Franconi fonda successivement, à Paris, trois théâtres de cirque portant le nom de « Cirque Olympique » : Le 1er établissement était situé rue Saint-Honoré (1807-1816) ; dans leur premier, les Franconi présentaient, à l'époque napoléonienne, des animaux sauvages dans leur spectacle de cirque à l'ancienne constitué de numéros équestres et acrobatiques.

Façade des Dames-de-France à Hyères. Source : http://data.abuledu.org/URI/544fdb06-facade-des-dames-de-france-a-hyeres

Façade des Dames-de-France à Hyères

Ancien grand magasin "Aux Dames de France" à Hyères. Haut de la façade sud-ouest. Édifice construit à la fin du XIXe siècle. L'ensemble du décor sur la façade serait en plâtre moulé. Entre le premier et le second étage trois cartouches portant les inscriptions "Modes", "Nouveautés", "Lingerie". Entre le second et le 3ème étage, le nom du magasin "Aux Dames de France". Sous le monogramme qui couronne la façade, tête de Minerve sculptée.

Fidèle serviteur anglais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52786985-fidele-serviteur-anglais

Fidèle serviteur anglais

Casse-noix en bronze représentant un animal fantastique, le fidèle serviteur (Trusty Servant) de Winchester datant de la fin XIXe siècle.

Fort Énet en Charente-Maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358e707-fort-enet-

Fort Énet en Charente-Maritime

Fort Énet dans la rade de l'île d'Aix en Charente-Maritime. Le fort Énet est une fortification située sur le rocher du même nom, entre Fouras et l'île d'Aix, appartenant à l'archipel charentais. À marée basse, il est accessible à pied depuis la pointe de la Fumée. Le fort actuel fut construit sous Napoléon suite à l'affaire des brûlots qui vit la destruction partielle de l'escadre de Rochefort. La construction s'étale de 1809 à 1812. Le fort est remis à la marine dès le mois de décembre 1811 pour permettre son armement. Jusqu'au milieu du XIXe siècle le fort subit quelques adaptations à cause des assauts des marées. On installe, entre 1848 et 1850, des Casemates. Le fort sert aussi de prison pour les communards en 1871 et au début du XXe siècle, il sert de prison de transit aux bagnards. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_%C3%89net

Frise publicitaire de matériel agricole. Source : http://data.abuledu.org/URI/51155053-frise-publicitaire-de-materiel-agricole

Frise publicitaire de matériel agricole

Frise murale sur un entrepôt de matériel agricole (John Deere) à Swift Current, SK, au Canada. Le fondateur de l'entreprise John Deere, est né à Rutland (Vermont) le 7 février 1804 et fut pendant quatre ans apprenti forgeron. Il mit au point et commercialisa la première charrue en acier coulé, un progrès technique qui favorisa les migrations vers les grandes plaines américaines à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Gemmeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ed2ae2-gemmeur

Gemmeur

Le résinier, aussi appelé gemmeur est celui qui pratique le gemmage. Il s'occupe de récolter la résine des 4000 à 6000 pins de sa parcelle. On rencontre surtout des résiniers de la seconde moitié du XIXe siècle à la fin des années 1980. Ils effectuent des saignées dans les pins (cares) et récoltent la résine qui s'en écoule, dans des pots de résine fixés aux arbres. Le gemmeur est celui qui récolte la gemme, tandis que le résinier est celui qui la transforme dans la distillerie. Progressivement, les deux termes ont été associés, l'usage les confond aujourd'hui.

Générateur électrostatique de Van Marum. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27adf-generateur-electrostatique-de-van-marum

Générateur électrostatique de Van Marum

Grande machine électrostatique de Van Marum, exposée au musée Teyler, à Haarlem, Pays-Bas. À droite, batterie de bouteilles de Leyde. La machine électrostatique est ainsi nommée parce qu'elle fait appel aux lois de l'électrostatique à la différence des machines dites électromagnétiques. Bien que des moteurs électrostatiques aient été imaginés (ils fonctionnent sur le principe de la réciprocité des générateurs électrostatiques), ils n'ont pas eu de succès. La puissance des machines du XVIIIe siècle et du XIXe siècle était en effet infime (quelques watts) et les frottements mécaniques ne leur laissaient qu'un très mauvais rendement. La raison en est que la densité maximale d'énergie du champ électrique dans l'air est très faible. Les machines électrostatiques ne peuvent être utilisables (de manière industrielle) que si elles fonctionnent dans un milieu où la densité d'énergie du champ électrique est assez élevée, c'est-à-dire pratiquement dans un gaz comprimé. L'invention du condensateur électrique sous la forme de la bouteille de Leyde (par E.-G. Kleist, Van Musschenbroek et son élève Cuneus, améliorée par sir William Watson, 1745-1747) permet de renforcer l'intensité des décharges : 1768, machine de Ramsden ; 1784, la machine de Van Marum.

Goliath de Termonde. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3cab-goliath-de-termonde

Goliath de Termonde

Le Goliath de Termonde : En Flandre, à Termonde (Dendermonde), Goliath est le géant de la gilde de Sint-Joris, créée en 1377. La figure actuelle date du XIXe siècle. Elle est présente chaque année à l’Ommegang.

Grande absinthe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5056c641-grande-absinthe

Grande absinthe

Planche botanique de Grande absinthe (Artemisia absinthium), Atlas des Plantes de France, 1891. Propriétés médicinales : Utilisée comme vermifuge, dans les maladies de l'estomac, dans le combat contre la paresse, contre le mal de mer et ses nausées, cette plante peut être utilisée en infusion avec du vin, de la bière en poudre ainsi qu'en décoction. En usage externe, on recourt à un cataplasme chaud, mais également à la décoction. L'absinthe était la plante d'Artémis, déesse grecque responsable des morts violentes. Dans l'Antiquité gréco-romaine, on l'utilisa en infusion comme antidote du poison (ciguë). Au XVIIe siècle, l'absinthe servait d'insecticide. L'absinthe est surtout connue pour avoir été l'ingrédient de base d'une boisson populaire au XIXe siècle. Rimbaud et Verlaine étaient des buveurs d'absinthe.

Guimauve. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acd894-guimauve

Guimauve

La guimauve commerciale est une innovation tardive du XIXe siècle. Depuis l’invention en 1948 du procédé d’extrusion breveté par Alex Doumak, les guimauves sont produites par expulsion d’un contenant cylindrique, puis coupées en sections et roulées dans une fine poudre constituée d’un mélange de fécule de maïs et de sucre à glacer. La guimauve (Mäusespeck en allemand, marshmallow en anglais, pâte de guimauve en français) est une confiserie qui, originellement était extraite de la guimauve, mais dans sa forme moderne, est faite de sucre glace ou de sirop de maïs, de blanc d'œufs battus, de gélatine (collagène fait de peau, os, et notamment de steak-haché, cartilages et ligaments d'animaux) qui a été préalablement détrempée dans l’eau, de gomme arabique, de colorants souvent de teinte pastel et d’aromatisants, battus jusqu’à atteindre une consistance spongieuse, prenant généralement la forme de cubes ou de longs bâtons souples.

Guitare-mandoline napolitaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395b9c9-guitare-mandoline-napolitaine

Guitare-mandoline napolitaine

Instrument double guitare-mandoline, région de Naples, fin XIXe-début XXe siecle, Musée des instruments de musique de Rome.

Hachoir à mains. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bcd782-hachoir-a-mains

Hachoir à mains

Un hachoir est un ustensile de cuisine pour hacher la viande. Le hachoir existe en différents types. Le hachoir a été inventé dans le milieu du XIXe siècle par Karl Drais. La plupart des hachoirs fonctionnent en forçant la viande à passer à travers de petits trous à sa sortie au moyen d'une vis sans fin (extrusion).

Hachoir à viande. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ff3c47-hachoir-a-viande

Hachoir à viande

Hachoir à viande manuel. Le hachoir existe en différents types, dont voici le plus connu. Le hachoir a été inventé dans le milieu du XIXe siècle par Karl Drais. La plupart des hachoirs fonctionnent en forçant la viande à passer à travers de petits trous à sa sortie au moyen d'une vis sans fin (extrusion). La chair à saucisse, les farces et la viande hachée sont fabriquées avec des hachoirs.