Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Photographie, Dix-neuvième siècle, Poulaillers, Architecture, Porcheries, Hautes-Pyrénées (France), Fermes familiales, Fermes historiques, Petites exploitations agricoles
Ancien poulailler du 19ème siècle (daté de 1878) avec ferronneries et porcherie en pierre de Lourdes, maison Borie, ''en ço de Borie'', à Bourréac-65. On notera en particulier la présence de deux lauburus, ou croix basque, sculptés dans la pierre dont un de part en part. La maison bigourdane désigne un type d'habitat dont les spécificités architecturales puisent leurs origines dans la Bigorre des XVIIIe et XIXe siècles. La porcherie et le poulailler, souvent situés l'un sous l'autre, constituent un bâtiment d'élevage auquel on apporte le plus grand soin esthétique.
Gravure, Ponts, Volailles, Poulaillers, Chiens, Petites fermes, Allemand (langue), Pigeonniers, Dessin en noir et blanc, Colombiers
Cour de ferme avec volaille et chien, et pigeonnier en 1860, Die Gartenlaube 173.
Photographie, Grenouilles, Humour, Poulaillers, Neuchâtel (Suisse. - canton), Animaux -- Alimentation -- Appareils et matériel, Position debout, Animaux -- Dans l'art, Animaux naturalisés, François Perrier (1813-1860)
Les grenouilles dans le poulailler. Grenouilles naturalisées par le capitaine François Perrier (1813-1860) entre 1853 et 1860, Musée historique d'Estavayer-le-lac, Suisse.
Peinture, Blanc, Fermes, Fillettes, Dix-neuvième siècle, Poulaillers, Lapins, Grands-pères et enfants, Peintres polonais
Les lapins (Króliki), 1879, par Antoni Kozakiewicz (1841-1929), peintre polonais : le grand-père assis distribue du chou aux lapins.
Peinture, Cuisine (oeufs), Oeufs, Oeufs -- Coquilles, Poules, Art médiéval, Onzième siècle, Poulaillers, Auteurs arabes, Dessin médiéval, Peinture médiévale, Médecins médiévaux, Oeufs -- Production, Yuwānīs Ibn Buṭlān (10..-1066?)
Ramassage des oeufs dans un poulailler au moyen-âge. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.
Petit poulailler avec extension grillagée, à Betchworth en Angleterre.
Contes, Textes, Canards, Cigognes, Navires, Poulaillers, Rêves, Coqs, Hans Christian Andersen (1805-1875), Elfes, Sommeil chez l'enfant, Dindons domestiques
Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil - mercredi, par Hans Christian Andersen (1805-1875). 588 mots.
Dessins et plans, Lithographie française, La Réunion, Busards, Papangues (busards), Louis Antoine Roussin (1819-1894)
Papangue, ou Pieds-Jaune ou Busard de Maillard (Circus maillardi) mâle, lithographie de Louis Antoine Roussin (1819-1894). Son nom vernaculaire est d'origine malgache. Il dériverait de papangoet. Il tire son nom spécifique de Maillard, l'auteur qui distingua cet oiseau des busards européens. Cet oiseau mesure 50 à 53 cm de longueur (femelle plus grande que le mâle) pour une envergure de 110 à 150 cm (le plus grand oiseau de La Réunion) et une masse de 650 à 1500 g. Le mâle est noir avec de grandes taches blanches et la femelle est brune. Le papangue aime vivre dans les champs de canne, entre 500 m et 1 500 m d'altitude. On le retrouve aussi sur les hautes plaines à l'est et au sud de l'île. Il est rare dans les cirques de Cilaos et Mafate, sans doute en raison des persécutions dont il est encore l'objet. Il se nourrit de rats, souris, jeunes tenrecs qu'il va talonner au sol et de tec-tecs, cardinaux et moineaux qu'il attrape au vol. Les busards pratiquent les échanges de nourriture en vol, appelés passes par les admirateurs des oiseaux chasseurs. Le mâle lâche sa prise comme par mégarde avant même que sa compagne n'arrive jusqu'à lui. Cette dernière arrive à se saisir de la minuscule proie au prix d'une extraordinaire accélération puis d'une virevolte quelque cinq ou six mètres au-dessous du point de lâché. Il fouille très souvent dans les poubelles. Seul oiseau prédateur de l'île, le papangue n'est pas aimé des Réunionnais qui pensent qu'il pourrait voler des poules dans les poulaillers : fait impossible vu son poids. Mais bien qu'il doive encore essuyer quelques coups de fusil, l'animal est protégé depuis 1989. Actuellement la population de cette espèce est d'environ 200 couples.
Traditionnellement, le torchis, un mélange d’eau, d’argile et de fibres naturelles (paille, foin, crin de chevaux…), vient se liaisonner par enrobage aux clayonnages ou par pression aux lattis des pans de murs ou cloisons des bâtiments à ossature bois (habitations, fermes, grange, écuries, étables, porcheries, poulaillers, pigeonnier…).