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Photographie, Afrique, Oignons, Volailles, Agriculture, Casamance (Sénégal), Coopératives agricoles, Travail des femmes
Culture d'oignons dans une coopérative gérée par des femmes sur l'île de Carabane (Casamance, Sénégal). Le bâtiment à l'arrière-plan est destiné à accueillir un élevage de volailles.
Gravure, Ponts, Volailles, Poulaillers, Chiens, Petites fermes, Allemand (langue), Pigeonniers, Dessin en noir et blanc, Colombiers
Cour de ferme avec volaille et chien, et pigeonnier en 1860, Die Gartenlaube 173.
Peinture, Balais et brosses, Fillettes, Courses-poursuites, Animaux de basse-cour, Volailles, Coqs, Littérature de jeunesse, Lothar Meggendorfer (1847–1925)
Lina la vilaine poursuit les animaux de la basse-cour avec un balai, iIllustration du livre d'enfants allemand "Die brave Bertha und die böse Lina" (Bertha la courageuse et Lina la vilaine) de Lothar Meggendorfer (1847–1925).
Dessins et plans, Volailles, Bandes dessinées humoristiques, Littérature de jeunesse, Personnes âgées en milieu rural, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908)
et elle emporte tout le monde à la cuisine. Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
que la volaille du meunier eut vite fait de picorer, scène 7, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Photographie, Phasianidés, Volailles, Pintades, Aliments, Volaille (viande), Cuisine (volaille), Cuisine (pintade), Pintadeaux, Volailles -- Élevage
Les pintades sont des oiseaux de l'ordre des galliformes et de la famille des Numididae (parfois placée dans celle des Phasianidae), originaires d'Afrique, au plumage foncé pointillé de blanc, qui se nourrissent de graines. Certaines sont domestiquées. Volailles d’ornement, elles sont surtout appréciées pour leur chair.
Éleveur professionnel spécialisé dans l'élevage des animaux de basse-cour et en particulier des volailles en vue de l'exploitation commerciale.
Photographie, Viande, Aliments précuisinés, Boulettes (mets), Cuisine (aliments surgelés), Cuisine allemande, Viande hachée, Volaille (viande), Volailles surgelées
Une boulette est un terme qui s'applique à plusieurs mets composés de fruits, légumes, céréales, viandes ou poissons, présentés en forme de boule. Elle peut être sucrée ou salée et entourée ou non de pâte ou d'une feuille. Elle est très répandue dans la cuisine orientale, mais existe partout dans le monde.
Cervelles d'agneaux. Les abats ou la triperie constituent un ensemble de produits alimentaires qui comportent tous les viscères comestibles d'animaux. Ce sont les glandes et les organes internes tel le foie, les reins, le cœur, le thymus, l'intestin… mais aussi le pied ou la joue. Ils sont généralement considérés comme des parties accessoires, non nobles, d'animaux abattus pour la consommation. Ils s'opposent à la viande rouge ou blanche, qui correspond aux muscles, qu'il s'agisse de volailles, de bovins, d'ovins, etc.
Ils virent une poêlée appétissante, scène 2, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Le chien a beau aboyer, les garnements volent les quatre volailles, scène 2, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Oie blanche. L'élevage des oies domestiques est en progression, ces volailles sont appréciées tant pour leur chair (dont le foie gras) que pour la production de plumes. D'une manière plus marginale, les oies sont élevées pour fournir des œufs, et même pour faire du gardiennage et pour désherber les cultures.
Photographie, Oie, Oie (viande), Cuisine (oie), Aliments, Volaille (viande), Cuisine (volaille), Confit
Anser cygnoides domestica. Oie de Guinée est un terme générique utilisé pour désigner l'ensemble des races d'oies domestiques issue de l'Oie cygnoïde (Anser cygnoides). Plus spécifiquement ont trouve l'oie domestique des Philippines, l'oie de Wuzhong. Ce sont des volailles d'élevage et des oiseaux d'ornement.
Évolution de la production de pois protéagineux dans l'Union européenne de 1973 à 2007. L'Union européenne est le deuxième producteur mondial de pois, derrière le Canada, mais reste importatrice nette. Les pois protéagineux (pois secs) sont très majoritairement destinés à l'alimentation animale. Ainsi au cours de l'exercice 2005/2006, sur une consommation totale de 3,85 millions de tonnes, 3,33 Mt (86,5 %) ont été incorporés dans les aliments composés pour animaux, tandis que l'alimentation humaine, les semences et l'export représentaient respectivement 5,2 %, 4,5 % et 3,7 %. La production communautaire avait fourni pour ce même exercice 2,44 Mt, soit un taux d'autosuffisance de 63,2 %. La France est de loin le premier producteur (avec 48,6 % du total) devant l'Allemagne, l'Espagne et le Royaume-Uni. Le développement de la culture du pois protéagineux en Europe a été lancée après l'embargo américain de 1973 sur les tourteaux de soja qui avait révélé la forte dépendance de l'Europe vis-à-vis des importations de protéines végétales du continent américain et la fragilité de l'approvisionnement de ses élevages hors-sol (porcins, volailles). Cette situation était la conséquence des accords du GATT de 1962, par lesquels la CEE pouvait maintenir des droits de douane élevés sur les céréales en contrepartie du libre accès des graines oléo-protéagineuses importées notamment des États-Unis). En France, la production de pois protéagineux, qui avait atteint son maximum à près de 3,8 millions de tonnes en 1993, a beaucoup baissé, atteignant 1,04 million de tonnes en 2006. Le pois y représente 75 % de la production totale de protéagineux (pois, féverolle, lupin). Le développement du pois (des plantes protéagineuses en général) et de son utilisation en alimentation animale a nécessité un important effort de recherche fondamentale et appliquée, tant sur le plan de la génétique que de ses applications agronomiques et zootechniques, mobilisant de nombreux organismes, comme l'INRA en France ou le John Innes Centre au Royaume-Uni. Ces recherches sont coordonnées au niveau européen par l'association européenne des protéagineux (AEP), dont les activités sont vulgarisées sur Internet par le « Grain Legume Portal».
La Truffe noire ou Truffe du Périgord, en latin Tuber melanosporum, se trouve uniquement dans les sols calcaires à une profondeur de 1 à 15 cm au pied d'arbres dits « truffiers » (chênes, noisetiers, tilleuls, charmes...). Elle se développe au printemps et grossit à partir de mi-août pour arriver à maturité plusieurs mois plus tard. Elle est alors ramassée - on dit « cavée » - à l'aide en général d'un chien truffier, d'un cochon ou de mouches. Le coût d'une truffe de qualité sur le marché dépend de sa taille, de son espèce et de sa qualité. Il peut atteindre de 75 € les 100 grammes à plusieurs milliers d'euros pour les truffes communes, ce qui leur donne déjà l’image d’un produit de luxe. Les truffes, que Brillat-Savarin appelait « les diamants de la cuisine », servent dans la préparation de nombreux plats. Elles sont insérées dans des pièces de boucherie, le ris de veau, les volailles, les pâtés de foies gras, les pâtés en croûte ou en terrine. On les mêle également aux farces ou certaines sauces, comme la sauce Périgueux ou encore aux pâtes (gnocchis truffés) ou aux bouchées à la reine.