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Photographie | Peinture | Dix-neuvième siècle | Gravure | Peintres anglais | Géographie | Peintres français | Chats | Histoire | Automates | Mammifères | Pesage -- Instruments | Graines | Or | Afrique | Chauves-souris | Peintres animaliers | Ménageries | Animaux sauvages | Cages | ...
Horloge astronomique de Besançon. Source : http://data.abuledu.org/URI/533bd8ac-horloge-astronomique-de-besancon

Horloge astronomique de Besançon

L'Horloge astronomique de la cathédrale Saint-Jean de Besançon est une horloge astronomique considérée comme un chef-d'œuvre du genre, construite par Auguste-Lucien Vérité au XIXe siècle, célèbre maître horloger de Beauvais en Picardie (concepteur de l'horloge astronomique de Beauvais de la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais entre 1865 et 1868). L'horloge de Vérité est composée de 30 000 pièces mécaniques et présente 122 indications toutes interdépendantes dont : heures, dates, saisons, durée du jour et de la nuit, heures à 20 endroits du monde, nombres d'éclipses lunaires et solaires, signes zodiacaux, date de Pâques (épacte), dates et heures des marées, heure solaire, solstice... Cette horloge astronomique est animée par de nombreux automates et chorégraphies mécaniques et animations du système solaire déclenchées en fonction du calendrier et de l'horaire. L'horloge est dans une pièce prévue à cet effet, dans la tour de la cathédrale. Elle peut être visitée tous les jours, en visite guidée exclusivement, aux heures où les animations mécaniques sont les plus spectaculaires. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_astronomique_de_Besan%C3%A7on

Il pleut des cordes en Angleterre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee5330-il-pleut-des-cordes-en-angleterre

Il pleut des cordes en Angleterre

Pluie de chats, chiens et fourches. Caricature anglaise du XIXe siècle : en anglais "il pleut des cordes" se dit "il pleut des chats et des chiens" (it's raining cats and dogs). Exemple de métaphore avec contexte culturel : le contexte littéraire, énonciatif et culturel seul permet de cerner la nature et la portée de la métaphore, qui mélange deux champs sémantiques, parfois suivis d'une comparaison. La métaphore repose ainsi souvent sur des clichés, des lieux communs ou des allusions qui se retrouvent à toute époque.

Île de Tatihou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c988-ile-de-tatihou

Île de Tatihou

Île de Tatihou (Saint-Vaast-la-Hougue/Manche) vue de la pernelle. Tatihou est une île côtière française au nord-est du Cotentin. D'une superficie de 29 hectares, elle est accessible à pied à certaines marées basses. L'île appartient au Conservatoire du littoral et n'est pas habitée de manière permanente. Son patrimoine se compose : 1) du fort Vauban construit en 1694, après la bataille de la Hougue dont la Tour Vauban (XVIIIe siècle), classée au patrimoine mondial par l'Unesco depuis 2008. À l'intérieur des fortifications (XIXe siècle) se trouvent aussi une chapelle (fin du XVIIIe siècle), un magasin à poudre (XIXe siècle) et une caserne devenue un restaurant ; 2) de l'ancien lazaret (construit en 1720, pour éviter la propagation de la peste) qui abrite le musée maritime, un jardin botanique, un atelier de charpente navale et des bâtiments d'hébergement ; 3) d'une réserve ornithologique, implantée dans la plaine derrière la tour Vauban et gérée par le Groupe ornithologique normand. 4) d'une maison des douaniers (1805), au-dessus de l'embarcadère. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tatihou

Immersion du chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dff0e-immersion-du-chanvre

Immersion du chanvre

Immersion du chanvre (Hanfeinlegen), huile de Théodore von Hörmann, peintre autrichien du XIXe siècle.

Intérieur de café à la Galerie du Palais-Royal. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96d5c-interieur-de-cafe-a-la-galerie-du-palais-royal

Intérieur de café à la Galerie du Palais-Royal

Interieur d'un café, Galerie du Palais Royal 1786-1808, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Le Café Lamblin est un café parisien, fondé en 1805, l'année de la bataille d'Austerlitz, par un ancien garçon de café de La Rotonde nommé Lemblin. À cette époque, il était situé au no 103 de la galerie de Chartres (de nos jours galerie Beaujolais) du Palais-Royal. Le nom du café a été orthographié par la suite tantôt Lamblin, tantôt Lemblin. Rendez-vous des femmes galantes et des bonapartistes dans la première moitié du XIXe siècle, il fut à partir de 1815 un foyer d'opposition pour les bonapartistes. Les demi-soldes de l'armée de l'Empereur venaient y raconter leurs souvenirs de la Guerre d'indépendance espagnole et de la campagne de Russie.

Jardin du Luxembourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103d840-jardin-du-luxembourg

Jardin du Luxembourg

Une allée du Jardin du Luxembourg. Statue en bronze de Charles-Arthur Bourgeois (1838-1886), "L'Acteur grec" : Salon de 1868. Présenté ensuite à l’Exposition universelle de 1878 où elle obtient une médaille de troisième classe. L’acteur, un masque relevé sur le front, répète son rôle en récitant son texte écrit sur un parchemin. D’abord érigé au théâtre de l’Odéon, il est réérigé au Jardin du Luxembourg : modèle du jardin public répondant aux attentes de la société française de la fin du XIXe siècle, "Voir et être vu" dans de larges allées bordées de bancs, ombragées de platanes ou de marronniers. On y accède parfois en attelage.

Jonquilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/529f3e91-jonquilles

Jonquilles

Marie Duhem (1871-1918), "Jonquilles", Huile sur toile de Marie Duhem (1871-1918) datant de la fin XIXe siècle représentant un vase avec des jonquilles. École de Wissant. Tableau exposé au musée de la Chartreuse de Douai.

L'oie bretonne de Gauguin. Source : http://data.abuledu.org/URI/515fcf89-l-oie-bretonne-de-gauguin

L'oie bretonne de Gauguin

"L'oie, Maison Marie-Henry", peinture à l'huile sur plâtre de Paul Gauguin (1899). Paul Gauguin (1848-1903), mort à Atuona, Hiva Oa, Îles Marquises) est un peintre postimpressionniste. Chef de file de l'École de Pont-Aven et inspirateur des Nabis, il est considéré comme l'un des peintres français majeurs du XIXe siècle.

La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

La nuit de la Saint-Jean. Source : http://data.abuledu.org/URI/519934c3-la-nuit-de-la-saint-jean

La nuit de la Saint-Jean

La nuit de la Saint-Jean, 1908, par Edward Robert Hughes (1851-1914) : Veille pendant une nuit d'été, en compagnie de lutins et de fées… cette peinture évocatrice illustre l'inspiration du XIXe siècle en Europe du Nord en particulier, pour la mythologie des peuples fondateurs des nations. L'engouement pour la mythologie procède alors de ce foisonnement identitaire propre à la réflexion nationaliste menée par chaque peuple.

Lapins d'élevage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53597dc7-lapins-d-elevage

Lapins d'élevage

Lapins domestiques d'élevage en cage. Le lapin a été domestiqué tardivement au XVe siècle, c'est le seul animal d'élevage originaire d'Europe. Le lapin domestique est exclusivement issu de la domestication d'une seule espèce : le Lapin de garenne (Oryctolagus cuniculus). Son élevage, appelé cuniculture, s'est développé à partir du Moyen Âge. À lui seul Oryctolagus cuniculus est à l'origine des multiples races de lapins domestiques élevées à présent dans le monde entier mais stabilisées uniquement à partir de la seconde moitié du XIXe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lapin

Le balcon de Juliette à Vérone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5314d0aa-le-balcon-de-juliette-a-verone

Le balcon de Juliette à Vérone

Le balcon de Juliette à Vérone : Au XIIe siècle la maison est construite sur la Via Cappello, toute proche de la piazza delle Erbe dans le centre historique de Vérone, par la famille noble Dal Cappello, dont le blason est sculpté sur la clé de voûte de l'arc interne de la cour. Au XIXe siècle la consonance entre Dal Cappello et Capuleti laisse croire que cette demeure était celle de Juliette Capulet, où cette dernière écoutait son amant Roméo Montaigu lui déclarer son amour au pied de son balcon. C’est dans cette demeure que les amants se promettent un amour éternel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Juliette.

Le chat botté. Source : http://data.abuledu.org/URI/519957da-le-chat-botte

Le chat botté

Poster anglais représentant le Chat botté (Puss in boots) à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle. Auteur inconnu.

Le Château de Pesteils, sur la commune de Polminhac, dans le Cantal (France). Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc52c6-le-chateau-de-pesteils-sur-la-commune-de-polminhac-dans-le-cantal-france-

Le Château de Pesteils, sur la commune de Polminhac, dans le Cantal (France)

Le château de Pesteils est situé sur un promontoire rocheux surplombant le village de Polminhac et la vallée de la Cère. Le donjon de 40 m de haut date de la fin du Moyen Âge, XIVe et XVe siècles, au début de la guerre de Cent Ans. Pendant la deuxième moitié du XVIIe siècle ont été ajoutés le corps de logis et le pavillon d'angle. Le château a été remanié par l'architecte Émile Lemaigre a la fin du XIXe siècle. Au XIXe siècle leurs décors intérieurs ont été remaniés dans le goût néo-gothique puis réaménagés au début du XXe siècle. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Pesteils

Le clown anglais Joey. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c1b57a-le-clown-anglais-joey

Le clown anglais Joey

Joseph Grimaldi dans le rôle du Clown Joey, 1820, par George Cruikshank (1792-1878). Joseph (Jo) Grimaldi (1778-1837), fut le plus célèbre mime et clown anglais du XIXe siècle. Inspiré originellement par la commedia dell'arte, c'est lui qui fixa véritablement le type du clown moderne avec son personnage de Clown Joey. Après sa mort, ses Mémoires furent éditées en 1838 par Charles Dickens.

Le crocodile et le serpent. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b5c7bf-le-scrocodile-et-le-serpent

Le crocodile et le serpent

Le Crocodile et le Serpent d'Emile Namur (1852-1908), Jardin botanique de Bruxelles : Des 52 sculptures en bronze commandées à Constantin Meunier et Charles Van der Stappen, qui déléguèrent, ensuite, une partie du travail à d'autres artistes, et installées au XIXe siècle, il en reste actuellement 30 (source : wikipedia).

Le Déjeuner des canotiers. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8cfd-le-dejeuner-des-canotiers

Le Déjeuner des canotiers

Le déjeuner des canotiers d'Auguste Renoir, 1881. Le canotier est un chapeau de paille de forme ovale à fond plat, à bords également plats, orné d’un ruban, qui est mis à la mode par les fervents du canotage dans le courant du XIXe siècle, d’où son nom.

Le Saut de Sabo - Saint-Juéry-Arthès (Tarn). Source : http://data.abuledu.org/URI/51bccb36-le-saut-de-sabo-saint-juery-arthes-tarn-

Le Saut de Sabo - Saint-Juéry-Arthès (Tarn)

À Saint-Juéry (Tarn), à 6 km à l’est d’Albi, la rivière Tarn quitte les durs micaschistes du Massif Central pour rejoindre les terrains argileux tertiaires du Bassin Aquitain. À cet endroit, l’érosion a donné naissance à une chute naturelle de près de 20 m, qui fournit une force hydraulique considérable. Dès le XIIe siècle, une chaussée est construite au Saut de Sabo, répartissant l’eau sur les deux rives, et alimentant les nombreux moulins (à blé, à huile), foulons (à papier, à feutre), et martinets (à cuivre), qui s’y sont installés. Au XIXe siècle, un ensemble sidérurgique longtemps florissant s'y implante : Le Saut du Tarn, spécialisé dès l’origine dans la production d’acier et la fabrication des outils.

Le wagon de troisième classe. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ec277-le-wagon-de-troisieme-classe

Le wagon de troisième classe

Le wagon de troisième classe, 1862, par Honoré Daumier (1808-1879). Le Wagon de troisième classe est le titre d'un tableau d'Honoré Daumier, peint en 1864, dans lequel l'artiste dénonce la pauvreté. Il appartient au Musée des beaux-arts du Canada d'Ottawa1 qui l'a acquis 1946. Cette représentation du réel est dérangeante, non pas tant par ce qui est montré, les personnages, les vêtements, ces enfants misérables, que par la force des regards. Les yeux sombres de la femme au panier, au premier plan, fixant le spectateur de l'œuvre, paraissent terriblement accusateurs et traduisent le profond désarroi qui habite ces petites gens, dans leur vie de souffrance et de misère. Avant 1956, les Chemins de fer proposaient trois classes : la deuxième classe, confortable sans le luxe de la première, accueillait les voyageurs de la petite-bourgeoisie (commerçants, fonctionnaires, rentiers etc). La troisième classe a été supprimée, face à l'élévation générale du niveau de vie. Cette disposition en trois classes (et plus) existe toujours dans de nombreux pays du monde. Pour les bateaux, elle demeure plus rare. Cette classe était principalement réservée à l'émigration à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Logement militaire à la Nouvelle-Orléans. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ebd43-logement-militaire-a-la-nouvelle-orleans

Logement militaire à la Nouvelle-Orléans

Logement militaire à la Nouvelle-Orléans, site historique de Fort Pike, Pont des Rigolets. Fort Pike est une ancienne forteresse du XIXe siècle qui auparavant gardait l'entrée du détroit des Rigolets en Louisiane face au golfe du Mexique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_Pike

Lorgnettes d'argent. Source : http://data.abuledu.org/URI/523cbf8c-lorgnettes-d-argent

Lorgnettes d'argent

Lorgnettes d'argent, 1909. Une lorgnette est une paire de lunettes avec une poignée, utilisée pour les maintenir en place, plutôt que montées avec des branches sur les oreilles. Le mot est dérivé du français « lorgner » (jeter un regard oblique sur) et du moyen français « lorgne » (plisser les yeux). Elles ont été inventées par l'Anglais George Adams. La lorgnette est généralement utilisée comme une pièce de joaillerie, plutôt que pour améliorer la vision. Les dames à la mode les préféraient en général aux lunettes. Elles étaient très populaires aux bals masqués et utilisées souvent à l'opéra (devenant le modèle des jumelles d'opéra actuelles). Elles étaient populaires au XIXe siècle.

Machine de Wimshurst. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27e68-machine-de-wimshurst

Machine de Wimshurst

Inventée par James Wimshurst à la fin du XIXe siècle, elle ne fut pas la première à utiliser l'induction électrostatique. Mais sa puissance la rendit rapidement très populaire. Cette machine était constituée de deux disques en verre munis de lames d'étain, contre lesquels viennent frotter des balais garnis de fils métalliques. Les charges produites étaient récupérées par des peignes métalliques, et stockées dans des bouteilles de Leyde. La machine de Wimshurst est une machine électrostatique inventée en 1882 par l'anglais James Wimshurst. Cette machine fut historiquement utilisée pour illustrer de nombreux phénomènes d'électricité statique ou la production d'ozone (à l'odeur caractéristique) dans un arc électrique. Elle est encore présente dans de nombreuses écoles. La machine de Wimshurst a une apparence caractéristique. Elle est équipée de deux larges disques constitués de matériaux isolants et recouverts de secteurs métalliques. Les deux disques tournent en sens opposé l'un par rapport à l'autre dans un plan vertical, les connexions se font à l'aide d'un dispositif de balais à friction permettant ainsi de récupérer la charge et d'emmagasiner l'énergie dans les bouteilles de charges (principe du condensateur). Au voisinage de pointes métalliques adéquatement connectées, et reliées à deux sphères convenablement disposées à une distance pouvant provoquer un étincelage, ce dispositif se nomme : éclateurs.

Maisons suédoises traditionnelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b956b2-maisons-suedoises-traditionnelles

Maisons suédoises traditionnelles

Maisons suédoises traditionnelle en bois à Wadköping, ancienne ville d'Örebro en Suède. Près des rives de la Svartån, à l'est du centre-ville, se trouve le musée de plein-air de Wadköping, nommé d'après la ville imaginaire créée par l'écrivain Hjalmar Bergman. Le musée, fondé en 1965, rassemble des bâtiments et jardins déplacés ici depuis leur emplacement originel du centre-ville. Le musée est divisé en deux par une rue, avec d'un côté les bâtiments du XVIIe au XIXe siècle, tandis que l'autre côté se concentre sur des bâtiments d'après l'incendie de 1854.

Mécanisme d'un automate japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b1101-mecanisme-d-un-automate-japonais

Mécanisme d'un automate japonais

Karakuri serveur de thé, avec mécanisme, XIXe siècle. Musée national de la nature et des sciences de Tokyo. Les karakuri ningyō sont des poupées mécaniques ou automates fabriqués au Japon du XVIIe siècle au XIXe siècle. Le mot karakuri signifie « mécanisme » ou « astuce ». En japonais, ningyō est écrit en deux caractères séparés qui signifient « personne » et « forme ». Il peut être traduit par marionnette, mais aussi par poupée ou effigie. Les mouvements de la poupée constituent une forme de divertissement.

Mini-Château du Lude. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f17c7f-mini-chateau-du-lude

Mini-Château du Lude

Maquette du château du Lude, val de Loire. Le château du Lude sur la commune du Lude, département de la Sarthe, est un des châteaux représentant l'époque architecturale de la première Renaissance française. Cette forteresse du XIIIe siècle dont le logis du XVIe siècle est un château réaménagé au XVIIIe siècle et restauré au XIXe siècle pour lui donner son aspect actuel, gardant l'impression de masse du bâtiment d'origine.

Monument de Gergovie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209cfa5-monument-de-gergovie

Monument de Gergovie

Monument commémorant la victoire gauloise sur les troupes de Jules César en 52 av. J.-C au sommet de l'oppidum de Gergovie (Sud de Clermont-Ferrand, France). Construit au XIXe siècle.

Moulins de La Mancha de nuit. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a031f0-moulins-de-la-mancha-de-nuit

Moulins de La Mancha de nuit

Les moulins à vent de Consuegra au crépuscule, dans la province de Tolède en Espagne. Construits au XIXe siècle, ils sont devenus monuments historiques en 2008.

Musée des Forges dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074b38a-musee-des-forges-dans-les-landes

Musée des Forges dans les Landes

L'Estrigon à Brocas, dans le département français des Landes : ancien moulin à eau accueillant le musée des Forges. Les anciennes forges témoignent d'une importante activité métallurgique au cours des XIXe et début du XXe siècle sur la commune. L'ensemble composé du haut fourneau, moulin à farine, atelier, grange, barrage, bief et installation hydraulique est inscrit aux monuments historiques par arrêté du 18 septembre 2006.

Myrtille ou airelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058d5e2-myrtille-ou-airelle

Myrtille ou airelle

Planche botanique de la myrtille (Vaccinium myrtillus), Atlas des Plantes de France, 1891. La myrtille commune porte de nombreux autres noms vernaculaires régionaux : airelle myrtille, gueule noire, mauret, mouret, brimbelle, raisin des bois, bleuet ou bluet. Dans le langage des fleurs, la myrtille signifie que l'on recherche la solitude. En Ardenne belge, la cueillette et le commerce des myrtilles étaient couramment pratiqués aux XIXe et XXe siècles (HOYOIS, 1949-1953). Les myrtilles étaient destinées à la vente au détail, à la distillerie, à la coloration des vins, à la fabrication de confitures et de pâtisseries.

Orangerie du jardin Massey à Tarbes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103cbd7-orangerie-du-jardin-massey-a-tarbes

Orangerie du jardin Massey à Tarbes

Orangerie du jardin Massey (Tarbes, Hautes-Pyrénées). L'aspect monumental de l'orangerie vient de son dôme demi-sphérique avec clocheton. C'est un bel exemple de constructions métalliques qui étaient en vogue au XIXe siècle. La serre fut réhabilitée en 1980.

Panneaux de faïence iraniens. Source : http://data.abuledu.org/URI/530c78cb-panneaux-de-faience-iraniens

Panneaux de faïence iraniens

Deux panneaux en carreaux de faïence peints. Iran, première moitié du XIXe siècle. Dimensions des panneaux en cm : 81,5 x 30,5. Période Qajar (couleur rose, lumière), en prolongement de la tradition Safavid du XVIIème siècle. Oeuvre réalisée à la demande de Loftali, après son pélerinage à Mashhad.

Peintres animaliers au Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e217-peintres-animaliers-au-jardin-des-plantes

Peintres animaliers au Jardin des Plantes

Les artistes animaliers au Jardin des Plantes. Magazine « L'Illustration » du 7 août 1902. La ménagerie est le second plus ancien parc zoologique du monde. Elle fut créée en 1793 à l'initiative de Bernardin de Saint-Pierre, par le transfert des animaux de la ménagerie royale de Versailles et les ménageries privées et foraines. Lors de la commune de Paris, les animaux furent mangés par les Parisiens assiégés. Au cours de son histoire, elle a présenté d'innombrables espèces animales, dont la première girafe présentée en France (1827), des éléphants, des ours bruns et blancs, des phoques. Beaucoup de constructions, parfois sophistiquées pour l'époque, ont été édifiées à cet effet au XIXe et au début du XXe siècle, succédant aux enclos et cages sommaires du début.

Peinture sur sable au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/529f9311-peinture-sur-sable-au-japon

Peinture sur sable au Japon

Peinture sur sable au Japon : femme dessinant un paysage de pleine lune sur un plateau, par Chikanobu Toyohara (1838-1912), un des derniers maîtres incontestables de l'estampe japonaise de la deuxième moitié du XIXe siècle. Son œuvre est essentielle dans la transition entre l'ukiyo-e traditionnel et le nouveau style shin-Hanga.

Peson en or en forme de chauve-souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d70796-peson-en-or-en-forme-de-chauve-souris

Peson en or en forme de chauve-souris

Ce peson est un multiple du poids de la graine de pois rouge encore appelé haricot paternoster (Abrus precatorius, 0.14 à 0,19 g) qui servait de référence pour tout pesage. L'or était très important dans la vie économique et politique des royaumes Akan du sud du Ghana et de la Côte d'Ivoire. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, la poudre d'or était la principale forme de monnaie dans la région. Afin de mesurer des quantités précises d'or, un système complexe de poids, généralement en laiton coulé, s'est développé au dix-septième siècle. Au-delà de cette fonction usuelle, les pesons d'or font souvent référence au pouvoir politique, reproduisant en miniature les attributs royaux, ainsi qu’à certaines vertus comme la sagesse que commentent généralement des proverbes. Aujourd’hui, la monnaie nationale a remplacé le précieux métal et ce système pondéral n’a plus lieu depuis le début du XX° siècle. Ancienne collection du botaniste et ethnologue français Jean Baur. Don au Muséum de Toulouse en 2010.

Piliers de Tutelle à Bordeaux en 1565. Source : http://data.abuledu.org/URI/5401f308-piliers-de-tutelle-a-bordeaux-en-1565

Piliers de Tutelle à Bordeaux en 1565

Représentation de l'édifice gallo-romain du IIIe siècle dit Piliers de Tutelle de Bordeaux (Gironde). Gravure du début du XIXe siècle d'après une gravure plus ancienne de 1565, par Alexandre Du Mège (1780-1862), archéologue français. Source : Bibliothèque de Toulouse.

Portrait d'Antoine Parmentier. Source : http://data.abuledu.org/URI/505dc453-portrait-d-antoine-parmentier

Portrait d'Antoine Parmentier

Portrait d'Antoine Parmentier (1737-1813) par François Dumont (1751-1831) : De retour d'un séjour en captivité en Prusse, il fait la promotion de la pomme de terre comme aliment humain mais il ne parvient pas réellement à développer son usage dans toutes les couches de la société française, les famines sévissant en France pendant encore un siècle et les gens ne sachant pas comment les cuisiner (des recettes aux pommes de terre n'apparaissent dans les livres de cuisine qu'au XIXe siècle). Il avait été capturé par les Prussiens pendant la guerre de Sept Ans (1756-1763) et avait découvert à cette occasion la pomme de terre, principale nourriture fournie aux prisonniers. À la suite d'une terrible disette survenue en 1769, l'académie de Besançon lance en 1771 un concours sur le thème suivant : « Indiquez les végétaux qui pourraient suppléer en cas de disette à ceux que l'on emploie communément à la nourriture des hommes et quelle en devrait être la préparation. » Parmentier remporte le premier prix, devant d'autres concurrents qui avaient eux aussi rédigé un mémoire sur la pomme de terre, preuve que l'usage de ce tubercule était vraiment à l'ordre du jour.

Primevères de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad2f08-primeveres-de-jardin

Primevères de jardin

Primevère de jardin (Primula auricula) ou oreille d'ours, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. Primula auricula, appelée Oreille d'ours comme l'épiaire laineuse, ou parfois Auricule, est une plante vivace formant une rosette de feuilles, parfois blanc farineux et faiblement charnues. Elle fait partie de la famille des Primulacées et est originaire des régions alpines (Alpes occidentales, Jura, Vosges, Tatras). C'est une espèce très rustique. Ramenée des Alpes des environs d'Innsbruck, les premières plantes furent cultivées dans le jardin des plantes de Vienne dès le XVIe siècle par le botaniste Charles de L'Écluse. Elle se répandit à travers toute l'Europe dès le XVIIe siècle, où on la retrouve dans des peintures flamandes dès le début du siècle. Elle sera ramenée par des tisserands exilés en Angleterre. Elle est notamment présentée à la Cour de France en 1685. Au XIXe siècle dans la région de Liège, elle suscitera une véritable passion, qui n'était pas sans rappeler la tulipomanie du XVIIe siècle, donnant notamment leur nom à diverses variétés. Jusqu'à 1.000 variétés seront recensées. Les habitants y présentent notamment leurs collections en de petits gradins aux fenêtres ou sur les balcons, dénommés "Théâtres d'Auricules". Ces "théâtres" de 5 ou 6 gradins disposent généralement d'un fond peint. La mode gagnera Paris vers 1850, mais déclinera sur le continent peu après. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Primula_auricula

Ragondin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51028f27-ragondin

Ragondin

Le ragondin ou castor des marais (Myocastor coypus), appelé aussi autrefois myopotame, est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires.

Répartition des dialectes basques en 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc5465-repartition-des-dialectes-basques-en-2008

Répartition des dialectes basques en 2008

Répartition des dialectes basques en 2008 par Koldo Zuazo : en vert, dialecte occidental ; en rouge, dialecte central ; en bleu, dialecte navarrais ; en orange, dialecte navarro-labourdin ; en vert clair, dialecte souletin ; en gris, zones hispanophones qui étaient bascophones au XIXe siècle (selon la carte de Louis-Lucien Bonaparte).

Sablier géant du Parc de Tessé. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c73cd-sablier-geant-du-parc-de-tesse

Sablier géant du Parc de Tessé

Le sablier du parc de Tessé au Mans, réinstallé dans la ville à l'été 2009 après avoir servi à célébrer le passage au nouveau millénaire, en 2000, à Paris. Le Musée de Tessé est un hôtel privé du XIXe siècle, ancien palais épiscopal. C'est l'un des deux grands musées du Mans avec le nouveau musée d'archéologie. Ce fut l'un des vingt premiers créés après la révolution française. Aujourd'hui, il est reconnu pour posséder des collections égyptiennes de grande valeur ainsi que des représentations picturales de premier ordre. Ces dernières vont du XVIIe au XIXe siècle.

Sarod indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323250c-sarod-

Sarod indien

Le sarod (ou sarode) est un instrument de musique à cordes pincées apparu au XIXe siècle au nord de l'Inde et utilisé en musique indienne classique. C'est un luth hybride issu du dhrupad rabâb, un instrument indien ancien et du rabâb afghan. Le nom dérive peut-être du persan sarûd (chanter) car nombre de chanteurs s'accompagnaient ainsi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarod.

Sarrussophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/511270ee-sarrussophone

Sarrussophone

Les sarrussophones sont des instruments de musique de la famille des bois. Ils furent inventés durant la deuxième moitié du XIXe siècle par Pierre-Auguste Sarrus et construits par Pierre-Louis Gautrot, un peu après l'invention des saxophones.

Serre du XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/510b15bd-serre-du-xixeme-siecle

Serre du XIXème siècle

La serre du XIXe siècle, château de Pouthet, Eymet (Dordogne).

Silhouettes du cabinet impérial russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/514f211c-silhouettes-du-cabinet-imperial-russe

Silhouettes du cabinet impérial russe

Silhouette de David Roentgen dans le cabinet impérial à Saint-Pétersbourg, par Johann Friedrich Anthing (1753-1805) silhouetteur et historien allemand. Exerçant son art à Saint-Pétersbourg dès 1783, il y dessine les membres de la famille impériale, notamment le Grand Duc Paul Petrovitch (futur Paul Ier) et sa femme Maria Fedorovna. David Roentgen (1743-1807) est un ébéniste allemand, qui a travaillé pour la Cour de France. Il a fourni au roi Louis XVI, le meuble le plus cher jamais commandé. Ce "cabinet du Roi", tout à la fois commode, orgue et pendule, fut dépecé au XIXe siècle et transformé en petits meubles plus facilement négociables.

Tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/514c72fb-tapis-

Tapis

Les tapis sont la plupart du temps en laine (de mouton) et plus rarement en soie. Le coton et le chanvre sont aussi utilisés notamment pour réaliser la chaîne et la trame du tapis (structure du tapis). Les tapis les plus réputés sont ceux que l'on appelle couramment les « tapis d'Orient ». Ils proviennent essentiellement d'Iran (Tapis persans), de Bakhtiari, de Turquie, du Caucase, de Chine, d'Inde et du Pakistan. Cette énumération n'est pas exhaustive puisqu'on en trouve aussi dans les Amériques et qu'on en réalisait aussi autrefois en Europe, avant la révolution industrielle du XIXe siècle.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.