Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Pauvreté | Dix-neuvième siècle | Textes | Photographie | Mères et enfants | Richesse | Honoré Daumier (1808-1879) | Gravure | Peintres français | Réalisme dans l'art | Dessins et plans | Bidonvilles | Peinture | Populations | Géographie | Cartes mondiales | Bien-être | Espérance de vie | Bonheur | Démographie | ...
Histoire russe de la pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/597e7131-histoire-russe-de-la-pierre

Histoire russe de la pierre

Histoire russe de la pierre, Toilstoï, 1888, 147 mots.

Le Joujou du pauvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52770560-le-joujou-du-pauvre

Le Joujou du pauvre

Le Joujou du pauvre, Petits poèmes en prose de Charles Baudelaire (1821-1867). 423 mots.

Le wagon de troisième classe. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ec277-le-wagon-de-troisieme-classe

Le wagon de troisième classe

Le wagon de troisième classe, 1862, par Honoré Daumier (1808-1879). Le Wagon de troisième classe est le titre d'un tableau d'Honoré Daumier, peint en 1864, dans lequel l'artiste dénonce la pauvreté. Il appartient au Musée des beaux-arts du Canada d'Ottawa1 qui l'a acquis 1946. Cette représentation du réel est dérangeante, non pas tant par ce qui est montré, les personnages, les vêtements, ces enfants misérables, que par la force des regards. Les yeux sombres de la femme au panier, au premier plan, fixant le spectateur de l'œuvre, paraissent terriblement accusateurs et traduisent le profond désarroi qui habite ces petites gens, dans leur vie de souffrance et de misère. Avant 1956, les Chemins de fer proposaient trois classes : la deuxième classe, confortable sans le luxe de la première, accueillait les voyageurs de la petite-bourgeoisie (commerçants, fonctionnaires, rentiers etc). La troisième classe a été supprimée, face à l'élévation générale du niveau de vie. Cette disposition en trois classes (et plus) existe toujours dans de nombreux pays du monde. Pour les bateaux, elle demeure plus rare. Cette classe était principalement réservée à l'émigration à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Ordonnances contre la mendicité. Source : http://data.abuledu.org/URI/53502ed0-ordonnances-contre-la-mendicite

Ordonnances contre la mendicité

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Nécessité n'a point de loi."

Pinocchio 08. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a9a6b5-pinocchio-08

Pinocchio 08

Carlo Collodi (1826-1890), Pinocchio chapitre 8. Traduction (als33, juin 2013) de la version anglaise de M-A. Murray, 1892. Source : en.wikisource, "The Story of a Puppet".

Toupie sociologique de Mendras. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cca451-toupie-sociologique-de-mendras

Toupie sociologique de Mendras

La Toupie de Mendras est une représentation d'un paradigme émis par Henri Mendras mettant en jeu une vision cosmographique des groupes sociaux d'une part, et une certaine tendance à la moyennisation de la société, d'autre part. Basée sur une forme de toupie, cette modélisation est basée sur une analogie avec la cosmographie : la toupie représente la société dans son entièreté et est composée de constellations représentant les différents groupes sociaux. La constellation centrale, la plus importante (d'où l'utilisation de la forme de toupie), exerce sur les groupes secondaires, comme la « constellation des élites » ou la « constellation des pauvres », atténuant ainsi certains clivages sociaux et tendant à l'homogénéisation des comportements. À ce titre, La toupie de Mendras est une illustration du concept de moyennisation, mais également d'une certaine souplesse de la stratification sociale : il semble possible de « passer » d'une constellation à l'autre.

Bidonville à Manille. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5b5b-bidonville-a-manille

Bidonville à Manille

Bidonville à Manille. Un bidonville, comme défini par le Programme des Nations unies pour les établissements humains, est la partie défavorisée d'une ville caractérisée par des logements très insalubres, une grande pauvreté et sans aucun droit ou sécurité foncière. D'après les Nations unies, le pourcentage de citadins qui vit dans des bidonvilles est passé de 47 à 37% dans les pays en voie de développement entre 1990 et 2005. Cependant, à cause de l'accroissement de la population mondiale et surtout de la population urbaine, le nombre d'habitant des bidonvilles est en augmentation. Un milliard de personne sur la planète vivaient dans des bidonvilles en 2008 et les prévisions sont de deux milliards pour 2030.

Comptine de la marelle anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/502a1e7b-comptine-de-la-marelle-anglaise

Comptine de la marelle anglaise

Photo du jeu anglais de la marelle de la pie : EARTH (Terre), HEAVEN (Ciel) ; One for sorrow (tristesse), Two for mirth (joie), Three for a wedding (mariage), Four for a birth (naissance), Five for rich (richesse), Six for poor (pauvreté), Seven for a witch (sorcière), I can tell you no more (je ne peux vous en dire plus).

La planète du bonheur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e75d71-la-planete-du-bonheur

La planète du bonheur

Carte mondiale des pays du bonheur, selon les critères du HPI : L'indice de la planète heureuse (Happy Planet Index) est un indicateur économique alternatif au PIB. Créé par un "think tank" britannique, la "New Economics Foundation" (NEF), le HPI prend en compte le bien-être humain et les incidences sur l'environnement. Il classe 178 pays d'après 3 indicateurs : l’empreinte écologique, l’espérance de vie et le degré de bonheur des populations. Ainsi, ce classement donne une image très différente de la richesse et de la pauvreté des nations. C'est un indicateur d'efficience écologique.

Les glaneuses en bonnet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc66f7-les-glaneuses-en-bonnet

Les glaneuses en bonnet

Glaneuses, 1857, de Jean-François Millet (1814-1875). Sur le tableau figurent trois femmes, une vieille et deux jeunes, parmi les plus pauvres de la campagne, puisque contraintes de glaner des épis de blés pour manger, et illustre ainsi la misère de la population rurale en s'inscrivant dans la veine réaliste, sans misérabilisme. Les trois femmes figurent les trois gestes du glanage : se baisser, ramasser, se relever. Le travail de ces femmes est pénible (courbure du dos, maigreur de la récolte), mais leurs vêtements ne sont pas des haillons. Cette pauvreté (et une certaine fracture sociale) est accentuée par l'apparente richesse de la récolte de blé chargée sur les charrettes en arrière plan par le maître et les gens de ferme. Millet représente dans le ciel une nuée d'oiseaux, prêts eux aussi à picorer les grains oubliés, à l'instar des glaneuses.

Soweto. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d537b4-soweto

Soweto

Bidonville à Soweto en Afrique du Sud. Un bidonville, comme défini par le Programme des Nations unies pour les établissements humains, est la partie défavorisée d'une ville caractérisée par des logements très insalubres, une grande pauvreté et sans aucun droit ou sécurité foncière. D'après les Nations unies, le pourcentage de citadins qui vit dans des bidonvilles est passé de 47 à 37% dans les pays en voie de développement entre 1990 et 2005. Cependant, à cause de l'accroissement de la population mondiale et surtout de la population urbaine, le nombre d'habitants des bidonvilles est en augmentation. Un milliard de personnes sur la planète vivaient dans des bidonvilles en 2008 et les prévisions sont de deux milliards pour 2030. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bidonville

Wagon de troisième classe. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ec023-wagon-de-troisieme-classe

Wagon de troisième classe

Wagon de troisième classe, 1864, aquarelle par Honoré Daumier (1808-1879). Dans ce tableau réaliste, Daumier n'a pas choisi de représenter les riches bourgeois voyageant en première classe, mais le petit peuple de la troisième classe, afin de dénoncer la misère qui régnait dans une grande partie de la société française à cette époque. C'est, pour l'artiste, le reflet d'une réalité que certains préféraient occulter. Ce tableau est marqué par des lignes majoritairement horizontales.