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Gravure | Photographie | Peinture | Dessins et plans | Dix-neuvième siècle | Littérature de jeunesse | Contes de fées | Physique | Ornithologie | Don Quichotte | Henry Emy (18..-18..) | Contes indiens (de l'Inde) | Mécanique appliquée | Lion | Chevaliers et chevalerie | Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616) | Géants | Jeunes filles | Histoire | Dessin en noir et blanc | ...
Abbatiale de Conques. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f441fc-abatiale-d-conques

Abbatiale de Conques

Abbatiale Romane du XIIème siècle dans l'Aveyron (12) : tympan polychrome. Le portail occidental de l'abbatiale Sainte-Foy est surmonté d'un tympan décrivant le Jugement dernier. Il représente le Jugement dernier, d'après l'Évangile selon Matthieu. Il comporte 124 personnages, l'ensemble est divisé en trois niveaux. Tout en haut dans les angles on peut voir deux anges sonneurs de cor, au centre trône le Christ en majesté, avec les élus à sa droite, au Paradis, et les damnés à sa gauche, en Enfer. Derrière lui les anges portent la Croix et le fer de lance évoquant la Passion. Au niveau médian le cortège des élus est en marche vers le Christ, on peut reconnaître la Vierge Marie et Saint-Pierre (personnages nimbés), qui sont suivis par les personnages ayant marqué l'histoire de l'abbaye : l'abbé Dadon (son fondateur), Charlemagne (son bienfaiteur). Dessous, Sainte Foy sous la main de Dieu, à côté des menottes des prisonniers qu'elle a libérés. De l'autre côté des anges-chevaliers repoussent les damnés essayant d'échapper à l'Enfer. On peut y voir de mauvais moines, un ivrogne pendu par les pieds. Le troisième niveau est divisé en deux parties. À gauche se trouve le Paradis présidé au centre par Abraham, à sa porte un ange fait entrer les élus. La partie droite est consacrée à l'enfer où préside Satan, et où sont châtiés les péchés capitaux : l'Orgueil, désarçonné d'un cheval, l'Avarice pendue haut et court avec sa bourse, la Médisance dont la langue est arrachée par un démon, l'Adultère représenté par une femme, poitrine dénudée, liée par le cou avec son amant. Sur le linteau on peut lire la phrase suivante : «Pécheurs, si vous ne réformez pas vos mœurs, sachez que vous subirez un jugement redoutable». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_Sainte-Foy_de_Conques

Agame barbu. Source : http://data.abuledu.org/URI/54fe92c5-agame-barbu-

Agame barbu

Agame barbu (Pogona vitticeps) photographié au Jardin Zoologique de Stuttgart, Allemagne. C'est une espèce de sauriens de la famille des Agamidae, qui vit en Australie où elle est endémique. C'est une espèce populaire en terrariophilie. Pogona vitticeps est capable de moduler légèrement la couleur de ses écailles afin d'aider à la régulation de sa température. Comme beaucoup d'Agamidae, Pogona vitticeps possède des pattes puissantes qui lui permettent de décoller complètement son corps du sol lorsqu'il se déplace. Cela lui permet de limiter la chaleur reçue du sol et de réduire sa température par le flux d'air passant alors sous son ventre. Les écailles spécialisées des deux côtés de sa gorge, son cou et sa tête forment de petites épines qui courent le long des côtés du corps et de la queue. Ces épines peuvent être érigées en signe de menace lorsque l'animal gonfle la gorge, ce qui est une posture caractéristique de cet agame. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pogona_vitticeps

Alice assise au thé de fous. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d97f3-alice-assise-au-the-de-fous

Alice assise au thé de fous

Alice assise à la table du thé de fous (chapitre 7), 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : Il y avait une table servie sous un arbre devant la maison, et le Lièvre y prenait le thé avec le Chapelier. Un Loir profondément endormi était assis entre les deux autres qui s’en servaient comme d’un coussin, le coude appuyé sur lui et causant par-dessus sa tête. Bien gênant pour le Loir, pensa Alice. Mais comme il est endormi je suppose que cela lui est égal. Bien que la table fût très-grande, ils étaient tous trois serrés l’un contre l’autre à un des coins. "Il n’y a pas de place ! Il n’y a pas de place !" crièrent-ils en voyant Alice.

Ambre brut. Source : http://data.abuledu.org/URI/505ec9b2-ambre-brut

Ambre brut

Photographie d'un morceau d'ambre brut de Colombie (Staatliches Museum für Naturkunde Karlsruhe, en Allemagne). Surtout connu pour son théorème, Thalès a également réalisé des constatations physiques ; il est même considéré comme le premier « physicien ». On lui doit notamment la première connaissance de l'électricité, grâce à deux expériences. Il remarqua d'abord que l'ambre avait la propriété d'attirer les matériaux légers comme le tissu (le mot « électricité » (ἤλεκτρον, elektron en grec ancien) est par ailleurs donné en référence à l'ambre jaune). Une autre expérience réalisée en Magnésie, vers -600, lui permet de mettre en évidence les propriétés d'aimantation de l'oxyde de fer.

Ancienne pompe aspirante. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fdcb23-ancienne-pompe-aspirante

Ancienne pompe aspirante

Égreville (Seine-et-Marne, France) ; pompe ancienne à bras. Dans la pompe aspirante, c'est la pression atmosphérique qui définitivement fait monter l'eau dans la colonne. L'égalisation de pression est atteinte pour une hauteur de colonne d'eau de 10,33 mètres, comme l'a établi Evangelista Torricelli en 1644 sur base du problème que lui avaient posé les fontainiers de Florence qui s'acharnaient depuis plusieurs années sans résultat à aspirer l'eau de l'Arno à plus de trente-deux pieds de hauteur (10,33 mètres). Pratiquement il était difficile d'élever les eaux de plus de 7 mètres. Les pompes à bras ne permettaient pas de vaincre la pression atmosphérique, ce qui sera réalisé par des pompes plus performantes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pompe_%C3%A0_bras.

Anti-monte-lait en inox. Source : http://data.abuledu.org/URI/5121358e-anti-monte-lait-en-inox

Anti-monte-lait en inox

Anti monte-lait en inox. Un anti-monte-lait (ou simplement : monte-lait) est un dispositif qui empêche le débordement du lait bouillant. L'anti-monte-lait est un disque lourd, qui tombe au fond, là où se forment les bulles. Au lieu de monter directement, les bulles produites sous l'objet se rassemblent en une bulle assez grosse pour le soulever : celui-ci laisse alors s'échapper la bulle puis retombe sur le fond avec bruit. L'objet agite le lait et augmente fortement la taille des bulles, ce qui a deux effets : 1) réduire la formation de la mousse : composée de bulles plus grosses, qui éclatent plus facilement, la mousse est plus instable ; 2) réduire l'effet de la peau. Les bulles plus grosses et l'agitation du liquide gênent la formation de la pellicule imperméable. De plus, le bruit caractéristique avertit le cuisinier de la nécessité de baisser le feu. Si celui-ci n'est pas trop important l'anti-monte-lait suffit à empêcher le débordement alors que sans lui il aurait eu lieu. L'anti-monte-lait a été inventé en 1938 par l'anglais Vincent Hartley et s'est popularisé dans les pays latins.

Atelier de peintre, Claude le Lorrain. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d7bb2-atelier-de-peintre-claude-le-lorrain

Atelier de peintre, Claude le Lorrain

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.57 ; manuel scolaire, édition de 1904. Claude le lorrain peignant un tableau. - La petite tablette qu'il tient de sa main gauche s'appelle la palette ; c'est sur la palette que sont étendues les couleurs, le bleu, le blanc, le noir, le rouge, etc. De sa main droite, il tient le pinceau. Près de lui, un jeune aide est occupé à broyer les couleurs que le peintre étendra ensuite sur la palette.

Avertisseur électromagnétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024e33-avertisseur-electromagnetique

Avertisseur électromagnétique

Représentation vectorielle du fonctionnement d'un klaxon : A l'établissement du courant, celui-ci traverse le rupteur et passe dans l'électroaimant. Ceci crée un champ électromagnétique qui fait se déplacer le plongeur (les deux parties métalliques s'attirent). Le déplacement du plongeur ouvre le cicruit au niveau du rupteur. Celui ci se referme par attraction électrique et entraîne le plongeur avec lui, redémarrant un cycle. I-Première partie du mouvement (juste après la fermeture de l'interrupteur), II-Seconde partie du mouvement, a) Passage du courant, b) Pas de passage du courant, c) Champ électromagnetique, d) Mouvement dû à l'attraction, e) Mouvements secondaires.

Bec-en-sabot du Nil. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed7869-bec-en-sabot-du-nil

Bec-en-sabot du Nil

Couple de Bec-en-sabot du Nil (Balaeniceps rex), 1850, Société zoologique de Londres, par Joseph Wolf (1820–1899). Le Bec-en-sabot est un grand échassier (100 à 120 cm) à longues pattes sombres et au bec énorme. Son envergure peut atteindre 2,30 m. Il pèse de 4 à 7 kg. Le plumage chez les adultes des deux sexes est gris, légèrement bleuté, à l'aspect granité. Les plumes principales sont noires à l'extrémité; les plumes secondaires peuvent présenter des reflets verdâtres. Le dessous de l'oiseau est légèrement plus clair que le dessus. Le Bec-en-sabot présente, sur l'arrière de la tête, une petite touffe de plumes qu'il peut ériger comme une crête. La forme du bec apparaît, en fait, très adaptée à la pêche en eaux troubles, peu profondes et encombrées de végétaux. Au lieu de harponner à la manière des hérons, le bec-en-sabot écope à l'horizontale. Il arrache ainsi du marais une véritable pelletée de matériaux où frétille la proie visée. Le crochet qui arme sa mandibule supérieure lui sert à pincer sa prise, les bords tranchants à la découper. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bec-en-sabot_du_Nil.

Beurre de cacao. Source : http://data.abuledu.org/URI/519804bf-beurre-de-cacao

Beurre de cacao

Beurre de cacao. Le beurre de cacao est une matière grasse végétale issue de la pression des fèves de cacao pour obtenir la poudre de cacao. Sa couleur va du jaune ivoire au brun. Il entre dans la composition du chocolat. Le beurre de cacao est un mélange de graisse semi-solide et semi-liquide : ses acides gras ont des points de fusion différents ; en effet l'acide oléique fond à 13 °C, l'acide stéarique à 70 °C, et l'acide palmitique à 63 °C. Le beurre de cacao, lui, fond à 34-35 °C. Le beurre de cacao est une des graisses les plus stables connues, contenant les antioxydants naturels qui empêchent le rancissement et lui donnent une vie de stockage de deux à cinq ans.

Braconnage de bécasses des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e979-braconnage-de-becasses-des-bois

Braconnage de bécasses des bois

On chassait ou braconnait autrefois la volontiers la bécasse de nuit, quand elle quitte les fourrés pour partir à la recherche de nourriture, notamment en Bretagne, illustration gravée par Yan Dargent pour les Annales forestières, « Chronique forestière », chapitre "Les oiseaux des forêts" ; année 1868, volume 7. Légende d'époque : Ces oiseaux de passage, dont les chasseurs font le plus grand cas, nous arrivent par un temps sombre, le plus souvent la nuit ; ils s'abattent dans les taillis ou les futaies, et préfèrent les bois où il y a beaucoup de terreau humide et de feuilles mortes ; ils s'y trouvent si bien cachés qu'il faut des chiens pour les faire lever. Ils quittent ces fourrés à rentrée de la nuit pour se répandre dans les clairières en suivant les sentiers. C’est là qu'on les prend facilement au lacet. En Bretagne, on leur fait la chasse d'une singulière façon. Deux hommes se réunissent pour s'embusquer dans les pâturages de la forêt, où, sous les bousards (bouses) de vache, les bécasses trouvent une ample moisson de vers. L'un porte une lanterne et une sorte d'épinette fixée à l’extrêmité d'un long manche ; l'autre une de ces sonnettes qu'on attache au cou des vaches. Les oiseaux se laissent ainsi approcher d'assez près pour les enserrer dans les mailles d'un filet. La bécasse est, comme dit Belon, « une moult grosse bête, » si elle se laisse prendre de la manière qu'il raconte et qu'il nomme folâtrerie. « Un homme couvert d'une cape couleur de feuilles sèches, marchant courbé sur deux courtes béquilles, s'approche doucement, s'arrêtant lorsque la bécasse le fixe, continuant d'aller lorsqu'elle recommence à errer jusqu'à ce qu'il la voie s'arrêter la tête basse ; alors frappant doucement de ses deux bâtons l'un contre l'autre, la bécasse s'y amusera et affolera tellement, que le chasseur l'approchera d'assez près pour lui passer un lacet au cou. » La chair de la bécasse, y compris les excréments, est une friandise pour ceux qui l'aiment. C'est le cas de rappeler le proverbe latin : Degustibus... non est disputandum. Source : Belon, Histoire de la nature des oiseaux, p. S7S /Paris, 1355, in-fol. Jean-Édouard Dargent dit Yan' Dargent (1824-1899) est un peintre et illustrateur français dont la majeure partie de l'œuvre picturale est consacrée à sa région natale, la Bretagne.

Carouge à épaulettes rouges. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b9a69f-carouge-a-epaulettes-rouges

Carouge à épaulettes rouges

Carouge à épaulettes (Agelaius phoeniceus). Son nom commun vient de deux taches rouges qui prennent la forme d'épaulettes quand l'oiseau prend une attitude d'intimidation. Le Carouge à épaulettes est un animal très territorial, qui défend son territoire contre d'autres animaux et oiseaux. Il attaque et intimide des oiseaux beaucoup plus grands que lui tel que corbeaux, pies, et même certains rapaces et hérons s'ils entrent dans leur territoire. Les mâles peuvent attaquer l'homme s'il envahit son territoire pendant la nidification. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carouge_%C3%A0_%C3%A9paulettes

Cheval en train de brouter une haie. Source : http://data.abuledu.org/URI/514780b8-cheval-en-train-de-brouter-une-haie

Cheval en train de brouter une haie

Cheval en train de brouter une haie. Les chevaux préfèrent manger de petites quantités de nourriture de façon régulière tout au long de la journée. Cela n'est pas toujours compatible avec la vie dans les écuries, ni avec les plannings des humains, qui favorisent le nourrissage deux fois par jour. Le système digestif du cheval est délicat. Il est incapable de régurgiter sa nourriture, sauf depuis l’œsophage. Aussi, en cas d’excès de nourriture ou d’empoisonnement, vomir n’est pas possible pour lui. En outre, son côlon est particulièrement long et complexe, l'équilibre de la flore intestinale dans le cæcum peut être facilement bouleversé par des changements rapides d’alimentation. Ces facteurs le rendent sujet à des coliques, qui s’avèrent être la première cause de mortalité chevaline80. Ils requièrent une nourriture propre et de grande qualité, fournie à intervalles réguliers, et peuvent tomber malades lorsqu’ils subissent un brusque changement de régime alimentaire. Les chevaux sont également sensibles aux moisissures et aux toxines. Pour cette raison, ils ne doivent jamais être nourris par des matières fermentables contaminées, comme la tonte de gazon.

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Composantes d'un radar monostatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f5e3-composantes-d-un-radar-monostatique

Composantes d'un radar monostatique

Composantes d'un radar monostatique : 1) L'émetteur qui produit l'onde radio. 2) Un guide d'onde qui amène l'onde vers l'antenne sur les radars à hyperfréquences (fréquences supérieures au gigahertz). 3) Le duplexeur, un commutateur électronique, dirige l'onde vers l'antenne lors de l'émission puis le signal de retour depuis l'antenne vers le récepteur lors de la réception quand on utilise un radar monostatique. Il permet donc d'utiliser la même antenne pour les deux fonctions. Il est primordial qu'il soit bien synchronisé, puisque la puissance du signal émis est de l'ordre du mega-watt ce qui est trop important pour le récepteur qui, lui, traite des signaux d'une puissance de l'ordre de quelques nano-watts. Au cas où l'impulsion émise serait dirigée vers le récepteur, celui-ci serait instantanément détruit.

Corset et caricature. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd6ca2-corset-et-caricature

Corset et caricature

Caricature du peintre anglais James Gillray (1757-1815) intitulé : "La mode prime sur le confort, ou Une bonne constitution sacrifiée pour une forme fantastique" (Fashion before Ease;—or,—A good Constitution sacrificed for a Fantastick Form). Métaphore pour l'Angleterre ayant posé son bouclier contre une arbre et sa lance à terre, se retenant au tronc d'un gros chêne, pendant que Thomas Paine, bonnet phrygien sur la tête, tire à deux mains sur les lacets de son corset, un pied appuyé à son postérieur. De sa poche de veste émerge une paire de ciseaux et une inscription "Les Droits de l'homme". Derrière lui, une maisonnette porte l'inscriptio suivante : "Thomas Pain, Staymaker from Thetford. Paris Modes, by express". Publié par H. Humphrey, 2 janvier 1793. Thomas Paine, né le 29 janvier 1737 à Thetford en Grande-Bretagne et mort le 8 juin 1809 à New York, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire devenu américain après avoir émigré à l’âge de 37 ans. Ses écrits, parmi lesquels figure "Rights of Man" (1791), ont également exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793.

Crésus et Solon. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f2b43-cresus-et-solon

Crésus et Solon

Tableau du peintre néerlandais Frans Franken II (1581-1642), représentant la rencontre de Crésus et Solon (le législateur athénien). Selon Hérodote, Solon : Crésus lui montra avec orgueil ses trésors, ses palais, croyant éblouir le philosophe et vantant son bonheur ; mais Solon se contenta de lui dire : « N'appelons personne heureux avant sa mort. » (Hdt, I, 29-34) En effet, Crésus ne jouit pas longtemps de son bonheur : selon la légende, un de ses deux fils, Ardys, fut victime d'un accident de chasse, tué par la javeline du Phrygien Adraste. (Hdt, I, 34-45).

Croquis de panharmonicon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd7d63-croquis-de-panharmonicon

Croquis de panharmonicon

Croquis de Panharmonicon. Le panharmonicon était un instrument de musique mécanique inventé par Johann Nepomuk Maelzel (1772-1838) en 1804 dont il ne subsiste aujourd'hui aucun exemplaire. De très grande taille, il consistait en une sorte de clavier qui reproduisait les sons d'instruments mécaniques spécialement conçus pour lui, par la mise en jeu d'un soufflet et de rouleaux musicaux mécaniques. Les quarante-deux instruments qui composaient le panharmonicon étaient ceux d'un orchestre militaire : flûte, clarinette, trompette, violon, violoncelle, percussions, triangle. Maelzel commanda à Beethoven en 1813 une œuvre orchestrale pour inaugurer cet instrument singulier : ce fut la Victoire de Wellington (ou Bataille de Vitoria).

Cupidon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc9195-cupidon

Cupidon

Éros, le dieu de l'amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque. Son avatar romain, Cupidon, est souvent représenté sous les traits d'un jeune enfant espiègle, joufflu, avec deux petites ailes dans le dos et portant un arc, qui lui sert à décocher des flèches d'amour.

Don Quichotte pour enfants - 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/555bad9c-don-quichotte-pour-enfants-03

Don Quichotte pour enfants - 03

Illustration réalisée par Armand-Louis-Henri Telory, lithographe, pour l'adaptation pour enfants de Don Quichotte parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, scannées par Cyrille Largillier. "L'hôtelier, qui aime bien la plaisanterie, se prête au jeu et organise une cérémonie pour l'armer Chevalier après une nuit de veillée d'armes dans la cour ; il lui recommande de s'adjoindre les services d'un écuyer et d'emporter une bourse ; au mever du jour, il le frappe des deux coups traditionnels sur la nuque et sur l'épaule, tandis que ses assistantes lui remettent l'épée et l'éperon de rigueur. Fier comme Artaban, Don Quichotte regagne son village pour chercher vivres et écuyer. En chemin, il pointe sa lance sur tous ceux qu'il rencontre pour les obliger à réparer leurs torts envers plus faibles qu'eux ou les forcer à reconnaître les mérites de la Dame de son coeur. Mais il se retrouve à terre, lance brisée, et roué de coups par un muletier."

Don Quichotte pour enfants - 10. Source : http://data.abuledu.org/URI/555ce1d0-don-quichotte-pour-enfants-10

Don Quichotte pour enfants - 10

Illustration réalisée par Armand-Louis-Henri Telory, lithographe, pour l'adaptation pour enfants de Don Quichotte parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, scannée par Cyrille Largillier. Un matin, à peine la blanche aurore avait-elle fait place au brillant Phébus, pour qu’il séchât par de brûlants rayons les perles liquides de ses cheveux d’or, que Don Quichotte, secouant la paresse de ses membres, se met sur pied, et appelle son écuyer Sancho qui ronflait encore et se lève avec enthousiasme, le nez chatouillé par des effluves de cuisine de noce. Ce sont les préparatifs du festin du riche paysan Gamache. Sancho est invité à prendre un acompte sur toute cette bonne chair et se montre digne de figurer lui aussi dans ces mémorables aventures en triomphant tour à tour d'un oison et de deux poulets dont il ne laisse que les os. Don Quichotte intervient pour interrompre le mariage et remettre la mariée entre les mains de Basile son amoureux.

Fibule de l'âge du fer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c76182-fibule-de-l-age-du-fer

Fibule de l'âge du fer

Dessin de fibule de l'âge du fer (Halsstatt) recto et verso (système d'attache). Source : "Nordisk familjebok" (1909), vol.10, p.1145-1146. L'enroulement d'un fil de métal (ensuite trempé) lui confère les caractéristiques d'un ressort, qui conserve une forme décorative (double spirale) commune depuis la Préhistoire. Le ressort bilatéral : IL peut être très court, tourné seulement une ou deux fois ou plus long pouvant atteindre une taille de 10 cm. La plupart des ressorts bilatéraux sont faits d'une seule pièce de métal et sont composés d'une seule corde allant d'un bout à l'autre et pouvant passer devant ou derrière le corps de la fibule. Le ressort bilatéral s'enroule autour d'un axe souvent en fer même si le reste du ressort est composé d'alliage de cuivre.

Figurine de baby-foot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c738d8-figurine-de-baby-foot

Figurine de baby-foot

Les lignes de figurines d'un baby-foot sont liées à la table par un pivot glissant. La liaison par pivot glissant s'obtient lorsque tous les points de contact appartiennent à un ou plusieurs cylindres coaxiaux. Les normales de contact rencontrent toutes l’axe de ces cylindres qui devient naturellement l’axe de la liaison. C’est la seule direction caractéristique. Cette liaison se comporte comme deux liaisons linéaires annulaires. Elle dispose de 4 degrés de liaison puisqu'elle lie les deux translations et les deux rotations transversales. Les degrés de liberté sont la translation et la rotation axiale. Si la rotation peut facilement présenter une amplitude infinie (au moins un tour), la translation se limite aux dimensions des pièces. La définition complète de cette liaison doit préciser la position de l'axe. S'agissant d'une droite, elle n'est complète que si on précise deux points lui appartenant, ou un point et une direction. Cette direction est d'ailleurs la seule qui se distingue.

Gandalf. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bab6e9-gandalf

Gandalf

Gandalf est un personnage imaginaire appartenant au légendaire de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien, apparaissant dans Le Hobbit, puis dans Le Seigneur des anneaux. Ce mystérieux vieillard, décrit comme étant un magicien (en fait, un membre des Istari), joue un rôle crucial dans les deux romans : il met en branle les événements du premier et joue un rôle de sage conseiller tout au long du second, par contraste avec son supérieur Saroumane. Gandalf porte de nombreux noms et surnoms. Décrit comme le "Pèlerin Gris" ou le "Cavalier Blanc", il est l'un des principaux antagonistes de Sauron, le Seigneur Ténébreux ; c'est d’ailleurs à cause de ce dernier que Gandalf a été envoyé en Terre du Milieu pour assister ses habitants contre lui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gandalf

Gandalf dans le Seigneur des Anneaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bab91d-gandalf-dans-le-seigneur-des-anneaux

Gandalf dans le Seigneur des Anneaux

Gandalf est un personnage imaginaire appartenant au légendaire de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien, apparaissant dans "Le Hobbit", puis dans "Le Seigneur des anneaux". Ce mystérieux vieillard, décrit comme étant un magicien (en fait, un membre des Istari), joue un rôle crucial dans les deux romans : il met en branle les événements du premier et joue un rôle de sage conseiller tout au long du second, par contraste avec son supérieur Saroumane. Gandalf porte de nombreux noms et surnoms. Décrit comme le "Pèlerin Gris" ou le "Cavalier Blanc", il est l'un des principaux antagonistes de Sauron, le Seigneur Ténébreux ; c'est d’ailleurs à cause de ce dernier que Gandalf a été envoyé en Terre du Milieu pour assister ses habitants contre lui. Image versée par l'Artt&Design School, grâce à une collaboration entre la Llotja de Barcelone et Amical Viquipèdia. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gandalf

Garibaldi. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1db00-garibaldi

Garibaldi

Auguste Estienne, portrait de Giuseppe Garibaldi (1807-1882), 1856. in Napoléon III et l'Italie. Garibaldi est un personnage fondamental du Risorgimento italien, pour avoir personnellement conduit et combattu dans un grand nombre de campagnes militaires qui ont permis la constitution de l’Italie unifiée. Il a essayé, le plus souvent, d’agir sous l’investiture d’un pouvoir légitime, ce qui ne fait pas de lui à proprement parler un révolutionnaire : il est nommé général par le gouvernement provisoire de Milan en 1848, général de la République romaine de 1849 par le ministre de la Guerre, et c’est au nom et avec l’accord de Victor-Emmanuel II qu’il intervient lors de l’expédition des Mille. Il est surnommé le « Héros des Deux Mondes » en raison des entreprises militaires qu'il a réalisées aussi bien en Amérique du Sud qu'en Europe, ce qui lui a valu une notoriété considérable aussi bien en Italie qu'à l'étranger. Celle-ci est due à la couverture médiatique internationale exceptionnelle dont il a bénéficié pour l'époque, et qui a relaté, parfois avec romantisme, son épopée. Les plus grands intellectuels, notamment français, Victor Hugo, Alexandre Dumas, George Sand lui ont montré leur admiration. Le Royaume-Uni et les États-Unis lui ont été d'une grande aide, lui proposant, dans les circonstances difficiles, leur soutien financier et militaire.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Janvier dans Les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c3c83-janvier-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Janvier dans Les Très Riches Heures du Duc de Berry

Janvier dans "Les Très Riches Heures du duc de Berry", par les Frères de Limbourg (1385-1416) : Le duc de Berry, assis en bas à droite, dos au feu, est habillé de bleu et coiffé d'un bonnet de fourrure. Il invite ses gens et ses proches à se présenter à lui. Derrière lui figure l'inscription : Approche Approche. Plusieurs familiers du duc s'approchent de lui pendant que des serviteurs s'affairent : les échansons servent à boire, deux écuyers tranchants au centre sont vus de dos ; au bout de la table officie un panetier. Au-dessus de la cheminée figurent les armes du duc, "d'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bordure engrêlée de gueules", avec de petits ours et des cygnes blessés. Plusieurs animaux de compagnie sont représentés : petits chiens sur la table, lévrier au sol. La tapisserie du fond de la salle semble représenter des épisodes de la guerre de Troie.

Jeu de l'oie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eafb24-jeu-de-l-oie

Jeu de l'oie

Le jeu de l'oie est un jeu de société de parcours où l'on déplace des pions en fonction des résultats de deux dés. Traditionnellement, le jeu de l'oie comprend 63 cases disposées en spirale enroulée vers l'intérieur et comportant un certain nombre de pièges. Le but est d'arriver le premier à la dernière case. Le jeu de l'oie est un jeu de hasard pur. La règle de base est intangible. Le jeu se joue avec 2 dés. Un premier coup décide de celui qui va commencer. L'oie signale les cases fastes disposées de 9 en 9. Nul ne peut s'arrêter sur ces cases bénéfiques et on double alors le jet. Qui fait 9 au premier jet, ira au 26 s'il l'a fait par 6 et 3 ou au 53 s'il l'a fait par 4 et 5. Qui tombe à 6, où il y a un pont, ira à 12. Qui tombe à 19, où il y a un hôtel, se repose quand chacun joue 2 fois. Qui tombe à 31, où il y a un puits attend qu'on le relève. Qui tombe à 42, où il y a un labyrinthe retourne à 30. Qui tombe à 52, où il y a une prison attend qu'on le relève. Qui tombe à 58, où il y a la mort, recommence. Le premier arrivé à 63, dans le jardin de l'oie, gagne la partie. A condition de tomber juste, sinon il retourne en arrière, sur autant de cases qu'il lui reste à parcourir.

Jeu malgache de Fanorona, les prises. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fafacf-jeu-malgache-de-fanorona-les-prises

Jeu malgache de Fanorona, les prises

Exemples de prises au Fanorona : 1 : prise par percussion. 2 : aspiration. 3 : Bleu doit effectuer un choix entre les 2 prises. On y joue avec un tableau (lakapanorona, prononcez lakpanourne) de 5 rangs et 9 colonnes et des pierres (vato, prononcez vat ) de 2 couleurs (22 de chaque) avec un trou central. Le but du jeu est de capturer toutes les pierres adverses. On capture une pierre ennemie en s'en approchant (percussion : situation 1 ; voir schéma) ou en s'en éloignant (aspiration : situation 2). Il faut donc prévoir une case libre devant ou derrière la pierre que l'on veut faire avancer. Le joueur capture alors toutes les pierres adverses situées sur l'axe sur lequel il a fait avancer ou reculer sa pierre. Une fois les pierres ennemies capturées, le joueur ayant le trait peut capturer d'autres séries de pierres au même tour si d'autres possibilités de capture se présentent à lui, à condition que ses captures se fassent 1) dans un sens différent à celui joué précédemment, 2) par un point par lequel le joueur n'est pas passé ce tour ci. Une fois ses captures effectuées, le joueur laisse le trait à son adversaire. Contrairement aux dames, les joueurs ne sont pas obligés de capturer si l'occasion se présente, et peuvent très bien jouer un coup stratégique sans capture directe. Cas particulier : il arrive que le joueur ait pour un même mouvement plusieurs pierres adverses capturables, celles en avant et celles en arrière (situation 3). Il doit alors choisir entre les deux séries (on prend généralement la série la plus nombreuse). Et pour finir, chaque joueur est obligé de jouer, même si le tour suivant le mène forcément à un coup perdant. A Madagascar, ce jeu est de loin le plus populaire et on y joue dans toutes les régions. La plupart des joueurs n'utilisent pas de tableau à proprement parler mais tracent au sol des lignes à l'aide d'une pierre marquante (craie par exemple) puis utilisent en guise de pions des pierres de deux couleurs différentes ramassées aux alentours. Cela permet de pratiquer le jeu en tout lieu : en brousse, en pleine rue ou dans les stations de taxi-brousse.

Kangourou roux australien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e25cbc-kangourou-roux-australien

Kangourou roux australien

Le Kangourou roux (Macropus rufus) est le plus grand des kangourous. Animal emblématique de l'Australie, il apparaît sur les armoiries du pays. Il a deux bras antérieurs réduits avec de petites griffes et deux pattes arrière puissantes lui permettant des bonds de 12 m de long. La queue très puissante sert de balancier pour la course ou d'appui pour le repos. C'est un animal vivant en petits groupes dirigés par un vieux mâle, passant les heures chaudes de la journée à l'ombre à dormir, à se reposer, à essayer de se rafraîchir en haletant, transpirant, se léchant pour faire évaporer sa salive, s'aérant en agitant les bras. Il mène une vie active du coucher du soleil au lever du jour. Les kangourous se déplacent par petits bonds, à une vitesse de croisière d'environ 30 km/h, et peuvent alors parcourir de longues distances. En cas de danger, ils peuvent passer à la vitesse supérieure et courir en zigzags très rapides, jusqu'à 60 km/h en moyenne avec des pointes à 80 - 90 km/h sur de très courtes distances. Parfois, ils peuvent faire des sauts aériens, jusqu'à 3,50 mètres de haut et 13 mètres en longueur, grâce à leurs ressorts et leurs longues pattes fines. Avec leurs grande rapidité et leurs agilité à bondir, ils n'ont pas vraiment de prédateurs (hormis l'homme qui le chasse avec des armes à feu).

L'appareil de Fizeau-Mascart. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a79595-l-appareil-de-fizeau-mascart

L'appareil de Fizeau-Mascart

Dessin de l'appareil ayant servi à l'expérience de Fizeau-Mascart en 1851. Fizeau avait réalisé son expérience en 1849, entre Montmartre et le mont Valérien à Suresnes, ces deux points étant distants d'exactement 8 633 m. La lumière de la lampe passe dans la première lunette et se réfléchit sur un miroir semi-transparent incliné à 45°. Elle passe alors à travers la roue dentée, par une des échancrures, puis part dans l'axe de la seconde lunette située à 8 633 m de là, sur la butte Montmartre. Cette 2e lunette est munie d’un miroir lui permettant de renvoyer la lumière de là où elle vient, à Suresnes. La lumière est alors récupérée par la première lunette, passe à nouveau à travers la roue dentée, par une des échancrures, traverse le miroir semi-transparent, puis est observée par Fizeau au moyen d'une lunette. En 1850, Fizeau et Foucault reprennent l'expérience dans l'eau. L'année suivante, Foucault mesure la célérité c' de la lumière dans de l'eau en translation à la vitesse u et trouve c' = frac{c}{n} + u (1 - frac{1}{n^{2}}) où n est l'indice de réfraction de l'eau. La relativité restreinte donnera en 1905 une explication complète de ce résultat.

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f15eb-la-fosse-des-ours-au-jardin-des-plantes-a-paris

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.291 : manuel scolaire, édition de 1904. LA FOSSE DES OURS AU JARDIN DES PLANTES. - L'ours se trouve dans toutes les parties du monde. Il recherche les montagnes et les forêts solitaires, où il trouve un abri contre les chasseurs. - Il y en a encore dans les Alpes et les Pyrénées. L'ours marche lourdement, mais nage et grimpe aux arbres avec agilité. Il est assez intelligent, et, comme il peut facilement se tenir sur ses pieds de derrière, les bateleurs lui apprennent à danser et à exécuter divers tours.

La maison de Jeanne d'Arc à Domrémy. Source : http://data.abuledu.org/URI/524eb063-la-maison-de-jeanne-d-arc-a-domremy

La maison de Jeanne d'Arc à Domrémy

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : LA MAISON DE JEANNE DARC. - C'est à Domrémy, en 1409, que naquit Jeanne Darc. On montre encore aujourd'hui cette maison, qu'un Anglais voulut acheter en 1814 à un prix élevé, mais que le propriétaire ne voulut pas lui vendre. Près de la maison, en l'honneur de Jeanne Darc, on a fondé une école gratuite pour les jeunes filles du pays.

La visée au billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d94f9f-la-visee-au-billard

La visée au billard

Billard, bille de choc et bille de visée : Considérons la bille blanche comme bille de choc. Le schéma représente ce que l’on peut voir en plaçant l'œil (directeur) sur l’axe de visée, qui passe par le centre de gravité de la blanche selon un vecteur parallèle à la table. La quantité de bille exprime intrinséquement le rapport du transfert d’énergie lors du choc entre les deux billes. 1) Viser « pleine bille » revient à aligner l’axe sur les 2 centres de gravité. Le transfert de masse lors du choc est entier, la bille de visée héritant de toute la force ; 2) Viser « 3/4 de bille » revient à aligner le centre de la bille de choc avec un point situé à la moitié du rayon de la bille de visée. Elle hérite des 3/4 de la force, 1/4 restant à la blanche ; 3) Viser « 1/2 de bille » aligne l’axe de visée sur la tangente de la bille visée. Le transfert est équivalent ; Viser « 1/4 de bille » revient à aligner le centre de la bille de choc avec un point situé à l’extérieur de la bille de visée, à distance d’un demi rayon. Le rapport est cette fois 1/4 pour la visée, 3/4 pour la bille de choc ; 4) Viser « Finesse » aligne le centre de la bille de choc avec un point à l’extérieur de la bille de visée à distance d’un rayon (en pratique un peu moins afin de garantir le contact). Seule une petite quantité de force est transmise à la bille de visée. Conséquence évidente : Appliquons une force à la bille de choc, lui permettant théoriquement de parcourir un mètre. Pour autant qu'on ne mette aucun effet, en visant pleine bille, la bille de choc s’arrête, et la bille de visée parcourt un mètre. En visant demi bille, les deux billes devraient parcourir chacune 50 centimètres, etc.

Lapin aux aguets. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae7d0-lapin-aux-aguets

Lapin aux aguets

Lapin aux aguets (Oryctolagus cuniculus). On considère généralement que chacun des deux yeux du lapin a un champ de vision de 192°, voire plus. Au total, le champ de vision du lapin est de 360°, et la zone de vision binoculaire est de 24° devant lui et 30 ° au-dessus de la tête. En cas d'alerte, le lapin peut accroître cette vision binoculaire à 30° vers l'avant et 8 à 10° vers l'arrière en modifiant la position de ses yeux dans leurs orbites. C'est en effet uniquement dans la zone de vision binoculaire que l'animal peut évaluer la distance à laquelle se trouvent les éléments. Les oreilles seules peuvent obstruer la vision des lapins. Par ailleurs, il existe un angle mort une dizaine de cm devant le nez. Dans cette zone ce sont les vibrisses de l'animal qui permettent de percevoir les éléments placés devant lui. Les cellules de la rétine sensibles à la lumière sont peu denses chez le lapin, qui perçoit de ce fait une image floue. Il est donc plus sensible au mouvement des choses qu'à leur forme ; il peut percevoir les choses avec une très faible quantité de lumière, il peut donc voir dans l'obscurité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oryctolagus_cuniculus

Le clown Pantalone en 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c15cd5-le-clown-pantalone-en-1550

Le clown Pantalone en 1550

Le clown Pantalone en 1550, personnage type de la commedia dell'arte portant une culotte longue. L’habit du personnage est à l'origine un collant rouge avec une volumineuse braguette, pour attirer l’attention sur une virilité dont chacun sait qu’elle appartient au passé, un gilet rouge étroit à grands boutons qui, lorsque Venise eut perdu Négrepont, fut changé en un habit noir, et par-dessus, une simarre. Il porte un masque brun avec un long nez crochu et un couvre-chef sans bords. Pantalon représente le vieillard avare, crédule, libertin, méticuleux. Pantalon est père, époux, veuf, ou encore vieux garçon songeant toujours à plaire. Père, il a deux filles difficiles à marier : Isabelle et Rosaure, ou Camille et Smeraldine, secondées dans leur désobéissance par des soubrettes fines et hardies. Fils de riches marchands, il dispose d'une fortune considérable. Pourtant, il ne l'utilise pas et préfère profiter de la jouissance que cet argent lui procure, à l'instar d'Harpagon. Il n'a qu'un seul ami fidèle : le Docteur, un autre personnage de la Commedia dell'arte. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860.

Le conte des crapauds et des diamants - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/53308cbd-le-conte-des-crapauds-et-des-diamants-1

Le conte des crapauds et des diamants - 1

Le conte des crapauds et des diamants, illustration de 1870 : "Il fallait, entre autres choses, que cette pauvre enfant allât, deux fois le jour, puiser de l'eau à une grande demi lieue du logis, et qu'elle rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui lui pria de lui donner à boire. - Oui, ma bonne mère, dit cette belle fille. Et, rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine et la lui présenta, soutenant toujours la cruche, afin qu'elle bût plus aisément." Charles Perrault, Les fées.

Le conte des crapauds et des diamants - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/53308e69-le-conte-des-crapauds-et-des-diamants-2

Le conte des crapauds et des diamants - 2

Le conte des crapauds et des diamants, illustration de 1870 : Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. "Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps" ; et, en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux roses, deux perles et deux gros diamants. "Que vois-je là !" dit sa mère toute étonnée. Charles Perrault, Les fées.

Le conte des crapauds et des diamants - 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330901b-le-conte-des-crapauds-et-des-diamants-4

Le conte des crapauds et des diamants - 4

Le conte des crapauds et des diamants, illustration de 1870 : D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria : - Eh bien ! ma fille ! - Eh bien ! ma mère ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères et deux crapauds. Charles Perrault, Les fées.

Le coutelier. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f581fd-le-coutelier

Le coutelier

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un coutelier au travail dans son atelier. Deux clients armés lui rendent visite.

Le géant Florimond-Long-Menton. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1775-le-geant-florimond-long-menton

Le géant Florimond-Long-Menton

Première sortie officielle du géant local "Florimond Long Menton". Le visage est typique (conforme à la tradition) et reconnaissable. Comme son nom l'indique, il a un menton en galoche. Son visage, vu de profil, fait penser à un croissant de lune dont l'extrémité inférieure est justement le menton et la pointe supérieure est dessinée par la visière de sa casquette de paysan ou de jardinier picard de l'Entre-deux-guerres. Une épaisse moustache lui couvre la bouche et il porte une cravate en ruban nouée au col de sa "liquette" (chemise). La chaînette de sa montre-gousset dessine un arc de cercle clair entre l'un des derniers gros boutons et une poche de son gilet noir à manches. Le personnage lui-même naquit de l'imagination et sous la plume du directeur du journal local « Le Petit Doullennais » et auteur picardisant, Charles Dessaint (1875-1941), qui publia des textes, régulièrement de 1925 à 1935.

Le géant Suttung et les nains. Source : http://data.abuledu.org/URI/51993e3c-le-geant-suttung-et-les-nains

Le géant Suttung et les nains

Le géant Suttung et les nains, par Louis Huard (1813-1874). Source : "Les héros d'Asgard, Contes de la mythologie scnadinave" par A & E Keary. MacMillan & Co, Londres. Suttungr est le fils de Gilling qui, bien qu'étant une créature humanoïde personnifiant les forces de la nature, fut tué au moyen de l'hydromel poétique ainsi que sa femme par les nains Fjalar et Galar, deux frères qui apparaissent dans les récits de Skáldskaparmál. Suttungr était à la recherche de ceux qui avaient tué son père Gilling ainsi que sa mère et menaça les nains. Ces derniers lui proposèrent d'épargner leur vie et de lui offrir en échange l'hydromel magique. Suttungr et sa fille Gunnlöð prirent le breuvage et le cachèrent au sein d'une montagne.

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Le lapin timide 22. Source : http://data.abuledu.org/URI/5231ee48-le-lapin-22

Le lapin timide 22

Le petit lapin timide et pas malin, 22. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : « Alors, lui dit le Lion, nous allons tous les deux revenir à l'endroit de l'explosion voir ce qui se passe.» Il mit le Lapin sur son dos et ils filèrent comme le vent. Les autres animaux les attendaient au pied de la colline.

Le livre-coeur italien de 1886 - 09. Source : http://data.abuledu.org/URI/53680e57-le-livre-coeur-italien-de-1886-09

Le livre-coeur italien de 1886 - 09

Illustration du "Livre-coeur" d'Edmondo de Amicis : Vendredi 25 Novembre, "La petite vedette lombarde". Edmondo De Amicis a écrit un roman sur l'enfance et l'amitié, qui met en exergue le rôle de l'école. Le choix de l'année scolaire 1881-1882 lui permet d'évoquer la création récente de l'Italie, par exemple en citant la mort de Garibaldi le 2 juin 1882. Le choix de ce contexte permet de faire de l'Italie réunifiée un personnage à part entière. Les différentes guerres d'indépendance sont aussi évoquées à travers les "récits du mois". Un rapprochement peut être fait avec "Le Tour de la France par deux enfants" par G. Bruno, paru en 1877, mais moins nationaliste, car le patriotisme d'Edmondo De Amicis n'a pas pour origine une défaite italienne et une amputation du territoire. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Livre-C%C5%93ur

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c570e-le-mois-d-aout-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Au premier plan, figure une scène de fauconnerie : le cortège à cheval part pour la chasse, précédé d'un fauconnier. Celui-ci tient dans la main droite le long bâton qui lui permettra de battre arbres et buissons pour faire s'envoler le gibier. Il porte deux oiseaux au poing et, à la ceinture, un leurre en forme d'oiseau que l'on garnissait de viande pour inciter les faucons à revenir. Le cortège est accompagné de chiens destinés à lever le gibier ou à rapporter celui qui aura été abattu. Sur leur cheval, trois personnages portent un oiseau, sans doute un épervier ou un faucon émerillon. Au second plan sont représentés les travaux agricoles du mois d'août. Un paysan fauche le champ, un deuxième réunit les épis en gerbes alors qu'un troisième les charge sur une charrette tirée par deux chevaux. À proximité, d'autres personnages se baignent dans une rivière — peut-être la Juine — ou se sèchent au soleil. À l'arrière-plan se dresse le château d'Étampes, que le duc de Berry avait acquis en 1400, à la mort de Louis d'Évreux, comte d'Étampes. Derrière les remparts, on distingue le donjon quadrangulaire et la tour Guinette, qui existe toujours.

Le petit lapin timide et pas malin, 22. Source : http://data.abuledu.org/URI/52782b20-le-petit-lapin-timide-et-pas-malin-22

Le petit lapin timide et pas malin, 22

Le petit lapin timide et pas malin, 22. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : « Alors, lui dit le Lion, nous allons tous les deux revenir à l'endroit de l'explosion voir ce qui se passe.» Il mit le Lapin sur son dos et ils filèrent comme le vent. Les autres animaux les attendaient au pied de la colline.

Les deux corbeaux d'Odin. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a82ad-les-deux-corbeaux-d-odin

Les deux corbeaux d'Odin

Les deux corbeaux Hugin et Munin perchés sur les épaules d'Odin (détail) : Dans la mythologie nordique, les corbeaux Hugin et Munin sont assis sur les épaules du dieu Odin et lui rapportent tout ce qu’ils voient et entendent. Hugin représente la réflexion (au sens pensée et miroir), tandis que Munin représente la mémoire. Odin les envoie voler autour du monde chaque jour afin de pouvoir savoir tout ce qui s’y passe.