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Nuage de mots clés

Photographie | Peinture | Richesse | Gravure | Cornes d'abondance | Dessins et plans | Jeux de pions | Moyen âge | Parasols | Lauriers | Armoiries | Biologie animale | Pauvreté | Textes | Riches | Blason (héraldique) | Antiquités grecques | Métaphore | Animaux -- Dans l'art | Condor des Andes | ...
Crésus. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f2ee8-cresus

Crésus

Médaillon de Crésus, roi de Lydie, ayant régné d'environ 561 à environ 547 av. J.-C.. Célèbre par ses richesses, il partagea son règne entre les plaisirs, les conquêtes et les arts. Illustration de Guillaume Rouille (1518?-1589), "Promptuarii Iconum Insigniorum", 1553. Inscription : CROESUS REX LID (Crésus, roi 59). Son nom est resté dans le langage courant avec l'expression « riche comme Crésus ».

Crésus et Solon. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f2b43-cresus-et-solon

Crésus et Solon

Tableau du peintre néerlandais Frans Franken II (1581-1642), représentant la rencontre de Crésus et Solon (le législateur athénien). Selon Hérodote, Solon : Crésus lui montra avec orgueil ses trésors, ses palais, croyant éblouir le philosophe et vantant son bonheur ; mais Solon se contenta de lui dire : « N'appelons personne heureux avant sa mort. » (Hdt, I, 29-34) En effet, Crésus ne jouit pas longtemps de son bonheur : selon la légende, un de ses deux fils, Ardys, fut victime d'un accident de chasse, tué par la javeline du Phrygien Adraste. (Hdt, I, 34-45).

Gros cochon, le Père Peinard. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ed8ad-gros-cochon-le-pere-peinard

Gros cochon, le Père Peinard

"À Rothschild, le Roi des Grinches", caricature anarchiste extraite du "Père Peinard" et citée dans "Le Péril anarchiste" (Félix Dubois). Légende : « Quel gros cochon ! Il est gras de notre maigreur. » Un cochon dans une poussette fumant la pipe et abrité du soleil par un serviteur tenant un parasol ; il est tiré par deux hommes pieds-nus.

Histoire russe de la pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/597e7131-histoire-russe-de-la-pierre

Histoire russe de la pierre

Histoire russe de la pierre, Toilstoï, 1888, 147 mots.

Le Joujou du pauvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52770560-le-joujou-du-pauvre

Le Joujou du pauvre

Le Joujou du pauvre, Petits poèmes en prose de Charles Baudelaire (1821-1867). 423 mots.

Apple II au musée Bolo de Lausanne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5305b6ae-apple-ii-au-musee-bolo-de-lausanne

Apple II au musée Bolo de Lausanne

Apple II (1977-1988) au musée Bolo de Lausanne, Processeur MOS Technology 6502 : L'Apple II est l'un des premiers ordinateurs personnels au monde fabriqué à grande échelle. Conçu par Steve Wozniak, commercialisé le 10 juin 1977 par Apple, il commence sa carrière auprès des particuliers passionnés, mais la sortie du premier tableur, VisiCalc en 1979 permit son entrée dans le monde professionnel et une augmentation très importante de ses ventes, faisant la richesse subite de la société Apple à cette époque.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Armoiries de la Colombie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379b48c-armoiries-de-la-colombie

Armoiries de la Colombie

Armoiries de la Colombie. Le Condor des Andes, en plus d'être l'emblème national, symbolise la liberté ; il est représenté de face, avec les ailes déployées et regardant vers la droite ; une couronne de lauriers pend depuis son bec. Sous le Condor, on peut voir, sur une ceinture d'or, la devise officielle du pays : "Libertad y Orden" = Liberté et ordre. Dans le tiers supérieur du blason, sur un fond d'azur, on peut voir une grenade d'or ouverte, qui fait référence à la Nouvelle-Grenade, nom que le pays a porté au XIXe siècle. Sur les côtés se trouvent deux cornes d'abondance : celle de gauche est remplie de pièces de monnaie d'or et d'argent et celle de droite de fruits tropicaux. Ces cornes symbolisent la richesse et l'abondance du sol du pays. Dans le tiers central, sur un fond de platine, une barretina, reposant sur un bâton d'or, qui rappelle l'esprit de la république mais aussi un symbole de liberté. Dans le tiers inférieur, sur la mer, deux navires avec les voiles déployées : un pour l'océan Pacifique, l'autre pour l'océan Atlantique, car la Colombie est le seul État sud-américain à être bordé par ces deux océans. Les voiles déployées représentent le commerce mondial de la Colombie. Le blason est en fait daté à cet égard, le Panamá ayant depuis lors, en 1903, fait sécession, privant la Colombie de l'isthme du même nom. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_la_Colombie

Bottes de radis avec leurs fannes vertes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071dd2f-bottes-de-radis-avec-leurs-fannes-vertes

Bottes de radis avec leurs fannes vertes

Bottes de radis. Le radis est un légume-racine riche en minéraux et en oligo-éléments. Il aide à la reminéralisation de l'organisme, très efficacement. Il est également riche en soufre, qui lui donne sa saveur piquante et qui, surtout, stimule l'appétit et la digestion. Le tout avec un apport calorique des plus bas, seulement 15 kcal/100 g. Le radis contient, pour 100 g : 243 mg de potassium ; 23 mg de vitamine C, soit 30 % des apports journaliers recommandés, quand il est consommé cru. Son action est renforcée par la présence de pigments rouges, riches en proanthocyanidines, qui protègent les petits vaisseaux sanguins ; 20 mg de calcium ; 1,5 g de fibres. Sa richesse en cellulose le rend particulièrement efficace sur le fonctionnement du transit intestinal. Ses fanes, dont on peut préparer un potage, sont une excellente source de provitamine A, antioxydante, ainsi que de vitamine C et de fer.

Buste d'Épicure. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bd0177-buste-d-epicure

Buste d'Épicure

Buste d'Épicure, fondateur de l'épicurisme, copie romaine d'un original hellénistique. Épicure (en grec Ἐπίκουρος) est un philosophe grec, né fin -342 ou début -341 et mort en -270. Il est le fondateur, en -306, de l'épicurisme, l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité. En physique, il soutient que tout ce qui est se compose d'atomes indivisibles. Les atomes se meuvent aléatoirement dans le vide et peuvent se combiner pour former des agrégats de matière. L'âme en particulier serait un de ces agrégats d'atomes, et non une entité spirituelle, notamment d'après son disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme. La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple-remède, ou "quadruple-poison" : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi : on ne doit pas craindre les dieux ; on ne doit pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Épicure classait les besoins et aspirations en quatre catégories : Besoins naturels indispensables à la vie (boire, manger, dormir), au bien-être (maison, hygiène, diététique, affection), et au bonheur (philosophie, amitié, sagesse) ; Aspirations naturelles dont on peut à la rigueur se passer (le sexe, l'amour, jeux, arts, sciences, etc.) ; Aspirations de création humaine et donc artificielles (richesse, gloire, etc.) ; Aspirations mystiques et non réalisables (désirs d'immortalité, etc.).

Chancelier sous des parasols au dix-septième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/539a1888-chancelier-sous-des-parasols-au-dix-septieme-siecle

Chancelier sous des parasols au dix-septième siècle

Portrait équestre de Pierre Séguier, chancelier de France (1655-1661), par Charles Le Brun (1619–1690) et autoportrait comme écuyer. Musée du Louvre, Sully, 2e étage, Salle 31 : Philippe de Champaigne. Le chancelier sur un cheval, est placé au centre de la composition et est entouré de six écuyers et pages à pied, habillés dans des tons bleu. Le fond est composé d'un ciel sombre. Le chapeau à bordure ronde que porte Séguier est le mortier traditionnel des chanceliers de France. Sa présence est un marqueur de son statut. Le cordon de l'Ordre du Saint-Esprit est peut-être une distinction à laquelle il attachait une importance particulière. La richesse des parures et broderies couleur or sont en lien avec les honneurs faits au cavalier. Les deux parasols sont signes de protection. Ce symbole réfère à la personnalité du chancelier, protecteur des arts. Le Brun s'est représenté sous les traits de l'écuyer qui tient le parasol. Ceci est une marque d'allégeance pour la protection de laquelle il a profité. Le regard qu'il jette vers la gauche du tableau réfère à son passé. En 1642, il part pour Rome avec une pension annuelle de 200 écus données par Séguier, auquel il doit de précieuses lettres de créance. Et de retour en France, en 1646, il obtient une place vacante de valet de chambre du roi, qu'il achète ou obtient de Séguier. Séguier est aussi devenu protecteur de l'Académie après la mort de Mazarin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Chancelier_Seguier

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Comptine de la marelle anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/502a1e7b-comptine-de-la-marelle-anglaise

Comptine de la marelle anglaise

Photo du jeu anglais de la marelle de la pie : EARTH (Terre), HEAVEN (Ciel) ; One for sorrow (tristesse), Two for mirth (joie), Three for a wedding (mariage), Four for a birth (naissance), Five for rich (richesse), Six for poor (pauvreté), Seven for a witch (sorcière), I can tell you no more (je ne peux vous en dire plus).

Danse du Kumpo Diola en Casamance. Source : http://data.abuledu.org/URI/5488499c-danse-du-kumpo-diola-en-casamance

Danse du Kumpo Diola en Casamance

Le Kumpo, le Samay et le Niasse sont trois figures traditionnelles dans la mythologie des Diolas en Casamance (Sénégal) et en Gambie. Plusieurs fois par an, pendant les Journées culturelles, une fête traditionnelle dans le village est organisée. Le Samay invite les gens du village pour participer aux activités. Le Kumpo est habillé avec des feuilles de palme et porte un bâton au bout de sa tête. Quand la danse commence, une jeune fille met un drapeau au bâton. C’est l’indication de la richesse et la puissance de la nature en Casamance. Il danse pendant des heures avec le bâton et le drapeau sur sa tête. Il parle une langue secrète et communique avec les spectateurs. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kumpo.

Djembe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f03f5f-djembe

Djembe

Le djembé est un instrument de percussion africain composé d'un fût de bois en forme de calice sur lequel est montée une peau de chèvre ou d'antilope tendue à l'aide d'un système de tension (originellement des chevilles en bois ou des cordes en peaux, maintenant le plus souvent des cordes synthétiques et des anneaux en fer à béton), que l'on joue à mains nues et dont le spectre sonore très large génère une grande richesse de timbre. La forme évasée du fût viendrait de celle du mortier à piler le grain.

Faisan et corne d'abondance. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fab9e7-faisan-et-corne-d-abondance

Faisan et corne d'abondance

Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890 : Faisan et corne d'abondance. Le paon et le faisan sont un des motifs utilisés dans l'Art nouveau à l'instar d'Aubrey Beardsley. Dans les années soixante, ce matériel sera réutilisé par les graphistes de la mouvance psychédélique. La corne d'abondance (cornu copiae en latin) est un objet mythologique en forme de coquille de triton utilisé par Ploutos, le dieu grec de la richesse et de l'abondance. Métaphoriquement, la corne d'abondance est synonyme de source inépuisable de bienfaits.

Hadès et sa corne d'abondance. Source : http://data.abuledu.org/URI/573d2316-hades-et-sa-corne-d-abondance

Hadès et sa corne d'abondance

Hadès (à droite) tenant une corne d'abondance et Perséphone (à gauche). Détail d'une amphore attique à figures rouges, v. 470 av. J.-C. Provenance : Italie. La corne d'abondance (cornu copiae en latin) est un objet mythologique en forme de corne de ruminant ou de coquille de triton utilisé par Ploutos, le dieu grec de la richesse et de l'abondance. C'est un attribut des personnifications de certains dieux comme Hadès. Métaphoriquement, la corne d'abondance est synonyme de source inépuisable de bienfaits. Elle est ainsi représentée le plus souvent regorgeant de fruits, mais aussi de lait, de miel et d'autres aliments doux et sucrés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Corne_d'abondance

Jetons médiévaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fb0185-jetons-medievaux

Jetons médiévaux

Jetons médiévaux pour jeux de plateau, X° siècle, recueillis dans le castrum d'Andone. Musée d'Angoulême. Le castrum d'Andone est un ensemble fortifié situé dans le département de la Charente, en limite de la commune de Villejoubert, en Angoumois. Le castrum d'Andone à livré un exceptionnel mobilier (plus de 400 000 pièces dont 116 000 ont fait l'objet d'une étude systématique). Sa richesse permet de mieux connaitre la vie quotidienne d'un groupe aristocratique au Xe siècle. Le bâtiment résidentiel et ses abords immédiats ont livré une petite série de pièces d'échecs - qui constituent l'une des plus anciennes attestations occidentales de ce jeu originaire d'Extrême-Orient - et de nombreux pions de jeu de table (proche du trictrac ou de l'actuel backgammon). Jusqu'au XIIe siècle, ces jeux de société demeurent l'apanage de l'aristocratie.

Joueurs de Go. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9a4d1-joueurs-de-go

Joueurs de Go

Joueurs de Go au Festival des Jeux de Cannes, 2 mars 2013. Il s'agit du plus ancien jeu de stratégie combinatoire abstrait connu. Malgré son ancienneté, le jeu de go continue à jouir d'une grande popularité en Chine, en Corée et au Japon. Dans le reste du monde, où sa découverte est récente, sa notoriété est croissante. Son succès tient autant à la simplicité de ses règles qu'à sa grande richesse combinatoire et sa profondeur stratégique. Sa terminologie est principalement d'origine japonaise.

Kimberlite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2c548-kimberlite

Kimberlite

Kimberlite à gros cristaux d’olivine provenant d'une mine américaine (les diamants ne sont pas visibles). La kimberlite est une roche ultramafique (riche en magnésium et/ou en fer), potassique et riche en éléments incompatibles, ainsi qu'en volatils (H2O et CO2). Elle doit son nom à la ville de Kimberley en Afrique du Sud, où elle fut découverte et décrite pour la première fois. Kimberley fut fondée pour l'exploitation du diamant et le plus célèbre diatrème (pipe) de cette ville se nomme "Big Hole". Les diamants étaient à l'origine trouvés dans de la kimberlite décomposée et colorée en jaune par la limonite, qui s’appelait pour cette raison « la terre jaune ». Des extractions plus profondes permirent d’obtenir de la roche moins décomposée, de la kimberlite plus pure, que les mineurs appelèrent « la terre bleue ». Les kimberlites sont des roches volcaniques très particulières. Elles sont de composition ultrabasique (SiO2<45%) et sont très riches en H2O et en CO2. Cette richesse en volatils implique une mise en place très explosive. On ne connait pas d'éruption historique de kimberlite, mais toutes les kimberlites se trouvent dans des diatrèmes (ou pipes) ou dans des dykes, accompagnées de brèches qui témoignent de la mise en place brutale de ces magmas. La vitesse d'ascension des magmas kimberlitiques sont de l'ordre de 10 à 30 m·s-1 voire plus dans certains cas.

La planète du bonheur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e75d71-la-planete-du-bonheur

La planète du bonheur

Carte mondiale des pays du bonheur, selon les critères du HPI : L'indice de la planète heureuse (Happy Planet Index) est un indicateur économique alternatif au PIB. Créé par un "think tank" britannique, la "New Economics Foundation" (NEF), le HPI prend en compte le bien-être humain et les incidences sur l'environnement. Il classe 178 pays d'après 3 indicateurs : l’empreinte écologique, l’espérance de vie et le degré de bonheur des populations. Ainsi, ce classement donne une image très différente de la richesse et de la pauvreté des nations. C'est un indicateur d'efficience écologique.

Les glaneuses en bonnet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc66f7-les-glaneuses-en-bonnet

Les glaneuses en bonnet

Glaneuses, 1857, de Jean-François Millet (1814-1875). Sur le tableau figurent trois femmes, une vieille et deux jeunes, parmi les plus pauvres de la campagne, puisque contraintes de glaner des épis de blés pour manger, et illustre ainsi la misère de la population rurale en s'inscrivant dans la veine réaliste, sans misérabilisme. Les trois femmes figurent les trois gestes du glanage : se baisser, ramasser, se relever. Le travail de ces femmes est pénible (courbure du dos, maigreur de la récolte), mais leurs vêtements ne sont pas des haillons. Cette pauvreté (et une certaine fracture sociale) est accentuée par l'apparente richesse de la récolte de blé chargée sur les charrettes en arrière plan par le maître et les gens de ferme. Millet représente dans le ciel une nuée d'oiseaux, prêts eux aussi à picorer les grains oubliés, à l'instar des glaneuses.

Mélancolie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f570b1-melancolie

Mélancolie

Melencolia ou La Melencolia est le nom donné à une gravure sur cuivre d'Albrecht Dürer datée de 1514. Le titre est pris de l'œuvre où il apparaît comme un élément de la composition. Melencolia I est souvent considéré comme faisant partie d'une série, Meisterstiche, comprenant également Le chevalier, la mort et le diable (1513) et Saint Jérôme dans sa cellule (1514). Cette œuvre d'une richesse symbolique exceptionnelle a été l'objet d'un nombre considérable d'études. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Melencolia_I.

Paire de gants de cuir brodés anglais du dix-septième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/534c208d-paire-de-gants-de-cuir-brodes-anglais-du-dix-septieme-siecle

Paire de gants de cuir brodés anglais du dix-septième siècle

Paire de gants de cuir brodés de fils de soie et d'or, 1615-1625 (Victoria and Albert Museum, Londres). Au début du XVIIème siècles, les gants jouaient plusieurs rôles, en plus de protéger et de tenir chaud ; certains avaient un rôle purement décoratif, signe de richesse et de noblesse. Ils se portaient attachés au chapeau ou à la ceinture, ou bien tenus à la main. Les gants étaient souvent offerts en cadeaux ou bien échangés lors d'un engagement ou d'un mariage. Un gant jeté était synonyme de défi lancé à un adversaire. Les gants étaient très populaires dans la classe ouvrière en Angleterre. En 1618 Horatio Busini, aumônier de l'ambassadeur de Venise à Londres écrivit dans son rapport sur les moeurs anglaises que la mode des gants côuteux est tellement répandue que même les portiers les exhibent avec ostentation. Source : notice jointe à la photo.

Panneau de passage d'écureuil. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c44a32-panneau-de-passage-d-ecureuil

Panneau de passage d'écureuil

Panneau signalant le risque de traversée d'écureuils roux (Sciurus vulgaris), au Royaume-Uni, sur l'A708, environ 4 km avant Moffat. Aujourd'hui la circulation automobile, l'insularisation écologique des forêts, du bocage et des espaces verts et la fragmentation de son habitats par les routes semblent poser problème : "Le domaine vital de l’écureuil roux est de 5 à 30 hectares (selon la richesse du milieu) ; Au delà de 2 km d’infrastructure de transport par km de forêt, cette espèce est confrontée à une rupture de son territoire" Source : NatureParif, "Fragmentation forestière par les infrastructures de transport", Colloque 2011.

Pion de tric-trac en ivoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fb06d3-pion-de-tric-trac-en-ivoire

Pion de tric-trac en ivoire

Judith et Holopherne, pion de trictrac. Ivoire, France de l'Ouest, XIIe siècle, trouvé à Bayeux en 1838. Nabuchodonosor II a envoyé Holopherne châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad (cf. Judith I, 1). Après avoir pillé, tué et ravagé dans tout le Proche-Orient, Holopherne assiège Béthulie, une ville juive (probablement Massalah) qui barre un passage dans les montagnes de Judée. Comme l'eau vient à manquer, les habitants sont sur le point de se rendre, mais une jeune veuve, Judith, d'une extraordinaire beauté et d'une richesse considérable, prend la décision de sauver la ville. Avec sa servante et des cruches de vin elle pénètre dans le camp d'Holopherne ; ce dernier est tout de suite ensorcelé par la beauté et l'intelligence de cette femme ; il organise en son honneur un grand banquet à la fin duquel ses domestiques se retirent discrètement pour ne pas troubler la nuit d'amour qui, pensent-ils, attend leur maître. Mais elle continue à l'enivrer et, quand il est hors d'état de se défendre, elle le décapite avec l'aide de sa servante et revient à Béthulie avec la tête. Quand les soldats découvrent au matin leur chef assassiné, ils sont pris de panique.

Quesnay et les physiocrates. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afe8be-quesnay-et-les-physiocrates

Quesnay et les physiocrates

Portrait de François Quesnay réalisé par Jean-Charles François d'après une peinture de Jean-Martial Frédou. La « Physiocratie » est le « gouvernement par la nature ». Le terme est forgé par Pierre Samuel du Pont de Nemours qui le crée en associant deux mots grecs : phusis (la Nature) et kratein (gouverner). On s'accorde à penser que le fondateur de cette école est François Quesnay, qui en devient le chef de file incontesté après la publication du Tableau économique en 1758, par lequel il décrit la circulation des richesses dans l'économie. Les Physiocrates s'appellent entre eux « Les Économistes ». Ces travaux révolutionnaires pour l'époque anticipent ceux d'Adam Smith en s'intéressant à la création de la richesse, mais aussi et surtout à sa répartition via des diagrammes de flux et de stocks représentant de manière très élaborée le fonctionnement de l'économie. Le but de ce groupe de marchands et de grands commis de l'État est de mettre en place les outils qui permettront au roi de France de mieux mesurer la création de richesse et ainsi pouvoir faire de meilleures lois permettant d'éviter les disettes via une production et une répartition optimisées des richesses. Cependant, en prenant pour hypothèse que le travail est la source de toute création de richesse, cette analyse va heurter de plein front les intérêts de l'aristocratie française, pour laquelle le simple fait de travailler était synonyme de dérogeance. François Quesnay en habile politique va dans le "Tableau économique" faire reposer la source de la richesse non plus sur le travail, mais sur la capacité « miraculeuse » de la terre à produire de la nourriture à chaque printemps !!!

Vaiśravana chevauchant un lion des neiges. Source : http://data.abuledu.org/URI/54415dd5-vai-ravana-chevauchant-un-lion-des-neiges

Vaiśravana chevauchant un lion des neiges

Thangka (peinture sur toile caractéristique de la culture tibétaine) représentant Vaiśravana chevauchant un lion des neiges, 2e moitié du XIVe siècle, musée Guimet : Les bouddhistes tibétains considèrent le sentiment de Jambhala concernant la richesse comme fournissant la liberté par la prospérité, pour pouvoir se concentrer sur le chemin ou sur la spiritualité au lieu de la matérialité et temporalité de cette richesse. Vaiśravana est peint portant quelquefois un citron, le fruit de l'arbre jambhara, un jeu de mots sur un autre de ses noms. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vai%C5%9Brava%E1%B9%87a

Zèbres et termitière. Source : http://data.abuledu.org/URI/536018d8-zebres-et-termitiere

Zèbres et termitière

Zèbres et termitière en Tanzanie. Sa structure, construite et entretenue par les termites, est conçue pour une ventilation passive et le maintien d'une température et hygrométrie optimales pour le nid. Leurs formes et structures sont très variées. Ces monticules ou cheminées pouvant atteindre 6 m de haut (exceptionnellement jusqu'à 8 m en Afrique), et leur diamètre à la base, jusqu'à 30 m. La muraille de ces termitières, très dure, est faite d'un mélange de terre et de salive cuit par le soleil. Une termitière humivore est source de richesse organique et minérale, constituant un îlot de fertilité dans les cas étudiés en zone soudano-sahélienne. Elles sont utiles à la bonne conservation de la matière organique du sol en savane, abritant une communauté microbienne à la fois différente de celle du tube digestif des termites et du sol environnant. Elles ont une activité dénitrifiante 18 fois plus élevée que celle du sol local.Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Termiti%C3%A8re