Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Antarctique | Photographie | Dessins et plans | Gravure | Jules Dumont d'Urville (1790-1842) | Antarctique -- Découverte et exploration | Géographie | Austral, Océan | Biologie | Botanique | Krill | Hêtre austral | Nothofagus | Tectonique des plaques | Manchots (oiseaux) | Cartes du monde | Cartes topographiques | Glaciers -- Antarctique | Phoques | Terre Adélie (Antarctique) | ...
Anatomie du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e462ed-anatomie-du-krill-antarctique

Anatomie du krill antarctique

Anatomie du krill antarctique, schéma de Uwe_Kils/klages/part1 Kils & Klages 1979 légendé en français : intestin, hépatopancréas, oeil composé ; telson, pléopodes, thoracopodes ; organes bioluminescents, branchies, soies.

Bébé Phoque de Weddell. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f38692-b-b-phoque-de-weddell

Bébé Phoque de Weddell

Bébé phoque de Weddell en Terre Adélie, Antarctique

Calamar colossal à échelle humaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d49592-calamar-colossal-a-echelle-humaine

Calamar colossal à échelle humaine

Calamar colossal (Mesonychoteuthis hamiltoni) estimé à 10 mètres de longueur, par comparaison avec une taille d'homme. Les calmars géants du genre Architeuthis sont les plus connus, ils peuvent atteindre jusqu'à 13 m de long pour une centaine de kilos. Mais le calmar colossal est actuellement le plus grand de tous. Cette espèce est connue depuis 1925 grâce aux quelques parties de grands spécimens retrouvées dans l'estomac de cachalots, mais son étude n'a été rendue possible qu'après des prises accidentelles par des navires de pêche à la palangre flottante. Un calmar colossal de 10 m et 450 kg a été capturé en février 2007 en mer de Ross près de l'Antarctique par des pêcheurs néo-zélandais à 1 800 m de profondeur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calmar.

Carrés alimentaires de Krill. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e465f1-carres-alimentaires-de-krill

Carrés alimentaires de Krill

Carrés de "viande" de krill dans l'antarctique. Cent mille tonnes de Krills antarctiques sont pêchées chaque année. Cette pêche s’est développée à partir des années 1970, avant de connaître un pic au tout début des années 1980, avant de ralentir légèrement. Le contenu riche en protéines et vitamines du krill, qui le rend utilisable pour l'alimentation humaine comme pour l'industrie d'aliments pour animaux, ainsi que sa grande concentration et son abondance ont tout d’abord intéressé la Russie, une des premières nations à pratiquer cette pêche. Actuellement, les principales nations pêcheuses sont la Corée du Sud, la Norvège, le Japon, la Russie, l’Ukraine et la Pologne. La biologie particulière du krill pose d'autres problèmes pour son utilisation dans l'alimentation. En effet, rapidement après sa sortie de l'eau, les enzymes puissantes contenues dans le krill commencent à dégrader ses protéines, ce qui oblige à un traitement rapide du crustacé fraîchement pêché. La transformation consiste à séparer la partie arrière de la tête et à enlever la carapace de chitine, dans l'optique de produire des produits congelés et des poudres concentrées. Avant sa commercialisation, il est nécessaire d'ôter sa carapace chitineuse riche en fluorures qui sont des composés toxiques pour l'homme. Cette opération est assez délicate à cause de la taille de l'animal et de sa fragilité. Toutes ces difficultés ont fortement augmenté le coût de la pêche du Krill antarctique, et cette activité ne s’est pas autant développée que certains le laissaient présager.

Carte de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca2bda-carte-de-l-antarctique

Carte de l'Antarctique

Carte de l'Antarctique.

Carte de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52592e1b-antarctique

Carte de l'Antarctique

Carte de l'Antarctique.

Carte du monde avec plusieurs parallèles. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c60648-carte-du-monde-avec-plusieurs-paralleles

Carte du monde avec plusieurs parallèles

Carte du monde avec plusieurs parallèles importantes en rouge : le cercle arctique, le tropique du Cancer, l'Équateur, le tropique du Capricorne et le cercle antarctique.

Collection de boites de conserves. Source : http://data.abuledu.org/URI/502b6de2-collection-de-boites-de-conserves

Collection de boites de conserves

Photo prise en 2010 d'anciennes boites de conserve (toujours pleines) à Port Lockoy en péninsule Antarctique.

Débat sur la banquise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e18c54-debat-sur-la-banquise

Débat sur la banquise

Débat de jeunes manchots sur la banquise : petit ou gros poisson ? Cycle de vie de l'empereur.

Découverte de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/58753976-decouverte-de-l-antarctique

Découverte de l'Antarctique

Mémorial du centenaire de la découverte de l'Antarctique dans la baie de Cardiff, Pays de Galles. Sculpture de Jonathan Williams représentant le capitaine Robert Falcon Scott, officier de la Royal Navy.

Dérive de la plaque eurasienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/506c8457-derive-de-la-plaque-eurasienne

Dérive de la plaque eurasienne

Carte montrant la dérive de la plaque du continent indien sur plus de six mille kilomètres, jusqu'à sa collision avec la plaque eurasienne. L'Inde était au départ située dans l'hémisphère sud, près de l'Australie et de l'Antarctique, depuis - 72 millions d'années.

Deux îles de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7292d-deux-iles-de-l-antarctique

Deux îles de l'Antarctique

L.L. Ivanov et al., Antarctica : Carte des îles de Livingston et de Greenwich, échelle au 1:100000, dans les îles Shetland du Sud, au Nord de l'Antarctique. Montage photo présentant les spécificités des deux îles. L'île de Livingston est située dans l’Océan austral entre le passage de Drake et le détroit de Bransfield, à la distance de 110 km au nord-ouest de la Péninsule Antarctique et 830 km au sud-sud-est du cap Horn. Son sommet principal, la Montagne de Tangra, est situé au sud-est de l'île et culmine à 1700 m. La majeure partie de sa surface est recouverte d'une calotte de glace, qui forme la ligne côtière dans beaucoup de secteurs. Le climat est antarctique maritime. Les températures sont plutôt constantes : elles n'excèdent que rarement 3°C l'été et ne descendent que peu en dessous de –11°C pendant l'hiver. Toutefois, l'île est célèbre pour son mauvais temps, qui est hautement variable, venteux, humide et très peu ensoleillé. Livingston a été découvert par l'Anglais William Smith, le 19 février 1819, et pendant les années qui suivirent, l'île est devenue un centre d'exploitation de ressources vivantes marines. Il reste de cette époque des cabanes, des bateaux et d'autres objets façonnés par les chasseurs de phoques américains et anglais du XIXe siècle. Livingston possède la plus grande concentration de lieux historiques ou symboliques de l'Antarctique, après la Géorgie du Sud. L'île est régie par le régime du Traité sur l'Antarctique. Les bases scientifiques Juan Carlos I (Espagne) et Saint-Clément-d’Ohrid (Bulgarie) se trouvent dans la baie sud de Livingston depuis 1988, et la petite base de Cap Shirreff (Chili et É.-U.) est elle active depuis 1991. Il y a deux aires naturelles protégées sur l’île, la Péninsule Byers et le Cap Shirreff. Le Point Hannah sur le littoral sud de Livingston et l’île Half Moon, près de la côte est, sont des destinations parmi les plus populaires du tourisme antarctique et austral extrême, souvent visitées par des bateaux d’excursion.

Drapeau de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/504ba453-drapeau-de-l-antarctique

Drapeau de l'Antarctique

Drapeau de l'Antarctique.

Fonds de carte du monde. Source : http://data.abuledu.org/URI/50705ca9-fonds-de-carte-du-monde

Fonds de carte du monde

Fonds de carte du monde incluant l'Antarctique.

Image satellite de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52151426-image-satellite-de-l-antarctique

Image satellite de l'Antarctique

Image satellite de l'Antarctique.

L'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e35966-l-antarctique

L'Antarctique

Carte de l'inlandsis de l'Antarctique posée sur le socle rocheux (tons bleus) par opposition à l'inlandsis flottant (en magenta). Auteur : Hannes Grobe 21:51, 12 August 2006 (UTC), Institut Alfred Wegener de recherche polaire et marine, Bremerhaven, Allemagne. L'inlandsis de l'Antarctique est le nom de l'inlandsis (calotte polaire) qui recouvre la majeure partie de l'Antarctique. À certains endroits, cet inlandsis s'étend sur l'océan Austral par des barrières de glace telle la barrière de Ross. La couche de glace peut atteindre 4 000 mètres d'épaisseur.

L'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d0fa3d-l-antarctique

L'Antarctique

L'Antarctique le 21 septembre 2005.

L'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d0fade-l-antarctique

L'Antarctique

L'Antarctique en comparaison avec son extension passée.

L'Antarctique en 1914. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309ba4b-l-antarctique-en-1914

L'Antarctique en 1914

Carte de l'Antarctique telle qu'elle était connue en 1914, notamment après la deuxième expédition de Jean-Baptiste Charcot. travail personnel : d'après les informations de la carte du Lieutenant Bongrain, à bord du Pourquoi-pas. Cette carte se trouve dans le rapport Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910) : Sciences physiques : documents scientifiques paru en 1914 "sous les auspices du Ministère de l'Instruction publique". L'auteur officiel de l'ouvrage est Jean-Baptiste Charcot mort en 1936. (Voir un exemplaire de cette carte (à la fin de l'ouvrage, dans l'annexe).

L'île des pingouins. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cde241-l-ile-des-pingouins

L'île des pingouins

Carte de l'ile des Pingouins, dans l'archipel des Iles Crozet, qui forment l'archipel sub-antarctique du sud de l’océan Indien ; elles constituent l'un des cinq districts des Terres australes et antarctiques françaises.

Le cycle du manchot empereur. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d659c-le-cycle-du-manchot-empereur

Le cycle du manchot empereur

Description du cycle de vie du manchot empereur. Niveau CE1-CE2. 863 mots.

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Le Marion Dufresne aux îles Crozet. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cde343-le-marion-dufresne-aux-iles-crozet

Le Marion Dufresne aux îles Crozet

Le Marion Dufresne aux îles Crozet : Vue, depuis le "port" de Crozet, en arrière plan, l'Ile de l'Est. Les îles Crozet abritent quatre espèces de manchots, surtout des gorfous dorés (4 millions d’individus, également appelé gorfou macaroni) et des manchots royaux (sous-espèce patagonicus). Le gorfou sauteur et le manchot papou sont également représentés.

Phoque en antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3868b-phoque-en-antarctique
Pinguoins dans l'Antartique. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d0f149-pinguoins-dans-l-antartique

Pinguoins dans l'Antartique

Pingouins dans l'Antarctique.

Répartition géographique du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4605d-repartition-geographique-du-krill-antarctique

Répartition géographique du krill antarctique

Répartition géographique du krill antarctique. Il contribue à la bioconcentration des toxiques dans la pyramide alimentaire, en particulier du mercure et d'autres polluants, qu'il contient cependant en proportion bien moindre que les prédateurs "supérieurs" (grands poissons (thon, marlin, espadon... et mammifères carnivores, tels que dauphin, orque ou cachalot)). Le krill fait l'objet d'une pêche industrielle qui alimente essentiellement le marché des aliments pour animaux en farine animale (ou krill lyophilisé), pêche dont les impacts ne sont pas finement mesurés. Le krill est un filtreur important des océans, dont il diminue la turbidité. Le krill par ses mouvements et migrations nocturne/diurne ou saisonnière, a probablement une importance significative, comme d'autres espèces de zooplancton en matière de mélange des couches thermiques et/ou plus ou moins salées dans les zones où il vit.

Sterne arctique en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e3f41e-sterne-arctique-en-vol

Sterne arctique en vol

Sterne arctique en vol (sterna paradisae) près du barrage de l'Eider en mer du Nord (Allemagne). Les sternes sont aussi appelées hirondelles de mer. C'est un oiseau migrateur qui est témoin de deux étés chaque année, puisqu’il effectue un aller-retour à partir de ses aires de reproduction dans le nord, jusqu’aux océans près de l’Antarctique où il hiverne (ce qui représente un trajet pouvant atteindre couramment 70 000 km). La Sterne arctique vole de ce fait huit mois par an.

Banquise en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804263-banquise-en-1838

Banquise en 1838

L'Astrolabe faisant de l'eau sur un glaçon le 6 février 1838. Atlas pittoresque, planche 20 (22). Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Branche de hêtre de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5542ae65-branche-de-hetre-de-l-antarctique

Branche de hêtre de l'Antarctique

Branche de hêtre de l'Antarctique (Nothofagus antarctica) dans la Réserve Nationale de Coyhaique, région de Aysén, Chili.

Branches de hêtre de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5542af1d-branches-de-hetre-de-l-antarctique

Branches de hêtre de l'Antarctique

Branches de hêtre de l'Antarctique (Nothofagus antarctica).

Carte des plaques continentales. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094e1fd-carte-des-plaques-continentales

Carte des plaques continentales

Cartographie des plaques continentales, en français. Source : USGS. Liste des 14 plaques principales : Afrique, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Antarctique, Arabie, Australie, Caraïbes, Cocos, Eurasie, Inde, Juan de Fuca, Nazca, Pacifique, Philippines.

Chasse aux phoques en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/598042ca-chasse-aux-phoques-en-1838

Chasse aux phoques en 1838

Chasse aux phoques le 6 février 1838. Atlas pittoresque, planche 21. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Corvettes dans la banquise en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/598041ee-corvettes-dans-la-banquise-en-1838

Corvettes dans la banquise en 1838

Les corvettes louvoyant dans l'intérieur de la banquise le 5 février 1838. Atlas pittoresque, planche 19. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Coup de vent dans les glaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/59819994-coup-de-vent-dans-les-glaces-

Coup de vent dans les glaces

Coup de vent dans les glaces, le 23 janvier 1840. Atlas pittoresque, planche 172. Atlas pittoresque, planche 138. Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.

Coup de vent près des îles Powell en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804187-coup-de-vent-pres-des-iles-powell-en-1838

Coup de vent près des îles Powell en 1838

Coup de vent près des îles powell le 27 janvier 1838. Atlas pittoresque, planche 16. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Débarquement sur une île de glace le 23 janvier 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804123-debarquement-sur-une-ile-de-glace-le-23-janvier-1838

Débarquement sur une île de glace le 23 janvier 1838

Débarquement sur une île de glace le 23 janvier 1838. Atlas pittoresque, planche 15. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Découverte de la côte Clarie le 26 janvier 1840. Source : http://data.abuledu.org/URI/59819bd4-decouverte-de-la-cote-clarie-le-26-janvier-1840

Découverte de la côte Clarie le 26 janvier 1840

Découverte de la côte Clarie, le 26 janvier 1840. Atlas pittoresque, planche 173. Atlas pittoresque, planche 138. Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.

Découverte de la Terre Adélie le 19 janvier 1840. Source : http://data.abuledu.org/URI/598197b4-decouverte-de-la-terre-adelie-le-19-janvier-1840

Découverte de la Terre Adélie le 19 janvier 1840

Découverte de la Terre Adélie, le 19 janvier 1840. Atlas pittoresque, planche 168. Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.

Icebergs en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804584-icebergs-en-1838

Icebergs en 1838

Blocs de glace remarquables par leurs formes près des îles Inaccessibles. Atlas pittoresque, planche 29. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Icebergs en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/598045ce-icebergs-en-1838

Icebergs en 1838

Formes diverses d'îles de glace. Atlas pittoresque, planche 29 bis. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Île Éléphant en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804512-ile-elephant-en-1838

Île Éléphant en 1838

Île Éléphant en 1838 (terre de Graham aujourd'hui). Atlas pittoresque, planche 28 bis. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Jeune hêtre de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5542a8e7-jeune-hetre-de-l-antarctique

Jeune hêtre de l'Antarctique

Jeune hêtre de l'Antarctique (Nothofagus antarctica) dans le jardin de "Petit Jard" à Châlons-en-Champagne (Marne).

L' Astrolabe prise par les glaces en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804353-l-astrolabe-prise-par-les-glaces-en-1838

L' Astrolabe prise par les glaces en 1838

L' Astrolabe arrêtée par un glaçon le 9 février 1838. Atlas pittoresque, planche 24. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Le géologue Édouard Suess. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2c1ca-le-geologue-edouard-suess

Le géologue Édouard Suess

Édouard Suess (1831 – 1914), géologue autrichien. Eduard Suess, né à Londres le 20 août 1831 et mort à Vienne le 26 avril 1914, est un géologue autrichien spécialiste des Alpes. Il découvre deux des traits géographiques majeurs de la Terre dans son état antérieur : le supercontinent Gondwana et la mer Téthys (1893). Sa découverte majeure concerne des fossiles de fougères Glossopteris similaires découverts en Amérique du Sud, en Afrique et aux Indes (ainsi qu'en Antarctique bien que cette découverte soit postérieure). Son explication est que ces trois continents étaient connectés en un supercontinent qu'il nomme Gondwanaland. Une fois encore sa théorie n'est pas entièrement correcte : Suess pense que les océans ont envahi les terres entre ces continents alors qu'en fait ils se sont éloignés les uns des autres. Il est un des représentants de la théorie de la contraction de la Terre. Ce modèle sera invalidé par la théorie de la dérive des continents d'Alfred Wegener.

Le glacier de Beardmore dans l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bf24b7-le-glacier-de-beardmore-dans-l-antarctique

Le glacier de Beardmore dans l'Antarctique

Le glacier de Beardmore dans l'Antarctique, photo prise en 1956 par le Commandant Jim Waldron USNR, National Science Foundation.

Les îles Powell en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/59804472-les-iles-powell-en-1838

Les îles Powell en 1838

Débarquement sur les îles Powell le 20 février 1838, Atlas pittoresque, planche 26. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Petite otarie de Kerguelen. Source : http://data.abuledu.org/URI/537293ba-petite-otarie-de-kerguelen

Petite otarie de Kerguelen

Petite otarie (Arctocephalus gazella). Ses colonies de reproduction sont situées sur les îles sub-antarctiques situées à proximité de la convergence antarctique. Environ 95 % de la population mondiale se reproduit en Géorgie du Sud. À la naissance, les nouveau-nés pèsent entre 4,5 et 6,5 kg et mesurent entre 60 et 73 cm. Ils ont une fourrure laineuse brune à presque noire, qu'ils conservent pendant 2-3 mois. Ensuite l'otarie présente un pelage argenté qui dure jusqu'à l'âge adulte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Otarie_de_Kerguelen

Phoque de Weddell. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5cf6b-phoque-de-weddell

Phoque de Weddell

Phoque de Weddell sur la banquise avec un glacier à l'arrière plan

Planche botanique du hêtre de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5542ac0e-planche-botanique-du-hetre-de-l-antarctique

Planche botanique du hêtre de l'Antarctique

Planche botanique du hêtre de l'Antarctique (Fagus antarctica), planche CXXIII de Hooker "Flora Antarctica", 1844, par Walter Hood Fitch (1817–1892).

Plaques tectoniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e34c7f-plaques-tectoniques

Plaques tectoniques

Superficie des 7 plaques tectoniques : Plaque africaine, 78.0 ; Plaque antarctique, 60.9 ; Plaque australienne, 47.2 ; Plaque eurasienne, 67.8 ; Plaque nord-américaine, 75.9 ; Plaque sud-américaine, 43.6 ; Plaque pacifique, 103.3. Les plaques tectoniques sont des segments rigides de lithosphère qui se déplacent les uns par rapports aux autres. Les relations cinématiques qui existent aux frontières des plaques peuvent être regroupées en trois domaines : des domaines de convergence où deux plaques se rencontrent, de divergence où deux plaques se séparent et des domaines de transcurrence où les plaques se déplacent latéralement les unes par rapport aux autres. Les tremblements de terre, l'activité volcanique, la formation des montagnes et des fosses océaniques sont plus fréquents le long de ces frontières. Le mouvement des plaques tectoniques est lié aux mouvements de convection ayant lieu dans le manteau terrestre. Du fait du mouvement des plaques tectoniques, le plancher océanique plonge sous les bords des autres plaques. Au même moment, la remontée du magma au niveau des frontières divergentes crée des dorsales. La combinaison de ces processus permet un recyclage continuel de la lithosphère océanique qui retourne dans le manteau. Par conséquent, la plus grande partie du plancher océanique est âgée de moins de 100 millions d'années. La plus ancienne croûte océanique est localisée dans l'ouest du Pacifique et a un âge estimé de 200 millions d'années. Par comparaison, les éléments les plus anciens de la croûte continentale sont âgés de 4 030 millions d'années.

Reconnaissance de la Terre Adélie le 20 janvier 1840. Source : http://data.abuledu.org/URI/598198e8-reconnaissance-de-la-terre-adelie-le-20-janvier-1840

Reconnaissance de la Terre Adélie le 20 janvier 1840

{{fr|Reconnaissance de la Terre Adélie, le 20 janvier 1840. Atlas pittoresque, planche 169. Atlas pittoresque, planche 138. Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.

Reconstitution d'un Sinornithosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d7664-reconstitution-d-un-sinornithosaurus

Reconstitution d'un Sinornithosaurus

Reconstitution d'un Sinornithosaurus millenii (Canadian Museum of Nature, Ottawa, Ontario) : Dromaeosaure dont le nom signifie "Oiseau-lézard chinois". Les Dromaeosauridae (ou dromaeosauridés) sont une famille de dinosaures théropodes ressemblant à des oiseaux. Ils étaient des carnivores à plumes de taille petite à moyenne qui ont abondé au cours du Crétacé. Le nom Dromaeosauridae signifie « lézard coureur », du grec dromeus (δρομευς) qui signifie « courir » et sauros (σαυρος) qui signifie « lézard ». On a trouvé des fossiles de dromaeosauridés en Amérique du Nord, Europe, Afrique, Japon, Chine, Mongolie, Madagascar, Argentine et Antarctique. Ils sont apparus au milieu du Jurassique (à la fin du Bathonien, il y a environ 164 millions d'années) et ont survécu jusqu'à la fin du Crétacé (Maastrichtien, il y a 65,5 Ma), soit pendant environ 100 millions d'années, jusqu'à l'extinction Crétacé-Tertiaire. La présence de dromaeosauridés dès le Jurassique moyen a été confirmée par la découverte de dents fossiles isolées, mais aucun corps fossilisé de dromaeosauridé de cette époque n'a été retrouvé.