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Calamar colossal (Mesonychoteuthis hamiltoni) estimé à 10 mètres de longueur, par comparaison avec une taille d'homme. Les calmars géants du genre Architeuthis sont les plus connus, ils peuvent atteindre jusqu'à 13 m de long pour une centaine de kilos. Mais le calmar colossal est actuellement le plus grand de tous. Cette espèce est connue depuis 1925 grâce aux quelques parties de grands spécimens retrouvées dans l'estomac de cachalots, mais son étude n'a été rendue possible qu'après des prises accidentelles par des navires de pêche à la palangre flottante. Un calmar colossal de 10 m et 450 kg a été capturé en février 2007 en mer de Ross près de l'Antarctique par des pêcheurs néo-zélandais à 1 800 m de profondeur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calmar.
Peinture, Calmars, Art nouveau, Céphalopodes, Biologie marine, Symétrie (art), Ernst Haeckel (1834-1919), Symétrie (biologie)
Planche 54 de "Formes artistiques de la Nature" (Kunstformen der Natur), 1904, livre de lithographies illustratives de sciences naturelles publié par le biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont les représentations eurent une influence décisive sur le courant de l'Art nouveau au début du XXe siècle, et notamment l'École de Nancy. Calmar bijou (Histioteuthis bonnellii) c'est à dire dont les photophores sont sur la peau.
Peinture, Calmars, Céphalopodes, Biologie marine, Art nouveau (décoration), Symétrie (art), Ernst Haeckel (1834-1919), Symétrie (biologie)
Planche 54 de "Formes artistiques de la Nature" (Kunstformen der Natur), 1904, livre de lithographies illustratives de sciences naturelles publié par le biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont les représentations eurent une influence décisive sur le courant de l'Art nouveau au début du XXe siècle, et notamment l'École de Nancy. Céphalopode : calmar (Chiroteuthis veranyi).
Peinture, Calmars, Céphalopodes, Poulpes, Latin (langue), Octopodes, Art nouveau (décoration), Symétrie (art), Allemand (langue), Pieuvres, Biologistes, Ernst Haeckel (1834-1919), Symétrie (biologie)
Planche 54 de "Formes artistiques de la Nature" (Kunstformen der Natur), 1904, livre de lithographies illustratives de sciences naturelles publié par le biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont les représentations eurent une influence décisive sur le courant de l'Art nouveau au début du XXe siècle, et notamment l'École de Nancy. Cinq céphalopodes "Gamochonia, Trichterkraken". En partant d'en haut à gauche et dans le sens des aiguilles d'une montre : 1) Calmar bijou (Histioteuthis Rüppellii), 2) Calmar (Chiroteuthis Veranyi), 3) Pieuvre (Pinnoctopus cordiformis), 4) Octopode (Octopus granulatus), 5) Octopode commun (Octopus vulgaris).
Gravure, Calmars, Aquariums marins, Poulpes, Seiches, Biologie marine, Concarneau (Finistère), Alfred Moquin-Tandon (1804-1863)
Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866, planche XX : poulpe, seiche lançant son noir, calmar. Aquarium de Concarneau.
Gravure, Calmars, Mollusques, Latin (langue), Savants allemands, Octopodes, Art nouveau (décoration), Nature (esthétique), Naturalistes, Ernst Haeckel (1834–1919), Art et nature, Faune marine
Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode
Vue ventrale d'un calamar (Todarodes pacificus), le toutenon japonais : 1 - Siphon ; 2 - Tentacule ; 3 - Bec ; 4 - Nageoires ; 5 - Bras ; 6 - Tête ; 7 - Manteau.
Ce jeune Pétrel noir de Bourbon (Pseudobulweria aterrima) trouvé échoué au pied de lampadaires a été relâché en bordure de mer. C'est l'une des quatre espèces de Procellariidae nicheuses de l'île de La Réunion et la plus rare. Elle figure depuis 1994 sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) comme espèce en danger critique d'extinction. Comme la plupart des pétrels et puffins, le Pétrel de Bourbon est un oiseau qui, sur les sites de nidification et pour aller et venir jusqu'à la mer, est effectivement actif uniquement la nuit. Il fait ainsi partie des espèces qui peuvent être leurrées par les éclairages artificiels nocturnes, prenant ceux-ci, selon les hypothèses, pour des proies (des bancs de calmars bioluminescents) ou simplement pour les reflets du ciel à la surface de l'océan. Il s'échoue alors à terre et est ensuite incapable de reprendre son envol.
Photographie, Méditerranée (mer), Mérou brun, Biologie marine, Poissons, Epinephelus marginatus, Animaux protégés, Sites naturels protégés, Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), Réserves naturelles -- France
Mérou brun (Epinephelus marginatus) - Banyuls-sur-Mer, Sec de rédéris en zone de protection renforcée, (= réserve intégrale, RI). Ce poisson vit entre 20 et 200 mètres de profondeur, près du fond, dans les zones rocheuses accidentées. On le trouve dans toute la Méditerranée. Il est solitaire, sauf au moment du frai. Cette espèce consomme seiches, poulpes, calmars. Le mérou brun a bien failli disparaître des côtes du Nord de la Méditerranée, victime de sa placidité et de la facilité qu'ont eu les hommes à le pêcher. Néanmoins, en France notamment, suite à un moratoire sur sa pêche (sous-marine et à l'hameçon), le mérou brun est de plus en plus fréquent sur les côtes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelus_marginatus
Otaries d'Alaska, île de Middleton. Le lion de mer de Steller ou otarie de Steller (Eumetopias jubatus) est la plus grande des espèces d'otaries et peut vivre jusqu'à 51,5 ans. Les mâles sont quatre fois plus lourds que les femelles et les plus gros peuvent atteindre 1 tonne pour une longueur de 3 m. Une femelle pèse environ 270 kg pour 2,20 m de longueur. Malgré leur poids, ils sont d'excellents nageurs. Le lion de mer de Steller possède une fourrure brune, plus foncée pour les femelles, et des mâchoires si solides qu'elles sont capables de broyer leurs proies : calmars, harengs, saumons, capelans et autres poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lion_de_mer_de_Steller
Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.