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Naturalistes | Gravure | Art nouveau (décoration) | Nature (esthétique) | Latin (langue) | Savants allemands | Art et nature | Ernst Haeckel (1834–1919) | Faune marine | Peinture | Biologie animale | Ernst Haeckel (1834-1919) | Botanique | Ornithologie | Grec (langue) | Photographie | Mammifères | Nature et art | Méduses | Crustacés | ...
Chasseur d'oiseaux du paradis. Source : http://data.abuledu.org/URI/532cc891-chasseur-d-oiseaux-du-paradis

Chasseur d'oiseaux du paradis

Natif d'Aru, chassant des oiseaux du paradis, camouflé sous un nid, par T. W. Wood, "The Malay Archipelago" d'Alfred Russel Wallace, 1869.

Dessin de grive litorne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5173eec6-dessin-de-grive-litorne

Dessin de grive litorne

Dessin de grive litorne (turdus pilaris) par Henrik Grönvold (1858–1940), naturaliste danois.

Dessin et squelette de grive litorne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5173f671-dessin-et-squelette-de-grive-litorne

Dessin et squelette de grive litorne

Dessin et squelette de grive litorne (turdus pilaris) par Johann Daniel Meyer (1713–1752), peintre allemand.

Différentes sortes d'algues. Source : http://data.abuledu.org/URI/519d5235-differentes-sortes-d-algues

Différentes sortes d'algues

Différentes sortes d'algues. Illustration de Adolphe Millot (1857-1921) dans "Larousse pour tous" 1907-1910. n1. Sargassum bacciferum ; 2. Hormosira Banskii ; 3. Fucus vesicolosus ; 4. Fucus serratus ; 5. Dictyota atomaria ; 6. Homoestrichus Sainclairii ; 7. Padina pavonia ; 8. Zanardinia collaris ; 9. Saccorhiza bulbosa ; 10. Alaria esculenta ; 11. Agarum Gmelini ; 12. Thalassiophylum clathrus ; 13. Laminaria longissima ; 14. Laminaria saccharina ; 15. Lessonia fuscescens ; 16. Nereocystis Luetkeana ; 17. Macrocystis prifera ; 18. Stypocaulon scoparium ; 19. Porphyra laciniata ; 20. Phyllophora membranifolia ; 21. Callophyllis laciniata ; 22. Rhodymenia Palmetta ; 23. Nitophyllum Gmelini ; 24. Nitophyllum punctatum ; 25. Nitophyllum Crozieri ; 26. Delesseria sanguinea ; 27. Glossopteris Lyallii ; 28. Schizoneura quercifolia ; 29. Claudea elegans ; 30. Odonthalia dentata ; 31. Laurencia caespitosa ; 32. Cladhymenia Lyallii ; 33. Pterosiphonia parasitica ; 34. Polyzonia elegans ; 35. Polyides rotundus ; 36. Corallina officinalis ; 37. Corallina rubens ; 38. Lithophyllum fasciculatum ; 39. Chaetomorpha Darwinii ; 40. Ulva latissima ; 41. Ulva Cornucopiae ; 42. Struvea plumosa ; 43. Caulerpa cactoides ; 44. Caulerpa scalpelliformis ; 45. Acetabularia mediterranea ; 46. Valonia utricularis ; 47. Halymeda macroloba.

Geai bleu de Steller. Source : http://data.abuledu.org/URI/5384ba3d-geai-bleu-de-steller

Geai bleu de Steller

Geai bleu de Steller (Cyanocitta stelleri), par le naturaliste américain Robert W. (Bob) Hines (1912-1994). Cet oiseau qui vit dans l'ouest de l'Amérique du Nord et dans l'Amérique centrale, a été choisi comme emblème aviaire par la province canadienne de Colombie-Britannique. Son nom lui a été attribué en hommage au naturaliste allemand Georg Wilhelm Steller (1709-1746). Longueur : 30 à 34 cm ; Envergure : 43 cm ; Poids : 100 à 140 g ; Longévité : 16 ans. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Geai_de_Steller.

Planche botanique Coniferae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d14a6-planche-botanique-coniferae-en-1909

Planche botanique Coniferae en 1904

Planche botanique Coniferae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 94 : Araucaria brasiliana (cône femelle), Picea excelsa (écaille de cône femelle vue de l'intérieur), Abies bracteata (cône femelle), Chamaecyparis obtusa (branche avec cônes femelles), Thujopsis dolabrata (branche avec 12 cônes mâles et 3 cônes femelles), Juniperus communis (branche avec fruit), Libocedrus decurrens (branche avec cônes femelles), Phyllocladus rhomboidalis (branche avec cônes femelles), Ginkgo biloba (branche avec graine), Sequoya gigantea (cône femelle), Cupressus sempervirens (branche avec 7 cônes mâles et 2 femelles), Taxodium distichum (cône femelle), Pinus serotina.

Planche botanique d'orchidées en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d6af6-planche-botanique-d-orchidees-en-1904

Planche botanique d'orchidées en 1904

Planche botanique d'orchidées, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 74 : de haut en bas et de gauche à droite, Odontoglossum naevium, Oncidium kramerianum, Odontoglossum ramosissimum, Odontoglossum schroederianum, Cattleya ballantiniana, Cattleya mendellii, Cypripedium lemoinieri, Cattleya rochellensis, Cypripedium leeanum, Odontoglossum wattianum, Cattleya labiata, Epidendrum atropurpureum, Cypripedium argus, Paphinia rugosa, Zygopetalum xanthinum, Oncidium laxense.

Planche botanique de fougères Filicinae de l'île de Java en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d3c5d-planche-botanique-de-fougeres-filicinae-de-l-ile-de-java-en-1909

Planche botanique de fougères Filicinae de l'île de Java en 1904

Planche botanique de fougères Filicinae des chutes d'eau de Tjiburrum (près de Tjibodas, Mont Gede, Java) par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 92 : au centre Alsophila, à gauche Polypodium, à droite Asplenium nidus, en bas à gauche Angiopteris et Monogramma, en bas à droite Pteris quadriaurita.

Planche botanique de mousses Muscinae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d45a7-planche-botanique-de-mousses-muscinae-en-1909

Planche botanique de mousses Muscinae en 1904

Planche botanique de mousses, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 72 : Thamnium alopecurum, Thamnobryum alopecurum, Eurhynchium praelongum, Polytrichum commune, Sphagnum cymbifolium, Splachnum luteum, Mnium undulatum, Rhodobryum roseum, Physcomitrium acuminatum, Physcomitrium ericetorum, Physcomitrium sphaericum, Sphagnum medium, Andreaea Thedenii, Hypnum castrense, Tetraplodon urceolatus, Dissodon Hornschuchii, Dissodon Froelichii.

Planche botanique de népenthes en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d4766-planche-botanique-de-nepenthes-en-1909

Planche botanique de népenthes en 1904

Planche botanique de népenthes, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 62. Le genre Nepenthes regroupe des espèces de plantes carnivores à pièges passifs de la famille des Népenthacées. Νεπένθος (du grec ancien Νε = non et πένθος = tristesse) désigne chez Homère la boisson que Pâris donna à boire à Hélène après son enlèvement pour lui faire oublier son pays natal. Les femmes de la ville égyptienne de Thèbes passaient pour détenir le secret de sa composition. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Haeckel_Nepenthaceae.jpg

Planche d'Anthoméduses en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cef18-planche-d-anthomeduses-en-1904

Planche d'Anthoméduses en 1904

Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 46 : Anthomedusae. Gemmaria sagittaria, Rathkea fasciculata, Tiara pileata, Tiara pileata (organes internes), Stomotoca pterophylla (organes internes), Thamnostylus dinema.

Planche d'arachnides en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cfd59-planche-d-arachnides

Planche d'arachnides en 1904

Planche d'arachnidées, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 66 : Tegeocranus hericius, Tegeocranus latus, Tegeocranus cepheiformisn, Leiosoma palmicinctum, Phrynus reniformis, Arkys cordiformis, Gasteracantha cancriformis, Gasteracantha acrosomoïdes, Gasteracantha geminata, Gasteracantha arcuata, Acrosoma hexacanthum, Acrosoma spinosum, Acrosoma bifurcatum, Oxyopes variegatus, Epeira diadema.

Planche d'ascidies en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cff18-planche-d-ascidies

Planche d'ascidies en 1904

Planche d'ascidies, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 85 : Cynthia melocactus, Molgula tubulosa, Fragarium elegans, Polyclinum constellatum, Polyclinum constellatum, Synoecum turgens, Botryllus polycyclus, Botryllus rubigo, Botryllus Marionis, Botryllus helleborus, Polycyclus cyaneus, Botrylloides purpureus. Fait rare dans le règne animal, ces animaux sont partiellement constitués de tunicine, une molécule proche de la cellulose, qui est caractéristique des végétaux. À l’état adulte, les ascidies ressemblent à des sacs à deux ouvertures : Le siphon buccal où le courant d’eau entre, entraîné par des battements de cils ; Le siphon cloacal ou expirateur où l’eau est rejetée. Le système nerveux de l’adulte se limite à un ganglion cérébral. Un cœur en forme de tube est l’organe propulseur de l’appareil circulatoire. Il envoie le sang dans des sinus creusés dans le tissu conjonctif. Le flux change de sens toutes les deux à trois minutes. Les ascidies sont hermaphrodites. Testicules et ovaires libèrent leurs gamètes dans la chambre péripharyngienne où a lieu l’incubation. La larve ressemble extérieurement à un minuscule têtard de grenouille. Elle nage peu de temps, se fixe à un support et subit une profonde métamorphose. La reproduction asexuée et la régénération ont un rôle important, surtout chez les formes coloniales. Les particules alimentaires (micro-organismes planctoniques) se trouvant dans l’eau sont filtrées par un mucus secrété par la face ventrale interne de la cavité pharyngienne, puis acheminées par des cils dans l’estomac puis l’intestin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascidiacea

Planche de Batrachia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d01f0-planche-de-batrachia-en-1909

Planche de Batrachia en 1904

Planche de dix grenouilles en 1909, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 68 : Notodelphys ovifera, Hyla meridionalis, Hyla tuberculosa, Amphignathodon Güntheri, Rhacophorus pardalis, Hylodes lineatus, Limnodytes erythraeus, Ceratobatrachus Güntheri, Breviceps mossambicus, Lithobates pipiens.

Planche de bryozoaires en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0434-planche-de-bryozoaires-en-1909

Planche de bryozoaires en 1904

Planche de bryozoaires, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 23 : Cristatella mucedo, Plumatella repens, Alcyonella flabellum, Lophopus crystallinus. Les ectoproctes (du grec ektós "dehors" et prōktós "anus"), appelés également et pour plusieurs raisons Bryozoaires (du grec brúon "mousse" et zōon "animal"), sont des animaux coloniaux. Ces métazoaires (pluricellulaires) sont dits triploblastiques (constitués de trois feuillets : endoderme, mésoderme, ectoderme) et cœlomates (cavité interne). Ils vivent le plus généralement fixés en colonie, le zoarium. Certaines espèces sont parfois confondues avec les coraux. Elles contribuent avec ces dernières, au même titre, au puits de carbone océanique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ectoprocta

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2fa7-planche-de-cephalopodes-gamochonia-en-1909

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904

Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode

Planche de Chiroptera en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d1276-planche-de-chiroptera-en-1909

Planche de Chiroptera en 1904

Planche de Chiroptera en 1909, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 67 : Plecotus auritus, Plecotus auritus, Nyctophilus australis, Megaderma trifolium, Vampyrus auritus, Lonchorhina aurita, Lonchorhina aurita, Natalus stramineus, Mormoops blainvillei, Anthops ornatus, Phyllostomus hastatum, Furipterus coerulescens, Rhinolophus equinus, Centurio flavigularis, Vampyrus spectrum.

Planche de crustacés copépodes en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d23ea-planche-de-crustaces-copepodes-en-1909

Planche de crustacés copépodes en 1904

Planche de copépodes, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 56 : Calanus pavo mâle, Clytemnestra scutellata femelle, Oncaea venusta mâle, Cryptopontius thorelli femelle, Acontiophorus scutatus femelle, Corycaeus venustus femelle, Sapphirina Darwinii femele, Augaptilus filigerus. Les copépodes sont un groupe de petits crustacés, libres et parasites (externe ou interne d'organismes variés), vivant dans l'eau de mer et dans presque tous les habitats d'eau douce (lac, marais, rivière, eaux souterraines).

Planche de crustacés decapoda en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2d1d-planche-de-crustaces-decapoda-en-1909

Planche de crustacés decapoda en 1904

Planche de décapodes, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 86 : Parthenope horrida, Podophthalmus vigil, Pisa armata, Gonoplax rhomboides, Pisolambrus nitidus, Stenopus hispidus, Palaemon serratus, Albunea symnista, Lissa chiragra, Birgus latro. Les Decapoda (du grec deca = dix, et podos = pied) sont par définition des crustacés possédant 5 paires de pattes. Cet ordre comprend notamment quelques crustacés bien connus, tels que les galathées, les crabes, les crevettes, les écrevisses ou encore les homards et langoustes. Les Decapoda sont des animaux carnassiers. La plupart sont marins. Il en est un certain nombre qui vivent dans les eaux douces (écrevisse), et d'autres qui peuvent mener une existence terrestre, dans des endroits humides. Les décapodes ont ordinairement la tête et la région thoracique soudées en une masse commune, ou céphalothorax, revêtue d'une carapace solide et d'une grande résistance. Leur carapace est très calcifiée. Leurs appendices thoraciques comprennent trois paires de pattes-mâchoires, et seulement cinq paires de pattes locomotrices. De ces dernières est tiré le nom des décapodes. La formule appendiculaire est (2+1+2) + (3+5) + 6. C'est le type le mieux équilibré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Decapoda

Planche de Cubomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2a39-planche-de-cubomedusae-en-1909

Planche de Cubomedusae en 1904

Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa

Planche de lichens en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d404d-planche-de-lichens-en-1909

Planche de lichens en 1904

Planche de lichens, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 83 : Cladonia retipora, Cladonia perfoliata, Cladonia verticillata, Cladonia squamosa, Cladonia fimbriata, Cladonia cornucopiae, Sticta pulmonaria, Parmelia stellaris, Parmelia olivacea, Parmelia caperata, Hagenia crinalis. Cladonia est un genre de lichens comportant de très nombreuses espèces. Il s'agit toujours de formes dressées et essentiellement terricoles, c'est-à-dire se développant sur un sol. Le nom de genre, d'origine savante, est emprunté au grec ancien klados (κλάδος) qui signifie "rameau", par référence à la structure du thalle de ces lichens dont certains représentants sont très ramifiés. Au Québec, le terme est parfois francisé en "cladonie". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cladonia

Planche de mollusques Nudibranches en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d490e-planche-de-nudibranches-en-1909

Planche de mollusques Nudibranches en 1904

Planche de mollusques gastéropodes Nudibranches, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 43 : Hermaea bifida, Aeolis coronata, Dendronotus arborescens, Idalia elegans, Doto coronata, Tritonia Hombergii, Ancula cristata. Ces animaux marins sont caractérisés par leurs branchies nues, non protégées par une coquille.

Planche de Narcomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d6564-planche-de-narcomedusae-en-1909

Planche de Narcomedusae en 1904

Planche de Narcomedusae (hydrozoaires), par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 16 : au centre, Pegantha ; en dessous, Pegantha pantheon ; en haut à gauche, Aeginura myosura ; en haut à droite, Solmaris Godeffroyi ; au milieu à gauche, Cunarcha aeginoides ; en bas à gauche, Cunarcha aeginoides ; en haut au centre, Cunarcha aeginoides ; au milieu à droite, Cunantha primigenia ; en bas à droite, Cunoctantha discoidalis.

Planche de neuf antilopes en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cf280-planche-de-neuf-antilopes

Planche de neuf antilopes en 1904

Planche de neuf antilopes, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 100 : Tetracerus quadricornis, Catoblepas gnu, Tragelaphus gratus, Antilocapra americana, Antilope ellipsiprymna, Hippotragus niger, Addax nasomaculatus, Tragelaphus kudu, Tragelaphus scriptus. Noms vernaculaires : 1 : Bherki (Inde), 2 : Imbutuma (Afrique), 3 : Situtunga (Afrique), 4 : Mazama (Amérique du nord), 5 : Singsing (Afrique), 9 : Gulungu (Afrique).

Planche de vers annélides en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0a10-planche-de-vers-en-1909

Planche de vers annélides en 1904

Planche d'annélides en 1909, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 96, Chaetopoda : Sabella spectabilis, Serpula contortuplicata, Spirographis spallanzanii, Terebella emmalina, Eunice magnifica, Hermione hystricella, Cloëia euglochis.

Planches de tortues Chelonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0876-planches-de-tortues-en-1909

Planches de tortues Chelonia en 1904

Planche de tortues, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 89, Chelonia : Dermatochelys coriacea (tortue luth), Caretta imbricata (tortue imbriquée), Hydromeda tectifera d'Argentine, Chelys fimbriata (Matamata du bassin amazonien), Testudo geometrica (endémique d'Afrique du sud), Testudo elephantina (Galapagos), Chelydra serpentina.

Plaque en l'honneur d'Alexander Humboldt. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e28f68-plaque-en-l-honeur-d-alexandre-humboldt

Plaque en l'honneur d'Alexander Humboldt

Plaque à la mémoire d'Alexander von Humboldt, sur la maison qu'il habita au 3, quai Malaquais à Paris. Le médaillon est dû à David d'Angers, 1831.

Squelette comparé de l'homme et de l'éléphant. Source : http://data.abuledu.org/URI/533fd77f-squelette-compare-de-l-homme-et-de-l-elephant

Squelette comparé de l'homme et de l'éléphant

Squelette comparé de l'homme et de l'éléphant en 1860, par Benjamin Waterhouse Hawkins (1807-1894). Source : "A comparative view of the human and animal frame", planche 6.

Tapirs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed708b-tapirs

Tapirs

Tapirs de Baird (Tapirus bardii). Cette famille est très proche de celles des chevaux (Equidae) et des rhinocéros (Rhinocerotidae), classés également dans les Perissodactyla en raison d'un nombre de doigts impair. Son corps est massif et est recouvert d'une peau très épaisse (il est d'ailleurs chassé pour son cuir). Il a une courte trompe, qui lui sert à attraper sa nourriture. D'une espèce à l'autre, les tailles peuvent varier, mais la plupart mesurent environ 2 mètres pour une hauteur pouvant aller jusqu'à approximativement 1 mètre, pour un poids allant de 150 à 300 kg. Il possède une ouïe et un odorat excellents, mais une vue peu développée. Dans la nature, un tapir vit approximativement 30 ans. C'est un animal vivant principalement la nuit, méfiant et solitaire (le couple ne se forme que pour l'accouplement) et résidant en forêt ; il est herbivore. La gestation du tapir est d'environ 13 mois, une femelle met au monde un petit (parfois deux), d'un poids d'environ 7 kg. Le petit est allaité pendant presque un an. Dans la culture asiatique, le tapir chasse les mauvais rêves, les cauchemars, et peut même les transformer en chance. Dans les mangas, le baku japonais apparaît souvent sous les traits d'un tapir. Joseph Wolf (1820-1899) était un artiste allemand spécialisé dans le naturalisme. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tapir.

Trois souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed40dc-trois-souris

Trois souris

Trois souris, aquarelle, 22,5 x 20 cm, par Carl Reichert (1836-1918), peintre naturaliste autrichien.

Charles Darwin. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e375d-charles-darwin

Charles Darwin

Portrait de Charles Darwin (1809-1882), aquarelle par George Richmond (1809–1896).

Dessin de licorne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5072a7a9-dessin-de-licorne

Dessin de licorne

Naturaliste suisse anobli par l'empereur Ferdinand Ier et, en 1557, est nommé professeur de philosophie naturelle à Zurich. Il fait de nombreux voyages naturalistes et est l'un des premiers à s'intéresser à la flore et aux minéraux alpins. On le considère parfois comme l'un des initiateurs de l'alpinisme. Ses œuvres montrent l'étendue de ses connaissances et de ses centres d'intérêts. Il écrit sur la linguistique, la philologie, la pharmacopée et la médecine, la bibliographie, la minéralogie, la zoologie (Ichtyologie en particulier) et la botanique.

Gobie de Lesueur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bee937-gobie-de-lesueur

Gobie de Lesueur

Gobie de Lesueur (Gobius Suerii), in Zoological Illustrations, 1820, Vol. I, Pl. 12, par William Swainson (1789-1855), ornithologue britannique.

Mante religieuse à la fenêtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5a414-mante-religieuse-a-la-fenetre

Mante religieuse à la fenêtre

Mante religieuse bicolore à la fenêtre. Le nom de « mante » provient du latin des naturalistes, mantis (attesté dès Linné en 1735) qui l'ont emprunté au grec Μάντις « prophétesse, devineresse », qui désigne déjà cet insecte chez Théocrite. C'est sans doute son attitude hiératique qui a donné ce nom à cet insecte. La tradition chrétienne a redoublé ce nom en ajoutant l'adjectif « religieuse » en raison de ses pattes antérieures qu’elle replie comme pour prier (quand elle est à l’affût d’une proie). L'appellation provençale de "Prie Dieu" (Pregadiu) est également utilisée.