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Photographie | Biologie marine | Mer Rouge | Algues | Dessins et plans | Tridacna Maxima | Bénitiers | Coquillages comestibles | Coquillages | Bivalves | Mollusques bivalves | abcd-six-minutes-pour-la-mer-rouge | Gravure | Récifs | Acropora | Récifs coralliens -- Biologie | Algues marines | Acropores | Photosynthèse | Écologie des récifs coralliens | ...
Algues marines en 1866. Source : http://data.abuledu.org/URI/59447865-algues-marines-en-1866

Algues marines en 1866

Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche IV, Algues marines. Tetraspora gelatinosa, Callithamnium corymbosum, Plocamium vulgaire, Polysiphonia fibrata, Rivularia nitida, Delesseria hypoglossum, Chondrus crispus, Laminaria saccharina, Chorda filum, Laminaria digitata.

Algues sur la plage. Source : http://data.abuledu.org/URI/56db2cae-algues-sur-la-plage

Algues sur la plage

Algues sur la plage.

Algues sur la plage. Source : http://data.abuledu.org/URI/56db2d45-algues-sur-la-plage

Algues sur la plage

Algues sur la plage.

Cycle de vie d'une algue verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df5f30-cycle-de-vie-d-une-algue-verte

Cycle de vie d'une algue verte

Cycle de vie de l'algue verte Acetabularia : Les acétabulaires sont des algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament (5) qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau (6) qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale (7) du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0c91c-cycle-de-vie-de-l-acetabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire

Cycle de vie des acétabulaires (genre Acetabularia), algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elles utilisent pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant. Source : wikipedia, Acétabulaire_(biologie).

Différentes sortes d'algues. Source : http://data.abuledu.org/URI/519d5235-differentes-sortes-d-algues

Différentes sortes d'algues

Différentes sortes d'algues. Illustration de Adolphe Millot (1857-1921) dans "Larousse pour tous" 1907-1910. n1. Sargassum bacciferum ; 2. Hormosira Banskii ; 3. Fucus vesicolosus ; 4. Fucus serratus ; 5. Dictyota atomaria ; 6. Homoestrichus Sainclairii ; 7. Padina pavonia ; 8. Zanardinia collaris ; 9. Saccorhiza bulbosa ; 10. Alaria esculenta ; 11. Agarum Gmelini ; 12. Thalassiophylum clathrus ; 13. Laminaria longissima ; 14. Laminaria saccharina ; 15. Lessonia fuscescens ; 16. Nereocystis Luetkeana ; 17. Macrocystis prifera ; 18. Stypocaulon scoparium ; 19. Porphyra laciniata ; 20. Phyllophora membranifolia ; 21. Callophyllis laciniata ; 22. Rhodymenia Palmetta ; 23. Nitophyllum Gmelini ; 24. Nitophyllum punctatum ; 25. Nitophyllum Crozieri ; 26. Delesseria sanguinea ; 27. Glossopteris Lyallii ; 28. Schizoneura quercifolia ; 29. Claudea elegans ; 30. Odonthalia dentata ; 31. Laurencia caespitosa ; 32. Cladhymenia Lyallii ; 33. Pterosiphonia parasitica ; 34. Polyzonia elegans ; 35. Polyides rotundus ; 36. Corallina officinalis ; 37. Corallina rubens ; 38. Lithophyllum fasciculatum ; 39. Chaetomorpha Darwinii ; 40. Ulva latissima ; 41. Ulva Cornucopiae ; 42. Struvea plumosa ; 43. Caulerpa cactoides ; 44. Caulerpa scalpelliformis ; 45. Acetabularia mediterranea ; 46. Valonia utricularis ; 47. Halymeda macroloba.

Eco-sphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dc457-eco-sphere

Eco-sphère

Eco-sphère, petit globe de verre qui reproduit le cycle de vie sur terre. Cet objet de décoration est le fruit de recherches de la NASA. Les hommes à l'origine de cette recherche sont le Dr. Joe Hanson et le Dr. Clair Folsome. Dans une éco-sphère on retrouve : 1) des crevettes (espèce choisie car non agressive) ; 2) de l'eau de mer filtrée ; 3) des algues ; 4) des gorgones ; 5) des cailloux ; 6) et de l'air (contenant du dioxygène et du dioxyde de carbone).

La petite sirène d'Andersen - 0. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca4992-la-petite-sirene-d-andersen-0

La petite sirène d'Andersen - 0

Frontispice de "La petite sirène", conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 03.

Lichen et symbiose. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543d839-lichen-et-symbiose

Lichen et symbiose

Lichen et symbiose. Le lichen est un exemple d'association symbiotique de deux espèces de règnes différents : une algue unicellulaire ou une cyanobactérie, et un champignon. L'algue retire de la relation un apport important en eau et en sels minéraux ainsi qu'un gîte. Le champignon, hétérotrophe, retire le glucose nécessaire à sa croissance que produit l'algue par la photosynthèse. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbiose

Planche botanique Deyrolle du thalle des algues. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f8292f-planche-botanique-deyrolle-du-thalle-des-algues

Planche botanique Deyrolle du thalle des algues

Planche botanique Deyrolle du thalle des algues.

Plantes de la mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dea3b-plantes-de-la-mer

Plantes de la mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.228 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES DE LA MER. - Sous la mer, il existe des montagnes et des vallées, des vallées impénétrables, de vastes prairies où viennent brouter les animaux marins. Les principales plantes de la mer sont les algues et les varechs. On y trouve aussi un grand nombre d'animaux-plantes, comme le corail et la méduse représentés dans la gravure.

Répartition mondiale des posidonies. Source : http://data.abuledu.org/URI/5412a924-repartition-mondiale-des-posidonies

Répartition mondiale des posidonies

Répartition mondiale du genre Posidonia (adapté de den Hartog 1970, et de Phillips et Menez 1988). On explique la présence de deux populations de Posidonia dans deux région antipodes comme suit : pendant des millions d'années, les côtes des actuels continents européen, africain et australien se sont séparées et donc les espèces d'origine, qui vivaient dans la mer Téthys et composaient les populations de Posidonia du crétacée, se sont retrouvées séparées les unes des autres par des milliers de kilomètres. Chaque population a évolué indépendamment constituant les espèces actuelles. Les populations intermédiaires se sont éteintes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Posidonie

Algues brunes en 1866. Source : http://data.abuledu.org/URI/5943d2c5-algues-brunes-en-1866

Algues brunes en 1866

Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche III, Flore marine d'après Gudin. Dictyota dichotoma (algues brunes), Padina pavonica (padine Queue-de-paon), Saccharina latissima (Laminaire sucrée ou Baudrier de Neptune), Alaria esculenta (comestible), Laminaria digitata (laminaire digitée ou goémon de coupe), Macrocystis pyrifera (algues géantes dites kelp), Lessonia fuscescens, Lessonia ovata, Macrocystis luxurians.

Algues en bord de plage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5412116d-algues-en-bord-de-plage

Algues en bord de plage

Algues récupérées en bord de plage au printemps.

Algues sur la plage. Source : http://data.abuledu.org/URI/56db2d71-algues-sur-la-plage

Algues sur la plage

Algues sur la plage.

Alligator. Source : http://data.abuledu.org/URI/50feb6f3-alligator

Alligator

Les alligators sont caractérisés par un museau plus large que celui des crocodiles. Les deux espèces qui existent ont également tendance à être de couleur plus sombre, souvent presque noire, mais la couleur dépend beaucoup de l'eau. Les eaux chargées en algues produisent des alligators verts ; les alligators venant d'eaux contenant beaucoup d'acide tannique en provenance des arbres qui les surplombent sont souvent plus sombres (mais l'alligator chinois présente un dessin assez clair). De plus, chez les alligators, seules les dents supérieures sont visibles quand ils ferment les mâchoires, au contraire des crocodiles, dont on peut voir les dents supérieures et inférieures. Toutefois, de nombreux individus présentent des difformités dans les mâchoires, ce qui complique ce moyen d'identification.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55381fe1-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55381ff3-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538200b-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382018-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538202d-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382049-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382061-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538207d-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Caricature d'un navire collecteur de tapis d'algues. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c858be-caricature-d-un-navire-collecteur-dde-tapis-d-algues

Caricature d'un navire collecteur de tapis d'algues

Caricature d'un navire collecteur d'algues. NO SMOKING = Interdiction de fumer. Voir les tapis d'algues dans la mer des Sargasses.

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549fdd-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549ff5-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes telles que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Cycle de croissance de la grenouille. Source : http://data.abuledu.org/URI/53519fc5-cycle-de-croissance-de-la-grenouille

Cycle de croissance de la grenouille

Cycle de croissance de la grenouille : 1) Avant l'éclosion ; 2) Larves juste après l'éclosion s'accrochant à des algues ; 3) Avec des branchies extérieures ; 4) Les branchies extérieures sont recouvertes et sont absorbées ; 5) Larves sans membres d'environ un mois avec des branchies internes ; 6) Têtard avec jambes arrières, d'environ deux mois ; 7) Avec les jambes avant qui paraissent ; 8) Avec les quatre jambes libres ; 9) Une jeune grenouille d'environ trois mois, montrant une absorption presque totale de la queue ainsi que le changement de la gueule de têtard en celle de grenouille.

Cycle de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7ad20-cycle-de-l-acetabulaire

Cycle de l'acétabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire, algue verte unicellulaire. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Dessin de poisson pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/552c398f-dessin-de-poisson-pierre

Dessin de poisson pierre

Dessin de poisson pierre (Synanceia verrucosa) par J. F. Hennig, Illustrations de Ichtyologie ou histoire naturelle générale et particulière des Poissons, 1795-97, Berlin. Le poisson-pierre adulte mesure entre trente et quarante centimètres. Son corps globuleux est plus ou moins informe, flasque, boursouflé et est couvert d'excroissances cutanées verruqueuses. Il est d'une couleur blanche à violette (mais le plus souvent brune, jaunâtre ou rosâtre) qui est difficilement définissable parce qu'il présente la particularité de se confondre avec son environnement. Irrégulière, sa peau dépourvue d'écailles sécrète en effet un mucus capable de retenir les débris coralliens et les algues emportés par le courant : ce camouflage le rend généralement presque parfaitement indétectable au milieu des roches couvertes d'algues. Le poisson-pierre est surtout doté au sommet de son corps de 13 courtes épines dorsales reliées à des glandes à venin, qu'il peut dresser très rapidement pour piquer un éventuel agresseur et injecter ses toxines extrêmement puissantes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Poisson-pierre

Diatomées vues au microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e92d-diatomees-vues-au-microscope

Diatomées vues au microscope

Diatomées, groupe phytoplanctonique le plus répandu. Les Bacillariophyta (diatomées) sont des microalgues unicellulaires planctoniques (de 2 μm à 1 mm) présentes dans tous les milieux aquatiques (avec une préférence pour les eaux froides) et enveloppées par un squelette externe siliceux. Elles peuvent vivre isolées ou en colonie, être libres ou fixées. Les formes pélagiques appartiennent au phytoplancton, les formes benthiques appartiennent au microphytobenthos. Les diatomées sont un constituant majeur du phytoplancton et jouent donc un rôle primordial dans la vie des écosystèmes marins, à l'origine des réseaux alimentaires de nombreuses espèces. Environ 100 000 espèces sont répertoriées, mais elles pourraient être bien plus nombreuses. À l'inverse des écosystèmes terrestres, la productivité des écosystèmes océaniques est principalement assurée par les algues avec une faible contribution des plantes vasculaires. Les algues englobent une grande variété d'organismes allant de simples organismes unicellulaires à des organismes plus complexes comme les macroalgues. Les plantes vasculaires se limitent aux herbiers. La majorité de la productivité océanique est assurée par le phytoplancton. On estime qu'il est à lui seul responsable de 75% de la production primaire océanique3, les autres autotrophes (herbiers et macroalgues) étant souvent limités à des zones restreintes de l'océan : les zones côtières où les eaux sont peu profondes et suffisamment lumineuses.

Évolution de l'atmosphère terrestre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be1ccd-evolution-de-l-atmosphere-terrestre

Évolution de l'atmosphère terrestre

Évolution des teneurs connues de CO2 de l'atmosphère terrestre. (Pour rendre ces variations plus visibles, l'échelle temporelle n'est pas linéaire) : Variations dans le temps de la vapeur d'eau, du CO2 (deux gaz à effet de serre) et de l'oxygène, produit par les algues, bactéries photosynthétiques et plantes(qui ont permis d'importants puits de carbone et la production de la couche d'Ozone protectrice). D'après les données réunies par le "Journal pour la Science" pour un dossier sur l'atmosphère publié en 1996.

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Nid d'hirondelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b62e5-nid-d-hirondelles

Nid d'hirondelles

Nid d'hirondelles avec petits et oeufs. Le nid en forme de demi-coupe, qui a un diamètre de 22 cm pour 11 cm de profondeur, est adossé à une solive ou à un quelconque autre élément vertical. Le nid est bâti par le mâle et la femelle, plus souvent par la femelle seule, avec des morceaux de boue qu'elle malaxe pour former de petites boules, et consolidés avec des herbes, de la paille, des algues ou d'autres matériaux. Une fois le nid terminé, il est garni de plumes et de duvet, les hirondelles récupérant souvent des plumes de poule, afin de lui donner un aspect plus douillet. La femelle pond entre 2 et 7, généralement 4 ou 5, œufs blancs à petits points roux et gris. Les œufs mesurent entre 20 et 14 mm, pour un poids de 1,9 g, dont 5 % de coquille.

Producteurs primaires terrestres et océaniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e7c5-producteurs-primaires-terrestres-et-oceaniques

Producteurs primaires terrestres et océaniques

Répartition des producteurs primaires terrestres (de vert à marron) et océaniques (de bleu à violet), de Septembre 1997 au mois d'Août 2000. Estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Issu du projet SeaWiFS, de la NASA/Goddard Space Flight Center et de ORBIMAGE. La productivité primaire traduit la vitesse à laquelle se forme par unité de temps, une quantité donnée de matière organique à partir de matière minérale et d'un apport d'énergie. C'est un flux exprimé en masse de carbone assimilé par unité de temps1. Cette production de matière organique s'effectue principalement grâce à la photosynthèse (la chimiosynthèse étant beaucoup moins répandue). Dans un écosystème, la productivité primaire est réalisée par les producteurs primaires également appelés autotrophes. Il s'agit du premier maillon d'une chaine alimentaire dans un réseau trophique. Les producteurs primaires sont principalement des plantes dans les écosystèmes terrestres et des algues dans les écosystèmes aquatiques. On appelle production primaire l'énergie qui est accumulée par la productivité primaire.

Schéma d'un Chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/5214c92a-schema-d-un-chloroplaste

Schéma d'un Chloroplaste

Schème de chloroplaste d'une plante supérieure. Les chloroplastes sont des organites présents dans le cytoplasme des cellules eucaryotes photosynthètique (plantes, algues). Ils sont sensibles aux expositions des différentes ondes du spectre lumineux. Ils jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement d'une cellule végétale car ils permettent de capter la lumière à l'origine de la photosynthèse. Par l'intermédiaire de la chlorophylle qu'ils possèdent et de leurs ultrastructures, ces organites sont capables de transférer l'énergie véhiculée par les photons à des molécules chimiques (eau). Les chloroplastes jouent un rôle important dans le cycle du carbone, par la transformation du carbone atmosphérique en carbone organique. Les chloroplastes appartiennent à une famille d'organites appelés les plastes ; ceux-ci sont le fruit de l'endosymbiose d'une cyanobactérie, il y a environ 1,5 milliard d'années.

Structure de la chlorophylle a, b et d. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41886-structure-de-la-chlorophylle-a-b-et-d

Structure de la chlorophylle a, b et d

Il existe plusieurs formes de chlorophylle différentiables selon leur structure chimique : 1) La chlorophylle a (symbole : « chla » ) est le pigment photosynthétique le plus commun du règne végétal. La mesure de sa concentration dans l'eau est utilisée comme indicateur de la quantité de plancton végétal (phytoplancton, base principale du réseau trophique aquatique). Les taux de l'eau en chlorophylle sont donnés en µg chla/L. 2) La chlorophylle b se trouve chez les cormophytes (végétaux supérieurs) et les chlorophycées (algues vertes). 3) La chlorophylle d, identifiée en 1943 et retrouvée chez certaines cyanobactéries (parfois dites algues bleues).

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d6a-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d89-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549da0-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Zooplancton. Source : http://data.abuledu.org/URI/507fb383-zooplancton

Zooplancton

le plancton est l'ensemble des petits organismes vivant dans les eaux douces, saumâtres et salées, le plus souvent en suspension et apparemment passivement : gamètes, larves, animaux inaptes à lutter contre le courant (petits crustacés planctoniques et méduses), végétaux et algues microscopiques.