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Biologie | Dessins et plans | Photographie | Insectes | Mantes religieuses | Mantes (insectes) | Anatomie | Herbivores | Escargots | Main | Antarctique | Accouplement (comportement animal) | Araignées | Anatomie humaine | Animaux pélagiques | Crevettes | Krill | Arbres phylogénétiques | Archaea | Bactéries | ...
Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Accouplement de deux mantes religieuses. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5a318-accouplement-de-deux-mantes-religieuses

Accouplement de deux mantes religieuses

Accouplement de deux mantes religieuses. En Europe, la mante religieuse devenue adulte s'accouple d'août à octobre. Le mâle, comme tout animal s'approchant d'une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation. Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation.

Allergie et dégradation mastocytaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf6dc9-allergie-et-degradation-mastocytaire

Allergie et dégradation mastocytaire

Processus de dégranulation mastocytaire à l'origine des réactions d'hypersensibilité immédiate : 1-Antigène ; 2-Anticorps IgE ; 3-Récepteur FcεRI ; 4-médiateurs préformés, histamine, peptidase, chémokine, héparine ; 5-granules ; 6-Mastocyte ; 7-nouveaux médiateurs, Prostaglandine, Leucotriène, Thromboxane, PAF)

Anatomie d'un escargot. Source : http://data.abuledu.org/URI/51afa570-anatomie-d-un-escargot

Anatomie d'un escargot

Anatomie d'un escargot.

Anatomie d'une araignée femelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/519dcfd5-anatomie-d-une-araignee-femelle

Anatomie d'une araignée femelle

Schéma de l'anatomie d'une araignée femelle à deux poumons légendé en français. Source : "The Spider Book" (1912, 1920) par John Henry Comstock, et "Biology of Spiders" (1996) par Rainer F. Foelix.

Anatomie d'une araignée femelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/519dd48a-anatomie-d-une-araignee-femelle

Anatomie d'une araignée femelle

Schéma montrant l'anatomie interne d'une araignée femelle à deux poumons. Schéma numéroté.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1c88-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1d1b-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Anatomie de la main, avec légende. Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e462ed-anatomie-du-krill-antarctique

Anatomie du krill antarctique

Anatomie du krill antarctique, schéma de Uwe_Kils/klages/part1 Kils & Klages 1979 légendé en français : intestin, hépatopancréas, oeil composé ; telson, pléopodes, thoracopodes ; organes bioluminescents, branchies, soies.

Arbre phylogénétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209dbbd-arbre-phylogenetique

Arbre phylogénétique

Arbre phylogénétique hypothétique de tous les organismes vivants. L'arbre est basé sur des séquences de l'ARNr 16S. À l'origine proposé par Carl Woese, il montre l'histoire évolutive des trois domaines du vivant (bactéries, archaea et eucaryotes).

Arbre Phylogénétique de la vie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51afaa95-arbre-phylogenetique-de-la-vie

Arbre Phylogénétique de la vie

Arbre phylogénétique hypothétique de tous les organismes vivants. L'arbre est basé sur des séquences de l'ARNr 16S. À l'origine proposé par Carl Woese, il montre l'histoire évolutive des trois domaines du vivant (bactéries, archaea et eucaryotes). Carl Richard Woese (1928–2012) est un microbiologiste américain, connu principalement pour ses travaux de phylogénie moléculaire du vivant et pour la définition, en 1977, du domaine Archaea (un des trois domaines ou règnes primaires du vivant). Il réalise de telles découvertes par l'analyse phylogénétique de la séquence de l'ARN ribosomique 16S, une technique qu'il mit au point avec ses collaborateurs et qui est de nos jours celle employée pour classer toute nouvelle espèce bactérienne ou archée. Il a également proposé en 1967 l'antériorité de l'ARN sur l'ADN, théorie reprise en 1986 par Walter Gilbert sous le nom de RNA world.

Biche et deux faons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa6e4e-biche-et-deux-faons

Biche et deux faons

Biche et ses deux faons (cerf de Virginie, Odocoileus virginianus) broutant un arbre. Certains herbivores consomment volontiers les feuillages de diverses essences, mais les arbres ainsi « attaqués » peuvent se défendre en produisant des tanins amers qui rendent leurs feuillages moins appétents.

Carte de répartition du goémon noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/548d7bfb-carte-de-repartition-du-goemon-noir

Carte de répartition du goémon noir

Carte de répartition du goémon noir (Ascophyllum nodosum). Sources : NGDC World Coast Line (public domain) ; références géographiques : T. Belsher, Étude bibliographique de quelques espèces planctoniques et benthiques de la Manche, vol. 4, 1986, IFREMER/EDF.

Cerf élaphe. Source : http://data.abuledu.org/URI/582cc008-cerf-elaphe

Cerf élaphe

Cerf élaphe (cervus elaphus).

Chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9b306-chaine-alimentaire

Chaîne alimentaire

Chaînes alimentaires en mer et sur terre : circulation de l'énergie. En écologie, une biocénose est l'ensemble des êtres vivants coexistant dans un espace défini (le biotope). On a l'habitude de diviser la biocénose en deux : la phytocénose, qui regroupe les espèces végétales ; la zoocénose, qui regroupe les espèces animales.

Chaînes alimentaires. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d8ef-chaines-alimentaires

Chaînes alimentaires

Deux chaînes alimentaires, en milieu marin et terrestre.

Cheville. Source : http://data.abuledu.org/URI/5385aa00-cheville

Cheville

Cheville, vue de côté extérieur.

Collection de mollusques fossiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/584ff550-collection-de-mollusques-fossiles

Collection de mollusques fossiles

Collection de mollusques fossiles de F.C. van Heurn, Naturalis, Leyde (Pays-Bas).

Combat de deux geckos sur un tronc de bananier. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d062d8-combat-de-deux-geckos-sur-un-tronc-de-bananier

Combat de deux geckos sur un tronc de bananier

Deux geckos diurnes à poussière d'or (Phelsuma laticauda) en train de se battre sur un bananier (Musa acuminata) du centre-ville de Saint-Denis de la Réunion.

Cours de biologie au Sénégal. Source : http://data.abuledu.org/URI/54934cbf-cours-de-biologie-au-senegal

Cours de biologie au Sénégal

Cours de biologie (Médecins du Monde) à Diaobé, Haute Casamance (région de Kolda, Sénégal).

Crâne de castor. Source : http://data.abuledu.org/URI/58390525-crane-de-castor

Crâne de castor

Castor canadien (Castor canadensis) - Deux vues du même crâne - Canada.

Crane de crocodile. Source : http://data.abuledu.org/URI/58390255-crane-de-crocodile

Crane de crocodile

Spécimen de crane de crocodile (Crocodylidae) exposé au musée de l'anatomie vétérinaire, FMVZ USP au Brésil.

Crâne et mandibule d'alligator. Source : http://data.abuledu.org/URI/58390310-crane-et-mandibule-d-alligator

Crâne et mandibule d'alligator

Alligator d'Amérique (Alligator mississippiensis) : Crâne et mandibule (47cm).

Cycle de vie d'une algue verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df5f30-cycle-de-vie-d-une-algue-verte

Cycle de vie d'une algue verte

Cycle de vie de l'algue verte Acetabularia : Les acétabulaires sont des algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament (5) qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau (6) qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale (7) du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0c91c-cycle-de-vie-de-l-acetabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire

Cycle de vie des acétabulaires (genre Acetabularia), algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elles utilisent pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant. Source : wikipedia, Acétabulaire_(biologie).

Cycle de vie du ténia. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6a806-cycle-de-vie-du-tenia

Cycle de vie du ténia

L'échinococcose est une zoonose provoquée par un ver plat échinocoque. En Europe, il s'agit principalement d'Echinococcus multilocularis. L'homme se contamine accidentellement par contact direct (exemple : léchage par les chiens et chats, ou en les laissant manger dans nos assiettes) ou indirect (avec chien ou chat principalement, et éventuellement un renard ou autres canidés) aboutissant à l'ingestion d'œufs (microscopiques) du parasite. Source : United States Centres for Disease Control Parasitology Identification Laboratory.

Deux cochons au repos. Source : http://data.abuledu.org/URI/51afb7d2-deux-cochons-au-repos

Deux cochons au repos

Deux porcs au repos (Sus domesticus).

Escargot brésilien mangeant une feuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa7861-escargot-bresilien-mangeant-une-feuille

Escargot brésilien mangeant une feuille

Escargot brésilien mangeant une feuille. Les escargots disposent d'une ou deux paires de tentacules rétractiles, appelés cornes ou « antennes » dans le langage familier. Dans la partie supérieure de la tête la première paire de «cornes» abrite les yeux mais la vue est un sens peu utilisé par les escargots. Ils possèdent surtout un bulbe olfactif sous l'œil et la deuxième paire de tentacules est un organe olfactif et tactile (épithélium) qui est en revanche très utilisé.

Estomac de l'homme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df4de4-estomac-de-l-homme

Estomac de l'homme

Estomac de l'homme (schéma non légendé) : 1) Oésophage 2) Cardia 3) Fundus 4) Membrane muqueuse 5) Muscles 6) Muqueuse gastrique 7) Sillons gastriques 8) Antre 9) Pylore 10) Duodenum.

Étoile de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/528fdd0f-etoile-de-mer

Étoile de mer

Coupe non légendée d'une étoile de mer (Asterias rubens) : 1) Estomac pylorique, 2) Intestin, 3) Glande rectale, 4) Canal hydrophore, 5) Madréporite, 6) Canal pylorique, 7) Caecum pylorique, 8) Estomac cardiaque, 9) Gonade, 10) Osselets ambulacraires, 11) Ampoules.

Flacon à Col de cygne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52befdae-flacon-a-col-de-cygne

Flacon à Col de cygne

Le célèbre "Flacon à col de Cygne". Depuis 1860, le bouillon qu'il contient, en contact avec l'air extérieur, est resté stérile. Illustration de la bouteille à col de cygne utilisée dans les expériences de Pasteur pour réfuter la génération spontanée.

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Hibernation d'un escargot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa791e-hibernation-d-un-escargot-

Hibernation d'un escargot

Escargot (Helix pomatia) ayant formé son épiphragme pour l'hiver. Les escargots terrestres ne sont actifs que lorsque l’humidité est suffisamment élevée. Dans le cas contraire, l’animal se rétracte à l’intérieur de sa coquille qu’il obture par un voile muqueux (courte inactivité) ou par un épiphragme, ce qui lui évite la déshydratation. La photopériode et la température sont des variables saisonnières qui induisent les états d'inactivité. Hibernation et estivation sont des réponses à des stress environnementaux prévisibles. Chaque espèce présente une stratégie adaptée pour résister à ces stress. L'épiphragme est un bouchon de mucus, plus ou moins imprégné de calcaire, qui durcit en séchant.

Immunoglobuline. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf7013-immunoglobuline

Immunoglobuline

Un anticorps possède quatre domaines variables situés aux extrémités des deux « bras ». L'association entre un domaine variable porté par une chaîne lourde (VH) et le domaine variable adjacent porté par une chaîne légère (VL) constitue le site de reconnaissance (ou paratope) de l'antigène. Ainsi, une molécule d'immunoglobuline possède deux sites de liaison à l'antigène, un au bout de chaque bras. Ces deux sites sont identiques (mais destinés à différents épitopes), d'où la possibilité de lier deux molécules d'antigène par anticorps. Immunoglobuline : 1. Fragment Fab ( Il a la même affinité pour l'antigène que l'anticorps complet, il est formé de la chaîne légère en entier (VL+CL) et d'une partie de la chaîne lourde (VH+CH1). Il est monovalent), 2. Fragment Fc (cristallisable) : il est le support des propriétés biologiques de l'immunoglobuline, en particulier sa capacité à être reconnue par des effecteurs de l'immunité ou à activer le complément. Il est constitué des fragments constants des chaînes lourdes (CH2) au-delà de la région charnière (hinge). Il ne reconnaît pas l'antigène, 3. Chaîne lourde (en bleu) avec une région variable (VH) suivie d'une région constante (CH1), une région charnière, et deux autres régions constantes (CH2 and CH3), 4. Chaîne légère (en vert) avec une région variable (VL) et une constante (CL), 5. Paratope, 6. Régions charnières.

Impala et oiseau pique-boeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e63f20-impala-et-oiseau

Impala et oiseau pique-boeuf

Association entre un Impala (Aepyceros melampus) au Parc National Mikumi, et un pique-boeuf (Buphagus erythrorhynchus) : dans cette entente mutuelle, le pique-bœuf se nourrit sur le corps de l'impala, qui est débarrassé des parasites et des tiques, et averti en cas de danger par les cris de l'oiseau. L’impala est un ruminant et est donc herbivore. L’alimentation de l’impala est très simple et se résume à pratiquement toutes formes d’herbes, de feuilles et même de fleurs. Cette alimentation a un impact sur sa denture qui ne contient que des molaires (légèrement plus pointues à l’avant). On le retrouve principalement à l’est de l’Afrique centrale et du sud (notamment en Afrique du Sud, en Angola, en République démocratique du Congo, au Rwanda, en Ouganda et au Kenya).

Insecte posé sur une fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5398e7a5-hoverfly-april-2008-1-jpg

Insecte posé sur une fleur

Syrphe femelle (Episyrphus balteatus) se nourrissant de fleur d'Hebe.

Insecte posé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5398e707-insecte-pose-sur-une-paquerette

Insecte posé sur une pâquerette

Le Syrphe ceinturé ou Syrphe à ceinture(s) (Episyrphus balteatus) est un insecte volant de l'ordre des diptères. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9

La douve de Chine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6a594-la-douve-de-chine

La douve de Chine

Cycle de vie du ver, la douve de Chine (Clonorchis sinensis), parasite du porc, du chat et du chien ; transmissible à l'homme et responsable de la distomatose hépatique d'Extrême-Orient : parasitose hépatique la plus fréquente du monde. Elle est endémique en Extrême-Orient. Son importance tient autant de la forte proportion des atteintes (40 % de la population en moyenne, 100 % dans certains foyers) qu'à leur gravité habituelle en zones d'endémie où les réinfestations sont constantes.

La mante religieuse en été. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d52a8-la-mante-religieuse-en-ete

La mante religieuse en été

De l'oothèque à l'accouplement, le cycle de vie de la mante religieuse, à partir des observations de Jean-Henri Fabre (1829-1915), Souvenirs entomologiques. Niveau cycle 3 ; 943 mots.

Lamantin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa726f-lamantin

Lamantin

Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».

Le cycle du manchot empereur. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d659c-le-cycle-du-manchot-empereur

Le cycle du manchot empereur

Description du cycle de vie du manchot empereur. Niveau CE1-CE2. 863 mots.

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Les espèces de goélands autour de l'arctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6dd0-les-especes-de-goelands-autour-de-l-arctique

Les espèces de goélands autour de l'arctique

Exemple de variation clinale de l'espèce Goéland autour de l'arctique. 1 : Larus fuscus (Goéland brun) ; 2 : Population sibérienne de Larus fuscus ; 3 : Larus fuscus heuglini ou Larus heuglini ; 4 : Larus argentatus birulai ; 5 : Larus argentatus vegae ou Larus vegae (Goéland de la Véga) ; 6 : Larus argentatus smithsonianus ou Larus smithsonianus (Goéland hudsonien) ; 7 : Larus argentatus (Goéland argenté). La variation clinale est un type de spéciation par distance, elle illustre ce qui se passe au fil du temps lorsque des populations divergent génétiquement mais représente un cas particulier dans le sens où elle montre sur des populations en vie ce qui se déroule habituellement entre des populations ancestrales depuis longtemps éteintes et des populations en vie. La variation clinale est un exemple pratique de la difficulté à définir précisément les critères du concept d'espèce, même en se limitant à une définition simplifiée basée sur l'interfécondité.

Les os de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52913340-les-os-de-la-main

Les os de la main

Les os de la main.

Limace dans un jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa73a0-limace-dans-un-jardin

Limace dans un jardin

Limace (Arion vulgaris) dans un jardin se nourrissant d'herbe.

Malacostracé. Source : http://data.abuledu.org/URI/52907ad7-malacostrace

Malacostracé

Les Malacostraca — on dit aussi Malacostracea (Malacostracés) — (du grec malakós 'mou' et óstrakon 'coquille') sont une classe de crustacés dits « supérieurs ». On les opposait autrefois aux autres crustacés, dits « inférieurs » (ancienne classe des entomostraca). Ils ont la tête soudée au thorax et distinct de l’abdomen, tels que les homards, les crabes, les squilles. Ils sont généralement de grande taille. Ils ont 21 segments (sauf les phyllocarides) et possèdent 19 paires d’appendices, ainsi que des yeux pédonculés. La forme nauplius (larve) évolue chez eux, avant le stade imaginal, en diverses formes qui sont appelées successivement : métanauplius, zoé, mégalope, mysis. Les larves des péracarides s'appellent « manca ».

Mante religieuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5a4dc-mante-religieuse

Mante religieuse

Cette mante religieuse, en prenant brusquement cette posture d'intimidation, a mis en fuite un lézard qui pensait la mettre à son menu.

Mante religieuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5b067-mante-religieuse-

Mante religieuse

Larve de mante religieuse (approx :6 mm) au sortir de l'oothèque qui protège les oeufs : au printemps (mai, juin) une centaine de larves émergent de l'oothèque. Chacune d'entre elles est confinée dans une très fine membrane, et après s'en être libérée (opération considérée comme une première mue), elle ressemblera en tous points à l'adulte. Celles-ci sont par ailleurs des proies faciles. Une araignée, des fourmis, des lézards ou même des oiseaux peuvent ainsi attaquer les nouveau-nés dès l'éclosion. Après six métamorphoses successives, l'insecte adulte porte des ailes, absentes jusque-là.

Mante religieuse à la fenêtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5a414-mante-religieuse-a-la-fenetre

Mante religieuse à la fenêtre

Mante religieuse bicolore à la fenêtre. Le nom de « mante » provient du latin des naturalistes, mantis (attesté dès Linné en 1735) qui l'ont emprunté au grec Μάντις « prophétesse, devineresse », qui désigne déjà cet insecte chez Théocrite. C'est sans doute son attitude hiératique qui a donné ce nom à cet insecte. La tradition chrétienne a redoublé ce nom en ajoutant l'adjectif « religieuse » en raison de ses pattes antérieures qu’elle replie comme pour prier (quand elle est à l’affût d’une proie). L'appellation provençale de "Prie Dieu" (Pregadiu) est également utilisée.

Mante religieuse accrochée à un cactus. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5b387-mante-religieuse-accrochee-a-un-cactus

Mante religieuse accrochée à un cactus

Mante religieuse accrochée à un cactus : Ses pattes avant, appelées « ravisseuses », portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement. Elles servent à attraper les proies parfois volumineuses (jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris, et peuvent parfois faire des blessures plus ou moins importantes à la peau humaine) ou à accrocher la végétation afin de se hisser.