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Photographie | Mammifères herbivores | Herbivores | Antilopes | Vertébrés herbivores | Dinosaures | Biologie | Dessins et plans | Ruminants | Élans | Biologie animale | Mammifères | Plantes aquatiques | Triceratops | bovidés | Chèvre domestique -- Élevage | Alpes | Herbiers | Animaux | Mouflons | ...
Achelousaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf3c55-achelousaurus

Achelousaurus

Reconstitution artistique d'un Achelousaurus, un genre de dinosaure du Crétacé tardif qui vivait en Amérique du Nord il y a 83 à 70 millions d’années. Il s'agissait d'un quadrupède herbivore avec un bec de perroquet, des bosses osseuses sur le museau et derrière les yeux et deux cornes à l'extrémité de sa longue collerette osseuse. Le crâne seul (collerette incluse) mesurait plus d'un mètre et demi ; le corps entier faisait environ 6 mètres. À cette taille, l'achélousaure était un cératopsien de taille moyenne. Il a été décrit par Sampson en 1995. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Achelousaurus.

Biche et deux faons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa6e4e-biche-et-deux-faons

Biche et deux faons

Biche et ses deux faons (cerf de Virginie, Odocoileus virginianus) broutant un arbre. Certains herbivores consomment volontiers les feuillages de diverses essences, mais les arbres ainsi « attaqués » peuvent se défendre en produisant des tanins amers qui rendent leurs feuillages moins appétents.

Boeuf musqué. Source : http://data.abuledu.org/URI/51338409-boeuf-musque

Boeuf musqué

Gros-plan sur un boeuf musqué dans la neige. Le bœuf musqué est un herbivore se nourrissant d'épilobe, de carex et de diverses herbes. Il gratte la neige avec ses sabots pour pouvoir atteindre ces plantes. L'hiver, il s'hydrate en avalant de la neige. Dans l'Arctique, il recherche les plaines et les vallées disposant de petits cours d'eau en été et préfère les collines et les plateaux l'hiver.

Chevreau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51025c4a-chevreau

Chevreau

Petit d’une chèvre.

chevrotain. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f3f7a-chevrotain

chevrotain

Les Chevrotains comptent parmi les plus petits des Ruminantia.

Comparaison de la taille humaine et d'un dinosaure. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339408d-comparaison-de-la-taille-humaine-et-d-un-dinosaure

Comparaison de la taille humaine et d'un dinosaure

Comparaison dans un quadrillage de la taille humaine et de celle d'un dinosaure Alamosaurus, grand herbivore mesurant 20 mètres de long, 7 mètres de haut et pesant 26 tonnes. Alamosaurus, comme les autres sauropodes, avait un long cou et une longue queue qui pouvait être en forme de fouet. Ce dinosaure avait une constitution relativement mince. Ses dents n'étaient pas appropriées à la mastication. Au lieu de cela, l'alimentation végétale était avalée et ensuite décomposée dans l'estomac. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alamosaurus

Crâne de Triceratops. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2dfc6-crane-de-triceratops

Crâne de Triceratops

Crâne de Triceratops.

Daim. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f3c90-daim

Daim

Le Daim européen (Dama dama) est un mammifère artiodactyle ruminant de la famille des cervidés, le mâle portant de grands bois plats et palmés.

Élevage extensif de rennes en Suède. Source : http://data.abuledu.org/URI/52080eb7-elevage-extensif-de-rennes-en-suede

Élevage extensif de rennes en Suède

Rennes en Suède : l'élevage extensif ou pâturage extensif (ranching pour les anglo-saxons) est une méthode d'élevage de bovins, ovins, etc. caractérisée par une faible densité de chargement d'effectifs d'animaux à l'hectare. Hormis le sel mais aussi le fourrage en cas de sécheresse, aucun apport supplémentaire de nourriture n'est requis, ce qui oppose ce mode d'élevage à l'élevage intensif. Il présente un grand intérêt pour la biodiversité, car les herbivores, ne surexploitent pas le milieu, ne contribuent pas à l'eutrophiser et entretiennent des milieux ouverts, tout en jouant un rôle de « corridors biologiques ambulant » (en transportant de nombreuses propagules (graines, spores, larves, etc.) sous leurs sabots, dans leurs poils, dans leur tube digestif…). C'est à ce titre un des modes de gestion restauratoire utilisée pour l'entretien et la restauration de milieux naturels ou semi naturels.

Escargot brésilien mangeant une feuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa7861-escargot-bresilien-mangeant-une-feuille

Escargot brésilien mangeant une feuille

Escargot brésilien mangeant une feuille. Les escargots disposent d'une ou deux paires de tentacules rétractiles, appelés cornes ou « antennes » dans le langage familier. Dans la partie supérieure de la tête la première paire de «cornes» abrite les yeux mais la vue est un sens peu utilisé par les escargots. Ils possèdent surtout un bulbe olfactif sous l'œil et la deuxième paire de tentacules est un organe olfactif et tactile (épithélium) qui est en revanche très utilisé.

Gazelle des sables. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c47e5-gazelle-des-sables

Gazelle des sables

Gazelle (Gazella leptoceros mâle). La gazelle leptocère, aussi appelée gazelle de Rhim, gazelle des sables ou gazelle à cornes fines, se rencontre dans les régions quasi désertiques d'Égypte, d'Algérie, du Tchad, du Mali, du Niger, du Soudan, de Tunisie et de Libye. Elle mesure environ 95 à 115 cm de long pour 58 à 72 cm au garrot, et a un poids de 14 à 30 kg (selon les individus). Elle arbore une robe pâle, de couleur sable qui se confond avec les milieux où elle vit. Son ventre est blanc et son dos beige fauve pâle. Sa tête est blanche avec quelques marques noires, les cornes, plus fines chez la femelle, sont presque droites, mesurant de 21 à 43 cm. et le bout de la queue est noir. En raison de la chaleur extrême de son environnement, elle s'alimente surtout la nuit et au petit matin. Elle peut alors exploiter la rosée qui s'est formée sur les feuilles et le contenu d'eau dans les plantes. Comme elle boit rarement, toute l'eau nécessaire est obtenue de cette façon. La gazelle des sables est une espèce nomade, errant dans les dunes à la recherche de végétation. Les mécanismes de rafraîchissement principaux sont dans son pelage blanc/sable réfléchissant et un passage nasal particulièrement adapté qui tient compte du rafraîchissement du sang. Malgré leurs apparences douces, les gazelles des sables deviennent agressives en captivité et les mâles luttent souvent avec acharnement en défendant les territoires qu'ils établissent. Très rapide à la course, sa vitesse atteint 72 km/h sur 700 mètres avec des pointes à 100 km/h sur de courtes distances.

Koudou. Source : http://data.abuledu.org/URI/507546d8-koudou

Koudou

Le Grand koudou, Tragelaphus strepsiceros, est un mammifère africain de la famille des bovidés. Son corps est strié de 13 ou 14 raies blanches verticales. Une tache blanche bien visible orne sa gorge et une barre blanche son poitrail. e chevron blanc entre ses yeux de velours et la tache blanche autour de sa bouche donnent du caractère à sa face sombre. Une courte crinière blanche qui court le long de son cou, de ses épaules et de son dos. Quant à sa tête, elle est couronnée de deux cornes divergentes qui s’enroulent gracieusement en trois spires. Les sabots du Grand koudou sont adaptés aux terrains accidentés. De ce fait, il a une course gauche et lente en terrain plat, mais il est rapide en terrain accidenté (rocheux, montagneux). C'est un excellent sauteur ; il peut franchir d'un bond des obstacles de 2,50 mètres de hauteur.

Lamantin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa726f-lamantin

Lamantin

Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».

Limace dans un jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa73a0-limace-dans-un-jardin

Limace dans un jardin

Limace (Arion vulgaris) dans un jardin se nourrissant d'herbe.

Rhinocéros blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50618881-rhinoceros-blanc

Rhinocéros blanc

Les rhinocéros sont des mammifères herbivores appartenant à la famille des Rhinocerotidae, ordre des périssodactyles. Toutes les espèces de rhinocéros sont considérées comme menacées de disparition. Le rhinocéros fait localement l'objet d'un programme ou de projets de réintroduction. Ils peuvent mesurer 5 m de long pour 1,80 m de hauteur, et un poids pouvant avoisiner les trois tonnes. Ce sont les plus gros mammifères terrestres actuels après l'éléphant. Comme l'éléphant, le rhinocéros barète ou barrit.

Taille du triceratops. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2e2e0-taille-du-triceratops

Taille du triceratops

Taille du triceratops, comparée à celle de l'homme.

Tortue verte broutant un herbier marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d061d5-tortue-verte-broutant-un-herbier-marin

Tortue verte broutant un herbier marin

Tortue verte (Chelonia mydas) broutant un herbier marin.

Tortue verte remontant à la surface. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184d22b-tortue-verte-remontant-a-la-surface

Tortue verte remontant à la surface

Tortue verte (Chelonia mydas) remontant à la surface pour respirer à Kona, Hawaii. Elles peuvent nager rapidement et plusieurs espèces sont capables de vitesses pouvant atteindre 35 km/h ; à la différence des tortues d’eau douce, elles avancent par l’action simultanée des membres antérieurs.

Troupe d'escargots à l'assaut d'une ombellifère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa7b40-troupe-d-escargots-a-l-assaut-d-une-ombellifere

Troupe d'escargots à l'assaut d'une ombellifère

Troupe d'escargots (Helicella) à l'assaut d'une ombellifère. Helicella est un escargot à coquille spiralée et plate, sa corpulence lui permet de se glisser entre les branches d'arbre sans trop de difficultés, cette dernière lui offre également un camouflage idéal, dans son environnement.

Vigogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5106391c-vigogne

Vigogne

La vigogne (Vicugna vicugna) est une espèce de mammifères d'Amérique du Sud qui vit sur les hauts plateaux de la cordillère des Andes. La laine de sa toison particulièrement fine est utilisée pour fabriquer des vêtements de luxe. C'est la seule espèce du genre Vicugna, au sein de la famille des camélidés.

Vigogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51064abb-vigogne

Vigogne

La vigogne (Vicugna vicugna) est une espèce de mammifères d'Amérique du Sud qui vit sur les hauts plateaux de la cordillère des Andes. La laine de sa toison particulièrement fine est utilisée pour fabriquer des vêtements de luxe. C'est la seule espèce du genre Vicugna, au sein de la famille des camélidés.

Vue frontale de Triceratops. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2e3ab-vue-frontale-de-triceratops

Vue frontale de Triceratops

Vue frontale de Triceratops, Muséum d'histoire naturelle du Smithsonian.

Alpaga. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae04b-alpaga

Alpaga

L'alpaga (Vicugna pacos) est un mammifère domestique membre de la famille des petits camélidés, comme le lama, le guanaco et la vigogne. Comme ces derniers, il rumine mais n'est pas classé dans la famille des ruminants. Les Alpagas sont des ruminants herbivores. Ils se nourrissent essentiellement d’herbes,de pommes, de carottes, de graines,de pailles… Ils peuvent manger tout type d’herbe, même celle ayant une qualité très basse. En effet, leur système digestif est beaucoup plus efficace que celui d’un autre mammifère ruminant. En outre, ils ont trois estomacs et non quatre comme tous les autres ruminants. La consommation moyenne de nourriture est de 1.5 à 2 kg par jour, et peut atteindre 3 kg pour une alpaga en gestation. Dans son milieu naturel, les Andes, en Amérique du Sud, l'alpaga vit à environ 4500 mètres d'altitude. Aujourd'hui, l'alpaga s'est exporté sur toute la planète. Des élevages se sont développés notamment, en Angleterre, Suisse, Australie et Canada.

Antilope Bongo. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d44ff-antilope-bongo-

Antilope Bongo

Bongo, espèce de grande antilope de forêt d’Afrique centrale, à cornes longues un peu en spirale, et à robe fauve avec des bandes claires verticales.

Antilope cervicapre. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6243-antilope-cervicapre

Antilope cervicapre

Antilope cervicapre, ou antilope indienne ou "Blackbuck" en anglais (fait référence à la coloration qu'arbore les mâles vers l'âge de la maturité). Vive, petite et légère, l'antilope cervicapre à une musculature sèche, ainsi que de longues pattes fines et des sabots frêles, serrés et très pointus, sa morphologie est donc idéale pour la course. Cette antilope vit dans les grandes plaines herbeuses, bois clairs, et les semi-déserts, en hardes dirigé par un mâle adulte avec des femelles (6 à 50) et leurs jeunes, les autres mâles sont maintenus à l'écart de la harde, les évincés forment des clubs de mâles. Le mâle dominant délimite son territoire par ses excréments et ses sécrétions du larmier (glande près de l'œil). Ruminant, herbivore, elle se nourrit d'herbes, de fleurs, de feuilles. Les prédateurs sont hommes et guépards indiens, (plus rarement loups, tigres et panthères), toutefois, elles sont extrêmement rapides : elles peuvent courir jusqu'à 80 / 90 km/h en moyenne sur 1,5 kilomètres de distance et atteindre 110 km/h en pointe sur une courte distance. Elles sont aussi rapides que le guépard mais plus endurantes, et font partie des mammifères terrestres les plus rapides du monde. Aussi marathoniennes, elles peuvent courir à 40 km/h sur une distance longue de 24 kilomètres au maximum. Très agiles, ces antilopes peuvent bondir dans les airs, jusqu'à 2 mètres de haut et 6 mètres en longueur. Elle est très craintive et fuit au moindre dérangement. Le jeu de saute-mouton fait partie de ses activités ludiques. Ses sens ne sont que moyennement développés, en effet, elle à une ouïe et un odorat plutôt faibles, elle se sert donc surtout de sa vue et de ses capacités sportives pour fuir le danger.

Antilope Péléa. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d4296-antilope-pelea

Antilope Péléa

Pelea capreolus dite aussi Péléa (afrikaans Reebok, anglais Rhebok, Rhebuck, « chevreuil-bouc ») est une espèce d'antilope endémique d'Afrique du Sud, du Zimbabwe, du Lesotho et du Swaziland. Ils préfèrent les prairies de montagne. Un pelage laineux de couleur grise les protègent du froid. Seuls les mâles, très agressifs pendant la période des amours, portent des cornes. Celles-ci, longues de 20 à 25 cm, sont droites ou légèrement recourbées vers l'avant.

Antilope topi au Kenya. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d197f1-antilope-topi-au-kenya

Antilope topi au Kenya

Topi avec son faon, Réserve nationale du Masai Mara, Kenya. Le Topi (Damaliscus korrigum), aussi appelé Nyamera en swahili, est une espèce d'antilope. Il est herbivore et vit en troupeaux en Afrique. Il appartient à la famille des bovidés, et a longtemps été considéré comme une sous-espèce du sassabi (Damaliscus lunatus).

Bouqetin des Alpes se grattant l'arrière-train. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d4714-bouqetin-des-alpes-se-grattant-l-arriere-train

Bouqetin des Alpes se grattant l'arrière-train

Bouquetin mâle se grattant l'arrière-train avec ses cornes. La caractéristique la plus frappante chez le bouquetin mâle réside dans ses cornes. Trois mois après sa naissance, il se dote en effet d'une paire de cornes ; lesquelles grandissent tout au long de la vie, leur croissance se ralentissant cependant avec l'âge. Recourbées vers l'arrière et plus ou moins divergentes selon les individus, en forme de cimeterres, elles se parent de nodosités également appelées bourrelets de parure. À l'âge adulte, les cornes du mâle atteignent 70 à 100 cm et peuvent peser jusqu'à 6 kg la paire.

Bouquetin des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d4665-bouquetin-des-alpes

Bouquetin des Alpes

Le Bouquetin alpin (Capra ibex) est une espèce de mammifère de la famille des bovidés, de l'ordre des artiodactyles et de la sous-famille des caprinés. Il y a 100 000 ans, le bouquetin vivait dans toutes les régions rocheuses d'Europe centrale. Il est même source d'inspiration pour les hommes du Paléolithique supérieur qui le peignent dans de nombreuses grottes à l'instar de celle de Lascaux. Jusqu'au milieu du XVe siècle, il était encore répandu dans tout l'Arc alpin, mais le développement des armes à feu signe très vite la fin de cet habitant des Alpes. L'animal, facile à approcher et à chasser, est alors consommé pour sa viande. De plus, la médecine de l'époque toute empreinte de superstitions, lui est alors fatale : les cornes broyées en poudre sont alors utilisées comme remède contre l'impuissance, son sang comme remède contre les calculs urinaires, son os en forme de croix situé au niveau du cœur comme talisman. Enfin l'estomac est utilisé pour vaincre les dépressions. Aussi appelé bouc, il mesure entre 75 et 90 cm au garrot pour une longueur, du museau à la queue, comprise entre 1,40 et 1,60 mètre. Son poids varie en fonction des saisons, s'établissant entre 65 et 100 kilogrammes. Si, comme son nom l'indique, il se rencontre principalement dans l'arc alpin, il existe d'autres espèces de bouquetins dans d'autres massifs montagneux, par exemple le bouquetin d'Espagne ou des Pyrénées, Capra pyrenaica. Sept autres espèces de chèvres sauvages vivent également dans le Caucase, en Asie centrale, au Proche-Orient, dans la péninsule arabique ainsi que dans les régions montagneuses de l'Afrique, du Soudan et de l'Éthiopie.

Cabris. Source : http://data.abuledu.org/URI/505c7965-cabris

Cabris

Petit de la chèvre.

Camouflage de l'antilope Péléa. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d43a0-camouflage-de-l-antilope-pelea

Camouflage de l'antilope Péléa

Antilope Péléa dans la réserve naturelle du barrage de Sterkfontein (18.000 Ha), au sud-ouest de Harrismith, en Afrique du Sud.

Carte de répartition des élans en Amérique du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d69bb-carte-de-repartition-des-elans-en-amerique-du-nord

Carte de répartition des élans en Amérique du Nord

Carte de répartition des quatre espèces d'élans en Amérique du Nord (Alces alces). Source : Feldhamer, George A., Bruce C. Thompson, and Joseph A. Chapman. "Wild Mammals of North America : Biology, Management, and Conservation". 2003. Johns Hopkins University Press, Baltimore. 2nd ed. 1216 p. ISBN 0801874165.

Cerf de Java. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c706c-cerf-de-java

Cerf de Java

Le cerf rusa (Cervus timorensis ou Rusa timorensis), aussi appelé cerf de Java, est une espèce du genre Cervus vivant sur l'île de Java.

Chevreau. Source : http://data.abuledu.org/URI/516fa138-chevreau

Chevreau

Chevreau.

Combat de deux gnous mâles. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d19d81-combat-de-deux-gnous-males

Combat de deux gnous mâles

Duel de deux gnous mâles au Parc national d'Etosha, Kunene, en Namibie. Comme beaucoup d'herbivores, les gnous forment à l'intérieur du troupeau des harems, chaque mâle défendant son territoire. Ils communiquent par des grognements (ressemblant à « gnou gnou », d'où leur nom), sifflements et meuglements. Très territorial, le mâle se livre à des démonstrations rituelles : mugissant, il piétine, redresse fièrement la tête, laboure le sol de ses cornes, se vautre à terre, défèque, urine et dépose sur l'herbe ou les buissons, les sécrétions de ses glandes préorbitaires. Lorsque survient un rival, les deux mâles s'affrontent en un duel spectaculaire. La lutte se termine la plupart du temps sans blessé par le départ du mâle dominé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gnou_bleu.

Couple d'hippopotames nains. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c54f0-couple-d-hippopotames-nains

Couple d'hippopotames nains

Couple d'hippopotames nains au Kenya. Le terme d’hippopotame pygmée ou d’hippopotame nain est le nom vernaculaire de l'une des deux espèces d'hippopotame actuelles, scientifiquement nommée Hexaprotodon liberiensis. Cette appellation renvoie à sa taille, inférieure à celle de l'hippopotame africain classique, l'unique autre espèce existante.

Dessin de tête de lièvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/554123f8-dessin-de-tete-de-lievre

Dessin de tête de lièvre

Dessin de tête de lièvre, par Odysseus, avril 2015.

Deux chèvres d'Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c5103-deux-chevres-d-inde

Deux chèvres d'Inde

Le Tahr des Nilgiri est un caprin originaire du sud de l'Inde. Son pelage est court. La robe varie de chamois à gris chez les femelles. Ches les mâles matures, elle devient brun foncé ; la face vire au noir ; les pattes avant ont des tâches blanches. Ni mâles ni femelles n'ont de barbe. La femelle n'a que deux mamelons.

Élan et son petit en fuite. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d73f3-elan-et-son-petit-en-fuite

Élan et son petit en fuite

Élan, mère et petit en fuite. Les mâles pèsent entre 500 kg et 700 kg, et les femelles pèsent entre 350 kg et 580 kg. Les petits pèsent environ 15 kg à la naissance mais grandissent rapidement. La hauteur à l’épaule peut dépasser deux mètres. Seuls les mâles possèdent des bois, qui peuvent dépasser 1,60 m de largeur et 20 kg ; ils sont larges et plats avec de petites pointes.

Élan européen. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d68ca-elan-europeen

Élan européen

Alces est un genre de mammifères appelés orignaux ou élans au sein de la francophonie. Ces animaux sont les plus grands des cervidés actuels. L’origine du nom « orignal » vient du mot basque oreinak, pluriel d’orein, qui signifie « les cervidés » ou « les rennes » ou « les caribous ». Samuel de Champlain le nommait orignac car aux premières années des colonies, les premiers colons français l’auraient appris des Basques qui venaient régulièrement pêcher la morue et la baleine sur les côtes du Labrador et les abords du fleuve Saint-Laurent. Le mot « élan » dériverait du lituanien. La domestication d'élans semble ancienne. Les Iakoutes de Sibérie l’ont utilisé comme animal de trait et comme monture. Cet usage a plus tard été interdit en Russie, car des malfaiteurs montant des élans distançaient les chevaux de la police. L’élan a aussi servi à tirer de lourdes charges sur des terrains difficiles où le cheval s’enfonçait. Il a été domestiqué, mais non élevé en troupeau. Ses bois sont larges et en partie plats. Au mois de novembre, le cervidé perd sa parure. De longues pattes et un long cou lui permettent de brouter les ligneux, qui composent 50 % de son alimentation en été et 80 % en hiver, ainsi que de se déplacer facilement dans l’eau et dans les mégaphorbiaies en enjambant troncs renversés et ronciers.

Élan sortant de son repas aquatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/511568da-elan-sortant-de-son-repas-aquatique

Élan sortant de son repas aquatique

Élan/orignal sortant, après y avoir mangé sous l'eau des plantes aquatiques, d'un étang créé par des castors en Amérique du Nord, dans le Parc national de Grand Teton, situé au nord-ouest de l'État du Wyoming. Ce sont des castors qui, par leur barrage, ont ici entretenu l'habitat de l'Orignal, seul grand herbivore capable de brouter, tête sous l'eau. Les clairières humides et ensoleillées créées par les castors sont également propices à une haute strate herbacée appréciée des grands herbivores. Castor et élan limitent ici conjointement l'eutrophisation et les risques de sécheresse, d'incendie de forêt et d'inondation en aval. Le Castor est une « espèce facilitatrice »

Foin pour bétail. Source : http://data.abuledu.org/URI/5157001b-foin-pour-betail

Foin pour bétail

Le foin était la principale alimentation du bétail, autrefois souvent logé sous les maisons en hiver en zone froide et tempérée. Le foin est un fourrage constitué d'herbe séchée et destiné à l'alimentation des animaux domestiques herbivores durant la mauvaise saison. C'était autrefois une des conditions de nombreux systèmes de type polyculture élevage. Les chevaux des administrations (poste, armée, etc.) et des industries privées étaient aussi consommateurs de foin. La qualité du foin, qu'il s'agisse de sa valeur nutritive ou de sa digestibilité, est très variable. Elle dépend de plusieurs facteurs, notamment : 1) du stade de fauchage des herbes. Pour avoir la meilleure qualité énergétique, l'herbe doit être fauchée avant qu'elle soit épiée c’est-à-dire que les graines ne soient sorties de leur gaine ; 2) des conditions de récolte ; 3) de la qualité du séchage (en extérieur d'abord, et éventuel affinage en grange, modernisée selon une méthode née dans les montagnes françaises, suisses et autrichiennes, et en cours d'extension dans l'Ouest de la France.

Gazelle de Waller mâle se nourrissant. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c48f6-gazelle-de-waller-male-se-nourrissant

Gazelle de Waller mâle se nourrissant

La gazelle de Waller (Litocranius walleri), au Kenya. Aussi appelée antilope girafe ou gérénuk, c'est une espèce d'antilope de taille moyenne, caractérisée par son long cou qui fait penser à celui d'une girafe. La gazelle de Waller présente en outre des membres très fins, de grands yeux et de larges oreilles. Sa robe est presque blanche sur les jambes et le dessous du ventre et fauve clair sur la partie supérieure du corps. Le mâle est le seul à porter des cornes, qui sont fines, courtes et cylindriques. La gazelle de Waller se nourrit principalement d'acacias qu'elle atteint en se dressant sur ses pattes arrière, elle a un régime phytophage.

Gnou noir à queue blanche au galop. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d41e2-gnou-noir-a-queue-blanche-au-galop

Gnou noir à queue blanche au galop

Le gnou noir (Connochaetes gnou) ou gnou à queue blanche est une espèce de gnou de la famille des bovidés qui semble ne plus exister à l'état sauvage que dans les réserves d'Afrique du Sud où sa population est stable voire croissante. Très grégaire, il vit en troupes importantes de 10 à 50 individus. Les gnous à queue blanche ont un pelage marron chocolat. Il possède une barbe et une crinière touffue, cependant cette dernière est dressée contrairement à celle du gnou bleu. Cette crinière est blanche et noir à l’extrémité. Ils sont reconnaissables également avec la touffe de poils qu’ils portent sur l’arrête du nez. Son pelage est plus épais que celui du gnou bleu, car il peut habiter des régions plus froides, il fait donc une mue au printemps. La queue longue de 80 à 100 cm est toujours blanche. Ses cornes courbés et pointés vers l'avant comme un guidon sont bien développés et peuvent mesurer de 50 à 80 cm. Les gnous à queue blanche sont de taille plus réduite que le gnou bleu, leurs corps mesurent de 170 à 220 cm de longueur, pour 100 cm à 120 cm de hauteur au garrot (1.10 m en moyenne) et un poid allant de 110 à 180 kg maximum, avec une moyenne de 130 kg pour les femelles et de 160 kg pour les mâles. Ruminant, herbivore, le gnou à queue blanche se nourrit principalement d'herbes, de feuilles de buissons et d’arbustes. Il est capable de ne pas boire pendant une semaine. Les gnous à queue blanche peuvent parfois se faire attaquer par les lions, les hyène brunes, les léopards, les lycaons et les crocodiles. Le gnou à queue blanche est une antilope, avec ses membres longs et fins, il peut courir jusqu'à 90 km/h pour échapper à ses prédateurs. De plus, il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé.

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Inselberg au Zimbawe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52778615-inselberg-au-zimbawe

Inselberg au Zimbawe

Inselberg de Granite de la région de Mbalabala au Zimbabwe. Les kopjes sont souvent occupés par de nombreux animaux, telles que les éléphants, les lions ou les guépards. Paradoxalement, on constate que de nombreux herbivores y viennent car la surélévation des lieux permet de voir venir les prédateurs de loin, alors que ces mêmes prédateurs les utilisent pour pouvoir guetter leurs futures proies.

Jeune cabri des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d47df-jeune-cabri-des-alpes

Jeune cabri des Alpes

Chez les petits bouquetins, la reconnaissance des sexes est impossible avant 5-6 mois et reste très difficile jusqu'à 1 an ; on parle alors de cabris. Au-delà d'un an, il devient possible de différencier les sexes des individus à l'observation par le diamètre des cornes. Celui des éterlous, c’est-à-dire des jeunes mâles, est plus important : les cornes se font plus épaisses à la base du fait de l'apparition des premières nodosités. Chez les éterles, jeunes femelles, elles sont plus minces et dépourvues de bourrelets. Les cornes constituent donc un élément moteur dans la détermination des sexes, mais également dans la détermination de l'âge d'un individu.

Lapin mangeant de l'herbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/530633a1-lapin-mangeant-de-l-herbe

Lapin mangeant de l'herbe

Lapin mangeant de l'herbe, au Kansas.

Le stégosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/55471519-le-stegosaurus

Le stégosaurus

Le stégosaurus, genre de grands dinosaures herbivores ayant vécu à la fin du Jurassique, entre 156 et 140 millions d’années avant notre ère, communément appelés stégosaures. Il mesurait environ 8,5 mètres de long, 4 mètres de haut et pesait jusqu’à 3 tonnes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stegosaurus

Maxillaire d'herbivore en montagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b842bc-maxillaire-d-herbivore-en-montagne

Maxillaire d'herbivore en montagne

Maxillaire d'herbivore en montagne-65. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.

Mouflon à manchettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c6e06-mouflon-a-manchettes

Mouflon à manchettes

Mouflon à manchette (Ammotragus lervia), Habitant les montagnes désertiques du Nord de l'Afrique, il est parfois appelé mouflon de Barbarie, Aoudad ou Arui. C'est un bovidé de la sous-famille des caprinés. Il est de taille moyenne, ne dépassant pas 1,70 m de long (sans la queue) pour un poids de 40 à 145 kg. Adulte, le mâle arbore des cornes qui atteignent 84 cm de long, la femelle ayant des cornes de 40 cm maximum. Elles s'élancent vers le haut puis s'incurvent en demi-cercles divergeant vers l'arrière.

Mouflon corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c6f1c-mouflon-corse

Mouflon corse

Muflon corse (Ovis orientalis musimon), mouton domestique revenu à la vie sauvage. Il faut être patient pour en apercevoir, les mouflons se réfugiant dans les montagnes, notamment dans les réserves du Cinto et de Bavella. Actuellement, la population est estimée à environ 500 têtes. L'animal est appelé a muvra (fém.) en corse (pumunticu), ce qui a inspiré un célèbre ensemble polyphonique, I muvrini, à savoir: "Les Petits Mouflons".

Mouflon de Dall. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6404-mouflon-de-dall

Mouflon de Dall

Mouflon, ou mouton sauvage, des régions montagneuses du nord-ouest de l'Amérique du Nord, allant du blanc au brun ardoise et ayant des cornes recourbées d'un brun jaunâtre. En règle générale, ils habitent les régions montagneuses sub-arctiques sèches de l'Alaska et mangent des graminées subalpines et de petits arbustes. Ils dépendent des zones raides, des falaises abruptes et des affleurements d'accès difficiles, qui leur fournissent des zones de refuge contre les prédateurs. Ils utilisent à proximité de ces zones d'accès difficile, ou la nourriture est rare, des zones plus ouvertes de prairies et de pâturages, pour y trouver leur alimentation. En hiver, ils préfèrent les zones ensoleillées et exposées à des vents forts, lesquels enlèvent la neige et exposent le fourrage qui leur sert de nourriture. Les loups (Canis lupus), mais aussi les lynx (Lynx canadensis), les grizzly (Ursus arctos) les Coyotes (Canis latrans), les ours noirs (Ursus americanus), et les gloutons (Gulo gulo) sont les prédateurs de l'espèce.

Mouron des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a0c9b-mouron-des-champs

Mouron des champs

Planche botanique du mouron des champs ou mouron rouge (Anagallis arvensis), Atlas des Plantes de France, 1891. Le nom latin du genre de cette plante (Anagallis) vient du grec anagelaô, « je ris », en raison de son utilisation ancienne dans le traitement de l'hypochondrie. Petites fleurs rouges ou bleues. La plante présente une certaine toxicité — en particulier pour les petits herbivores. Il était recommandé de ne pas en donner aux animaux d'élevage, en particulier aux lapins.

Mulot des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ec1634-mulot-des-champs

Mulot des champs

Mulot des champs.

Okapi du Congo. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d5cf9-okapi-du-congo

Okapi du Congo

L’okapi (Okapia johnstoni) est une espèce de mammifères ruminants de la même famille que la girafe, venant des forêts équatoriales de l'Afrique centrale. Bien que connu par les Pygmées, il est « découvert » en 1901 par Sir Harry Johnston à qui il doit son nom. C’est l’un des derniers grands mammifères à être observé scientifiquement sur la planète. Cet animal dont l’allure étrange rappelle à la fois celle du zèbre et de la girafe vit exclusivement dans une petite région de la République démocratique du Congo, la forêt tropicale de l’Ituri, où une réserve lui est spécialement dédiée. Son nom vernaculaire en lingala est mondonga.

Okapi en forêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6032-okapi-en-foret

Okapi en forêt

L’okapi se nourrit de feuilles, de divers végétaux différents (dont l’euphorbe, particulièrement toxique pour l’homme), de bourgeons, de branches tendres, de fruits, de champignons et de fougères. Il cueille sa nourriture à l’aide de sa langue et de ses lèvres préhensiles. Il comble ses besoins en minéraux en mangeant de l’argile sulfureuse qu’il trouve près des rivières ou des graminées poussant sur des sols hautement minéralisés. L’okapi est un animal discret et solitaire qui ne fréquente ses pairs qu’au moment de la reproduction. On compte généralement deux individus au km². Sédentaire, il vit sur un territoire qu’il marque par des dépôts d’urine et des sécrétions issues de glandes situées entre ses doigts. Il emprunte toujours les mêmes pistes de passage qu’il a ainsi marquées. C’est un animal essentiellement nocturne dont le principal prédateur est le léopard. Ses oreilles très grandes lui permettent d'entendre le moindre bruit en cas d'attaque.

Petit Koudou femelle et son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d65c0-petit-koudou-femelle-et-son-petit

Petit Koudou femelle et son petit

Petit koudou femelle (Tragelaphus imberbis) broutant avec son petit. Le petit koudou est une antilope de taille moyenne, très élancée, fine et haute sur pattes, mais plus petite que son cousin le Grand koudou. Les petits koudous vivent dans une grande aire de répartition situé à l'Est de l’Afrique. Le petit koudou aime les acacias, les brousses denses des zones semi-arides. Les petits koudous ne possèdent pas de territoire, mais un domaine vital d'environ 200 hectares. Les petits koudous sont des herbivores phytophages et opportunistes. Ils se nourrissent de feuillages, pousses, bourgeons, tubercules, fruits, racines et un peu d'herbes. Ils boivent régulièrement, mais peuvent se passer d'eau pendant de longues périodes. Léopards, guépards, lycaons, lions ensuite les babouins et les pythons s'attaquent aux jeunes. Animal vigilant, doté d'une bonne vue diurne, d'un bon odorat et d'une ouie très fine. Le petit koudou est un coureur rapide ainsi qu'un bon sauteur. Il peut bondir jusqu'à 2 mètres de hauteur et jusqu'à 7 mètres en longueur. Il court à 30 km/h en vitesse normale, mais peut accélérer en cas de danger et atteindre environ 70 km/h de moyenne sur une course de vitesse ou un sprint avec des pointes maximales proches de 100 km/h sur une courte distance, qui lui permet de semer ses prédateurs.