Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Géographie | Peinture | Dessins et plans | Botanique | Littoraux | La Teste de Buch (Gironde) | Rivage -- Protection | Phares -- France | sylvanus-aquitaine | Phares | Pins | Littoral | Dix-neuvième siècle | Dunes -- Fixation | Littoral -- Aménagement | Aquarellistes | Plages -- France | Îles | Pays d' Arcachon (France) | ...
Falaises de craie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e1769b-falaises-de-craie-

Falaises de craie

Tableau de Caspar David Friedrich (1774–1840) : Falaises de craie sur l'île de Rügen, 1818. Cette île allemande est située au large de la côte de la Mecklembourg-Poméranie occidentale dans la mer Baltique. Sa superficie est de 935 km² et sa population était de 73 000 habitants en 2001. À la fin de l'ère glaciaire, il y a 14 000 ans, la remontée du niveau des eaux de la Baltique recouvrit une partie des côtes. Les points hauts formèrent un chapelet d'îles que des dépôts de sable relièrent entre elles en quelques siècles pour former l'île de Rügen, qui compte désormais 570 km de côtes. Le Parc national de Jasmund inclue les célèbres falaises calcaires qui culminent à plus de 100 mètres au-dessus de la mer dont le Königsstuhl (traduction littérale = chaise du roi), immortalisé par le peintre romantique C. D. Friedrich. La craie de Rügen est réputée pour ses vertus médicales. La poudre de craie est utilisée par les stations thermales de l'île en application dermatologique ou cosmétique.

Paysage littoral urbanisé en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0d3b3-paysage-littoral-urbanise-en-inde

Paysage littoral urbanisé en Inde

Vue aérienne de Besant Nagar, Thiruvanmiyur et faubourgs sud de Chennai en Inde. Sur toute la planète, les littoraux tendent à s'artificialiser, et ils sont souvent menacés par la montée des océans.

Sterne arctique en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e3f41e-sterne-arctique-en-vol

Sterne arctique en vol

Sterne arctique en vol (sterna paradisae) près du barrage de l'Eider en mer du Nord (Allemagne). Les sternes sont aussi appelées hirondelles de mer. C'est un oiseau migrateur qui est témoin de deux étés chaque année, puisqu’il effectue un aller-retour à partir de ses aires de reproduction dans le nord, jusqu’aux océans près de l’Antarctique où il hiverne (ce qui représente un trajet pouvant atteindre couramment 70 000 km). La Sterne arctique vole de ce fait huit mois par an.

53 stations des chats de Tokaido. Source : http://data.abuledu.org/URI/513f1133-53-stations-des-chats-de-tokaido

53 stations des chats de Tokaido

53 chats pour illustrer les 53 stations de la route japonaise reliant au XVIII° siècle Tokyo et Kyoto, par Utagawa Kuniyoshi (1797-1861). La route du Tōkaidō, reliant Edo à Kyoto en passant par le littoral, représente une distance totale de 500 kilomètres environ, que les voyageurs du XVIIe siècle mettent alors pratiquement deux semaines à parcourir, à pied la plupart du temps, mais aussi à cheval, en logette de bambous tressés (kago) ou en palanquin (norimono), selon l'aisance plus ou moins grande des voyageurs.

Aménagement de la dune de protection sur le littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/567ee0d8-amenagement-de-la-dune-de-protection-sur-le-littoral

Aménagement de la dune de protection sur le littoral

Aménagement de la dune de protection sur le littoral à l'entrée du Bassin d'Arcachon, 26 décembre 2015.

Aménagement de la dune de protection sur le littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/567ee8b7-amenagement-de-la-dune-de-protection-sur-le-littoral

Aménagement de la dune de protection sur le littoral

Aménagement de la dune de protection sur le littoral à l'entrée du Bassin d'Arcachon, 26 décembre 2015.

Archipel des Hébihens en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358d31c-archipel-des-hebihens

Archipel des Hébihens en Bretagne

L'archipel des Hébihens (ou Ébihens) vu depuis la pointe du Chevet à mi-marée, commune de Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor). C'est un petit archipel français, prolongeant la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer. Le rocher principal, d'une superficie de 20 hectares, est une des quelques îles privées de Bretagne, occupée principalement en été. La légende veut que son isolement date du raz-de-marée qui aurait détruit la forêt de Scissy, forêt mythique située dans la baie du mont Saint-Michel, en 709 et que les plages qui l'entourent étaient alors recouvertes d'arbres et d'herbus. Pour les historiens et les scientifiques, la montée des eaux date, non pas de 709, mais de plus de 10 000 ans, à la fin de la dernière glaciation. Des fouilles entreprises ont mis au jour des vestiges attestant d'une occupation gallo-romaine de l'archipel dès avant notre ère. Un petit village coriosolite y fut érigé. Coriosolite signifiant "de Corseul" ; alors la capitale gauloise locale. Vauban ordonna l'édification d'une tour sur l'îlot principal qui fut construite de 1694 à 1696 par le comte Louis de Pontbriand qui était capitaine garde-côte du littoral de Saint-Malo et propriétaire de l'îlot. Cette tour fut notamment financée par un impôt perçu sur les prises de maquereaux réalisées lors de certains jours de fêtes chômés. Elle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 15 juillet 2010. Lors de la dispersion des biens du clergé, les Ébihens furent vendus à Jean-Georges Michel, l'un des capitaines de course de Robert Surcouf, pour une somme dérisoire. Aujourd'hui, cette propriété privée est partagée entre cinq propriétaires, majoritairement descendants directement ou non de Jean-Georges Michel. Ils veillent avec patience et énergie à ce que ce site naturellement protégé par son insularité, perdure pour les générations futures. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Archipel_des_%C3%89bihens

Argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f218c-argousier

Argousier

Planche botanique N°283 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Argousier (Hyppophae rhamnoides). Ligneux très épineux, au port buissonnant, de 1-5 m (noté jusqu'à 18 m dans certaines flores, aux abords de pannes dunaires par exemple, il atteint facilement une dizaine de mètres alors qu'exposé au vent, la plante conserve des proportions moindres). Sa longévité s'étend jusqu'à 80 ans. La plante dioïque est pollinisée par les insectes et dispersée par les oiseaux. C'est une pionnière, héliophile, qui colonise les sols instables des alluvions de cours d'eau et du littoral sableux. En Grèce antique, l'argousier servait de remède aux chevaux : les feuilles et les jeunes rameaux étaient ajoutés à leurs fourrages pour favoriser une prise de poids rapide et rendre le pelage lustré notamment à l'occasion de courses de chevaux. Les Anciens ont maintenu les argousiers dans leurs pâturages. Selon une légende, les feuilles d'argousier ont été l'un des aliments préférés de Pégase.

Armérie maritime sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad28f6-armerie-maritime-sauvage

Armérie maritime sauvage

Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Bateaux de pêche en Normandie. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e118b-bateaux-de-peche-en-normandie

Bateaux de pêche en Normandie

Bateaux de pêche en Normadie, 1862, par Eugène Isabey (1804–1886). En 1825, il fit un séjour en Angleterre et fut influencé par les aquarellistes anglais. À son retour, il se consacra à des scènes du littoral normand.

Bief des moulins de Pont-Aven. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bd7d4d-bief-des-moulins-de-pont-aven

Bief des moulins de Pont-Aven

La commune de Pont-Aven est une commune proche du littoral atlantique bordée à l'est par la rivière Aven. La petite ville de Pont-Aven est située au bord de cette rivière, à l'endroit où elle s'élargit en estuaire. Autrefois les eaux de l'Aven animaient de nombreux moulins dans la petite cité. Ils sont à l'origine du dicton : Pont-Aven, ville de renom, 14 moulins, 15 maisons.

Capture du pirate Barbe-Noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c006ae-capture-du-pirate-barbe-noire

Capture du pirate Barbe-Noire

Capture du Pirate Barbe-Noire en 1718, bataille avec le Lieutenant Maynard dans la baie d'Ocracoke, par Jean Leon Gerome Ferris (1863–1930). L’île d'Ocracoke est une île des États-Unis située dans les Outer Banks, au large du littoral de la Caroline du Nord, dans le comté de Hyde. L'île sert de décor au film Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence. En effet, on retrouve le phare et c'est censé être l'île où se trouve la fontaine de Jouvence. La plus grande partie de l'histoire se retrouve sur cette île. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_d%27Ocracoke.

Carte marine du littoral new-yorkais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e75104-carte-marine-du-littoral-new-yorkais

Carte marine du littoral new-yorkais

Carte marine du XVIIIème siècle (circa 1702-1707) du littoral new-yorkais intitulée " Partie de la Nouvelle-Angleterre, de New York, de l'est du New Jersey et de Long Island" (Part of New England, New York, east New Iarsey and Long Iland).

Deux femmes dans les Iles Vierges. Source : http://data.abuledu.org/URI/515cc9cc-deux-femmes-dans-les-iles-vierges

Deux femmes dans les Iles Vierges

Deux femmes bavardant, sur le littoral de la baie de Saint-Thomas dans les Iles Vierges américaines, 1856, par Camille Pissarro (1830–1903).

Deux îles de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7292d-deux-iles-de-l-antarctique

Deux îles de l'Antarctique

L.L. Ivanov et al., Antarctica : Carte des îles de Livingston et de Greenwich, échelle au 1:100000, dans les îles Shetland du Sud, au Nord de l'Antarctique. Montage photo présentant les spécificités des deux îles. L'île de Livingston est située dans l’Océan austral entre le passage de Drake et le détroit de Bransfield, à la distance de 110 km au nord-ouest de la Péninsule Antarctique et 830 km au sud-sud-est du cap Horn. Son sommet principal, la Montagne de Tangra, est situé au sud-est de l'île et culmine à 1700 m. La majeure partie de sa surface est recouverte d'une calotte de glace, qui forme la ligne côtière dans beaucoup de secteurs. Le climat est antarctique maritime. Les températures sont plutôt constantes : elles n'excèdent que rarement 3°C l'été et ne descendent que peu en dessous de –11°C pendant l'hiver. Toutefois, l'île est célèbre pour son mauvais temps, qui est hautement variable, venteux, humide et très peu ensoleillé. Livingston a été découvert par l'Anglais William Smith, le 19 février 1819, et pendant les années qui suivirent, l'île est devenue un centre d'exploitation de ressources vivantes marines. Il reste de cette époque des cabanes, des bateaux et d'autres objets façonnés par les chasseurs de phoques américains et anglais du XIXe siècle. Livingston possède la plus grande concentration de lieux historiques ou symboliques de l'Antarctique, après la Géorgie du Sud. L'île est régie par le régime du Traité sur l'Antarctique. Les bases scientifiques Juan Carlos I (Espagne) et Saint-Clément-d’Ohrid (Bulgarie) se trouvent dans la baie sud de Livingston depuis 1988, et la petite base de Cap Shirreff (Chili et É.-U.) est elle active depuis 1991. Il y a deux aires naturelles protégées sur l’île, la Péninsule Byers et le Cap Shirreff. Le Point Hannah sur le littoral sud de Livingston et l’île Half Moon, près de la côte est, sont des destinations parmi les plus populaires du tourisme antarctique et austral extrême, souvent visitées par des bateaux d’excursion.

Dunes de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ee6c6-dunes-de-dunkerque

Dunes de Dunkerque

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.261 : manuel scolaire, édition de 1904. LES DUNES DE DUNKERQUE. - On appelle dunes des collines de sable qui se sont formées sur les bords de l'Océan ou de la Manche. Elles sont stériles et souvent habitées par des renards. On arrête les dunes, dans le Nord, en y plantant une sorte de jonc marin, et dans les Landes en y plantant des pins maritimes. Les plantations ou semis faits sur les dunes sont exemptées d'impots pendant trente ans.

Ensablement de la baie de Milet. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d3f116-ensablement-de-la-baie-de-milet

Ensablement de la baie de Milet

Carte de l'évolution de l'ensablement de la baie de Milet dû aux alluvions déposées par le Méandre, depuis l'époque archaïque jusqu'à l'antiquité tardive. Sont aussi montrés le parcours actuel du Méandre, le littoral actuel et diverses agglomérations modernes.

Érosion à Étretat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50955168-erosion-a-etretat

Érosion à Étretat

Un produit de l'érosion du littoral : l'arche naturelle de la Manneporte, Etretat, France. L'érosion peut creuser la roche et donner naissance à des modelés de dissection. Les falaises d'Étretat sont constituées de calcaire du Crétacé, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la craie blanche à silex du Sénonien, plus précisément du Turonien au Coniacien. On y distingue les strates régulières de silex, ce qui explique la présence de galets sur la plage. En effet, à la suite de l'effondrement de pans de falaise, le calcaire et le silex se trouvent au contact de l'eau de mer qui dissout le calcaire et l'action des vagues polit le silex pour en faire des galets. L'existence de trois arches successives : la porte d'Amont, la porte d'Aval et la Manneporte ne serait pas liée à l'origine à l'érosion marine, mais à l'action d'une rivière côtière parallèle à la plage qui aurait creusé son lit dans la falaise avant le recul de celle-ci, matérialisé par l'« aiguille » d'un calcaire plus dur qui a empêché sa dissolution définitive, d'où cette extraordinaire création de la nature. Ensuite, la mer aurait élargi les arches, donnant au site l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui. Une autre hypothèse met au contraire l'accent sur une érosion différentielle par la mer, qui serait liée aux caractéristiques de dureté de la craie locale dans la zone de balancement des marées.

Établissement de bains de mer au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ed8f1-etablissement-de-bains-de-mer-au-xixeme-siecle

Établissement de bains de mer au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.245 : manuel scolaire, édition de 1904 : UN ÉTABLISSEMENT DE BAINS DE MER EN NORMANDIE. - Tous les ans, l'été, des milliers de personnes vont prendre des bains de mer, dans les villes ou villages du littoral, car l'eau salée de la mer est fortifiante, surtout quand on n'y reste pas plus de cinq minutes. La ville de Paris envoie chaque année aux bains de mer, pour les récompenser, les meilleurs élèves de ses écoles.

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/55c13790-exposition-sur-l-erosion-cotiere-en-aquitaine

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine, Biscarrosse-40, juillet 2015 : le littoral en 2040.

Facteur sur échasses. Source : http://data.abuledu.org/URI/512dd886-facteur-sur-echasses

Facteur sur échasses

Facteur sur échasses en uniforme avec sa sacoche distribuant le courrier dans la forêt du pays de Buch (littoral aquitain) au début du XXème siècle. Maison en briques.

Goélands et étoile de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/51489812-goelands-et-etoile-de-mer

Goélands et étoile de mer

Goéland (Larus occidentalis) mangeant une étoile de mer (Pisaster ochraceus) sur un littoral rocheux.

Grande nacre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20a60-grande-nacre

Grande nacre

Nacre géante (Pinna nobilis), longueur réelle environ 60cm, coquillage bivalve protégé de Méditerranée, de couleur rouge vivant enfiché verticalement dans les fonds sableux, souvent couverts d'herbiers de posidonie (Posidonia oceanica). C'est l’un des plus grands coquillages existant dans le monde (elle peut dépasser 1 m de long). Jadis abondante sur le littoral français, elle a été décimée par la pollution, fragilisée par le recul des herbiers à posidonie, par les ancrages et les chalutages, mais aussi par les plongeurs avides de souvenirs originaux ; elle est aujourd'hui devenue très rare. Elle est protégée en France depuis le 26 novembre 1992 et sa pêche est interdite. Elle recèle souvent des crustacés vivant à l'intérieur.

Île de Tatihou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c988-ile-de-tatihou

Île de Tatihou

Île de Tatihou (Saint-Vaast-la-Hougue/Manche) vue de la pernelle. Tatihou est une île côtière française au nord-est du Cotentin. D'une superficie de 29 hectares, elle est accessible à pied à certaines marées basses. L'île appartient au Conservatoire du littoral et n'est pas habitée de manière permanente. Son patrimoine se compose : 1) du fort Vauban construit en 1694, après la bataille de la Hougue dont la Tour Vauban (XVIIIe siècle), classée au patrimoine mondial par l'Unesco depuis 2008. À l'intérieur des fortifications (XIXe siècle) se trouvent aussi une chapelle (fin du XVIIIe siècle), un magasin à poudre (XIXe siècle) et une caserne devenue un restaurant ; 2) de l'ancien lazaret (construit en 1720, pour éviter la propagation de la peste) qui abrite le musée maritime, un jardin botanique, un atelier de charpente navale et des bâtiments d'hébergement ; 3) d'une réserve ornithologique, implantée dans la plaine derrière la tour Vauban et gérée par le Groupe ornithologique normand. 4) d'une maison des douaniers (1805), au-dessus de l'embarcadère. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tatihou

Jeu de piste sur le littoral gascon gallo-romain. Source : http://data.abuledu.org/URI/559fa2a5-jeu-de-piste-sur-le-littoral-gascon-gallo-romain

Jeu de piste sur le littoral gascon gallo-romain

Jeu de piste sur le littoral gascon gallo-romain, par Fanny Roquette pour le projet sylvanus-aquitaine, juin 2015. Image retouchée par Arnaud Pérat.

L'Aven et ses rochers à Pont-Aven. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bd532a-l-aven-et-ses-rochers-a-pont-aven

L'Aven et ses rochers à Pont-Aven

La commune de Pont-Aven est une commune proche du littoral atlantique bordée à l'est par la rivière Aven. La petite ville de Pont-Aven est située au bord de cette rivière, à l'endroit où elle s'élargit en estuaire. Les eaux de la rivière se faufilent au milieu d'un chaos d'énormes rochers avant de rejoindre la mer.

Littoral granitique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50954b98-littoral-granitique

Littoral granitique

Côte de granite rose : Modelés granitiques en Côte d'Armor (Bretagne).

Panicaut maritime en fleurs au Cap Ferret au mois de juin. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbf2f4-panicaut-maritime-en-fleurs-au-cap-ferret-au-mois-de-juin

Panicaut maritime en fleurs au Cap Ferret au mois de juin

Panicaut maritime (Eryngium maritimum) : c'est une plante vivace vert-bleuté aux feuilles coriaces, épineuses, aux fleurs bleues en capitules arrondis. On le rencontre en taches parfois importantes dans les dunes et zones de galets du littoral. Il fleurit de juin à septembre. "L'été rit, et l'on voit sur le bord de la mer / Fleurir le chardon bleu des sables." (Victor Hugo, Les contemplations, Paroles sur la dune). Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Panicaut_maritime

Paysage littoral au Danemark. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0d25b-paysage-littoral-au-danemark

Paysage littoral au Danemark

Littoral occidental de Suðuroy dans les îles Féroé (en féroïen : Føroyar, prononcé [ˈføːɹjaɹ] ; en danois : Færøerne, prononcé [ˈfɛɐ̯ˌøːˀɐnə]) : archipel subarctique situé entre la mer de Norvège et l'océan Atlantique nord, à peu près à mi-chemin entre l'Écosse et l'Islande. Les îles Féroé forment un pays constitutif du royaume du Danemark, avec le Danemark et le Groenland. Elles couvrent 1 400 km2 pour une population en 2010 de presque 50 000 habitants appelés Féringiens. Les îles Féroé sont une province autonome du royaume du Danemark depuis 1948 ; elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans toutes les affaires à l'exception de la Défense (un ministre des Affaires étrangères fut nommé en 2008). L'érosion et l'altération puis le transport et le dépôt des sédiments ont largement participé à l’élaboration du modelé des paysages volcaniques actuels. Les côtes des îles sont accidentées et rocheuses : même si quelques crêtes basses sont présentes, la plupart des côtes sont à falaises. Dans le cas des îles Féroé, les géomorphologues parlent de méga-falaises (max. 725 m) pour ces murailles côtières vertigineuses parmi les plus remarquables du monde. La raideur de l’abrupt se termine par une rupture de pente à la base qui correspond au passage à la plate-forme d’abrasion littorale. Fjords et vallées glaciaires se sont dessinés au Quaternaire.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Phare de Contis dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98b43-phare-de-contis

Phare de Contis dans les Landes

Le phare de Contis est un phare maritime de 1er ordre du littoral aquitain et un amer situé à Contis, station balnéaire de la commune de Saint-Julien-en-Born, dans le département français des Landes. Jusqu'en 1790, le plus grand des deux clochers de l'église Sainte-Marie de Mimizan sert d'amer, facilitant la navigation diurne dans cette partie du golfe de Gascogne. Il s'effondre à cette date par vétusté et manque d'entretien. En 1856, la Commission des phares décide, sous l'égide de Napoléon III, de renforcer les dispositifs de navigation dans ce secteur par la construction d'un nouveau phare, qui se situerait à égale distance de de Biarritz et d'Arcachon. La construction du phare de Contis-les-bains, comme on dit alors, est ainsi ordonnée par décret de Napoléon III en 1860. Entièrement blanc à l'origine, le phare est embelli en 1937 et orné de deux bandes noires en forme de double vis d'Archimède par le peintre Bellocq4, afin qu'il puisse aussi servir d'amer, c'est-à-dire de repère de jour à la navigation. Il se classe ainsi dans la catégorie des phares "barber's poles" (du nom des enseignes de barbier aux États-Unis) noirs et blancs, caractérisée par deux bandes noires effectuant chacune un enroulement autour du corps du phare. La première bande noire prend naissance à la base du phare au niveau de la porte ouest, la seconde bande débute à la base du phare au niveau de sa porte est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Contis

Phare de Fécamp en Pays de Caux. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e2247-phare-de-fecamp

Phare de Fécamp en Pays de Caux

Le phare de Fécamp se situe à l'extrémité de la jetée nord, dite pointe Fagnet, de l'entrée du port de Fécamp, à 40 km environ au nord du Havre en Seine-Maritime, sur le littoral du pays de Caux. C'est un feu de port, couplé avec celui de la jetée sud, sur l'ancien sémaphore. hauteur 14.50 m - Elévation : 21 m - feux : fixe - automatisation : oui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_F%C3%A9camp

Phare des Roches-Douvres dans les Côtes-d'Armor. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f67b9-phare-des-roches-douvres-dans-les-cotes-d-armor

Phare des Roches-Douvres dans les Côtes-d'Armor

Le phare des Roches-Douvres est un phare français situé sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. C’est le dernier phare en mer construit en France. C’est le plus spacieux et c’est aussi le phare le plus éloigné du continent, puisqu’il est érigé à environ 40 kilomètres du littoral, dans la Manche, au large de Paimpol dans les Côtes-d'Armor. Il est érigé sur un plateau rocheux très dangereux pour la navigation : entièrement recouvert par la haute mer et encerclé par de forts courants. Le nom est une francisation du breton Roquedouve qui lui-même se serait formé à partir de Rochedoù qui signifie "les chemises" en breton. Les chemises, comme les draps blancs que l’on étendait sur la lande lors des grandes lessives et que l’on voyait de très loin, par analogie avec la blancheur de la houle que de très loin, on voit déferler, en approchant du plateau des Roches-Douvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_des_Roches-Douvres

Pin d'Alep à Sète sur le Mont Saint-Clair. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bba44e-pin-d-alep-a-sete-sur-le-mont-saint-clair

Pin d'Alep à Sète sur le Mont Saint-Clair

Un pins d'Alep (Pinus halepensis) dans la Forêt domaniale de Sète sur le mont Saint-Clair. Dans le fond, la plage et le cordon littoral entre la Mer Méditerranée à gauche, et l'Étang de Thau à droite, qui relie Sète et Marseillan (Hérault).

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbaea2-pins-morts-sur-le-littoral-au-petit-nice

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice, La Teste-de-Buch (Gironde).

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbaf72-pins-morts-sur-le-littoral-au-petit-nice

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice, La Teste-de-Buch (Gironde), juin 2015.

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbaff6-pins-morts-sur-le-littoral-au-petit-nice

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice

Pins morts sur le littoral au Petit-Nice, La Teste-de-Buch, juin 2015.

Plage à posidonies de Macinaggio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d207a1-plage-a-posidonies-de-macinaggio

Plage à posidonies de Macinaggio

Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.

Pointe du Conguel. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d3af14-pointe-du-conguel

Pointe du Conguel

Pointe du Conguel, Quiberon.

Pollution du littoral après le naufrage de l'Erika. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ccb89e-pollution-du-littoral-apres-le-naufrage-de-l-erika

Pollution du littoral après le naufrage de l'Erika

Pollution du littoral après le naufrage de l'Erika, marée noire de 1999.

Poudre de feuilles de baobab sêchées. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e5519c-poudre-de-feuilles-de-baobab-sechees

Poudre de feuilles de baobab sêchées

Vente de lalo (poudre de feuilles de baobab séchées) sur un marché de Joal-Fadiouth (Sénégal). Joal-Fadiouth est une commune du Sénégal située à l'extrémité de la Petite-Côte, au sud-est de Dakar. Elle réunit en réalité deux villages, Joal – le plus gros –, établi sur le littoral, et Fadiouth – le plus visité –, une île artificielle constituée d'amoncellements de coquillages et reliée à la côte par un pont de bois. La feuille de baobab riche en protéines et minéraux (calcium, fer, potassium, magnésium, manganèse, phosphore et zinc) se consomme en bouillie. Au Sénégal, le "lalo" est une poudre de feuilles de baobab séchées que l'on incorpore aux céréales ou aux sauces, notamment lors de la préparation du couscous de mil. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Baobab_africain.

Routes commerciales maritimes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c3f1cc-routes-commerciales-maritimes

Routes commerciales maritimes

Routes commerciales empruntées par les navires entre l'Angleterre et l'Australie-Nouvelle Zélande du XVIIIe au XXe siècle. Dessiné par Jérôme BLUM le 22 juillet 2006, inspiré par la version anglaise. La carte de fond est dans le domaine public. Elle est issue du projet Visible Earth de l'observatoire de la Terre de la NASA. Source : http://visibleearth.nasa.gov/view.php?id=57752. Les vents des quarantièmes rugissants ont joué un rôle significatif dans le choix de la route suivie par les clippers et donc sur le commerce entre l'Europe, l'Amérique du Sud et l'Orient. Wellington est la seule capitale nationale située dans les latitudes des quarantièmes rugissants. Elle est surnommée « Windy Wellington » ou « Windy Welly » à cause du fort vent omniprésent accentué par l'effet Venturi de sa position sur le détroit entre les deux îles principales de Nouvelle-Zélande. L'île de Tasmanie, l'État le plus méridional de l'Australie, est située entièrement dans les quarantièmes rugissants et a, par conséquent, un littoral occidental moins peuplé et balayé par les vents. De même, le sud de l'Amérique du Sud, la Patagonie, est continuellement balayé par les vents des Quarantièmes rugissants et des Cinquantièmes hurlants. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quaranti%C3%A8mes_rugissants.

Salicornes sur le littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/5412f9cd-salicornes-sur-le-littoral

Salicornes sur le littoral

Salicornes (Salicornia europaea) en bord de mer.

Schéma légendé en allemand d'une côte plate. Source : http://data.abuledu.org/URI/506c6c90-schema-legende-en-allemand-d-une-cote-plate

Schéma légendé en allemand d'une côte plate

Coupe schématique d'une côte plate, légendée en allemand : Flachküste = Côte plate, Schorre = plateforme littorale attaquée par les vagues, Ufer = littoral, Strand = plage, Strandlagune = lagune ou lagon, Düne = dune de sable.

Sentier du littoral du Bassin d'Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/53d18755-sentier-du-littoral-du-bassin-d-arcachon

Sentier du littoral du Bassin d'Arcachon

Sentier aménagé dans les dunes littorales pour empêcher les promeneurs de détruire la zone de protection végétalisée.

Sentier pédestre littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbb0c3-sentier-pedestre-littoral

Sentier pédestre littoral

Sentier pédestre littoral, La Teste-de-Buch, Gironde, juin 2015.

Station géodésique de 1855 en Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5392cbf0-station-geodesique-de-1855-en-belgique

Station géodésique de 1855 en Belgique

Exemple de « point géodésique » de référence marqué par un pilier et daté de 1855, à Ostende sur le littoral de Belgique.

Sucrerie de Bois-Rouge à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a48e3-sucrerie-de-bois-rouge-a-la-reunion

Sucrerie de Bois-Rouge à La Réunion

Sucrerie et production d'électricité à l'usine de Bois-Rouge, La Réunion. Située sur le littoral de la commune de Saint-André au nord-ouest de l'étang de Bois Rouge et à l'est de l'embouchure de la rivière Saint-Jean, elle constitue l'une des deux dernières installations de ce type encore en fonctionnement sur l'île. Ce faisant, elle reçoit et extrait le sucre de l'ensemble des cannes récoltées sur la côte-au-vent de Saint-Denis à Sainte-Rose. Fonctionnant selon le principe de la cogénération, elle produit de la vapeur pour le traitement de la canne mais également de l'électricité à partir des déchets qu'elle génère, pendant la campagne sucrière, la bagasse. Cette production d'énergie à partir de biomasse représente 15 à 18 % de la production annuelle, en dehors de la période sucrière, c'est le charbon qui est utilisé pour produire de l'électricité. Sa puissance installée est de 108 MW et elle a produit 721 GWh en 2007.

Sylvanus - 04. Source : http://data.abuledu.org/URI/558522b8-sylvanus-04

Sylvanus - 04

Sylvanus découvre le littoral gascon, in "Sylvanus découvre l'Aquitaine" album de juin 2015 (RyXéo et ESAA) par Fanny Rouquette et Annie Lesca.