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Nuage de mots clés

Peinture | Plantes | Fillettes | Alice au pays des merveilles | Contes de fées | Botanique | Littérature de jeunesse | Dix-neuvième siècle | Humour | Arthur Rackham (1867–1939) | Peintres anglais | Chats | Contes | Photographie | Canards | Abécédaires | Lettres (alphabet) -- Dessin | John Ronald Renel Tolkien (1892-1973) | Fourches (outils agricoles) | Lettres majuscules | ...
Angers, signalisation sur le périphérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fdc72-angers-signalisation-sur-le-peripherique

Angers, signalisation sur le périphérique

Angers, sortie de ville, vendredi 16 octobre 2015 à 18h.

Affiche publicitaire allemande. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4306e-affiche-publicitaire-allemande

Affiche publicitaire allemande

Affiche allemande pour la revue artistique "Pan" de Joseph Sattler (1867-1931). In "Les maîtres de l'affiche" : publication mensuelle contenant la reproduction des plus belles affiches illustrées des grands artistes, français et étrangers, éditée par L'Imprimerie Chaix (1896-1900). Dans la mythologie grecque, Pan (en grec ancien Πάν / Pán, "tout") est une divinité de la Nature, protecteur des bergers et des troupeaux.

Agripaume cardiaque. Source : http://data.abuledu.org/URI/50704c8b-agripaume-cardiaque

Agripaume cardiaque

Planche botanique N°263 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Agripaume cardiaque (Leonurus cardiaca). Agripaume vient du latin "acer, acris", qui signifie "pointu" et "palma", désignant la paume de la main. Ceci fait référence à la forme des feuilles aux lobes aigus. La tige est raide, à section carrée, très ramifiée et feuillée. Les feuilles sont vert foncé dessus et cendré dessous. Les fleurs sont rose pourpré, serrées sur toute la longueur de la tige. L'agripaume est surtout utilisé comme antispasmodique dans les troubles nerveux et les palpitations, ainsi que dans le traitement des diarrhées, bronchites et ballonnements.

Alice dans la cuisine de la Duchesse. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d950f-alice-dans-la-cuisine-de-la-duchesse

Alice dans la cuisine de la Duchesse

Alice dans la cuisine de la Duchesse (Porc et poivre, chapitre 6), 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : Oh ! je vous en prie, prenez garde à ce que vous faites, criait Alice, sautant ça et là et en proie à la terreur. "Oh ! son cher petit nez !" Une casserole d’une grandeur peu ordinaire venait de voler tout près du bébé, et avait failli lui emporter le nez. "Si chacun s’occupait de ses affaires," dit la Duchesse avec un grognement rauque, "le monde n’en irait que mieux."

Alice et la Cour de Justice. Source : http://data.abuledu.org/URI/532da1a9-alice-et-la-cour-de-justice

Alice et la Cour de Justice

Alice et la Cour de Justice (Chapitre 11, Qui a volé les tartes ?), illustration par Arthur Rackham (1867–1939) : Le Roi et la Reine de Cœur étaient assis sur leur trône, entourés d’une nombreuse assemblée : toutes sortes de petits oiseaux et d’autres bêtes, ainsi que le paquet de cartes tout entier. Le Valet, chargé de chaînes, gardé de chaque côté par un soldat, se tenait debout devant le trône, et près du roi se trouvait le Lapin Blanc, tenant d’une main une trompette et de l’autre un rouleau de parchemin. Au beau milieu de la salle était une table sur laquelle on voyait un grand plat de tartes.

Alice et la mare de larmes. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d71d8-alice-et-la-mare-de-larmes

Alice et la mare de larmes

Alice et la mare de larmes, illustration d'Arthur Rackham (1867-1939) : "Il était grand temps de s’en aller, car la mare se couvrait d’oiseaux et de toutes sortes d’animaux qui y étaient tombés. Il y avait un canard, un dodo, un lory, un aiglon, et d’autres bêtes extraordinaires. Alice prit les devants, et toute la troupe nagea vers la rive."

Alice et le paquet de cartes. Source : http://data.abuledu.org/URI/532da2d0-alice-et-le-paquet-de-cartes

Alice et le paquet de cartes

Alice et le paquet de cartes (chapitre 12, La déposition d'Alice), 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : On se moque bien de vous, dit Alice (elle avait alors atteint toute sa grandeur naturelle). Vous n’êtes qu’un paquet de cartes ! Là-dessus tout le paquet sauta en l’air et retomba en tourbillonnant sur elle ; Alice poussa un petit cri, moitié de peur, moitié de colère, et essaya de les repousser ; elle se trouva étendue sur le gazon, la tête sur les genoux de sa sœur, qui écartait doucement de sa figure les feuilles mortes tombées en voltigeant du haut des arbres.

Alphabet enchanté, la lettre L. Source : http://data.abuledu.org/URI/5314413e-alphabet-enchante-la-lettre-l

Alphabet enchanté, la lettre L

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Ah ! Je me suis coupé ! Mais qu'aperçois-je, ô ciel ? Homme, bras et rasoir, nous dessinons trois L. Peuplier peu plié qui se tient solemnel, Tout comme un petit l.

Alphabet enchanté, la lettre O. Source : http://data.abuledu.org/URI/531444ee-alphabet-enchante-la-lettre-o

Alphabet enchanté, la lettre O

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : La couronne, l'anneau, la lune, le cerceau, Et le bourgeois tout rond qui dit : Ho ! Combien d'O !

Anémone coronaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b524c9-anemone-coronaire

Anémone coronaire

D'après les aquarelles de J. Eudes (Société Linéenne de Caen) dans : A. Guillaumin, ''Les Fleurs de Jardins'', tome I : ''Les Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'Anémone coronaire ou Anémone couronnée (Anemone coronaria) est une plante de la famille des Ranonculacées répandues sur les pelouses, champs, oliveraies, vignes ou cultures à l’abandon des zones basophiles méditerranéennes. Il existe deux types d'anémone couronnée : l'anémone de Caen à fleur unique et l'anémone "St. Brigid'" à fleur double. L'anémone couronnée est également appelée anémone coronaire, anémone des fleuristes ou anémone cultivée. En France, l'anémone couronnée est protégée sur l'ensemble du territoire par l'arrêté du 20 janvier 1982, modifié par l'arrêté du 31 août 1995. Dès le IVe siècle avant notre ère, Théophraste (-372, -288) signalait la floraison précoce de « l'anémone dite « des prairies » [A. coronaria L. et A. pavonina Lam] avec le glaïeul, une jacinthe et presque toutes les autres fleurs de montagnes dont il est fait usage » (Recherche sur les plantes, livre VI).

Aulne glutineux ou verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/509841f1-aulne-glutineux-ou-verne

Aulne glutineux ou verne

Planche N°307 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Aulne glutineux (Alnus glutinosa). Porte parfois le nom de aulne noir, aulne poisseux, vergne ou verne. La verne est une essence hygrophile, comme nombre de Bétulacées, et affectionne particulièrement les sources d'eau, y compris domestiques. Il n'est pas rare de constater l'obstruction de canalisation par ses racines. L'arbre possède un système racinaire extrêmement développé (jusqu'à 4 m de profondeur) qui lui permet de bien résister aux vents forts. Ses racines sont le refuge d’une importante faune aquatique lorsqu'il pousse au bord d'un cours d'eau. Autrefois, lorsqu'on voulait se débarrasser de la vermine dans une maison, un poulailler ou une écurie, on épandait sur le sol des feuilles de verne encore bien humides de rosée le matin et toute la vermine venait s'y mettre. Ensuite on jetait les feuilles au feu et le lieu était vidé de ces parasites.

Betterave. Source : http://data.abuledu.org/URI/50700815-betterave

Betterave

Planche botanique N°276 de l'Atlas botanique de Masclef, 1894 : Betterave (Beta vulgaris), plante cultivée pour sa racine charnue utilisée comme légume dans l'alimentation humaine, comme plante fourragère et pour la production du sucre. En 1600, Olivier de Serres écrit dans "Le théâtre d'agriculture et mesnage des champs" : « Une espèce de pastenades est la bette-rave, laquelle nous est venue d'Italie n'a pas longtemps. C'est une racine fort rouge, assez grosse, dont les feuilles sont des bettes, et tout cela bon à manger, appareillé en cuisine : voire la racine est rangée entre les viandes délicates, dont le jus qu'elle rend en cuisant, semblable à sirop de sucre, est très beau à voir pour sa vermeille couleur. »

Blanche Neige dans son cercueil de verre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bb5921-blanche-neige-dans-son-cercueil-de-verre

Blanche Neige dans son cercueil de verre

Blanche Neige dans son cercueil de verre, vers 1890, par Marianne Stokes (1855-1927). Inscription en anglais : (WE CANNOT LAY HER IN THE DARK EARTH, SAID THE DWARFS AND SO THEY HAD A TRASPARENT GLASS COFFIN MADE SO THAT SHE COULD BE SEEN FROM EVERY SIDE, LAID HER IN IT AND WROTE ON IT HER NAME AND THAT SHE WAS A KING'S DAUGHTER ; THEN THEY CARRIED THE COFFIN INTO THE WOOD AND SOME OF THEM ALWAYS WATCHED HER AND THE BIRDS ALSO CAME AND BEWAILED SNOWDROP. FIRST AN OWL THEN A RAVEN AND LASTLY A DOVE. SO SNOWDROP LAY A LONG TIME IN HER COFFIN LOOKING AS THOUGH SHE WERE ASLEEP). « Il ne faut pas l'enterrer sous-terre dans le noir ! » se dirent les nains. Alors ils fabriquèrent un cercueil trnsparent en verre pour qu'on puisse la voir de tout côté, ils l'allongèrent à l'intérieur avec une inscription portant son nom et précisant qu'elle était fille de roi. Puis ils transportèrent le cercueil dans le bois et firent la garde à tour de rôle. Et les oiseaux se joignirent à eux pour veiller sur Blanche-Neige : une chouette, un corbeau puis une tourterelle. C'est ainsi que Blanche-Neige reposa longtemps dans son cercueil, comme si elle y dormait.

Blondine, Bonne-Biche et Beau-Minon. Source : http://data.abuledu.org/URI/531373ac-blondine-bonne-biche-et-beau-minon

Blondine, Bonne-Biche et Beau-Minon

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Surprise, ravie, Blondine se jeta au cou de Bonne-Biche, embrassa tendrement Beau-Minon, et leur dit : "Oh ! mes bons, mes chers, mes vrais amis, que de reconnaissance ne vous dois-je pas pour avoir ainsi soigné mon enfance, développé mon esprit et mon cœur ! car je le sens, tout est amélioré en moi, et c’est à vous que je le dois."

Bourrache officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb6d3-bourrache-officinale

Bourrache officinale

Planche botanique de la bourrache officinale (Borago officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. La bourrache est une herbe annuelle à tige cylindrique, épaisse, dressée, hérissée de poils raides, de 20 à 80 cm de haut. Les feuilles alternes, à surface ridée, ont un long pétiole à la base de la plante qui n'existe pas pour les feuilles supérieures. Toute la plante est recouverte de poils courts et fermes qui la rendent rude au toucher : c'est un des caractères de toute la famille des Boraginacées. Elle est assez commune dans les terrains vagues et les décombres des contrées à climat tempéré, ainsi que comme plante adventice dans les cultures sarclées et les jardins. C'est une excellente plante mellifère. Les fleurs de bourrache et les jeunes feuilles se consomment traditionnellement à l'état frais. La plante peut agrémenter des omelettes, des salades et remplacer les légumes accompagnant les viandes. Le goût des fleurs rappelle la saveur de l'huître, alors que celui des feuilles rappelle la saveur acidulée du concombre. À l'époque romaine, les légionnaires étaient parfois dopés avant les batailles avec un vin aromatisé aux fleurs ou feuilles de bourrache. Au Moyen Âge, la bourrache, était considérée comme une plante magique aphrodisiaque.

Calendrier des travaux agricoles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5075aee4-calendrier-des-travaux-agricoles-

Calendrier des travaux agricoles

Travaux agricoles des douze mois de l'année au moyen âge : Calendrier extrait du Rustican, de Pierre Crescent (Pietro Crescenzi). Le Moyen Âge n’a pas ignoré les traités centrés autour d’une activité donnée comme l’agriculture ; ceux-ci se sont multipliés depuis les œuvres des Anglo-Normands du XIIIe siècle, dont Walter de Henley, au grand traité de Pierre de Crescent au XIVe siècle. Rédigé entre 1304 et 1306, le "Ruralium commodorum opus" réunit toute la science agronomique médiévale et tous les souvenirs des auteurs latins, avec une orientation vers l’agriculture méditerranéenne. Il fut composé en latin, sous ce titre : "Opus ruralium commodorum, libri duodecim". Dès qu'il parut, il fit une grande sensation, et fut bientôt répandu dans toute l'Europe. Charles V, roi de France, le fit traduire en français en 1373. Légende : janvier, curer les fossés à la houe ; février, étaler le fumier sur les terres avec bêche et houe ; mars, tailler la vigne à la serpe ; avril, tondre les moutons aux ciseaux (les forces) ; mai, chasse au faucon ; juin, faucher l’herbe à la faux ; juillet, moisson à la faucille ; août, battre le blé au fléau sur l'aire ; septembre, semer à la volée après avoir labouré les champs ; octobre, presser le raisin aux pieds dans une cuve ; novembre, cueillette des glands pour les cochons l'hiver ; décembre, pèle-porc.

Canard en porcelaine de Strasbourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/535b5a0b-canard-en-porcelaine-de-strasbourg

Canard en porcelaine de Strasbourg

Canard en porcelaine de Paul Hannong, au Musée des arts décoratifs de Strasbourg. Paul Hannong est le fils aîné de Charles-François Hannong ; il prend la tête de la manufacture de Strasbourg en 1732 et expérimente la polychromie. Ces essais relèvent désormais de l'appellation "technique mixte" : utilisation de la technique de petit feu pour cuire des couleurs de grand feu. La période 1745-1748 marque l'avènement de la véritable cuisson de petit feu avec l'utilisation du pourpre de Cassius. Il est le premier à utiliser la technique de petit feu sur faïence en France. Son désir de produire de la porcelaine comme à Meissen et d'en égaler la qualité du décor va le conduire à mettre sur le marché des faïences décorées de qualité exceptionnelle que l'on retrouve sur les tables princières de toute l'Europe. Il est le premier français qui réussit à produire de la porcelaine dure. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fa%C3%AFence_de_Strasbourg

Canotier en paille avec ruban. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8de8-canotier-en-paille-avec-ruban

Canotier en paille avec ruban

À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.

Chimère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116d08b-chimere

Chimère

Chimère, 1883, par Odilon Redon (1840-1916). Dans la mythologie grecque, la chimère est une créature fantastique malfaisante. Elle est généralement décrite comme un hybride avec une tête de lion, un corps (ou une autre tête) de chèvre, et une queue de serpent. Fille de Typhon et d'Échidna, elle ravageait la région de Lycie (en Asie mineure), quand le héros Bellérophon reçut du roi Iobatès l'ordre de la tuer. Il y parvint en chevauchant le cheval ailé Pégase. La symbolique de la chimère est vaste et son nom a été repris pour désigner, dans un sens étendu, toutes les créatures composites possédant les attributs de plusieurs animaux ainsi que les rêves ou les fantasmes et les utopies impossibles.

Cinq perdrix grises. Source : http://data.abuledu.org/URI/51348c3f-cinq-perdrix-grises

Cinq perdrix grises

"Perdrix grises avec genêt et chardons" par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. La Perdrix grise (Perdix perdix) est une espèce d'oiseau gallinacé, appartenant à la famille des Phasianidae, de l'ordre des Galliformes. Habitat : Milieux ouverts de la montagne (2 500 m) jusqu'aux plaines cultivées (céréales, betterave, pomme de terre), ou zone bocagère et de bosquets. Les adultes sont granivores, mais les jeunes se nourrissent d'insectes, qu'ils ne trouvent plus à manger en raison des pesticides. Quand on les dérange, comme la plupart des oiseaux de ce type, les perdrix se sauvent en courant tout en lançant des regards vers la source de danger et/ou après s'être cachée s'envolent brutalement sur une courte distance avec un cri d'alarme : "rick rick rick". La seule différence constante entre les sexes est ce qu'on appelle "le fer à cheval", tache rouille à deux barres transversales visible sur la poitrine du mâle.

Colombine en 1683. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c15162-colombine-en-1683

Colombine en 1683

Colombine en 1683, par Maurice Sand (1823-1889) en costume du XIX° siècle imitant le style fin XVII°. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860. Villageoise madrée, confidente, humble servante ou soubrette éveillée, hardie et insolente à l’esprit vif, Colombine est tour à tour fille, femme ou maîtresse de Cassandre, de Pantalon, compagne de Pierrot ou ingénue romantique et amoureuse taquine d’Arlequin. Belle, très malicieuse, elle mène Arlequin par le bout du nez, tout comme Pantalon, ce qui provoque la jalousie d’Arlequin. Comme tous les serviteurs de théâtre, elle réagit par la bêtise, la cupidité et la discorde.

Composition de Kandinsky en 1913. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d4923e-composition-de-kandinsky-en-1913

Composition de Kandinsky en 1913

Composition n°6 de Kandinsky en 1913. Son premier grand ouvrage théorique sur l’art, intitulé "Du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier", paraît fin 1911. Il expose dans ce court traité sa vision personnelle de l’art dont la véritable mission est d’ordre spirituel, ainsi que sa théorie de l’effet psychologique des couleurs sur l’âme humaine et leur sonorité intérieure. "L’Almanach du Cavalier Bleu" est publié peu de temps après. Ces écrits de Kandinsky servent à la fois de défense et de promotion de l’art abstrait, ainsi que de démonstration que toute forme d’art authentique était également capable d’atteindre une certaine profondeur spirituelle. Il pense que la couleur peut être utilisée dans la peinture comme une réalité autonome et indépendante de la description visuelle d’un objet ou d’une autre forme. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vassily_Kandinsky

Comptine anglais de "Hey diddle diddle". Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1f23c-comptine-anglais-de-hey-diddle-diddle-

Comptine anglais de "Hey diddle diddle"

Randolph Caldecott (1846-1886) : "Et le plat s'enfuit avec la cuillère." 1882. À l'arrière-plan, dans la salle à manger, tout le monde danse.

Coqueret dit lanterne chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/505dd30e-coqueret-dit-lanterne-chinoise

Coqueret dit lanterne chinoise

Planche botanique du Coqueret, dit Lanterne chinoise (Physalis alkekengi), Atlas des Plantes de France, 1891. La plante est surtout connue pour son faux-fruit, une baie comestible de couleur orange enfermée dans un calice rouge orangé semblable à une lanterne. Indigène en Europe, sa cueillette est attestée dès le Néolithique sur des sites préhistoriques comme ceux du lac de Chalain dans le Jura français. Cette plante est parfois appelée Amour-en-cage ou Cerise d'hiver. Le terme « alkékenge » est apparu dans la langue française au XIVe siècle, il vient de l'ancien français « alquequange » ou « alcacange », lequel dérive de l'arabe al-kakang. Toute la plante, sauf la racine, peut servir à préparer un vin diurétique. Les fruits peuvent être consommés en salades mais aussi transformés en confiture, gelée, marmelade ou encore être incorporés dans des tartes, clafoutis ou tout autre gâteau.

Cornouiller sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050b7a0-cornouiller-sauvage

Cornouiller sauvage

Planche botanique du cornouiller sauvage (Cornus mas), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce doit son nom latin (cornu = corne) au fait que son bois est dur comme la corne : il était autrefois prisé pour la fabrication de flèches et de javelots, d'engrenages, de rayons de roues ou de manches d'outils. L'espèce est utile à la faune car lièvres et cerfs apprécient son feuillage, tout comme les abeilles apprécient ses fleurs précoces à la fin de l'hiver, et les oiseaux ses fruits en été.

Couple de perdrix rouges et poussins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134905b-couple-de-perdrix-rouges-et-poussins

Couple de perdrix rouges et poussins

Couple de perdrix rouges (Alectoris rufa) et poussins. On peut noter un bandeau blanc au-dessus de l'œil. Les joues et la gorge sont blancs, bordés de noir. Le dessus du corps est rouille, la poitrine gris-bleu. Le bec et les pattes sont couleur de corail. La Perdrix rouge se rencontre dans toute la France, en Italie, dans la péninsule Ibérique et au Maroc. Cet oiseau consomme des végétaux : feuilles et graines sauvages. Le nid est au sol dans une dépression grattée par la femelle et garnie de feuilles sèches. La ponte a lieu en avril et mai : la femelle pond une dizaine d'œufs, au fond blanc taché de brun. L'incubation est de l'ordre de 24 jours. Les poussins, nidifuges, restent ensemble jusqu'à la saison de reproduction suivante. La femelle peut pondre deux couvées successives, dans deux nids différents. L'une d'elles est alors couvée par le mâle.

Cuisinière au tablier rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ee5fd-cuisiniere-au-tablier-rouge

Cuisinière au tablier rouge

Cuisinière au tablier rouge, 1862, de Léon Bonvin (1834–1866) : La cuisinière porte un grand tablier vermilion et coupe un chou avec un grand couteau sur une table devant la fenêtre où se trouvent des poireaux, des navets, des racines de céleri, des carottes et de la laitue. Poubelle par terre. Le modèle serait l'épouse du peintre, Constance Félicité Gaudon ; la scène se déroulerait dan la cuisine de la taverne familiale à Vaugirard. La lumière provenant de la fenêtre à droite éclaire des détails du cadre : panier suspendu en osier, étagère avec chandeliers, moulin à café, lanterne et un grand fait-tout en cuivre sur la cuisinière.

Danses et célébrations avant le jeu de crosse en 1834. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356b631-danses-et-celebrations-avant-le-jeu-de-crosse-en-1834

Danses et célébrations avant le jeu de crosse en 1834

Danses et célébrations avant le jeu de crosse, 1834, par George Catlin (1796-1872). Des rites d'avant-match étaient organisés, semblables aux rites liés à la guerre. Les joueurs se maquillaient avec de la peinture et du charbon de bois et se dotaient de différents objets qu'ils portaient sur eux, symbolisant leurs qualités. Un sorcier les préparait et exécutait des rites. Par ailleurs, la veille d'un match, différentes manifestations prenaient place, comme des cérémonies dansantes où les joueurs étaient costumés. Il y avait aussi des sacrifices, ainsi que des cris pour intimider les adversaires. Le jour du match, les équipes avançaient dans les champs tout en poursuivant les rites prodigués par leurs sorciers, certains joueurs ayant même des traces des cérémonies sur leurs bras ou leurs torses. Avant le début de la rencontre, les joueurs tenaient des paris, engageant des couteaux, des chevaux voire leurs femmes et leurs enfants, la mise était ensuite remportée par le vainqueur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crosse_%28sport%29

Ephémères de Virginie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad5b00-ephemeres-de-virginie

Ephémères de Virginie

Ephémères de Virginie, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Les Tradescantia ou setcréasées sont des plantes monocotylédones de la famille des Commelinaceae. C'est un genre regroupant des plantes herbacées venant d'Amérique, aux feuilles engainantes et aux fleurs à trois pétales. Elles sont appelées familièrement misères, en raison de leur tendance à coloniser les espaces, ou éphémères, car chaque fleur ne vit qu'une journée (mais la plante continue tout de même de fleurir au cours du temps). Certaines d'entre elles, telles les misères pourpres (Tradescantia pallida) sont appréciées pour leur feuillage décoratif en appartement. D'autres, comme l'éphémère de Virginie, sont appréciées dans les jardins de par leur feuillage et leur floraison. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tradescantia

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063ffde-epipactis-a-large-feuilles-et-listere-a-feuilles-ovales

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 présentant deux orchidées. A- L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe. Aire de répartition : eurasiatique, se répand dans le quart nord-est des États-Unis depuis 150 ans. Espèce courante en France, sauf dans les départements du Finistère, du Gers et des Landes. B- Listère à feuilles ovales (Listera ovata), Orchidacée terrestre européenne.

Epipactis à larges feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640152-epipactis-a-larges-feuilles

Epipactis à larges feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe.

Fenouil officinal. Source : http://data.abuledu.org/URI/504fa5fd-fenouil-officinal

Fenouil officinal

Planche botanique du fenouil (Foeniculum vulgare). Dans la civilisation grecque le fenouil sauvage était associé à la claire vision. Dans la civilisation romaine, c'était la plante sacrée de Bacchus. Les fleurs apparaissent généralement en août - septembre. Leur parfum est très anisé. En cuisine, c'est un légume dont toutes les parties, racines, feuilles et graines, sont comestibles. Son goût est proche de celui de l'anis et souvent associé au poisson. On peut le consommer cru (en salade) ou cuit. Il entre également dans la fabrication de certaines liqueurs, conservateurs ou aromates d'usage domestique.

Figuier commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7bc6-figuier-commun

Figuier commun

Planche botanique N°289 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Figuier commun (Ficus carica). Le Figuier comestible est l'emblème du bassin méditerranéen, où il est cultivé depuis des millénaires. C'est le seul représentant européen du genre Figuier qui représente près de 600 espèces, la plupart tropicales. À maturité, les fruits, ou figues, sont selon les variétés de couleur verdâtre, jaune, marron-rouge ou violet plus ou moins foncé. Toutes les parties de la plante (rameaux, feuilles, fruits) contiennent un latex blanc et irritant.

Gandalf. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bab6e9-gandalf

Gandalf

Gandalf est un personnage imaginaire appartenant au légendaire de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien, apparaissant dans Le Hobbit, puis dans Le Seigneur des anneaux. Ce mystérieux vieillard, décrit comme étant un magicien (en fait, un membre des Istari), joue un rôle crucial dans les deux romans : il met en branle les événements du premier et joue un rôle de sage conseiller tout au long du second, par contraste avec son supérieur Saroumane. Gandalf porte de nombreux noms et surnoms. Décrit comme le "Pèlerin Gris" ou le "Cavalier Blanc", il est l'un des principaux antagonistes de Sauron, le Seigneur Ténébreux ; c'est d’ailleurs à cause de ce dernier que Gandalf a été envoyé en Terre du Milieu pour assister ses habitants contre lui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gandalf

Gandalf dans le Seigneur des Anneaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bab91d-gandalf-dans-le-seigneur-des-anneaux

Gandalf dans le Seigneur des Anneaux

Gandalf est un personnage imaginaire appartenant au légendaire de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien, apparaissant dans "Le Hobbit", puis dans "Le Seigneur des anneaux". Ce mystérieux vieillard, décrit comme étant un magicien (en fait, un membre des Istari), joue un rôle crucial dans les deux romans : il met en branle les événements du premier et joue un rôle de sage conseiller tout au long du second, par contraste avec son supérieur Saroumane. Gandalf porte de nombreux noms et surnoms. Décrit comme le "Pèlerin Gris" ou le "Cavalier Blanc", il est l'un des principaux antagonistes de Sauron, le Seigneur Ténébreux ; c'est d’ailleurs à cause de ce dernier que Gandalf a été envoyé en Terre du Milieu pour assister ses habitants contre lui. Image versée par l'Artt&Design School, grâce à une collaboration entre la Llotja de Barcelone et Amical Viquipèdia. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gandalf

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139b924-grues-au-bord-du-marais-de-pinsk-en-polesie

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie

Grues au bord d'un étang, 1890, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831-1898). Le nom slave de la Polésie vient de Pod-lese qui signifie « sous la forêt ». La Polésie est considérée par les historiens slaves comme étant au cœur de la région où les peuples slaves se sont différenciés, avant leur expansion dans toutes les directions aux Ve et VIe siècles. Les marais de Pinsk (en russe : Пинские болота, Pinskie bolota), marais du Pripet ou marais du Pripiat (en russe : Припятские болота, Pripiatskie bolota) sont une vaste zone humide située le long de la rivière Pripiat et de ses affluents. Les marais de Pinsk se trouvent principalement dans les basses terres de Polésie et occupent la plus grande partie du sud de la Biélorussie et du nord-ouest de l'Ukraine. Ils couvrent 98 419 km2 de part et d'autre de la rivière Pripiat. Ils sont couverts par une forêt dense parsemée d'étangs, tourbières et ruisseaux, et s'étendent sur 480 km d'ouest en est et 225 km du nord au sud. L'étendue des marais varie considérablement au cours de l'année, en raison de la fonte des neiges au printemps et des précipitations en automne, qui font déborder la Pripiat et provoquent des inondations. Le drainage de la partie orientale a commencé en 1870 et des zones ont été défrichées et transformées en pâturages et terres agricoles.

Héllébore noir ou rose de Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad76d9-hellebore-noir-ou-rose-de-noel

Héllébore noir ou rose de Noël

Héllébore noir ou rose de Noël, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. On l'appelle également herbe aux fous, pied de griffon, pied de lion, patte d’ours, rose de serpent ou pain de couleuvre. C'est la seule espèce de la section Helleborus. Jadis, l'Helleborus niger , était considérée comme une plante magique associée à la magie noire. Selon la légende, lorsque le bétail paraissait empoisonné, il fallait lui percer l'oreille et y glisser un fragment de racine de Rose de Noël et l'animal était rétabli en 24 heures. La rose de Noël ne fleurit à cette période qu’à l’intérieur, en pots maintenus à température ambiante. À l’extérieur elle fleurit en général en février – mars. Au Moyen Âge, la plante s'appelait aussi aliboron, terme de l'ancien français issu lui-même du grec elleboros, folie. Considérée comme un remède universel contre la folie dès l'Antiquité, aliboron a pu être associé au nom de maistre pour désigner le médecin, puis le savant et enfin l'âne ou le "maître Aliboron", personnage ridicule car se mêlant de tout. Helleborus niger est une des rares espèces d’hellébores qui produisent des exemplaires à fleurs doubles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Helleborus_niger

Il pleut des cordes en Angleterre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee5330-il-pleut-des-cordes-en-angleterre

Il pleut des cordes en Angleterre

Pluie de chats, chiens et fourches. Caricature anglaise du XIXe siècle : en anglais "il pleut des cordes" se dit "il pleut des chats et des chiens" (it's raining cats and dogs). Exemple de métaphore avec contexte culturel : le contexte littéraire, énonciatif et culturel seul permet de cerner la nature et la portée de la métaphore, qui mélange deux champs sémantiques, parfois suivis d'une comparaison. La métaphore repose ainsi souvent sur des clichés, des lieux communs ou des allusions qui se retrouvent à toute époque.

Jeannot Lapin - 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/52be1693-jeannot-lapin-6

Jeannot Lapin - 6

Jeannot Lapin, 1904, par Beatrix Potter (1866-1943). The Tale of Benjamin Bunny - 6, Source : http://www.gutenberg.org/files/14407/14407-h/14407-h.htm. Il a tout perdu dans le potager de M. Mac Gregor.

Jeu de crosse chez les Indiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356b505-jeu-de-crosse-chez-les-indiens

Jeu de crosse chez les Indiens

Jeu de crosse chez les Indiens Choctaws, 1846, par George Catlin (1796-1872). La crosse est un jeu inventé par les Amérindiens. Il s'agit de l'un des plus vieux jeu d'équipe du continent américain, puisque des origines de ce sport remontent jusqu'au XIe siècle en Mésoamérique ou au Mexique. Ce jeu était ensuite pratiqué dans le Canada et les États-Unis actuels, notamment dans la région des Grands Lacs et la Côte Est des États-Unis. Ce jeu traditionnel était un des évènements phares à cette époque et pouvait se dérouler sur plusieurs jours durant lesquels des rencontres s'organisaient entre villages ou tribus voisins, réunissant à l'occasion des centaines voire un millier de participants. Il se disputait souvent sur un terrain entre les deux villages adverses et les buts pouvaient être distants de 500 mètres à plusieurs kilomètres. Les règles de ces jeux étaient décidées quelques jours avant la compétition. Généralement, tout le monde pouvait y participer, la balle ne devait pas être touchée avec la main, les buts étaient constitués soit des rochers soit des arbres, avant la mise en place de poteaux en bois, et la durée du match dépendait du soleil. Chaque joueur était armé d'une crosse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crosse_%28sport%29

Kasperl 01. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ef8a20-kasperl-01

Kasperl 01

Kasperl 01, par Lothar Meggendorfer (1847–1925) : « Münchener Kasperl-Theater ». Munich, 1879. Kasper est le héros du théâtre de marionnette allemand. Le nom provient probablement d'un mot persan signifiant le « gardien du trésor ». Il existe une tradition qui prête le nom de Casper à l'un des trois rois mages. Le personnage existe également dans le théâtre des mystères dans les églises du Moyen Âge. Ses origines proviennent de Polichinelle, tout comme les marionnettes Punch and Judy, en Angleterre ou Guignol, en France. La marionnette de Kasper, telle qu'elle est aujourd'hui connue est apparue pour la première fois à Munich en 1858 dans une pièce de théâtre de Franz Graf von Pocci.

L'argent dans la balance. Source : http://data.abuledu.org/URI/548c192e-l-argent-dans-la-balance

L'argent dans la balance

"Chaque homme a son prix, le tout c’est de savoir lequel. La question qu’on peut se poser, c’est qu’est ce qu’on perd quand on a mis l’argent sur la table, est ce qu’on perd son éthique, y a-t-il une balance entre l’argent et la moralité. L’actualité nous pousse à réfléchir, les accords financiers de la fondation Mozilla en sont un bon exemple, après avoir signé un pacte avec G., plutôt evil sur le papier, Mozilla signe avec Y. dont le moteur de recherche par défaut c’est bing, soit du M. par extension. Où se trouve le juste milieu ? où se trouve l’équilibre ? Gagner de l’argent est-ce forcément vendre son âme au diable ? A chacun sa réponse." Cyrille Borne, pour Harakirilibre, 20141211.

La Cité des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/513fda93-la-cite-des-dames

La Cité des dames

La Cité des dames est un récit allégorique de Christine de Pizan (1363-1431) paru à Paris en 1405. Christine de Pizan est une philosophe et poétesse française de naissance italienne considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésie. On lui doit, entre autres, "Cent ballades d'amant et de dame" et "la Cité des dames". Son travail majeur a été accompli entre 1400 et 1418. Christine est d'abord une poétesse. Et pour cause : c'est le premier moyen de se faire remarquer en bien par les princes mécènes, car leur cour se plaît particulièrement aux jeux poétiques de la littérature courtoise. Elle chante des amours plutôt malheureux en fin d'histoire, mais n'en abuse pas car elle sait que ses lecteurs préfèrent le chant amoureux comblé. C'est par la poésie qu'elle a fondé son autorité d'écrivaine, la manière la plus efficace de se faire admettre dans le monde littéraire pour une femme de la haute société. "La cité des dames" est un des premiers ouvrages féministes de la littérature, en ce sens qu'il ne reprend pas les tropes usés du débat rhétorique utilisés par les auteurs masculins pour attaquer ou défendre la femme, mais se place délibérément dans une perspective nouvelle, la narratrice prenant conscience de ce que sa vision d'elle-même est en fait déterminée par les clichés qui circulent sur les femmes et leur infériorité "naturelle". Christine de Pizan décrit une société allégorique, où la dame est une femme dont la noblesse est celle de l'esprit plutôt que de la naissance. L'ouvrage cite une série de figures féminines du passé que Christine de Pizan donne comme exemple de la façon dont les femmes peuvent mener une existence pleine de noblesse tout en apportant leur contribution à la société. Le Maître de la Cité des dames est un nom de convention désignant un enlumineur actif à Paris entre 1400 et 1415. Collaborateur de Christine de Pisan dans la réalisation de ses manuscrits, il doit son nom de convention des manuscrits de La Cité des dames qu'il a enluminés.

Lande de bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/51350d88-lande-de-bruyere

Lande de bruyère

Lande de bruyère, 1897, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. La lande (parfois appelée « Dorne » ou « Les dornes » dans le nord de la France) est une association de plantes qui dépassent rarement le stade d'arbustes et poussant sur des milieux pauvres, souvent acides et oligotrophes. Dans la lande européenne, on retrouve surtout des bruyères, des genêts, des buis et des ajoncs. On retrouve des landes sur toute la zone tempérée. En France elles se situent principalement dans le Massif central et le Massif armoricain. La lande silicicole, lande mésophile ou waste se développe dans les régions côtières au climat océanique, humide toute l'année avec des températures modérées. La faiblesse de l'insolation réduit la minéralisation, la litière est peu abondante et acide. Le lessivage est important. Les sols sont acides (pH voisin de 4) et peuvent donner des podzols. L'origine de cette formation est double. Le vent gêne la croissance des arbres (forte évaporation, bris des rameaux) et le lessivage réduit leur alimentation.

Le cadeau du fantôme. Source : http://data.abuledu.org/URI/534435d7-le-cadeau-du-fantome

Le cadeau du fantôme

Nissaka reçoit le bébé du fantôme de son épouse assassinée. Toutes les nuits, le rocher qui l'a recueillie pleure des larmes de sang. Légende japonaise illustrée par Utagawa Kuniyoshi (1797–1861).

Le chat qui s'en va tout seul. Source : http://data.abuledu.org/URI/5489a8eb-le-chat-qui-s-en-va-tout-seul

Le chat qui s'en va tout seul

Le chat qui s'en va tout seul, illustration par Joseph Gleeson, in "Histoires comme ça" 1912, de Rudyard Kipling (1865-1936).

Le conte de Dick et de son chat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4c5cd-le-conte-de-dick-et-de-son-chat

Le conte de Dick et de son chat

Le conte de Dick Whittington et de son chat, illustration par Arthur Rackham (1867-1939) des « English Fairy Tales » de Flora Annie Webster Steel (1847-1929) : Quand le chat vit tous ces rats et toutes ces souris, il n'attendit pas le signal et se jeta dessus.

Le conte de Jacques, tueur de géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4b730-le-conte-de-jacques-et-le-geant

Le conte de Jacques, tueur de géant

Le conte de "Jacques, le tueur de géant", illustration par Arthur Rackham (1867-1939) des « English Fairy Tales » de Flora Annie Webster Steel (1847-1929) : Prenant toutes les clefs du château, Jacques en ouvrit toutes les portes.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313713a-le-conte-de-la-petite-souris-grise-

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre III : Rosalie regarda autour d’elle, ne vit personne, et, oubliant entièrement, dans son désir extrême de satisfaire sa curiosité, la bonté du prince et les dangers qui les menaçaient si elle cédait à la tentation, elle passa ses doigts dans une des ouvertures, tira légèrement : la toile se déchira du haut en bas avec un bruit semblable au tonnerre, et offrit aux yeux étonnés de Rosalie un arbre dont la tige était en corail et les feuilles en émeraudes ; les fruits qui couvraient l’arbre étaient des pierres précieuses de toutes couleurs, diamants, perles, rubis, saphirs, opales, topazes, etc., aussi gros que les fruits qu’ils représentaient, et d’un tel éclat que Rosalie en fut éblouie.

Le Conte de Sophie Canétang 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cc8f18-le-conte-de-sophie-canetang-03

Le Conte de Sophie Canétang 03

Le Conte de Sophie Canétang, 1908, par Beatrix Potter (1866-1943) : The Tale of Jemima Puddle-Duck-03, Source : http://www.gutenberg.org/ebooks/14814. Tout le monde lui dit que c'était mieux comme ça car elle n'aurait jamais le courage de couver ses oeufs très longtemps.

Le conte des crapauds et des diamants - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/53308e69-le-conte-des-crapauds-et-des-diamants-2

Le conte des crapauds et des diamants - 2

Le conte des crapauds et des diamants, illustration de 1870 : Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. "Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps" ; et, en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux roses, deux perles et deux gros diamants. "Que vois-je là !" dit sa mère toute étonnée. Charles Perrault, Les fées.