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Photographie | Ornithologie | Peinture | Marais | Gravure | Dessins et plans | Botanique | Géographie | Afrique | Bécassine des marais | Dix-neuvième siècle | Plantes des marais | Gallinago gallinago | Plantes | Architecture | Marais à palétuviers | Huîtres | Mangroves | Zones humides | Bouleau de marais | ...
Brume matinale en Estonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55223ff0-brume-matinale-en-estonie

Brume matinale en Estonie

Brume matinale en Estonie, tourbière de Mukri à Raplamaa, Kehtna.

Fleur des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/51175d55-fleur-des-marais

Fleur des marais

Fleur des marais, d'Odilon Redon (1840-1916).

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139b924-grues-au-bord-du-marais-de-pinsk-en-polesie

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie

Grues au bord d'un étang, 1890, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831-1898). Le nom slave de la Polésie vient de Pod-lese qui signifie « sous la forêt ». La Polésie est considérée par les historiens slaves comme étant au cœur de la région où les peuples slaves se sont différenciés, avant leur expansion dans toutes les directions aux Ve et VIe siècles. Les marais de Pinsk (en russe : Пинские болота, Pinskie bolota), marais du Pripet ou marais du Pripiat (en russe : Припятские болота, Pripiatskie bolota) sont une vaste zone humide située le long de la rivière Pripiat et de ses affluents. Les marais de Pinsk se trouvent principalement dans les basses terres de Polésie et occupent la plus grande partie du sud de la Biélorussie et du nord-ouest de l'Ukraine. Ils couvrent 98 419 km2 de part et d'autre de la rivière Pripiat. Ils sont couverts par une forêt dense parsemée d'étangs, tourbières et ruisseaux, et s'étendent sur 480 km d'ouest en est et 225 km du nord au sud. L'étendue des marais varie considérablement au cours de l'année, en raison de la fonte des neiges au printemps et des précipitations en automne, qui font déborder la Pripiat et provoquent des inondations. Le drainage de la partie orientale a commencé en 1870 et des zones ont été défrichées et transformées en pâturages et terres agricoles.

La fille du roi des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/51125b6a-la-fille-du-roi-des-marais

La fille du roi des marais

Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte "La fille du roi des marais".

La fille du roi des marais d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/54af158a-la-fille-du-roi-des-marais-d-andersen

La fille du roi des marais d'Andersen

Illustration des contes de fées d'Hans Andersen, 1913, par William Heath Robinson (1872-1944) : page 7, La fille du roi des marais

Massettes des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6d0d-massettes-des-marais

Massettes des marais

Croquis de massettes des marais (Typha latifolia). Les massettes sont des plantes de milieux humides qui possèdent un rhizome. Elles ont une inflorescence typique : dense et en forme de quenouille, dans laquelle les fleurs femelles et mâles sont clairement séparées (monoécie), les fleurs mâles étant placées au-dessus des fleurs femelles au bout d'une tige florifère. Les feuilles sont plates (ou légèrement triangulaires) et croissent à la base de la plante. Elles forment une gaine qui entoure la tige.

Vallée du Pripjat en Biélorussie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139bdb9-vallee-du-pripjat-en-bielorussie

Vallée du Pripjat en Biélorussie

Vallée du Pripjat en Biélorussie. La vallée du Pripiat constitue la plus grande zone humide d'Europe. Ce sont les « marais du Pripiat » ou « marais de Pinsk ». La vallée du Pripiat abrite deux parcs nationaux biélorusses : Pripyatski (fondé en 1996 sur la rive droite de la rivière, entre les localités de Tourav et de Petrikav), et la réserve radio-écologique qui correspond à la zone la plus contaminée par la catastrophe de Tchernobyl en partie interdite d'accès aux humains, mais qui accueille une faune sauvage d'un grand intérêt. Le parc Prypyatski s'étend sur 82 529 hectares (825 km2). Il fut créé en 1996 comme parc de conservation du paysage et réserve naturelle hydrologique. Sa longueur est-ouest est de 64 kilomètres ; elle est de 27 kilomètres du nord au sud. Outre les forêts typiques de la vallée du Pripiat, le parc comprend de nombreux petits cours d'eau. Il s'étend sur une zone à reliefs très modérés. La rivière elle-même coule généralement en dehors de la zone protégée.

Ancien Phare de la Roque dans l'Eure. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e5f8a-phare-de-la-roque

Ancien Phare de la Roque dans l'Eure

Le phare de la Roque est situé sur la pointe de la Roque, dominant l'estuaire de la Seine, sur la commune de Saint-Samson-de-la-Roque, dans le département de l'Eure. C'est une maison-phare construite au XIXe siècle, perchée sur une falaise dominant l'estuaire à plus de 50 m avec un feu fixe blanc. En 1900, il fut électrifié avec un groupe électrogène à essence. Il est éteint depuis 1909. De ce promontoire situé entre la Risle et le Marais-Vernier on peut voir le Havre, Honfleur, le pont de Normandie et le pont de Tancarville. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 15 septembre 2011. Hauteur : 9.7 l - Elévation : plus de 50 m - Feux : éteint. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_La_Roque

Angélique à Coulon. Source : http://data.abuledu.org/URI/544ea7a8-angelique-a-coulon-

Angélique à Coulon

Angélique (Angelica Archangelica) à Coulon (Deux-Sèvres) au bord de la Sèvre niortaise dans le Marais poitevin : cultivée comme plante condimentaire et médicinale pour ses pétioles, tiges et graines très aromatiques et stimulantes et pour sa racine utilisée en phytothérapie. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ang%C3%A9lique_officinale

Batistin le jardinier de St Omer. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc818c-batistinle-jardinier-de-st-omer

Batistin le jardinier de St Omer

Né en 1952 lors de la Ducasse de la Rue de Calais et du Bachelin à St Omer, il est le jardinier de St Omer. Aujourd'hui veuf de Bel Lyz disparue. Il appartient à l'AFMA (Association des Faubourgs et Marais Audomarois) à St Omer.

Bec-en-sabot du Nil. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed7869-bec-en-sabot-du-nil

Bec-en-sabot du Nil

Couple de Bec-en-sabot du Nil (Balaeniceps rex), 1850, Société zoologique de Londres, par Joseph Wolf (1820–1899). Le Bec-en-sabot est un grand échassier (100 à 120 cm) à longues pattes sombres et au bec énorme. Son envergure peut atteindre 2,30 m. Il pèse de 4 à 7 kg. Le plumage chez les adultes des deux sexes est gris, légèrement bleuté, à l'aspect granité. Les plumes principales sont noires à l'extrémité; les plumes secondaires peuvent présenter des reflets verdâtres. Le dessous de l'oiseau est légèrement plus clair que le dessus. Le Bec-en-sabot présente, sur l'arrière de la tête, une petite touffe de plumes qu'il peut ériger comme une crête. La forme du bec apparaît, en fait, très adaptée à la pêche en eaux troubles, peu profondes et encombrées de végétaux. Au lieu de harponner à la manière des hérons, le bec-en-sabot écope à l'horizontale. Il arrache ainsi du marais une véritable pelletée de matériaux où frétille la proie visée. Le crochet qui arme sa mandibule supérieure lui sert à pincer sa prise, les bords tranchants à la découper. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bec-en-sabot_du_Nil.

Bécassine des marais au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/55145467-becassine-des-marais-au-japon

Bécassine des marais au Japon

Bécassine des marais (Gallinago gallinago) à l'atterrissage au Japon.

Bécassine des marais en Angleterre. Source : http://data.abuledu.org/URI/551452b2-becassine-des-marais-en-angleterre

Bécassine des marais en Angleterre

Bécassine des marais (Gallinago gallinago), Southport, Lancashire, Angleterre.

Bécassine des marais en Catalogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5514532d-becassine-des-marais-en-catalogne

Bécassine des marais en Catalogne

Bécassine des marais (Gallinago gallinago), Viladecans, Barcelona, Catalogne.

Bécassine des marais en train de pêcher. Source : http://data.abuledu.org/URI/551453c1-becassine-des-marais-en-train-de-pecher

Bécassine des marais en train de pêcher

Bécassine des marais (Gallinago gallinago), Viladecans, Barcelona, Catalogne.

Berce géante du Causace. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee79f1-berce-geante-du-causace

Berce géante du Causace

La berce du Caucase (Heracleum mantegazzianum) peut atteindre quatre à cinq mètres de hauteur. Ses feuilles peuvent atteindre 3 mètres, et sa tige, teintée de pourpre, un diamètre de 10 centimètres. Elle est surmontée par une inflorescence en ombelle d'environ cinquante centimètres de diamètre. Plante de marais, elle se plaît en terrain humide, notamment le long des cours d'eau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Heracleum_mantegazzianum

Biche des marais au Brésil. Source : http://data.abuledu.org/URI/55cf2e48-biche-des-marais-au-bresil

Biche des marais au Brésil

Gros plan de biche des marais (Blastocerus dichotomus) à Itirapina, état de São Paulo au Brésil.

Bois de bouleaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/505bab70-bois-de-bouleaux

Bois de bouleaux

Photographie d'un bois de bouleaux en bordure d'un ruisseau à Hankasalmi (Finlande). Le bouleau est le premier arbre du calendrier celtique ; il symbolise la sagesse. Les Amérindiens considéraient le bouleau comme un arbre sacré et utilisaient son écorce pour fabriquer des canots et des parchemins.

Brouillard matinal en Estonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5630d605-brouillard-matinal-en-estonie

Brouillard matinal en Estonie

Le marais de Tolkuse à l'aube. Réserve naturelle de Luitemaa, Comté de Pärnu, Estonie.

Bruyère des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058db5c-bruyere-des-marais

Bruyère des marais

Planche botanique de la bruyère des marais (Erica tetralix) ou bruyère tétragone à fleurs roses.

Buffle. Source : http://data.abuledu.org/URI/510f8c5f-buffle

Buffle

Le buffle domestique, aussi connu en français sous les noms de buffle d'Asie, buffle d'eau, kérabau ou karbau, est un bovin de grande taille, l'espèce-type du genre Bubalus sp., qui comprend plusieurs autres espèces originaires d'Asie tropicale. À l'état sauvage, le buffle d'Asie est une espèce en danger, inféodée aux marais les plus reculés d'Asie du Sud et du Sud-Est. Mais sa forme domestiquée est l'un des animaux les plus courants et les plus typiques en Chine, dans le sous-continent indien et en Asie du Sud-Est ; elle est particulièrement appréciée pour son lait et en tant qu'animal de bât. il en existe plusieurs races, dont certaines ont été exportées loin de leurs terres d'origine : depuis plusieurs siècles, le buffle est élevé au Proche-Orient, en Tunisie et au sud de l'Italie (où son lait sert à fabriquer la mozzarella).

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fde64f-carte-de-la-reserve-du-cap-tourmente-au-quebec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec en bordure du St Laurent. La réserve du cap Tourmente couvre 2 396 ha sur les berges de l'estuaire du Saint-Laurent à la rencontre des régions géologiques des basses terres du Saint-Laurent et du plateau laurentien16. La rencontre de l'escarpement du plateau et des premiers kilomètres de l'estuaire du fleuve provoque un microclimat où l'hiver est légèrement moins froid, mais plus humide que dans les régions avoisinantes et l'été plus frais. On identifie quatre éléments géomorphologiques sur la réserve : la batture ou l'estran, la plaine, la plateau laurentien et, à la jonction du plateau et de la plaine, la zone de contact. 1) L'estran se compose de la slikke, de la haute slikke et du schorre. Une microfalaise d'environ un mètre sépare la slikke du schorre. Le marécage côtier est établi sur le schorre. La slikke et le schorre sont traversés de chenaux de marée par où s'écoulent les eaux lors du jusant. La haute slikke est la zone colonisée par le Scirpe d'Amérique et forme ainsi le marais intertidal. Un talus de plusieurs mètres sépare le schorre de la plaine. 2) La plaine s'insère entre l'estran et le plateau laurentien. La plaine, qui repose sur un substrat de shale d'Utica, est structurée en quatre terrasses façonnées par le retrait en phases successives de la mer de Goldthwait. Les dépôts de sédiments laissés par la mer ont rendu les terres très fertiles pour l'agriculture. 3) Le plateau laurentien avec l'escarpement qu'il engendre constitue un trait marquant du paysage de la réserve. Certaines falaises ont un dénivelé vertical de presque 100 mètres et le point le plus haut de la réserve s'élève à 571 mètres d'altitude. 4) La zone de contact est constituée par un amalgame des éléments de la plaine et du plateau. L'érosion (érosion fluviale, éboulis) entraîne vers le bas du versant pierres, sédiments et minéraux caractéristiques du plateau qui s'amoncellent avec les sédiments et la roche sédimentaire propres à la plaine.

Chasse aux oiseaux dans l'ancienne Égypte. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a5d2d-chasse-aux-oiseaux-dans-l-ancienne-egypte

Chasse aux oiseaux dans l'ancienne Égypte

Chasse aux oiseaux avec des bâtons-à-lancer (boomerangs sans retour) dans l'ancienne Égypte, vers 1370 avant notre ère, dans la tombe de Nakht du scribe et médecin Nebamon (Dra Abou el-Naga), "Chasse aux oiseaux dans les marais". Source : The Yorck Project, 10.000 Meisterwerke der Malerei. DVD-ROM, 2002.

Château du Marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/518819d3-chateau-du-marais

Château du Marais

Façade occidentale du château du Marais, près du Val-Saint-Germain, dans l'Essonne (France). Construit par l'architecte Jean-Benoît-Vincent Barré pour Jean Le Maître de La Martinière, trésorier général de l'Artillerie et du Génie, il est considéré comme l'un des plus remarquables exemples de château de style Louis XVI en région parisienne.

Chenille mangeant une feuille de bouleau. Source : http://data.abuledu.org/URI/58a0bc80-chenille-mangeant-une-feuille-de-bouleau

Chenille mangeant une feuille de bouleau

Acronycte (Acronicta auricoma) se nourrissant d'une feuille de bouleau (Betula pubescens).

Cheval de Camargue dans le marais du Rhône. Source : http://data.abuledu.org/URI/55437e8b-cheval-de-camargue-dans-le-marais-du-rhone

Cheval de Camargue dans le marais du Rhône

Cheval de Camargue dans le marais du Rhône.

Cigüe vénéneuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50502e53-cigue-veneneuse

Cigüe vénéneuse

Planche botanique de la cigüe aquatique (Cicuta virosa), Atlas des Plantes de France de 1891, qui porte aussi le nom de ciguë vénéneuse, ciguë vireuse, persil des marais ou bien cicutaire du Nord. Le poison est surtout concentré dans le rhizome, qui peut être confondu avec celui d'une carotte sauvage. Cette plante est l'un des poisons végétaux les plus puissants. Elle fut notamment employée dans l'Antiquité pour commettre des crimes ou se donner la mort (suicide sur ordre du philosophe grec Socrate).

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Cuisson de confiture de myrtilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5332e80f-cuisson-de-confiture-de-myrtilles

Cuisson de confiture de myrtilles

Cuisson de confiture de myrtilles avec pectine, sucre, jus de citron et calcium.

Deux damiers des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/599210f2-deux-damiers-des-marais

Deux damiers des marais

Deux damiers des marais (Euphydryas aurinia), Brickes Wood, Lydlinch, Dorset.

Deux grenouilles sur un blason. Source : http://data.abuledu.org/URI/52dedabf-deux-grenouilles-sur-un-blason

Deux grenouilles sur un blason

Armoiries de la commune d'Ependes, dans le canton de Vaud en Suisse : grenouilles encadrant un roseau.

Deux oisillons de grèbe en quête de nourriture. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c0ffb-deux-oisillons-de-grebe-en-quete-de-nourriture

Deux oisillons de grèbe en quête de nourriture

Le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis) est une espèce d'oiseaux de la famille des Podicipedidae. Cet oiseau est le plus petit des membres de la famille des grèbes, et aussi le seul grèbe d’Europe à pondre régulièrement deux fois par an. Oiseaux discrets, ils s’installent sur n’importe quel lac, étang, mare ou marais possédant une végétation assez dense sur ses rives. Les poussins sont couverts de duvet gris, leur bec est jaune et ils ont la tête, le cou et le dos présentant des rayures jaunâtres à rousses. Les jeunes ressemblent aux adultes en plumage internuptial mais les joues et les côtés du cou brun foncé sont rayés irrégulièrement de blanc. Leur mue partielle se déroule de juillet à décembre. Leur régime alimentaire (insectes et petits crustacés) leur permet de s’établir sur des plans d’eau trop petits pour contenir de gros poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8be_castagneux

Estey à marée basse dans les prés salés. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbf8f9-estey-a-maree-basse-dans-les-pres-sales

Estey à marée basse dans les prés salés

Estey à marée basse dans les prés salés, Cap-Ferret, Gironde.

Eupatoire à feuilles de chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050f85b-eupatoire-a-feuilles-de-chanvre

Eupatoire à feuilles de chanvre

Planche botanique d'Eupatoire à feuilles de chanvre (Eupatorium cannabinum), Atlas des Plantes de France de 1891 : l'eupatoire chanvrine croît volontiers dans les zones humides, aux bords de fossés, dans les marais, jusqu'à 1 700 mètres d'altitude. Il s'agit d'une plante mellifère qui est appréciée des papillons. La tradition populaire en fait une plante laxative (racines).

Flamant rose en vol en Camargue. Source : http://data.abuledu.org/URI/52779074-flamant-rose-en-vol-en-camargue

Flamant rose en vol en Camargue

Flamant rose en vol (Phoenicopterus roseus) dans les marais de Camargue, près d'Arles.

Fuligule de Madagascar. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b602c-fuligule-de-madagascar

Fuligule de Madagascar

Fuligule mâle de Madagascar (Aythya innotata). C'est un canard de plongée extrêmement rare du genre Aythya, qu'on a cru éteint. Avant sa redécouverte en 2006, la dernière observation confirmée de l'espèce a été faite au bord du lac Alaotra sur le plateau central de Madagascar en 1991. Ce canard plongeur est confiné aux lacs et marais d'eau douce peu profonds qui combinent des eaux libres et des secteurs de végétation dense. Il se nourrit d'invertébrés et de graines de plantes aquatiques en plongeant fréquemment dans les eaux peu profondes. Il est vu généralement seul, parfois en couple. La taille de la couvée est de deux en moyenne et la couvaison a été observée en mars-avril.

Grues au bord de l'étang. Source : http://data.abuledu.org/URI/51390681-grues-au-bord-de-l-etang

Grues au bord de l'étang

Grues au bord d'un étang, dans les marais de Polésie, au nord de l'Ukraine, 1884, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Hôtel de Sens (Marais). Source : http://data.abuledu.org/URI/514dc912-hotel-de-sens-marais-

Hôtel de Sens (Marais)

Sanguine originale, Hôtel de Sens au Marais-Paris par le peintre Michel RIGEL. Paris ne devient archevêché qu’en 1622. Avant cette date, la capitale dépendait de l'archevêché de Sens. C’est Tristan de Salazar, archevêque de cette ville (1474-1518) qui fait construire l’actuel bâtiment. Marguerite de Valois, surnommée la reine Margot, dont le mariage avec Henri IV fut déclaré nul en 1599 par l'Église, y résida de 1605 à 1606. L'hôtel fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Depuis 1961, il abrite la bibliothèque Forney, consacrée aux beaux-arts, aux métiers d'art et à leurs techniques, aux arts appliqués ainsi qu'aux arts décoratifs.

Huitres de palétuviers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50426-huitres-de-paletuviers

Huitres de palétuviers

Huîtres de palétuviers dans une mangrove de Carabane (Casamance, Sénégal). La cueillette de fruits de mer, notamment d’huîtres, est une autre activité ancestrale toujours pratiquée en Casamance, qui est l’une des trois régions productrices d’huîtres du Sénégal, avec la Petite-Côte et le Sine-Saloum. Les huîtres se développent sur les racines des palétuviers découvertes à marée basse. Elles sont cueillies pendant la saison sèche, principalement par les femmes, qui contrôlent, de la récolte à la distribution, une activité qui ne nécessite guère d’investissement en dehors des déplacements et qui leur assure une certaine autonomie financière. Les huîtres occupent une place importante dans la consommation familiale. Riches en oligo-éléments et en vitamine C, elles sont, chez les Diolas, la deuxième source de protéines animales après le poisson, devançant le poulet et le porc. Elles sont volontiers associées au riz, base de l’alimentation traditionnelle, voire le remplacent, en cas de pénurie. Localement on les consomme bouillies ou grillées au feu de bois, accompagnées d’une sauce relevée. Lorsqu’elles ont été décortiquées et séchées au soleil ou fumées, elles sont vendues dans la région ou conservées, éventuellement durant quelques mois. Dans certains villages – dont Karabane – elles sont parfois gardées vivantes, pendant plusieurs semaines, avant d’être transportées sur les marchés. Outre leurs qualités nutritives, les huîtres constituent aussi une source de revenus appréciable. Karabane se trouvant au centre de la zone de cueillette, c’est l’une des raisons pour lesquelles cette escale revêt une importance stratégique. Autrefois les huîtres étaient écoulées plus facilement, jusqu’à Dakar, au sein de la communauté diola qui y vit. Elles sont vendues par les cueilleuses elles-mêmes ou par les marchandes ambulantes, que l'on appelle bana-bana. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane

Huîtres de palétuviers au Sénégal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5493670a-huitres-de-paletuviers-au-senegal

Huîtres de palétuviers au Sénégal

Huîtres de palétuviers dans une mangrove de Carabane (Casamance, Sénégal).

La Leyre sous le pont de Mios. Source : http://data.abuledu.org/URI/55609dbf-la-leyre-sous-le-pont-de-mios

La Leyre sous le pont de Mios

La Leyre sous le pont de Mios-33 ; au premier plan, iris des marais (Iris pseudacorus) en fleurs. Photo prise le 23 mai, rive droite.

Lamantin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa726f-lamantin

Lamantin

Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».

Lavande de mer en fleurs dans les marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/507026a9-lavande-de-mer-en-fleurs-dans-les-marais

Lavande de mer en fleurs dans les marais

Lavande de mer en fleurs dans les marais de Southampton, Angleterre.

Le berger des Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/524de884-le-berger-des-landes

Le berger des Landes

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.221 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Un berger des Landes.—On appelle échasses deux perches ou bâtons munis d'une espère d'étrier ou fourchon qui soutient le pied. Elles sont serrées aux jambes par des courroies. Les échasses ne sont pas seulement un jouet d'enfant, les pâtres des Landes et du bas Poitou s'en servent pour marcher dans les marais et dans les sables.

Le jardin turc à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d92e8a-le-jardin-turc-a-paris

Le jardin turc à Paris

L'entrée au jardin turc, 1812, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845) ; au J. Paul Getty Museum de Los Angeles. Le jardin turc était un lieu de rendez-vous bourgeois dans le quartier du Marais au XIXème siècle.

Libellule Trithemis écarlate. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1951f-libellule-trithemis-ecarlate

Libellule Trithemis écarlate

Libellule Trithemis écarlate femelle. C'est une espèce africaine qui vit dans les pays suivants : Algérie, Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Comores, Côte d'Ivoire, Égypte, Guinée équatoriale, Éthiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Kenya, Libéria, Libye, Madagascar, Malawi, Mali, Mauritanie, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigéria, Sierra Leone, Somalie, Afrique du Sud, Soudan, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie, Zimbabwe et peut-être au Burundi. Zones humides de la zone subtropicale à tropicale, sur les fleuves, fleuves intermittents, eaux douces, lacs, lacs intermittents, marais non salés, éventuellement intermittents.

Lièvre des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/587fbf38-lievre-des-marais

Lièvre des marais

Lièvre des marais, "Les Américains à quatre-pattes et leur famille" (Four-footed Americans and their kin), 1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).

Maison ancienne à Amboise. Source : http://data.abuledu.org/URI/55dd8aa4-maison-ancienne-a-amboise

Maison ancienne à Amboise

Maison à l'angle de la Rue Joyeuse et du Quai des Marais, Amboise.

Mangrove à Carabane au Sénégal. Source : http://data.abuledu.org/URI/54936681-mangrove-a-carabane-au-senegal

Mangrove à Carabane au Sénégal

Mangrove à palétuviers sur l'île de Carabane (Casamance, Sénégal).

Marais près de Vaccarès. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d5dcbf-marais-pres-de-vaccares

Marais près de Vaccarès

Marais près de Vaccarès (Camargue).

Migration du Cap tourmente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fddef0-migration-du-cap-tourmente

Migration du Cap tourmente

Les migrations de la grande oie blanche à la réserve nationale de faune du Cap-Tourmente, Québec, Canada. La réserve nationale de faune du cap Tourmente est l'une des huit réserves nationales de faune du Canada présentes au Québec. Établie dans une région liée aux premiers temps de l'histoire de la Nouvelle-France, cette réserve est destinée à protéger les marais à Scirpe d'Amérique, une plante qui constitue l'alimentation de l'Oie des neiges (ou oie blanche) lors de ses migrations annuelles. Le nom de « cap Tourmente » apparaît pour la première fois en 1608 sous la plume de l'explorateur Samuel de Champlain qui notait ainsi la propension des eaux du fleuve Saint-Laurent à s'agiter sous le vent à cet endroit : "De l'isle aux Couldres costoyans la coste, fusme à un cap, que nous avons nommé le Cap de Tourmente, qui en est à sept lieues, et l'avons ainsi appelé, d'autant que pour peu qu'il face de vent, la mer y esleve comme si elle estaoit pleine."