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Curiosité | Contes de fées | Fillettes | Peinture | Dessins et plans | Gravure | Objets magiques | Photographie | Comtesse de Ségur (1799-1874) | Forêts | Dix-neuvième siècle | Animaux des forêts | Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898) | Grenouilles | Littérature pour la jeunesse | Lewis Carroll (1832-1898) | Pi (le nombre) | Histoires drôles | Aires (surfaces) | Cercles | ...
Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon. Source : http://data.abuledu.org/URI/531375c5-histoire-de-blondine-de-bonne-biche-et-de-beau-minon-

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre X : Le voyage de Blondine dura, comme le lui avait dit la Tortue, six mois ; elle fut trois mois avant de sortir de la forêt ; elle se trouva alors dans une plaine aride qu’elle traversa pendant six semaines, et au bout de laquelle elle aperçut un château qui lui rappela celui de Bonne-Biche et de Beau-Minon.

La Petite aux grelots 07. Source : http://data.abuledu.org/URI/534822df-la-petite-aux-grelots-07

La Petite aux grelots 07

Images d'Épinal, 1880, La Petite aux grelots : De retour à la maison elle raconta à sa grand’mère ce qu’elle avait vu, puis prenant ses vêtements elle y attacha une grande quantité de grelots, et s’étant munie de deux petits bâtons garnis de sonnettes, ainsi équipée, elle reprit le chemin du château en agitant ces bâtons : Tique, tique tac…. tique, tique tac…. Source : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Petite_aux_grelots

La petite curieuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/56bc839d-la-petite-curieuse

La petite curieuse

Camille Corot, La petite fille curieuse, 1860.

La petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138a7d-la-petite-souris-grise

La petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre I, La maisonnette : Le père de Rosalie avait de la fortune ; il vivait dans une grande maison qui était à lui : la maison était entourée d'un vaste jardin où Rosalie allait se promener tant qu'elle voulait. Elle était élevée avec tendresse et douceur, mais son père l'avait habituée à une obéissance sans réplique. Il lui défendait d'adresser des questions inutiles et d'insister pour savoir ce qu'il ne voulait pas lui dire. Il était parvenu, à force de soin et de surveillance, à presque déraciner en elle un défaut malheureusement trop commun, la curiosité. Rosalie ne sortait jamais du parc, qui était entouré de murs élevés.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313698e-le-conte-de-la-petite-souris-grise

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : "Attends, méchante bête !" s’écria Rosalie, hors d’elle de colère et d’effroi. Elle saisit un balai et allait en donner un coup violent sur la Souris, lorsque le balai devint flamboyant et lui brûla les mains ; elle le jeta vite à terre et le poussa du pied dans la cheminée pour que le plancher ne prît pas feu.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313713a-le-conte-de-la-petite-souris-grise-

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre III : Rosalie regarda autour d’elle, ne vit personne, et, oubliant entièrement, dans son désir extrême de satisfaire sa curiosité, la bonté du prince et les dangers qui les menaçaient si elle cédait à la tentation, elle passa ses doigts dans une des ouvertures, tira légèrement : la toile se déchira du haut en bas avec un bruit semblable au tonnerre, et offrit aux yeux étonnés de Rosalie un arbre dont la tige était en corail et les feuilles en émeraudes ; les fruits qui couvraient l’arbre étaient des pierres précieuses de toutes couleurs, diamants, perles, rubis, saphirs, opales, topazes, etc., aussi gros que les fruits qu’ils représentaient, et d’un tel éclat que Rosalie en fut éblouie.

Le conte des trois ours en 1900, p.12. Source : http://data.abuledu.org/URI/5348636e-le-conte-des-trois-ours-en-1900-p-12

Le conte des trois ours en 1900, p.12

Le conte des trois ours, 1900, par Leslie Brooke (1862-1940), page 12, à colorier.

Punition de la curiosité. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156f79d-punition-de-la-curiosite

Punition de la curiosité

Punition de la curiosité, 1689, gravure sur cuivre de Janez Vajkard Valvasor (1641-1693) : la branche d'un arbre dans lequel se cachait un homme espionnant deux femmes, se brise.

Une chenille curieuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/54357462-une-chenille-curieuse

Une chenille curieuse

Une chenille curieuse.

Cor omnitonique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300bb16-cor-omnitonique

Cor omnitonique

Cor omnitonique : J.B. Dupont, Paris, début du XIX ème siècle - Paris, Musée de la musique. Le cor omnitonique est un cor d'invention sur lequel les tons de rechange ont été intégrés à l'instrument. Un tube mobile permet d'ouvrir le ton souhaité et de fermer les autres. Le changement de tonalité est donc facilité. En revanche, ce dispositif alourdit considérablement l'instrument et ne facilite donc pas forcément le jeu. Ces cors élaborés vers le premier quart du XIXe siècle illustrent les différentes recherches faites à cette époque pour affranchir le cor de ses limitations chromatiques naturelles. Les cors omnitoniques furent rapidement relégués dans l'oubli par la découverte en 1815 et la diffusion du piston à travers l'Europe. Certains cors omnitoniques relèvent plus de la curiosité que d'un instrument de musique.

Encadrement de PI par Liu Hui. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e4e301-encadrement-de-pi-par-liu-hui

Encadrement de PI par Liu Hui

Représentation de l'encadrement de π par Liu Hui. Si les calculs pratiques peuvent se faire avec une bonne précision en utilisant la valeur 3,14 comme approximation de π, la curiosité des mathématiciens les pousse à déterminer ce nombre avec plus de précision. Au IIIe siècle, en Chine, Liu Hui, commentateur des Neuf chapitres, propose comme rapport entre le périmètre et le diamètre la valeur pratique de 3 mais développe des calculs proches de ceux d’Archimède mais plus performants et fournit une approximation de π de 3,1416.

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La curiosité féminine au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52768c9d-la-curiosite-feminine-au-japon

La curiosité féminine au Japon

La curiosité féminine au Japon, estampe de Yoshitoshi Taiso (1839-1892), Trente-deux Aspects des Coutumes et des Manières, 1888.

Toboggan de la mer de sable. Source : http://data.abuledu.org/URI/53185c92-toboggan-de-la-mer-de-sable

Toboggan de la mer de sable

La Mer de sable est un parc à thème, situé au cœur de la forêt d'Ermenonville, à proximité immédiate d'Ermenonville dans l'Oise. Ses thèmes principaux sont l'aventure, la découverte et l'évasion. Il est plutôt destiné aux enfants de moins de 14 ans. En 1963, le parc ouvre ses portes grâce à Jean Richard qui inaugure le parc à thème français, profitant d'une curiosité géologique, une zone où la terre de bruyère retirée pour alimenter le marché parisien a laissé place à une grande étendue sablonneuse, qui lui permet de créer à quelques pas de Paris des décors du Far West américain. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mer_de_sable.

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.