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Photographie | Biologie marine | Mer Rouge | Poissons de mer | Poisson | Animaux des récifs | Animaux des récifs coralliens | Mérous | Biologie des récifs coralliens | Récifs coralliens | Récifs | Poissons | Epinephelus | Récifs coralliens -- Écologie | Récifs coralliens -- Poissons | Récifs -- Poissons | six-minutes-pour-la-mer-rouge | Récifs coralliens -- Faune | Serranidae | Serranidés | ...
Marguillat à tête rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1aae7-marguillat-a-tete-rouge

Marguillat à tête rouge

Marguillat mâle à tête rouge (Agama agama). Parc National du Lac Nakuru, Kénya, Août 2005. Cette espèce se rencontre en Afrique, aussi bien dans la savane que dans les villages, en Mauritanie, au Mali, au Sénégal, au Gambie, en Guinée-Bissau, en Guinée, en Sierra Leone, au Liberia, en Côte d'Ivoire, au Ghana, au Burkina Faso, au Togo, au Bénin, au Nigeria, au Niger, au Tchad, au Cameroun, en Guinée équatoriale, au Gabon, en Centrafrique, au Soudan, au Soudan du Sud, au Congo-Kinshasa, au Rwanda, en Tanzanie et en Angola. C'est un agame diurne et terrestre, qui peut atteindre 40 cm de longueur totale, la queue mesurant 26 cm. Il est recouvert d'écailles et de quelques formations épineuses sur la nuque et autour des tympans. Il y a un grand dimorphisme sexuel chez cette espèce : les mâles ont une couleur allant du brun sombre à l'orange clair, qui peut devenir brun sombre à taches blanches lorsqu’ils sont en posture de combat avec un autre mâle, alors que les femelles sont vert olive avec quelques taches brunes sur le dos et la queue. Le matin, l’agame prend un bain de soleil pendant lequel sa couleur brune nocturne laisse place à des couleurs vives. Les yeux sont protégés par une écaille transparente, comme chez les serpents ou les geckos. Il a une très bonne ouïe et peut émettre des claquements. Ils sont actifs le jour et passent la nuit dans un terrier ou un arbuste. Ils vivent en groupes d'une dizaine d'individus avec un mâle dominant, des femelles et des jeunes. Les mâles aiment se percher sur un rocher pour surveiller leur territoire. Il est omnivore et se nourrit de végétaux et d’insectes.

Massettes des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6d0d-massettes-des-marais

Massettes des marais

Croquis de massettes des marais (Typha latifolia). Les massettes sont des plantes de milieux humides qui possèdent un rhizome. Elles ont une inflorescence typique : dense et en forme de quenouille, dans laquelle les fleurs femelles et mâles sont clairement séparées (monoécie), les fleurs mâles étant placées au-dessus des fleurs femelles au bout d'une tige florifère. Les feuilles sont plates (ou légèrement triangulaires) et croissent à la base de la plante. Elles forment une gaine qui entoure la tige.

Méchoui. Source : http://data.abuledu.org/URI/529ef8bc-mechoui

Méchoui

Le méchoui est un mouton ou un agneau entier rôti à la broche, sur les braises d'un feu de bois. Le mot vient du verbe arabe šawa qui signifie « griller, rôtir ». Le méchoui est un plat servi au début du repas, à l'occasion d'un festin, d'une diffa. L'hôte prend, avec les doigts de la main droite, des morceaux de viande ou de chair grillée et les offre aux invités de marque. On ne se sert d'aucun instrument pour déguster un méchoui car la viande, que la cuisson lente a presque confite, doit pouvoir être détachée sans aucun effort. Les populations nomades, en plus de leur troupeau principal souvent composé de plusieurs milliers de moutons, élevaient un petit nombre d'agneaux mâles spécifiquement pour le méchoui, les nourrissant de cheih, une espèce d'armoise sauvage qui donne à l'agneau un parfum particulier.

Mérou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545144b-merou

Mérou

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545145b-merou

Mérou

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou corallien de Mer Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/554513b1-merou-corallien-de-mer-rouge

Mérou corallien de Mer Rouge

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou croissant queue jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545197e-merou-croissant-queue-jaune

Mérou croissant queue jaune

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou croissant queue jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/55451995-merou-croissant-queue-jaune

Mérou croissant queue jaune

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou de Mer Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/55451208-merou-de-mer-rouge

Mérou de Mer Rouge

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou loutre. Source : http://data.abuledu.org/URI/554511df-merou-loutre

Mérou loutre

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou loutre. Source : http://data.abuledu.org/URI/55451221-merou-loutre

Mérou loutre

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou loutre. Source : http://data.abuledu.org/URI/554513d2-merou-loutre

Mérou loutre

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou savon à raies d'or. Source : http://data.abuledu.org/URI/554512ac-merou-savon-a-raies-d-or

Mérou savon à raies d'or

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou savon à raies d'or. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545138d-merou-savon-a-raies-d-or

Mérou savon à raies d'or

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Moineau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe9e23-moineau

Moineau

Le Moineau domestique (Passer domesticus) est une espèce de petits passereaux de la famille des Passeridae. C'est un petit oiseau assez trapu, mesurant environ 16 cm de long pour un poids allant de 24 à 39,5 g. Les femelles et les jeunes oiseaux sont de pâles, colorés de brun et de gris, tandis que les mâles sont plus vifs, avec des marques noires, blanches et brunes. Il se nourrit majoritairement de céréales et d'autres graines, mais sait s'adapter et tirer profit d'autres opportunités, consommant divers invertébrés, les insectes en premier lieu, qui servent par ailleurs d'alimentation de base aux oisillons. Ses prédateurs principaux sont les chats domestiques, les rapaces et les mammifères.

Morse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe96f0-morse

Morse

Le morse est parfaitement reconnaissable à ses défenses, ses moustaches drues et son allure massive. Les mâles adultes du Pacifique peuvent peser jusqu'à deux tonnes et, parmi les membres de l'ancien sous-ordre des pinnipèdes, l'espèce n'est dépassée en taille que par les éléphants de mer. Le morse vit principalement dans les eaux peu profondes des plateaux continentaux, passant une part importante de son existence sur les blocs de glace ou les icebergs dérivant en mer. De ces plates-formes, il part à la recherche de sa nourriture de prédilection, les mollusques bivalves du benthos. C'est un animal sociable, à l'espérance de vie d'environ 40 ans, et considéré comme une espèce clé des écosystèmes marins de l'Arctique.

Morses. Source : http://data.abuledu.org/URI/5730e52e-morses

Morses

Morses du Pacifique (Odobenus rosmarus) à Cap Peirce (Alaska). Les défenses de morse mesurent plus d'un mètre de long chez les mâles. Les esquimaux s'en servent pour la confection d'objets traditionnels.

Mue de petit reptile en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cb1b5-mue-de-petit-reptile-en-guadeloupe

Mue de petit reptile en Guadeloupe

Mue d'un anolis marmoratus - Guadeloupe, Grande-Terre : Anolis marmoratus, ou Ctenonotus marmoratus, est une espèce de sauriens de la famille des Dactyloidae. Cette espèce est originellement endémique de Guadeloupe et a été introduite en Guyane. Les mâles mesurent jusqu'à 82 mm et les femelles jusqu'à 56 mm. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anolis_marmoratus

Orque. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec04c1-orque

Orque

L'orque ou épaulard (Orcinus orca) est une espèce de mammifère marin du sous-ordre des cétacés à dents, les odontocètes. Ce cétacé est facilement reconnaissable à sa livrée noire et blanche et à la taille de sa nageoire dorsale qui peut atteindre 2 mètres de hauteur chez les mâles. L'orque est une redoutable chasseuse. Son alimentation est essentiellement constituée de poissons, de manchots et d’autres mammifères marins (lions de mer, otaries, phoques, marsouins, baleines).

Otaries d'Alaska. Source : http://data.abuledu.org/URI/5372a60e-otaries-d-alaska

Otaries d'Alaska

Otaries d'Alaska, île de Middleton. Le lion de mer de Steller ou otarie de Steller (Eumetopias jubatus) est la plus grande des espèces d'otaries et peut vivre jusqu'à 51,5 ans. Les mâles sont quatre fois plus lourds que les femelles et les plus gros peuvent atteindre 1 tonne pour une longueur de 3 m. Une femelle pèse environ 270 kg pour 2,20 m de longueur. Malgré leur poids, ils sont d'excellents nageurs. Le lion de mer de Steller possède une fourrure brune, plus foncée pour les femelles, et des mâchoires si solides qu'elles sont capables de broyer leurs proies : calmars, harengs, saumons, capelans et autres poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lion_de_mer_de_Steller

Oursin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5097e4b5-oursin

Oursin

Les espèces consommables sont récoltées manuellement à l'aide d'une courte pique, d'un crochet ou d'un simple couteau. Les plus longs piquants de l'oursin sont brisés pour éviter les blessures lors de son ouverture. La carapace est découpée à mi-hauteur, en partant de la zone molle dépourvue de piquants autour de la bouche. Les parties consommables de l'oursin sont les cinq glandes sexuelles, mâles ou femelles, les gonades appelées communément « corail ».

Paon bleu et ses petits. Source : http://data.abuledu.org/URI/5135148e-paon-bleu-et-ses-petits

Paon bleu et ses petits

Paon bleu et ses petits. En dehors de la saison des nids, les paons vivent en petits groupes de 1 à 3 mâles pour jusqu'à 5 femelles. Ils mangent tôt le matin ou au crépuscule et ils passent la journée dans l'ombre. Pendant la saison des nids, le mâle parade. Il monte la garde autour de la troupe. Au moment de la couvaison, les mâles ne s'éloignent jamais beaucoup du nid et montent la garde en donnant l'alerte par un cri sonore au moindre changement de l'environnement.

Perche de sable dans la Mer Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/55315ad2-perche-de-sable-dans-la-mer-rouge

Perche de sable dans la Mer Rouge

Perche de sable mâle (Parapercis hexophtalma), Gymnosarda unicolor, dans un récif corallien près de Safaga, Mer Rouge. La pintade de mer s'identifie facilement par une grosse tache noire au centre de la nageoire caudale. Dimorphisme sexuel : les livrées des mâles et des femelles diffèrent au niveau de la tête. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parapercis_hexophtalma

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Peuplier tremble. Source : http://data.abuledu.org/URI/50982c9e-peuplier-tremble

Peuplier tremble

Planche N°304 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, Peuplier tremble (Populus tremula). Il doit son nom au fait que ses feuilles s'agitent au moindre souffle de vent, le pétiole aplati transversalement étant souple et flexible. Arbre au port étalé à croissance vigoureuse, de taille moyenne, de 20 à 30 m de haut. Le système racinaire est traçant. Feuilles petites, glabres, alternes, arrondies, crénelées, cordées et acuminées, à couleur variable (rouge bronze, puis vert foncé, enfin jaune en automne), à pétiole allongé et aplati, très souple. Fleurs groupées en chatons pendants mâles (gris argentés à rouges) et femelles (verts) sur des pieds séparés (espèce dioïque). Pollinisation par le vent. Écorce lisse, parsemée de lenticelles en losange, se crevassant avec l'âge. Bois blanc crème, très homogène, de bonne résistance mécanique, mais de faible durabilité. Floraison vers mars-avril (avant l'apparition des feuilles). Arbre de croissance rapide, à longévité limitée de 70 à 80 ans. C'est une essence de pleine lumière, qui se trouve disséminé dans les espaces libres : coupes, clairières, lisières des bois. Ne forme pas de peuplements denses, mais des bouquets, car il drageonne beaucoup. C'est une espèce pionnière, pouvant pousser sur des terres brûlées.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc05c3-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs). Le pinson des arbres préférant se nourrir sous les mangeoires que dedans, on le trouve souvent à sautiller sur le sol à récupérer les graines tombées. Lorsqu'il se déplace à terre, il marche à pas courts mais rapides.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc06fd-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Le mâle adulte a le dos brun-noisette, le ventre et la gorge rosâtre, les côtés de la tête rougeâtres, la calotte et la nuque bleu gris qui le différencient de la femelle, le front noir, les sous-caudales blanchâtres et le croupion verdâtre.

Planche botanique Coniferae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d14a6-planche-botanique-coniferae-en-1909

Planche botanique Coniferae en 1904

Planche botanique Coniferae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 94 : Araucaria brasiliana (cône femelle), Picea excelsa (écaille de cône femelle vue de l'intérieur), Abies bracteata (cône femelle), Chamaecyparis obtusa (branche avec cônes femelles), Thujopsis dolabrata (branche avec 12 cônes mâles et 3 cônes femelles), Juniperus communis (branche avec fruit), Libocedrus decurrens (branche avec cônes femelles), Phyllocladus rhomboidalis (branche avec cônes femelles), Ginkgo biloba (branche avec graine), Sequoya gigantea (cône femelle), Cupressus sempervirens (branche avec 7 cônes mâles et 2 femelles), Taxodium distichum (cône femelle), Pinus serotina.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed64c-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed668-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed683-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed68f-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed699-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6a6-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6b1-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson-clown et anémone de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e64079-poisson-clown-et-anemone-de-mer

Poisson-clown et anémone de mer

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.

Poisson-licorne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543fb69-poisson-licorne

Poisson-licorne

Poisson licorne (Naso unicornis). Les Poissons-licornes ou nasons forment un genre de la famille des Acanthuridae, les poissons-chirurgiens. C'est le seul genre dans la sous-famille des Nasinae. Les membres des Nasinae sont communément appelés "licornes" à cause de leur unique "corne" qui se developpe sur le front des mâles de plusieurs espèces. Les espèces du genre Naso ont un corps ovale et allongé qui se rétrécit à l'arrière pour se terminer par un pédoncule caudal très étroit typique du genre. Le museau est pointu, la bouche est petite et située à mi-hauteur du corps. Elle est garnie de 60 à 80 petites dents par mâchoire. Elles sont minces mais coupantes avec leur bord denté. Les yeux sont situés haut et de part et d'autre de la tête. Les poissons-licornes sont présents dans tout l'Indo-Pacifique tropical. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Naso_%28poisson%29

Raton laveur dans un arbre creux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d82354-raton-laveur-dans-un-arbre-creux

Raton laveur dans un arbre creux

Raton laveur dans un arbre creux (Procyon lotor). Le raton laveur s’abrite dans les arbres creux, les souches, les cavernes, les terriers de marmottes abandonnés, les granges ou les hangars. Il change souvent d’abri. Vers mi-novembre, l’animal se réfugie dans son gîte et y passe l’hiver en état de torpeur, ne se réveillant que de temps à autre. Comme l’ours noir et le blaireau, il cesse de manger et survit grâce à ses réserves de graisse accumulées pendant l’été. La température de son corps et son métabolisme demeurent élevés. Les mâles sortent de leur gîte fin janvier, les femelles vers mi-mars. En ville, on peut trouver l’animal dans les greniers, les égouts et les cheminées auxquelles il accède grâce à ses griffes qui lui permettent de grimper facilement à plusieurs mètres du sol. Chaque gîte abrite entre un et cinq individus. Il fréquente plusieurs abris en dehors de l’hiver. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Raton_laveur.

Ressort à anneaux d'acier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6e143-ressort-a-anneaux-d-acier

Ressort à anneaux d'acier

Ressort à anneaux d'acier, modèle utilisé dans les appareils ferroviaires. On réalise des systèmes élastiques à hauteur variable en empilant des bagues coniques. De tels systèmes, soumis à une charge axiale, diminuent de longueur en raison de la dilatation des bagues extérieures et de la contraction des bagues intérieures. Les anneaux intérieurs « mâles » pénètrent dans les anneaux extérieurs « femelles ».

Silènes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbf99-silenes-de-jardin

Silènes de jardin

Silènes de jardin, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Ce sont des plantes à feuilles opposées, glabres ou duveteuses. Les fleurs sont en grappes lâches. Le calice est tubulaire portant de 10 à 30 nervures et se termine par 5 dents. Les 5 pétales sont bilobés ou finement divisés en lanières. il y a 10 étamines, et 3 (parfois 5) styles. Plusieurs espèces ont ou peuvent avoir des fleurs unisexuées. Dans ce cas le calice des fleurs femelles est généralement plus enflé que celui des fleurs mâles. Le fruit est une capsule à 5 loges, portée par un "pied". Il faut enlever le calice qui est persistant pour le voir. C'est une baie dans l'espèce S. baccifera. Le nom du genre est certainement lié au personnage de Silène, père adoptif et précepteur de Dionysos, toujours représenté avec un ventre enflé semblable aux calices de nombreuses espèces, par exemple S. vulgaris (le Silène enflé) ou S. conica au calice en outre, telle la panse de Silène. À partir du tissu placentaire de fruits de Silene stenophylla stockés par des écureuils il y a plus de 32 000 ans et retrouvés dans du pergélisol en Sibérie, des chercheurs ont réussi à régénérer cette plante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sil%C3%A8ne_%28plante%29

Taupe à nez étoilé. Source : http://data.abuledu.org/URI/549defe4-taupe-a-nez-etoile

Taupe à nez étoilé

Taupe à nez étoilé du Canada (Condylura cristata, Linnaeus, 1758). Muséum de Toulouse. Le Condylure à nez étoilé est gris. Il a une longueur totale de 16,2 à 23,8 cm incluant une queue de 6 à 9,2 cm de long. Ses pieds mesurent entre 15 et 32 mm. Son museau qui mesure 1 cm de largeur a la forme d'un disque dénudé muni de 22 tentacules symétriques ; ceux-ci ne sont pas des organes d'odorat, mais plutôt des organes tactiles qui peuvent bouger dans tous les sens et qui servent à explorer l'environnement ou à chercher de la nourriture puisque la vue du Condylure à nez étoilé est très faible. De plus, le museau est doté de plus de 100 000 fibres nerveuses et 30 000 organes d'Eimer. Certains tentacules sont plus longs que d'autres, ce sont les premiers à entrer en contact avec la proie, alors que d'autres ne servent qu'à la diriger vers la bouche. D'autres encore peuvent être des électro-senseurs qui émettent des champs magnétiques. Les individus adultes ont un poids se situant entre 31,5 et 77 g tandis que les nouveau-nés pèsent 1,5 g. Les mâles et les femelles ont sensiblement la même taille. La longévité du Condylure à nez étoilé peut atteindre trois ans en milieu naturel. Il se nourrit de petits invertébrés aquatiques, de crustacés, de mollusques et de vers. Il lui arrive aussi de se nourrir de petits poissons. Il chasse dans ses galeries et perçoit ses proies grâce à son ouïe et son toucher, car il est dépourvu d'odorat. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condylura_cristata

Taureau. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d85da1-taureau

Taureau

Taureau (bos taurus).

Tête de Gazelle Dama. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c4a44-tete-de-gazelle-dama

Tête de Gazelle Dama

La Gazelle dama (Gazella dama, ou Nanger dama) est une espèce de gazelle africaine devenue rare et menacée. C'est la plus grande gazelle actuelle. Le cou et les pattes sont très allongés. Les cornes assez courtes sont en forme de S dirigé vers l’arrière. Celles des mâles sont en général plus longues et plus robustes que celles des femelles. La tête est de couleur blanche et les femelles présentent une raie noire en travers de l’œil. Le cou, roux, porte une tâche blanche bien visible. Elle se déplace vers la zone saharienne au moment de la saison des pluies, lorsque les pâturages sont abondants et de bonne qualité et redescend dans la zone sahélienne durant la saison sèche. Elle fréquente plutôt les zones de dunes fixes, les steppes et prairies à acacias. Elles s'amusent aussi au « stotting » ou « pronking », qui sont des rebonds, une discipline commune chez toutes les gazelles, plus ou moins développée selon les espèces. Elle fait des petits bonds, c'est un animal paisible. Ses prédateurs naturels, sont les léopards, et autrefois les guépards du Sahara et les lions de l'Atlas dans une moindre mesure.

Tête de phacochère africain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d56611-tete-de-phacochere-africain

Tête de phacochère africain

Tête de phacochère africain (Phacochoerus africanus) : Il a une longue crinière sur le haut du dos et deux défenses dirigées vers le haut, atteignant 60 cm chez les vieux individus. Elles lui servent notamment à déterrer des racines ou des bulbes, et aussi à se défendre contre ses prédateurs, lions, léopards, lycaons, hyènes ; les jeunes sont la proie des guépards, aigles, pythons, chacals, caracals, mais les parents sont de redoutables défenseurs. Le phacochère peut tenir tête à un léopard ou même à une lionne, et il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phacoch%C3%A8re Mâles et femelles ont des défenses. Ce sont des canines à croissance continue qui sont transformées en défenses, en faisant saillie hors de la bouche. Les mâles ont, en plus, des excroissances calleuses sur les côtés de la tête utiles pendant les combats. Ces bosses sont en fait deux os spéciaux, reliés aux naseaux et recouverts de peau, qui donnent une grande résistance au groin de cet animal fouisseur.

Tohi à calotte fauve. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b5147-tohi-a-calotte-fauve

Tohi à calotte fauve

Le Tohi à calotte fauve (Aimophila ruficeps) est une espèce de passereaux de la famille des Emberizidae. On trouve principalement cet oiseau dans le sud-ouest des États-Unis, ainsi que dans une grande partie du Mexique, jusqu'au sud-ouest de la cordillère néovolcanique. Il se nourrit principalement de graines pendant l'hiver et d'insectes au printemps et en été. Le vol est maladroit chez cette espèce, qui préfère sautiller à terre pour se déplacer. Ils adoptent un comportement territorial lors de la reproduction, mais parfois même tout le long de l'année, les mâles marquant leur territoire par leurs chants et leurs postures. Ce tohi est monogame, et se reproduit au printemps.

Tortue géante des Séchelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5047200b-aldabra-giant-tortoise-geochelone-gigantea-edit1-jpg

Tortue géante des Séchelles

Aldabrachelys gigantea, la Tortue géante des Seychelles, unique représentant du genre Aldabrachelys, est une espèce de tortues terrestres de la famille des Testudinidae. C'est la plus grosse tortue terrestre, puisqu'elle peut atteindre 1,2 m pour 300 kg (chez les mâles), les femelles sont un peu plus petites, mesurant en moyenne 90 cm.

Vieille d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/554519b3-vieille-d-arabie

Vieille d'Arabie

Vieille d'Arabie (Cephalopholis hemistiktos), poisson perciforme de la Mer Rouge et du Golfe Persique. Ce sont des poissons moins trapus que les mérous. Les vieilles sont réputées avoir beaucoup d'arêtes. Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae