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Savants | Gravure | Photographie | Dix-neuvième siècle | Dessins et plans | Savants français | Textes | Dix-huitième siècle | Savants du 19e siècle | Hans Christian Andersen (1805-1875) | Contes | Peinture | Savants allemands | Lumière, Théorie ondulatoire de la | Météorologie | Aurores polaires | Lumière | Lumière -- Propagation | Jean Rambosson (1827-1886) | Ombres portées | ...
Caricature de savant. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed76aa-caricature-de-savant

Caricature de savant

Cours d'embryologie, caricature de savant, 1895, par Joseph Wolf (1820–1899) : Trop de science rend bête.

Costumes allemands du début du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530895ee-costumes-allemands-du-debut-du-seizieme-siecle

Costumes allemands du début du seizième siècle

Planche 62, Costumes allemands du début du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-2, 13-14 patriciens ; 3-4, soldats ; 5, électeur ; 6, Dr Martin Luther ; 7, savant ; 8, pleureur ; 9, juif ; 10, chevalier ; 11, chasseur ; 12, héraut impérial.

Gulliver et les philosophes de Brobdingnag. Source : http://data.abuledu.org/URI/5150b461-gulliver-et-les-philosophes-de-brobdingnag

Gulliver et les philosophes de Brobdingnag

Gulliver et les philosphes (géants) de Brobdingnag par Paul Gavarni, caricature des savants de l'époque.

Hérodote et Thucydide. Source : http://data.abuledu.org/URI/508fa806-herodote-et-thucydide

Hérodote et Thucydide

Hérodote et Thucydide ; source : "Bibliothek des allgemeinen und praktischen Wissens. Bd. 5" (1905), Abriß der Weltliteratur, Seite 46. Hérodote est un savant grec qui parcourt durant sa vie l'Égypte actuelle et le Moyen-Orient, allant jusqu'à Babylone. Dans ses Enquêtes, il veut faire œuvre de mémorialiste et raconte des événements récents, les guerres médiques, « afin que le temps n'abolisse pas les travaux des hommes ». Il se place donc dans une perspective historique qui fait qu'on a pu le qualifier de « père de l'histoire ». Thucydide a posé la méthode historique, dans le sens d'une recherche de « vérité » dans le récit, et non plus simplement de « mémoire ». Dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse, il s'attache à relater les causes de la guerre, les faits déclencheurs, puis il raconte chronologiquement cette guerre, restant au plus près des événements, afin de donner un portrait fidèle de ce conflit qu'il considère être fondamental dans l'histoire du monde et qu'il veut expliquer aux générations futures. Il a également une vision profondément rationnelle des faits, ne voyant pas dans l'enchaînement de ceux-ci l'intervention des dieux mais la conséquence des actions des hommes.

James Murray dans son scriptorium. Source : http://data.abuledu.org/URI/5664327b-james-murray-dans-son-scriptorium

James Murray dans son scriptorium

James Murray dans son scriptorium alimenté par les fiches des contributeurs à l'Oxford English Dictionary : montage Cécédille pour l'intervention sur Wikipédia à l'EPN de Pessac-33. Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:James-Murray.jpg

L'ombre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110a131-l-ombre

L'ombre

Conte d'Andersen, "L'ombre", traduction David Soldi, 1876 (Hachette, wikisource). 3834 mots.

L'ombre d'Andersen - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110a244-l-ombre-d-andersen-1

L'ombre d'Andersen - 1

Illustration par Bertall du conte d'Andersen, "L'ombre", 1876 (Hachette, wikisource).

L'ombre d'Andersen -2. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110a341-l-ombre-d-andersen-2

L'ombre d'Andersen -2

Illustration par Bertall du conte d'Andersen, "L'ombre" : "mais, dans les pays chauds, tout repousse bien vite, et, au bout de huit jours, il remarqua, à son grand plaisir, qu’une nouvelle ombre sortait de ses jambes lorsqu’il se promenait au soleil." (wikisource, 1876).

Le bon petit Henri, chapitre VII. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138440-le-bon-petit-henri-chapitre-vii

Le bon petit Henri, chapitre VII

Le bon petit Henri, chapitre VII, La plante de vie, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Henri se souvint heureusement que la fée Bienfaisante lui avait dit d'appeler le docteur qui cultivait le jardin des fées, et il l'appela à haute voix. A peine l'eut-il appelé, qu'il entendit du bruit dans les plantes qui étaient près de lui, et qu'il en vit sortir un petit homme haut comme un balai de cheminée ; il tenait un livre sous le bras, avait des lunettes sur son nez crochu et portait un grand manteau noir de Docteur. "Que cherchez-vous, petit ? dit le Docteur en se redressant. Et comment avez-vous pu parvenir jusqu'ici ?"

Le conte du maître et de son élève. Source : http://data.abuledu.org/URI/507df002-le-conte-du-maitre-et-de-son-eleve

Le conte du maître et de son élève

Illustration du conte anglais "Le maître et son élève" de Joseph Jacobs, 1891, par Batten : Le garçon profite de l'absence du savant pour lire une ligne du grimoire secret et fait apparaître Belzébuth.

Le nain instruit. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e90b6e-le-nain-instruit

Le nain instruit

Le nain instruit (wykształciuch), assis sur deux livres à Wrocław en Pologne : Prof ? Le penseur ?

Le savant et les acteurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f3b07-le-savant-et-les-acteurs

Le savant et les acteurs

Le savant (assis à son bureau) et les acteurs et actrices (debout, avec et sans masques), par Willem van der Vliet (circa 1584–1642), peintre hollandais.

Oiseau savant en origami. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f167cf-oiseau-savant-en-origami

Oiseau savant en origami

L'oiseau savant lit le livre de Miguel de Unamuno (1864-1936), El sentimiento tragico de la vida.

Perspective cavalière en dessins de fortifications. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e82ccc-perspective-cavaliere-en-dessins-de-fortifications

Perspective cavalière en dessins de fortifications

Source : Ephraim Chambers (1680–1740), "Cyclopaedia, or an Universal Dictionary of Arts and Sciences" 1728. La perspective cavalière est une manière de représenter en deux dimensions des objets en volume. Cette représentation ne présente pas de point de fuite : la taille des objets ne diminue pas lorsqu'ils s'éloignent. C'est une forme particulière de perspective axonométrique, où l'on situe les points grâce à leurs coordonnées dans un repère formé de trois axes. Dans cette perspective, deux des axes sont orthogonaux et ont un facteur de report de 1. Le troisième axe est incliné, en général de 30 ou 45° par rapport à l'horizontale, appelé « angle de fuite », et a un facteur de report inférieur à 1, en général. Cette perspective ne prétend pas donner l'illusion de ce qui peut être vu, mais simplement donner une information sur la notion de profondeur. Simple à réaliser, c'est une perspective naïve qui peut traduire un manque de « vision dans l'espace ». Trop souvent utilisée dans les dessins à main levée, elle est malgré tout à déconseiller par son ambiguïté de représentation : un objet éloigné d'un autre peut sembler être plutôt au-dessus ou au-dessous. Cette représentation était utilisée initialement pour la conception des fortifications militaires. Le « cavalier » est un promontoire de terre situé en arrière des fortifications et qui permet de voir par-dessus, et donc de voir les assaillants. La perspective cavalière était donc la vue que l'on avait du haut du cavalier (les anglais utilisent parfois le terme de « high view point », en français « point de vue de haut »). Certains avancent également que c'est la vue qu'a un cavalier du haut de son cheval.

Portrait d'Axel, le narrateur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280cc99-portrait-d-axel-le-narrateur

Portrait d'Axel, le narrateur

Portrait d'Axel le narrateur, illustration par Édouard Riou (1833-1900) de "Voyage au centre de la Terre", 1864, de Jules Verne (1828-1905) : Non, non, répétai-je, non, je ne parlerai pas ! Il voudrait y aller, je le connais ; rien ne saurait l’arrêter. C’est une imagination volcanique, et, pour faire ce que d’autres géologues n’ont point fait, il risquerait sa vie. Je me tairai ; je garderai ce secret dont le hasard m’a rendu maître ! Le découvrir, ce serait tuer le professeur Lidenbrock ! Qu’il le devine, s’il le peut. Je ne veux pas me reprocher un jour de l’avoir conduit à sa perte ! Ceci résolu, je me croisai les bras, et j’attendis. Mais j’avais compté sans un incident qui se produisit à quelques heures de là.

Statue d'Einstein en Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533bdf1f-statue-d-einstein-en-belgique

Statue d'Einstein en Belgique

Albert Einstein séjourne durant six mois à De Haan (Belgique) en 1933. Johnny Werbrouck crée une statue de bronze en 2006. Après un séjour aux États-Unis en tant que professeur invité, le physicien prix Nobel Albert Einstein débarqua à Anvers en mars 1933. Comme le NSDAP, le parti d'Adolf Hitler, venait de remporter les élections ce même mois, Einstein et sa femme décidèrent de ne pas rentrer en Allemagne et s'installèrent au Coq dans la partie gauche de la double villa Savoyarde, située au n° 5 de l'avenue Shakespeare. Plus tard, ses belles-filles Ilse et Margot, son assistant Walther Mayer et sa secrétaire Helen Dukas vinrent vivre avec eux. Einstein y recevra la visite de nombreux diplomates, politiciens, savants et artistes dont le peintre James Ensor avec lequel il se liera d'amitié. Sa tête ayant été mise à prix par les nazis et estimant donc la situation trop dangereuse, Einstein quitte Le Coq incognito pour l'Angleterre le 9 septembre 1933 avant de s'installer définitivement aux États-Unis en octobre de la même année. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Coq

Une rue de Paris et son habitant - 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5140ff18-une-rue-de-paris-et-son-habitant-3

Une rue de Paris et son habitant - 3

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitre 3 : Madame Adolphe. (490 mots)

Alfred Nobel. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e3f86-alfred-nobel

Alfred Nobel

Portrait d'Alfred Nobel (1833-1896) par Gösta Florman (1831–1900).

Amphore à vin romaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7b459-amphore-a-vin-romaine

Amphore à vin romaine

Amphore à vin romaine, de type Dressel 1B : l'amphore est, dans l'Antiquité, le récipient le plus utilisé pour le transport de produits de base : le vin, l'huile d'olive, la bière (zythum et zythogala) et les sauces de poissons (de type garum). Légende : 1 : lèvre - 2 : col - 3 : anse - 4 : épaule - 5 : panse - 6 : pilon ou pied. L'amphore est fabriquée à partir d'argile épurée. Il faut de l'eau pour délayer l'argile, et du bois ou un autre combustible pour la cuisson. Le plus fréquemment, c'est le tournage qui est utilisé pour la façonner. Afin de la fabriquer, le potier façonne d'abord un fût, puis y ajoute col, pointe, anses. Une fois mise en forme, elle est mise à sécher au soleil, ou à défaut dans un lieu ventilé. Elle est ensuite mise à cuire pendant plusieurs heures. Le poissage est parfois utilisé pour la rendre plus étanche : on verse à l'intérieur de la poix liquide, de manière à former un film imperméable. L'amphore conservant le vin est bouchée par une bourre de paille, recouverte d'une épaisse couche d'argile ou dès l'Antiquité par un bouchon de liège. Les amphores d'époque romaine portent des noms et une numérotation qui permettent aux archéologues de les retrouver dans la typologie et de les dater. Ces noms renvoient souvent aux savants qui ont établi la chronologie (Heinrich Dressel, Pascual) où à l'origine de l'amphore (Gauloise). Les amphores Dressel 1a et 1b sont typiques des amphores vinaires de la fin de la république romaine.

Augustin Fresnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e38d1-augustin-fresnel

Augustin Fresnel

Buste d'Augustin Fresnel (1788-1827), "membre de l'Institut" par le sculpteur David d'Angers (1788-1856), exposé dans la Galerie David d'Angers à Angers.

Aurore boréale du 4 février 1872 en Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/55568447-aurore-boreale-du-4-fevrier-1872-en-europe

Aurore boréale du 4 février 1872 en Europe

Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, chapitre 20, Aurores polaires-3, Firmin-Didot, 1883 (p. 366). 570 mots.

Aurores polaires - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/55567dc3-aurores-polaires-1

Aurores polaires - 1

Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, chapitre 20, Aurores polaires-1, Firmin-Didot, 1883 (p. 359). 316 mots.

Charles Darwin. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e375d-charles-darwin

Charles Darwin

Portrait de Charles Darwin (1809-1882), aquarelle par George Richmond (1809–1896).

Christian Huygens. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a58dd1-christian-huygens

Christian Huygens

Portrait relief de Christian Huygens (1629-1695) par Jean-Jacques Clerion (1637-1714) : mathématicien, astronome et physicien néerlandais, connu pour ses arguments selon lesquels la lumière est composée d'ondes. En réponse aux articles d'Isaac Newton sur la lumière, en 1672, il se lance dans l'étude de la nature de la lumière, à la suite de savants tels que Rasmus Bartholin. Il découvre en 1677, grâce aux propriétés des cristaux et de leur coupe géométrique, en particulier grâce au spath d'Islande, que les lois de réflexion et de réfraction de Snell-Descartes sont conservées si l'on suppose une propagation de la lumière sous la forme d'ondes. En outre, la double réfraction du spath d'Islande peut être expliquée, ce qui n'est pas le cas avec une théorie corpusculaire. La théorie ondulatoire, présentée en 1678 sera publiée en 1690 dans son "Traité de la Lumière".

Claude Bernard. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e257b-claude-bernard

Claude Bernard

Claude Bernard (1813-1878), médecin français, fondateur de la médecine expérimentale : « Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout. »

Coléoptères et papilons de Vanikoro. Source : http://data.abuledu.org/URI/59907c49-coleopteres-et-papilons-de-vanikoro

Coléoptères et papilons de Vanikoro

Henri-Pierre Aberlenc, Les savants de Lapérouse, la biodiversité et le peuplement de Vanikoro par les Insectes ː trois punaises et punaise marine (rivière Laurence), cigale de Lapérouse, trois sphinx et un papillon de jour.

Coloriage du savant fou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331360c-coloriage-du-savant-fou

Coloriage du savant fou

Coloriage du savant fou.

Couronne boréale. Source : http://data.abuledu.org/URI/5556805f-couronne-boreale

Couronne boréale

Couronne boréale, 1870, Yan' Dargent (1824-1899), illustration de "Histoires des météores", p. 381, de Jean Rambosson (1827-1886).

Couronnes boréales. Source : http://data.abuledu.org/URI/55567f63-couronnes-boreales

Couronnes boréales

Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, chapitre 20, Aurores polaires-2, Firmin-Didot, 1883 (p. 360). 282 mots.

Cryptanalyse d'Enigma. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eca539-cryptanalyse-d-enigma

Cryptanalyse d'Enigma

Graphe de déchiffrement d'un message codé par Enigma. C'est Alan Turing qui va s'occuper de l'analyse de l'Enigma navale. Turing est le chef de la huitième section à Bletchley Park, un manoir proche de Londres où se sont retranchés tous les cryptologues et mathématiciens alliés. Avec Gordon Welchman, ils seront à l'origine du déchiffrement complet d'Enigma. Les membres de Bletchley Park travaillent dans le secret le plus total, toute fuite pouvant avoir des conséquences désastreuses sur la suite de la guerre. Les attaques développées par les Britanniques ressemblent à celles des Polonais. Une nouvelle attaque s'intéresse plus particulièrement au réflecteur, un élément qui garantissait que toute lettre était nécessairement différente après chiffrement. De plus, les Britanniques font appel à des techniques basées sur l'analyse des mots probables. Les messages avaient de forte chance de contenir des termes comme « Heil Hitler », « Panzer », « Führer », « Stuka », etc. Ces estimations du contenu du message étaient appelées des cribles. Les cryptologues pouvaient a posteriori deviner le contenu des messages en fonction de l'actualité et des assauts ennemis. En faisant quelques hypothèses sur le contenu et sachant qu'une lettre est obligatoirement modifiée lors du chiffrement, il n'était pas impossible de retrouver une partie du texte chiffré en essayant tous les alignements possibles. À partir des résultats positifs, on arrivait à retrouver le texte complet.

Cycle de vie des méduses. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcb2e-cycle-de-vie-des-meduses

Cycle de vie des méduses

Cycle de vie des scyphozoaires, par le boaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). 1-8 : fixation et métamorphose de la planula (larve) jusqu'à la formation d'un polype (le polype fixé est appelé scyphistome) ; 9-10 : bourgeonnement du polype ; 11 : strobilation et libération d'ephyras (forme larvaire de la méduse) ; 12-14 : transformation de l'ephyra en une méduse adulte et autonome. Source : Schleiden M. J. "Die Entwicklung der Meduse". In: "Das Meer". Verlag und Druck A. Sacco Nachf., Berlin, 1869.

Einstein à Ulm. Source : http://data.abuledu.org/URI/533bddb3-einstein-a-ulm

Einstein à Ulm

Einstein, figure emblématique d'Ulm : détail de la fontaine de Jürgen Goertz, 1981-1983 installée en 1984, au n° 14 de la Zeughausgasse à Ulm en Allemagne.

Électrophore de Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c2793b-electrophore-de-volta

Électrophore de Volta

Un électrophore, ou électrophore de Volta, est un générateur capacitif utilisé pour produire une charge électrostatique via le processus d'influence électrostatique. Une première version de a été inventée en 1762 par le professeur suédois Johan Carl Wilcke, mais le savant italien Alessandro Volta a amélioré et popularisé le dispositif en 1775. Le mot électrophore a été inventé par Volta à partir du grec ήλεκτρον (« Elektron ») et φέρω (« phero »); il signifie « porteur de l'électricité ».

Évolution du triangle de Sierpinski. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183e876-evolution-du-triangle-de-sierpinski

Évolution du triangle de Sierpinski

Évolution du triangle de Wacław Sierpinski (1882-1969) en 5 itérations. Un algorithme pour obtenir des approximations arbitrairement proches du triangle de Sierpiński peut s'écrire de la manière suivante : 1-Commencer à partir d'un triangle quelconque du plan. Le triangle canonique de Sierpiński se construit à partir d'un triangle équilatéral ayant une base parallèle à l'axe des abscisses ; 2-Tracer les trois segments qui joignent deux à deux les milieux des côtés du triangle, ce qui délimite 4 nouveaux triangles ; 3-Enlever le petit triangle central. Il y a maintenant trois petits triangles qui se touchent deux à deux par un sommet, dont les longueurs des côtés sont la moitié de celles du triangle de départ (obtenue par une homothétie de rapport 1/2), et dont l'aire est divisée par 4. 4-Recommencer à la deuxième étape avec chacun des petits triangles obtenus.

Expérience de Fizeau-Mascart. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7922f-fizeau-mascart1-png

Expérience de Fizeau-Mascart

Schéma expérimental de Fizeau-Mascart (1851) : de l'eau circule en sens inverse dans les tuyaux parcourus par les rayons en interférence. La différence de vitesse de la lumière dans les deux sens de parcours de l’eau est mise en évidence par un déplacement des franges.

Gravitation d'après Le Sage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3c4ec-gravitation-d-apres-le-sage

Gravitation d'après Le Sage

Lignes de champ de gravité d'une masse ponctuelle, d'après Le Sage. Article "Gravité" de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. La force de la gravité est le résultat du déplacement de particules minuscules (corpuscules) à grande vitesse dans toutes les directions dans tout l'univers. L'intensité du flux des particules est la même dans toutes les directions, et donc un objet isolé A est bombardé avec la même intensité de tous côtés.

Histoire de π. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e4e9aa-histoire-de-

Histoire de π

Poème pour la mathématiciens grecs du nombre π, par Alphonse Rebière, Mathématiques et mathématiciens, 1898 (p. 399) : Pythagore et Archimède. 132 mots, 20 alexandrins.

Huit lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cceab-huit-lezards

Huit lézards

Planche en couleurs de dessins de huit lézards, Ernst Haeckel (1835-1919), biologiste allemand. Source : "Kunstformen der Natur", 1904, planche 79, Lacertilia. De haut en bas, de gauche à droite : Chamaeleon montium, Lophyrus tigrinus, Draconellus volans, Phrynosoma cornutum, Ptychozoon homalocephalum, Basiliscus americanus, Chlamydosaurus kingii, Moloch horridus.

Invention du système métrique en 1668. Source : http://data.abuledu.org/URI/5392d583-invention-du-systeme-metrique-en-1668

Invention du système métrique en 1668

Frontispice de John Wilkins de "An Essay towards a Real Character and a Philosophical Language" (1668) : Wilkins imagine un système d’écriture basé non sur un alphabet, mais sur un système idéographique compréhensible internationalement. Il travaille six ans à ce projet. Dans cet ouvrage, Wilkins propose également l'adoption d'une mesure universelle (universal measure), d'unités décimales, basée sur le principe d'un pendule battant une seconde, et dont la longueur fondamentale est de 38 pouces de Prussie (1 prussian inch = 26,15 mm), soit de 993,7 mm. Le savant Italien Tito Livio Burattini redéfinira quelques années plus tard cette unité et la renommera le mètre (metro cattolico). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Wilkins

L'appareil de Fizeau-Mascart. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a79595-l-appareil-de-fizeau-mascart

L'appareil de Fizeau-Mascart

Dessin de l'appareil ayant servi à l'expérience de Fizeau-Mascart en 1851. Fizeau avait réalisé son expérience en 1849, entre Montmartre et le mont Valérien à Suresnes, ces deux points étant distants d'exactement 8 633 m. La lumière de la lampe passe dans la première lunette et se réfléchit sur un miroir semi-transparent incliné à 45°. Elle passe alors à travers la roue dentée, par une des échancrures, puis part dans l'axe de la seconde lunette située à 8 633 m de là, sur la butte Montmartre. Cette 2e lunette est munie d’un miroir lui permettant de renvoyer la lumière de là où elle vient, à Suresnes. La lumière est alors récupérée par la première lunette, passe à nouveau à travers la roue dentée, par une des échancrures, traverse le miroir semi-transparent, puis est observée par Fizeau au moyen d'une lunette. En 1850, Fizeau et Foucault reprennent l'expérience dans l'eau. L'année suivante, Foucault mesure la célérité c' de la lumière dans de l'eau en translation à la vitesse u et trouve c' = frac{c}{n} + u (1 - frac{1}{n^{2}}) où n est l'indice de réfraction de l'eau. La relativité restreinte donnera en 1905 une explication complète de ce résultat.

L'automate du canard de Vaucanson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec98d4-l-automate-du-canard-de-vaucanson

L'automate du canard de Vaucanson

L'automate du canard mécanique de Jaques de Vaucanson (1738, France). Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier à Grenoble. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Il semblait être grandeur nature, habillé en sauvage et jouant assis sur un rocher. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Mais son instrument, un galoubet, est plus complexe à utiliser. Il construit ensuite son automate le plus sophistiqué : un canard digérateur, exposé en 1744 au Palais-Royal, qui peut manger et digérer, cancaner et simuler la nage.

L'automate du joueur d'échecs. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec9d56-l-automate-du-joueur-d-echecs

L'automate du joueur d'échecs

Dessin du mécanisme de l'automate du joueur d'échecs de Von Kempelen (savant hongrois) par Karl Gottlieb von Windisch, 1783. les différentes parties étaient actionnées par un opérateur humain via un mécanisme. Cette illustration est inexacte, basée sur les calculs de Racknitz, et montre un agencement impossible au vu des dimensions réelles de l'automate.

L'automate du joueur d'échecs. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec9e73-l-automate-du-joueur-d-echecs

L'automate du joueur d'échecs

Kempelen a l'idée de construire son automate de joueur d'échecs, dit le "Turc mécanique" après avoir assisté à un spectacle de magie de François Pelletier à la cour de l'Impératrice d'Autriche Marie-Thérèse, au château de Schönbrunn. Après le spectacle, Kempelen promet à Pelletier de revenir au château avec une invention dépassant sa magie. Le résultat de ce défi fut l'« Automate joueur d'échecs » connu par la suite sous le nom de « Turc mécanique » ou plus simplement « Turc ». La machine contient un mannequin à taille humaine constitué d'une tête et d'un torse, avec des yeux gris et une barbe noire, portant une robe à la turque et un turban, ce qui constitue selon le journaliste et auteur Tom Standage « le costume traditionnel d'un magicien ou d'un sorcier oriental ». Son bras gauche tient une longue pipe, le droit repose sur le haut d'un large meuble mesurant environ 110 cm de long, 60 cm de large et 75 cm de haut. Sur le meuble était placé un échiquier d'environ 50 cm de côté. L'avant du meuble comportait trois portes, une ouverture, et un tiroir qui pouvait être ouvert pour révéler un jeu d'échecs rouge et blanc en ivoire. Illustration du fonctionnement du Turc : les différentes parties étaient actionnées par un opérateur humain via un mécanisme. Cette illustration est inexacte, basée sur les calculs de Racknitz, et montre un agencement impossible au vu des dimensions réelles de l'automate. L'intérieur de la machine était très complexe, et conçu pour tromper ceux qui voulaient l'observer. Une fois ouvertes sur la gauche, les portes du meuble révélaient de nombreux engrenages similaires au mécanisme d'une horloge. Cette partie était conçue de telle manière qu'en ouvrant aussi les portes arrière du meuble, on pouvait voir à travers la machine.

La chaîne sans fin de Vaucanson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec96ce-la-chaine-sans-fin-de-vaucanson

La chaîne sans fin de Vaucanson

Une chaîne sans fin de Vaucanson (1709-1782). Le cardinal de Fleury lui confie le poste d’inspecteur général des manufactures de soie en 1741, le roi souhaitant réorganiser cette industrie, ce qui entraînera l’arrêt de ses travaux sur les automates. De mai à octobre 1742, Jacques Vaucanson, accompagné d’un spécialiste lyonnais de la soie, le sieur Montessuy, inspecte les manufactures de France, mais aussi d’Italie. S’ensuivent des perfectionnements sur les diverses machines, dont le moulin à organiser, qui fonctionne à l’aide d’une chaîne sans fin appelée « chaîne Vaucanson », pour laquelle il invente une machine de fabrication. Il meurt le 21 novembre 1782, à Paris, en léguant ses machines au roi, legs qui sera une des bases de la collection du Conservatoire national des arts et métiers.

Le bisaïeul. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e0a31-le-bisaieul

Le bisaïeul

Le bisaïeul, conte de Hans Christian Andersen (1805-1875). Niveau cycle 3, collège (1528 mots). Source : http://www.gutenberg.org/files/18244/18244-h/18244-h.htm#Le_bisaieul.

Le carré de Sierpinski. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183f2e8-le-carre-de-sierpinski

Le carré de Sierpinski

Le tapis de Sierpiński (1916), du nom de Wacław Sierpiński (1882-1969), est une fractale obtenue à partir d'un carré. Le tapis se fabrique en découpant le carré en neuf carrés égaux avec une grille de trois par trois, et en supprimant la pièce centrale, et en appliquant cette procédure indéfiniment aux huit carrés restants.

Le gyroscope de Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a797d3-le-gyroscope-de-foucault

Le gyroscope de Foucault

Le gyroscope fut inventé et nommé en 1852 par Léon Foucault pour une expérimentation impliquant la rotation de la Terre. La rotation avait déjà été mise en évidence par le Pendule de Foucault. Cependant Foucault ne comprenait toujours pas pourquoi la rotation du pendule s'effectuait plus lentement que la rotation de la Terre. Un autre instrument était donc nécessaire pour mettre en évidence la rotation de la Terre de façon simple. Foucault présenta ainsi en 1852 un appareil capable de conserver une rotation suffisamment rapide (150 à 200 rotations par seconde) pendant un laps de temps suffisamment long (une dizaine de minutes) pour que des mesures observables puissent être effectuées. Cette prouesse mécanique (pour l'époque) illustre le talent en mécanique de Foucault et de son collaborateur, Froment. Foucault se rendit aussi compte que son appareil pouvait servir à indiquer le nord. En effet, en bloquant certaines pièces, le gyroscope s'aligne sur le méridien. Le compas gyroscopique était né. On trouvera également ce dispositif pour le guidage inertiel des missiles et, par exemple, le pilotage vers la Lune lors du programme Apollo. On en trouve également dans les satellites artificiels pour le contrôle de l'altitude.

Le spectroscope de Fraunhofer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7678f-le-spectroscope-de-fraunhofer-

Le spectroscope de Fraunhofer

Photogravure (à partir d'un tableau de Richard Wimmer) de Joseph von Fraunhofer présentant son spectroscope. Source : "Essays in astronomy" - D. Appleton & company, 1900 (LCCN 00004435).

Le V-173 au Futuroscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ef51f5-le-v-173-au-futuroscope

Le V-173 au Futuroscope

Le Vought V-173 au parc du Futuroscope (Vienne) : "soucoupe volante" dessinée par Charles Zimmerman (1908-1996).

Les lois de Newton en latin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b15baf-les-lois-de-newton-en-latin

Les lois de Newton en latin

"AXIOMATA SIVE LEGES MOTUS" d'Isaac Newton, édition de 1687. Les deux premières lois de Newton en latin dans l'édition originale du "Principia Mathematica" de 1687.

Louis Pasteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e4309-louis-pasteur

Louis Pasteur

Portrait de Louis Pasteur (1822-1895), par le photographe Félix Nadar (1920-1910) : « Dans les champs de l'observation, le hasard ne favorise que les esprits préparés. »

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9fd1-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-foucault

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault

Appareillage utilisé par Foucault avec miroir tournant pour mesurer la vitesse de la lumière : en bas à gauche, la lumière est réfléchie par un miroir tournant (à gauche) en direction d'un miroir fixe (en haut) ; à droite, la lumière réfléchie en provenance du miroir stationnaire rebondit sur le miroir tournant qui a avancé d'un angle θ pendant le déplacement de la lumière. Le télescope situé à un angle 2θ de la source récupère le rayon réfléchi par le miroir tournant. Vers 1848, Fizeau et Foucault se lancent dans la mise au point d'expériences visant à mesure la vitesse de la lumière sur Terre, et à comparer la vitesse de la lumière dans l'air et dans l'eau.

Microscope électronique de Ruska. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b35363-microscope-electronique-de-ruska

Microscope électronique de Ruska

Microscope électronique construit par Ernst Ruska en 1933. Suite aux élaborations théoriques de Louis de Broglie en 1924, on a pu prouver en 1926 que des champs magnétiques ou électrostatiques pouvaient être utilisés comme lentilles pour les faisceaux d'électrons. Le premier prototype de microscope électronique a été construit en 1931 par les ingénieurs allemands Ernst Ruska et Max Knoll. Ce premier instrument grossissait au mieux les objets de quatre cent fois. Deux ans plus tard, Ruska construisit un microscope électronique qui dépassait la résolution possible d'un microscope optique. Reinhold Rudenberg, le directeur scientifique de Siemens, a breveté le microscope électronique en 1931, stimulé par une maladie dans la famille, pour rendre visible le virus de la poliomyélite.

Monument au savant russe Ciolkovskij. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fa3a6e-monument-au-savant-russe-ciolkovskij

Monument au savant russe Ciolkovskij

Monument à Borovsk : Konstantin Èduardovič Ciolkovskij (1857-1935), savant russe pionnier des premiers voyages dans l'espace. Obélisque en titane de 107 mètres de hauteur et au pied, statue du savant contemplant le ciel, bottes Valenki aux pieds.