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Perspective cavalière en dessins de fortifications. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e82ccc-perspective-cavaliere-en-dessins-de-fortifications

Perspective cavalière en dessins de fortifications

Source : Ephraim Chambers (1680–1740), "Cyclopaedia, or an Universal Dictionary of Arts and Sciences" 1728. La perspective cavalière est une manière de représenter en deux dimensions des objets en volume. Cette représentation ne présente pas de point de fuite : la taille des objets ne diminue pas lorsqu'ils s'éloignent. C'est une forme particulière de perspective axonométrique, où l'on situe les points grâce à leurs coordonnées dans un repère formé de trois axes. Dans cette perspective, deux des axes sont orthogonaux et ont un facteur de report de 1. Le troisième axe est incliné, en général de 30 ou 45° par rapport à l'horizontale, appelé « angle de fuite », et a un facteur de report inférieur à 1, en général. Cette perspective ne prétend pas donner l'illusion de ce qui peut être vu, mais simplement donner une information sur la notion de profondeur. Simple à réaliser, c'est une perspective naïve qui peut traduire un manque de « vision dans l'espace ». Trop souvent utilisée dans les dessins à main levée, elle est malgré tout à déconseiller par son ambiguïté de représentation : un objet éloigné d'un autre peut sembler être plutôt au-dessus ou au-dessous. Cette représentation était utilisée initialement pour la conception des fortifications militaires. Le « cavalier » est un promontoire de terre situé en arrière des fortifications et qui permet de voir par-dessus, et donc de voir les assaillants. La perspective cavalière était donc la vue que l'on avait du haut du cavalier (les anglais utilisent parfois le terme de « high view point », en français « point de vue de haut »). Certains avancent également que c'est la vue qu'a un cavalier du haut de son cheval.

Planche botanique Coniferae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d14a6-planche-botanique-coniferae-en-1909

Planche botanique Coniferae en 1904

Planche botanique Coniferae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 94 : Araucaria brasiliana (cône femelle), Picea excelsa (écaille de cône femelle vue de l'intérieur), Abies bracteata (cône femelle), Chamaecyparis obtusa (branche avec cônes femelles), Thujopsis dolabrata (branche avec 12 cônes mâles et 3 cônes femelles), Juniperus communis (branche avec fruit), Libocedrus decurrens (branche avec cônes femelles), Phyllocladus rhomboidalis (branche avec cônes femelles), Ginkgo biloba (branche avec graine), Sequoya gigantea (cône femelle), Cupressus sempervirens (branche avec 7 cônes mâles et 2 femelles), Taxodium distichum (cône femelle), Pinus serotina.

Planche botanique d'orchidées en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d6af6-planche-botanique-d-orchidees-en-1904

Planche botanique d'orchidées en 1904

Planche botanique d'orchidées, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 74 : de haut en bas et de gauche à droite, Odontoglossum naevium, Oncidium kramerianum, Odontoglossum ramosissimum, Odontoglossum schroederianum, Cattleya ballantiniana, Cattleya mendellii, Cypripedium lemoinieri, Cattleya rochellensis, Cypripedium leeanum, Odontoglossum wattianum, Cattleya labiata, Epidendrum atropurpureum, Cypripedium argus, Paphinia rugosa, Zygopetalum xanthinum, Oncidium laxense.

Planche botanique de fougères Filicinae de l'île de Java en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d3c5d-planche-botanique-de-fougeres-filicinae-de-l-ile-de-java-en-1909

Planche botanique de fougères Filicinae de l'île de Java en 1904

Planche botanique de fougères Filicinae des chutes d'eau de Tjiburrum (près de Tjibodas, Mont Gede, Java) par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 92 : au centre Alsophila, à gauche Polypodium, à droite Asplenium nidus, en bas à gauche Angiopteris et Monogramma, en bas à droite Pteris quadriaurita.

Planche botanique de mousses Muscinae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d45a7-planche-botanique-de-mousses-muscinae-en-1909

Planche botanique de mousses Muscinae en 1904

Planche botanique de mousses, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 72 : Thamnium alopecurum, Thamnobryum alopecurum, Eurhynchium praelongum, Polytrichum commune, Sphagnum cymbifolium, Splachnum luteum, Mnium undulatum, Rhodobryum roseum, Physcomitrium acuminatum, Physcomitrium ericetorum, Physcomitrium sphaericum, Sphagnum medium, Andreaea Thedenii, Hypnum castrense, Tetraplodon urceolatus, Dissodon Hornschuchii, Dissodon Froelichii.

Planche botanique de népenthes en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d4766-planche-botanique-de-nepenthes-en-1909

Planche botanique de népenthes en 1904

Planche botanique de népenthes, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 62. Le genre Nepenthes regroupe des espèces de plantes carnivores à pièges passifs de la famille des Népenthacées. Νεπένθος (du grec ancien Νε = non et πένθος = tristesse) désigne chez Homère la boisson que Pâris donna à boire à Hélène après son enlèvement pour lui faire oublier son pays natal. Les femmes de la ville égyptienne de Thèbes passaient pour détenir le secret de sa composition. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Haeckel_Nepenthaceae.jpg

Planche d'Anthoméduses en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cef18-planche-d-anthomeduses-en-1904

Planche d'Anthoméduses en 1904

Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 46 : Anthomedusae. Gemmaria sagittaria, Rathkea fasciculata, Tiara pileata, Tiara pileata (organes internes), Stomotoca pterophylla (organes internes), Thamnostylus dinema.

Planche d'arachnides en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cfd59-planche-d-arachnides

Planche d'arachnides en 1904

Planche d'arachnidées, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 66 : Tegeocranus hericius, Tegeocranus latus, Tegeocranus cepheiformisn, Leiosoma palmicinctum, Phrynus reniformis, Arkys cordiformis, Gasteracantha cancriformis, Gasteracantha acrosomoïdes, Gasteracantha geminata, Gasteracantha arcuata, Acrosoma hexacanthum, Acrosoma spinosum, Acrosoma bifurcatum, Oxyopes variegatus, Epeira diadema.

Planche d'ascidies en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cff18-planche-d-ascidies

Planche d'ascidies en 1904

Planche d'ascidies, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 85 : Cynthia melocactus, Molgula tubulosa, Fragarium elegans, Polyclinum constellatum, Polyclinum constellatum, Synoecum turgens, Botryllus polycyclus, Botryllus rubigo, Botryllus Marionis, Botryllus helleborus, Polycyclus cyaneus, Botrylloides purpureus. Fait rare dans le règne animal, ces animaux sont partiellement constitués de tunicine, une molécule proche de la cellulose, qui est caractéristique des végétaux. À l’état adulte, les ascidies ressemblent à des sacs à deux ouvertures : Le siphon buccal où le courant d’eau entre, entraîné par des battements de cils ; Le siphon cloacal ou expirateur où l’eau est rejetée. Le système nerveux de l’adulte se limite à un ganglion cérébral. Un cœur en forme de tube est l’organe propulseur de l’appareil circulatoire. Il envoie le sang dans des sinus creusés dans le tissu conjonctif. Le flux change de sens toutes les deux à trois minutes. Les ascidies sont hermaphrodites. Testicules et ovaires libèrent leurs gamètes dans la chambre péripharyngienne où a lieu l’incubation. La larve ressemble extérieurement à un minuscule têtard de grenouille. Elle nage peu de temps, se fixe à un support et subit une profonde métamorphose. La reproduction asexuée et la régénération ont un rôle important, surtout chez les formes coloniales. Les particules alimentaires (micro-organismes planctoniques) se trouvant dans l’eau sont filtrées par un mucus secrété par la face ventrale interne de la cavité pharyngienne, puis acheminées par des cils dans l’estomac puis l’intestin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascidiacea

Planche de Batrachia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d01f0-planche-de-batrachia-en-1909

Planche de Batrachia en 1904

Planche de dix grenouilles en 1909, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 68 : Notodelphys ovifera, Hyla meridionalis, Hyla tuberculosa, Amphignathodon Güntheri, Rhacophorus pardalis, Hylodes lineatus, Limnodytes erythraeus, Ceratobatrachus Güntheri, Breviceps mossambicus, Lithobates pipiens.

Planche de bryozoaires en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0434-planche-de-bryozoaires-en-1909

Planche de bryozoaires en 1904

Planche de bryozoaires, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 23 : Cristatella mucedo, Plumatella repens, Alcyonella flabellum, Lophopus crystallinus. Les ectoproctes (du grec ektós "dehors" et prōktós "anus"), appelés également et pour plusieurs raisons Bryozoaires (du grec brúon "mousse" et zōon "animal"), sont des animaux coloniaux. Ces métazoaires (pluricellulaires) sont dits triploblastiques (constitués de trois feuillets : endoderme, mésoderme, ectoderme) et cœlomates (cavité interne). Ils vivent le plus généralement fixés en colonie, le zoarium. Certaines espèces sont parfois confondues avec les coraux. Elles contribuent avec ces dernières, au même titre, au puits de carbone océanique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ectoprocta

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2fa7-planche-de-cephalopodes-gamochonia-en-1909

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904

Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode

Planche de Chiroptera en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d1276-planche-de-chiroptera-en-1909

Planche de Chiroptera en 1904

Planche de Chiroptera en 1909, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 67 : Plecotus auritus, Plecotus auritus, Nyctophilus australis, Megaderma trifolium, Vampyrus auritus, Lonchorhina aurita, Lonchorhina aurita, Natalus stramineus, Mormoops blainvillei, Anthops ornatus, Phyllostomus hastatum, Furipterus coerulescens, Rhinolophus equinus, Centurio flavigularis, Vampyrus spectrum.

Planche de crustacés copépodes en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d23ea-planche-de-crustaces-copepodes-en-1909

Planche de crustacés copépodes en 1904

Planche de copépodes, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 56 : Calanus pavo mâle, Clytemnestra scutellata femelle, Oncaea venusta mâle, Cryptopontius thorelli femelle, Acontiophorus scutatus femelle, Corycaeus venustus femelle, Sapphirina Darwinii femele, Augaptilus filigerus. Les copépodes sont un groupe de petits crustacés, libres et parasites (externe ou interne d'organismes variés), vivant dans l'eau de mer et dans presque tous les habitats d'eau douce (lac, marais, rivière, eaux souterraines).

Planche de crustacés decapoda en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2d1d-planche-de-crustaces-decapoda-en-1909

Planche de crustacés decapoda en 1904

Planche de décapodes, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 86 : Parthenope horrida, Podophthalmus vigil, Pisa armata, Gonoplax rhomboides, Pisolambrus nitidus, Stenopus hispidus, Palaemon serratus, Albunea symnista, Lissa chiragra, Birgus latro. Les Decapoda (du grec deca = dix, et podos = pied) sont par définition des crustacés possédant 5 paires de pattes. Cet ordre comprend notamment quelques crustacés bien connus, tels que les galathées, les crabes, les crevettes, les écrevisses ou encore les homards et langoustes. Les Decapoda sont des animaux carnassiers. La plupart sont marins. Il en est un certain nombre qui vivent dans les eaux douces (écrevisse), et d'autres qui peuvent mener une existence terrestre, dans des endroits humides. Les décapodes ont ordinairement la tête et la région thoracique soudées en une masse commune, ou céphalothorax, revêtue d'une carapace solide et d'une grande résistance. Leur carapace est très calcifiée. Leurs appendices thoraciques comprennent trois paires de pattes-mâchoires, et seulement cinq paires de pattes locomotrices. De ces dernières est tiré le nom des décapodes. La formule appendiculaire est (2+1+2) + (3+5) + 6. C'est le type le mieux équilibré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Decapoda

Planche de Cubomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2a39-planche-de-cubomedusae-en-1909

Planche de Cubomedusae en 1904

Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa

Planche de lichens en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d404d-planche-de-lichens-en-1909

Planche de lichens en 1904

Planche de lichens, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 83 : Cladonia retipora, Cladonia perfoliata, Cladonia verticillata, Cladonia squamosa, Cladonia fimbriata, Cladonia cornucopiae, Sticta pulmonaria, Parmelia stellaris, Parmelia olivacea, Parmelia caperata, Hagenia crinalis. Cladonia est un genre de lichens comportant de très nombreuses espèces. Il s'agit toujours de formes dressées et essentiellement terricoles, c'est-à-dire se développant sur un sol. Le nom de genre, d'origine savante, est emprunté au grec ancien klados (κλάδος) qui signifie "rameau", par référence à la structure du thalle de ces lichens dont certains représentants sont très ramifiés. Au Québec, le terme est parfois francisé en "cladonie". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cladonia

Planche de mollusques Nudibranches en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d490e-planche-de-nudibranches-en-1909

Planche de mollusques Nudibranches en 1904

Planche de mollusques gastéropodes Nudibranches, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 43 : Hermaea bifida, Aeolis coronata, Dendronotus arborescens, Idalia elegans, Doto coronata, Tritonia Hombergii, Ancula cristata. Ces animaux marins sont caractérisés par leurs branchies nues, non protégées par une coquille.

Planche de neuf antilopes en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cf280-planche-de-neuf-antilopes

Planche de neuf antilopes en 1904

Planche de neuf antilopes, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 100 : Tetracerus quadricornis, Catoblepas gnu, Tragelaphus gratus, Antilocapra americana, Antilope ellipsiprymna, Hippotragus niger, Addax nasomaculatus, Tragelaphus kudu, Tragelaphus scriptus. Noms vernaculaires : 1 : Bherki (Inde), 2 : Imbutuma (Afrique), 3 : Situtunga (Afrique), 4 : Mazama (Amérique du nord), 5 : Singsing (Afrique), 9 : Gulungu (Afrique).

Planche de vers annélides en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0a10-planche-de-vers-en-1909

Planche de vers annélides en 1904

Planche d'annélides en 1909, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 96, Chaetopoda : Sabella spectabilis, Serpula contortuplicata, Spirographis spallanzanii, Terebella emmalina, Eunice magnifica, Hermione hystricella, Cloëia euglochis.

Planche sur le hérisson. Source : http://data.abuledu.org/URI/513bafc8-planche-sur-le-herisson

Planche sur le hérisson

Planche tirée du Thesaurus, 1734, d'Albertus Seba, savant hollandais (1665-1736) représentant divers hérissons.

Planches de tortues Chelonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0876-planches-de-tortues-en-1909

Planches de tortues Chelonia en 1904

Planche de tortues, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 89, Chelonia : Dermatochelys coriacea (tortue luth), Caretta imbricata (tortue imbriquée), Hydromeda tectifera d'Argentine, Chelys fimbriata (Matamata du bassin amazonien), Testudo geometrica (endémique d'Afrique du sud), Testudo elephantina (Galapagos), Chelydra serpentina.

Plantes et papillon de Vanikoro. Source : http://data.abuledu.org/URI/59907600-plantes-et-papillon-de-vanikoro

Plantes et papillon de Vanikoro

Henri-Pierre Aberlenc, ''Les savants de Lapérouse, la biodiversité et le peuplement de Vanikoro par les Insectes'' ː mosaïque d’espèces cultivées (photos 6 à 8) à Vanikoro, et chenille du papillon Sphinx (Agrius convolvuli) à Païou sur des feuilles de la Patate douce Hypomoea batatas (photos 9 à 11).

Portrait d'Alessandro Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26c2b-portrait-d-alessandro-volta

Portrait d'Alessandro Volta

Portrait d'Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta (1745-1827). Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent. Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814). L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.

Portrait d'Ampère. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e1286-ampere-andre-1825-jpg

Portrait d'Ampère

Portrait de André-Marie Ampère (1775–1836) gravé en 1825.

Portrait d'Axel, le narrateur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280cc99-portrait-d-axel-le-narrateur

Portrait d'Axel, le narrateur

Portrait d'Axel le narrateur, illustration par Édouard Riou (1833-1900) de "Voyage au centre de la Terre", 1864, de Jules Verne (1828-1905) : Non, non, répétai-je, non, je ne parlerai pas ! Il voudrait y aller, je le connais ; rien ne saurait l’arrêter. C’est une imagination volcanique, et, pour faire ce que d’autres géologues n’ont point fait, il risquerait sa vie. Je me tairai ; je garderai ce secret dont le hasard m’a rendu maître ! Le découvrir, ce serait tuer le professeur Lidenbrock ! Qu’il le devine, s’il le peut. Je ne veux pas me reprocher un jour de l’avoir conduit à sa perte ! Ceci résolu, je me croisai les bras, et j’attendis. Mais j’avais compté sans un incident qui se produisit à quelques heures de là.

Portrait d'Hippolyte Fizeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a78f29-portrait-d-hippolyte-fizeau

Portrait d'Hippolyte Fizeau

Armand Hippolyte Louis Fizeau (1819-1896), est un physicien, astronome français qui travailla notamment sur la lumière. En 1845, il réalise une première photographie nette du Soleil. En 1848, il découvre le décalage de fréquence d'une onde lorsque la source et le récepteur sont en mouvement l'un par rapport à l'autre (effet Doppler-Fizeau). C'est ainsi qu'il prédit le décalage vers le rouge des ondes lumineuses.

Portrait d'Isaac Newton en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/537362ef-isaac-newton-

Portrait d'Isaac Newton en 1702

Portrait d'Isaac Newton (1642-1727), savant anglais, inventeur du premier télescope, en 1671 par Sir Godfrey Kneller (1646–1723).

Portrait de Ada Lovelace en 1840. Source : http://data.abuledu.org/URI/5373691f-ada-lovelace-

Portrait de Ada Lovelace en 1840

Portrait par Alfred Edward Chalon (1780-1860) de Ada King Lovelace (comtesse de, 1815-1852) en 1840, mathématicienne, fille de Lord Byron, épouse de William King, comte de Lovelace ; première programmatrice inventrice de l'algorithme en 1843. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ada_Lovelace

Portrait de Buys-Ballot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a76c93-portrait-de-buys-ballot

Portrait de Buys-Ballot

C.H.D. Buys Ballot (1817-1890), savant néermandais surtout connu pour ses recherches en météorologie, en particulier sur l'explication du sens de la circulation autour des dépressions et des anticyclones. Ses recherches ne se limitent pas à la météorologie. En 1845, Buys Ballot engage un groupe de musiciens pour jouer une note bien précise sur le train Utrecht-Amsterdam. Il enregistre ensuite la différence entre cette fréquence et celle perçue le long de la ligne par un observateur pour confirmer les équations de Christian Doppler concernant la propagation des ondes sonores (Effet Doppler-Fizeau).

Portrait de Denis Papin en 1689. Source : http://data.abuledu.org/URI/53736c48-denis-papin

Portrait de Denis Papin en 1689

Portrait de Denis Papin (1647-1712?) en 1689, tenant un rouleau représentant son "digesteur" de 1689. Physicien, mathématicien et inventeur français, un des précurseurs de l'invention de la machine à vapeur, qui eu l'idée du piston (dés 1690), et inspira la machine que l'Anglais Thomas Newcomen (1664-1729) mit au point ensuite (en 1712). Calviniste, il quitta définitivement la France, après la révocation de l'Édit de Nantes (1685) et occupa une chaire de mathématiques à l'Université de Marburg, Allemagne (1687). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Denis_Papin

Portrait de Doppler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a76a34-portrait-de-doppler

Portrait de Doppler

Portrait de Christian Doppler (1803-1853), physicien autrichien. publication la plus célèbre a été présentée le 25 mai 1842 à l'Académie royale des sciences de Bohème et a pour titre "Sur la lumière colorée des étoiles doubles et d'autres étoiles du ciel", utilisant l'effet Doppler. En 1846, Doppler publie une correction de son travail initial où il tient compte des vitesses relatives de la source de lumière et de l'observateur. En 1850, il fonde l'Institut de Physique de l'Université de Vienne dont il est seul professeur et le premier directeur.

Portrait de Fraunhofer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a76698-portrait-de-fraunhofer

Portrait de Fraunhofer

Portrait de Joseph von Fraunhofer, opticien et physicien allemand (1787-1826). Il fut l'inventeur du spectroscope avec lequel il repéra les raies du spectre solaire. il mit au point de nouvelles machines à polir les miroirs et de nouveaux types de verres optiques (le verre flint achromatique), qui apportèrent une amélioration décisive à la qualité des lentilles. Dans son institut d’optique, Fraunhofer ne se contentait pas de polir des lentilles ; il fabriquait entièrement des lunettes astronomiques, avec leur monture. On doit d'ailleurs à Fraunhofer les montures dites « équatoriales ». Aujourd'hui, la plupart des instruments d'amateur sont équipés de ce type de monture.

Portrait de James Joule. Source : http://data.abuledu.org/URI/537643fb-portrait-de-james-joule

Portrait de James Joule

Portrait de James Joule (1818-1889), "The Life & Experiences of Sir Henry Enfield Roscoe", p. 120. James Prescott Joule est un physicien et brasseur britannique. Il a également énoncé une relation entre le courant électrique traversant une résistance et la chaleur dissipée par celle-ci, appelée au XXe siècle la loi de Joule. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Prescott_Joule

Portrait de Johannes Kepler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0a92c-portrait-de-johannes-kepler

Portrait de Johannes Kepler

Copie d’un portrait perdu de Johannes Kepler, peint en 1610, qui était conservé chez les Bénédictins de Krems. Astronome allemand (1571-1630) célèbre pour avoir étudié l’hypothèse héliocentrique (la Terre tourne autour du Soleil) de Nicolas Copernic, et surtout pour avoir découvert que les planètes ne tournent pas en cercle parfait autour du Soleil mais en suivant des ellipses.

Schémas de cristaux de neige par Descartes. Source : http://data.abuledu.org/URI/513e4fd6-schemas-de-cristaux-de-neige-par-descartes

Schémas de cristaux de neige par Descartes

Schémas de cristaux de neige par René Descartes (1596-1650), à partir de l'ouvrage de Johannes Kepler (1571-1630). En 1611, Kepler publie "L’Étrenne ou la neige sexangulaire", premier traité scientifique de 24 pages qui étudie les cristaux de neige, observant notamment leur symétrie hexagonale. René Descartes observe en 1635 à l'œil nu des cristaux de neige et décrit notamment des formes rares, cristaux à douze branches, plaques hexagonales et colonnes.

Statue d'Einstein en Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533bdf1f-statue-d-einstein-en-belgique

Statue d'Einstein en Belgique

Albert Einstein séjourne durant six mois à De Haan (Belgique) en 1933. Johnny Werbrouck crée une statue de bronze en 2006. Après un séjour aux États-Unis en tant que professeur invité, le physicien prix Nobel Albert Einstein débarqua à Anvers en mars 1933. Comme le NSDAP, le parti d'Adolf Hitler, venait de remporter les élections ce même mois, Einstein et sa femme décidèrent de ne pas rentrer en Allemagne et s'installèrent au Coq dans la partie gauche de la double villa Savoyarde, située au n° 5 de l'avenue Shakespeare. Plus tard, ses belles-filles Ilse et Margot, son assistant Walther Mayer et sa secrétaire Helen Dukas vinrent vivre avec eux. Einstein y recevra la visite de nombreux diplomates, politiciens, savants et artistes dont le peintre James Ensor avec lequel il se liera d'amitié. Sa tête ayant été mise à prix par les nazis et estimant donc la situation trop dangereuse, Einstein quitte Le Coq incognito pour l'Angleterre le 9 septembre 1933 avant de s'installer définitivement aux États-Unis en octobre de la même année. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Coq

Statue de D'Alembert. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c38041-statue-de-d-alembert

Statue de D'Alembert

Portrait du philosophe et écrivain D'Alembert (1717-1783), statue en marbre commandée par Napoléon I pour l'Institut de France à Félix Lecomte (1737-1817).

Statue du savant breton Pierre Bouguer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50963d8b-statue-du-savant-breton-pierre-bouguer

Statue du savant breton Pierre Bouguer

Statue de Pierre Bouguer (1698-1758) sur le port du Croisic (ville natale du scientifique). En 1735, il vogue avec Charles Marie de La Condamine, Louis Godin, chef de l'expédition, et Joseph de Jussieu pour le Pérou, afin de mesurer un degré d'arc de méridien près de l'équateur. Dix années s'écoulent pour cette opération délicate dont le rapport est publié en 1749 dans "Détermination de la Figure de la Terre". Lors de ce voyage, il fait des observations d'ordre gravimétrique en altitude et il met ainsi en évidence l'anomalie qui porte son nom.

Syllogisme et diagramme d'Euler. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bf8972-syllogisme-et-diagramme-d-euler

Syllogisme et diagramme d'Euler

Les trois diagrammes d'Euler pour deux termes illustrant un syllogisme. En vue d'étudier systématiquement les syllogismes, Leonhard Euler (1707-1783) eut l'idée de représenter géométriquement les attributs (ou propriétés, ou termes d'un syllogisme) : à chacun il associa un cercle, dont l'intérieur représentait l'extension (le domaine de validité) de l'attribut. La prise en compte simultanée de deux attributs (pour représenter une prémisse par exemple) conduisait à envisager ces trois configurations possibles.

Table des nombres avec les doigts. Source : http://data.abuledu.org/URI/53380b79-table-des-nombres-avec-les-doigts

Table des nombres avec les doigts

Table des nombres expliqués avec les doigts, système de Beda Venerabilis en trente-six gestes. Vers 701, Bède rédige ses premières œuvres, le "De Arte Metrica" et le "De Schematibus et Tropis", toutes deux destinées à servir de support d'enseignement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A8de_le_V%C3%A9n%C3%A9rable

Une rue de Paris et son habitant - 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5140ff18-une-rue-de-paris-et-son-habitant-3

Une rue de Paris et son habitant - 3

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitre 3 : Madame Adolphe. (490 mots)

Une rue de Paris et son habitant - 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/514102ef-une-rue-de-paris-et-son-habitant-4

Une rue de Paris et son habitant - 4

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitre 4 : Inconvénient des quais à livres ou les gloires en espalier. (602 mots). Le chemin de l'Institut passe par les bouquinistes du Pont Royal et leurs tentations intellectuelles. Étienne Louis Malus (1775-1812), est un ingénieur, physicien et mathématicien français. Augustin Fresnel (1788-1827), physicien français.

Une rue de Paris et son habitant - 5 et 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/51410547-une-rue-de-paris-et-son-habitant-5-et-6

Une rue de Paris et son habitant - 5 et 6

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitres 5 et 6 : Premier et second services. (831 mots). Le savant soliloque et perd la notion du temps et, fatigué, finit par prendre un fiacre qui le raccompagne chez lui, à jeun.

Variétés de vers annélides sous-marins. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcd03-varietes-de-vers-annelides-sous-marins

Variétés de vers annélides sous-marins

Variétés de vers sous-marins par le botaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). Les polychètes (Polychaeta) sont les vers annélides comportant le plus grand nombre d'espèces, soit plus de 10 000. Ce sont des animaux essentiellement marins ou estuariens. On les a divisés en deux groupes : 1) les Sédentaires (fixés au substrat). Les polychètes sédentaires sont principalement tubicoles ; 2) les Errants (capables de mouvements et donc, de se déplacer). Les polychètes errants, comme le genre Nereis, sont des prédateurs munis de mâchoires ou de dents plus ou moins visibles et marquées. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Polychaeta.