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Dessins et plans, Antiquités, Antiquités gallo-romaines, Vin, Amphores, Amphores gallo-romaines, Transports maritimes
Amphore à vin romaine, de type Dressel 1B : l'amphore est, dans l'Antiquité, le récipient le plus utilisé pour le transport de produits de base : le vin, l'huile d'olive, la bière (zythum et zythogala) et les sauces de poissons (de type garum). Légende : 1 : lèvre - 2 : col - 3 : anse - 4 : épaule - 5 : panse - 6 : pilon ou pied. L'amphore est fabriquée à partir d'argile épurée. Il faut de l'eau pour délayer l'argile, et du bois ou un autre combustible pour la cuisson. Le plus fréquemment, c'est le tournage qui est utilisé pour la façonner. Afin de la fabriquer, le potier façonne d'abord un fût, puis y ajoute col, pointe, anses. Une fois mise en forme, elle est mise à sécher au soleil, ou à défaut dans un lieu ventilé. Elle est ensuite mise à cuire pendant plusieurs heures. Le poissage est parfois utilisé pour la rendre plus étanche : on verse à l'intérieur de la poix liquide, de manière à former un film imperméable. L'amphore conservant le vin est bouchée par une bourre de paille, recouverte d'une épaisse couche d'argile ou dès l'Antiquité par un bouchon de liège. Les amphores d'époque romaine portent des noms et une numérotation qui permettent aux archéologues de les retrouver dans la typologie et de les dater. Ces noms renvoient souvent aux savants qui ont établi la chronologie (Heinrich Dressel, Pascual) où à l'origine de l'amphore (Gauloise). Les amphores Dressel 1a et 1b sont typiques des amphores vinaires de la fin de la république romaine.
Photographie, Amphores, Décoration et ornement -- Art nouveau, Émile Gallé (1846-1904), Musée de l'école de Nancy, Louis Guingot (1864-1948)
Musée de l'école de Nancy, L'amphore du roi Salomon, 1900, Émile Gallé (1846-1904) devant le paravent "La mer" de Louis Guingot (1864-1948).
Bouchon de liège et col d'amphore, musée archéologique d'Aquilée en Italie.
Photographie, Attique (Grèce), Amphores grecques, Métaphore, Mythologie grecque, Amphores, Cornes d'abondance, Enfer, Hadès, Perséphone
Hadès (à droite) tenant une corne d'abondance et Perséphone (à gauche). Détail d'une amphore attique à figures rouges, v. 470 av. J.-C. Provenance : Italie. La corne d'abondance (cornu copiae en latin) est un objet mythologique en forme de corne de ruminant ou de coquille de triton utilisé par Ploutos, le dieu grec de la richesse et de l'abondance. C'est un attribut des personnifications de certains dieux comme Hadès. Métaphoriquement, la corne d'abondance est synonyme de source inépuisable de bienfaits. Elle est ainsi représentée le plus souvent regorgeant de fruits, mais aussi de lait, de miel et d'autres aliments doux et sucrés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Corne_d'abondance
Gravure, Vieillesse, Amphores, Joseph Jacobs (1854-1916), Contes merveilleux, John D. Batten (1860–1932)
La vieille Shawari sur son amphore, par John D. Batten (1860–1932), illustration de Hasan de Bassorah, The book of wonder voyages, 1919, par Joseph Jacobs (1854-1916).
Photographie, Antiquités gallo-romaines, Coupes, Ornements géométriques, Amphores, Mosaïques, Motifs géométriques, Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Mosaïque de la coupe à Saint-Romain-en-Gal, 21-07-2014 : amphore, bouteilles.
Amphore à vin romaine (Dressel 1B). 1) lèvre, 2) col, 3) anse, 4) épaule, 5) panse, 6) pilon ou pied. Lieu originel de production : Côte tyrrhénienne (Étrurie, Latium, Campanie – Italie). Date : République romaine tardive, jusqu'en 10 avant J.-C. Dimensions : Hauteur : 100 à 122 cm, Diamètre de la panse : 28 à 30 cm, Diamètre de l'ouverture : 15 à 18 cm, Hauteur de la lèvre : environ 6 cm, Masse : 24 à 26 kg (vide), Capacité : 24 à 26 l. (1 amphore (unité) = 8 conges = 48 setiers = environ 26 litres).
Cargaison d'amphores gallo-romaines de Lattara à Lattes.
Schéma de cargaison d'amphores gallo-romaines de Lattara à Lattes.
Cargaison d'amphores gallo-romaines de Lattara à Lattes.
Peinture, Lion, Hercule, Héraclès, Céramique grecque, Némée (ville ancienne), Amphores grecques, Athéna, Mythologie grecque, Vases à figures rouges
Héraclès et Athéna. Médaillon d'un kylix attique à figures rouges, 480-470 av. J.-C. : Athéna sert à boire à Héraklès, assis, sa peau de lion sur la tête.
Photographie, Antiquités, Taureaux, Amphores grecques, Mythologie grecque, Art grec de l'Antiquité, Héraklès
Héraklès et le taureau crétois, enchaînant le taureau de Crète aux pattes arrière. Amphore attique à figures noires, v. 510 av. J.-C. Provenance : Vulci. Groupe de Wurtzbourg 199 (manière du Peintre d'Antiménès).
Photographie, Statues, Amphores grecques, Mythologie grecque, Créatures fabuleuses, Copenhague (Danemark)
Le faune et l'amphore à Copenhague, par Louis Hasselriis, 1888.
Photographie, Amphores gallo-romaines, Bordeaux (Gironde), Nécropoles, Burdigala (ville ancienne), sylvanus-aquitaine, Bordeaux (Gironde) -- Basilique Saint-Seurin, Tuiles antiques
Nécropole Saint-Seurin à Bordeaux-33 : tombes en amphores et sous tegulae.
Photographie, Antiquités, Antiquités grecques, Adolescents, Travail, Olives, Amphores grecques, Conditions de travail, Enfants -- Travail, Peinture grecque, Produits de l'olivier, Récolte, Scènes, Travailleurs agricoles
Scène de récolte d'olives par des adolescents, l'un dans l'olivier, l'autre à terre ramasse les olives et les deux autres secouent les branches avec un baton. Sur une amphore à col attique à figures noires du Peintre d'Antiménès, vers 520 av. J.-C., Vulci - Italie. Hauteur : 40,64 cm. Lieu de découverte : Vulci, Viterbo. 1837 : acheté à Lucien Bonaparte, Prince of Canino and Musignano (1775 - 1840)
Ganymède sur l'Olympe, entouré de Zeus qui lui a offert un coq, une déesse le couronnant et Hébé. Face A d'une amphore attique à figures noires, v. 510 av. J.-C.
Chouette debout sur une amphore couchée. Tétradrachme d'argent athénien du « nouveau style » (monnayage stéphanophorique) (v. 200-150 av. J.-C.). Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France. L'activité des mines du Laurion a repris dans la deuxième moitié du IIe siècle, peut-être en lien avec la relative prospérité de la cité après que Rome lui eut remis l'importante place commerciale qu'était alors Délos. L'apparition à cette époque de belles monnaies athéniennes « New Style » et les révoltes d'esclaves qui nous sont signalées à la fin du IIe siècle et au début du Ier siècle av. J.-C. témoignent que l'argent continue à être extrait du Laurion à l'époque hellénistique, même s'il ne constituait sans doute alors qu'un appoint au métal utilisé pour le monnayage et si son exploitation restait marginale en comparaison de l'époque classique. Au verso de cette monnaie, tête d'Athéna casquée.