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Lézards | Photographie | Biologie animale | Reptiles | Gravure | Animaux carnivores | Dessins et plans | Animaux -- Dans l'art | Théropodes | Préhistoire | Dinosaures | Sauriens | Squamates | Jurassique | Peinture | Dilophosaures | Ornithologie | Proies et prédateurs | Prédation (biologie) | Lewis Carroll (1832-1898) | ...
Accouplement de lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cb41b-accouplement-de-lezards

Accouplement de lézards

Acouplement de lézards des murailles (Podarcis liolepis) dans le sud de la France (Hérault).

Alice en colère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf0dc2-alice-en-colere

Alice en colère

Alice en colère, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Je ne me tairai pas, » dit Alice. « Qu’on lui coupe la tête ! » hurla la Reine de toutes ses forces. Personne ne bougea. « On se moque bien de vous, » dit Alice (elle avait alors atteint toute sa grandeur naturelle). « Vous n’êtes qu’un paquet de cartes ! » Là-dessus tout le paquet sauta en l’air et retomba en tourbillonnant sur elle...

Alice renverse le banc des jurés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf1089-alice-renverse-le-banc-des-jures

Alice renverse le banc des jurés

Alice renverse le banc des jurés, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Voilà ! » cria Alice, oubliant tout à fait dans le trouble du moment combien elle avait grandi depuis quelques instants, et elle se leva si brusquement qu’elle accrocha le banc des jurés avec le bord de sa robe, et le renversa, avec tous ses occupants, sur la tête de la foule qui se trouvait au-dessous, et on les vit se débattant de tous côtés, comme les poissons rouges du vase qu’elle se rappelait avoir renversé par accident la semaine précédente.

Autotomie du lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cbf1b-autotomie-du-lezard

Autotomie du lézard

Autotomie du lézard. L'autotomie est la capacité qu'ont certains animaux de perdre une partie de leur corps volontairement, en particulier certains reptiles et invertébrés, pour échapper à un prédateur. Certains rongeurs peuvent aussi perdre une partie de leur queue. Il s'agit d'une stratégie de défense consistant à abandonner volontairement une partie non vitale de son corps (en général la queue, mais parfois un membre, de la peau…) afin d'échapper à un prédateur. La perte se produit soit lorsque la partie du corps est déjà prise par le prédateur (il s'agit alors de se libérer pour fuir) soit avant une attaque afin de créer une diversion. Le membre se sépare en général à des endroits pré-établis de l'anatomie de l'animal. Ce sont la plupart du temps des articulations de la queue ou des membres. Selon les espèces, la partie abandonnée peut repousser, tel la queue du lézard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autotomie En général le membre abandonné reste agité de mouvements réflexes, donnant une illusion de vie et occupant le prédateur.

Carte astronomique de cinq constellations. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd29b-carte-astronomique-de-cinq-constellations

Carte astronomique de cinq constellations

Carte des constellations du Lézard, du Cygne, de la Lyre, du Loup et de l'Oie : Lacerta, Cygnus, Lyra, Vulpecula, Anser.

Couleuvre avalant un lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ade69c-couleuvre-avalant-un-lezard

Couleuvre avalant un lézard

Couleuvre de Montpellier (Malpolon monspessulanus) avalant un lézard (Podarcis hispanica).

Couple de lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339ac03-couple-de-lezards

Couple de lézards

Couple de lézards (Lampropholis guichenoti) au soleil en Australie.

Crâne de Dilophosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/51229499-crane-de-dilophosaurus

Crâne de Dilophosaurus

Crâne de Dilophosaurus : Le dilophosaure ou Dilophosaurus (en grec : « lézard à deux crêtes ») était un grand dinosaure théropode carnivore qui vivait en Chine et en Arizona au début du jurassique, entre 205 et 185 millions d'années avant notre ère, au Sinémurien et au Pliensbachien. Les premiers spécimens furent décrits en 1954, mais ce n'est que plus d'une décennie plus tard, que leur genre reçut leur nom actuel. Le dilophosaure est l'un des plus anciens théropodes connus, mais également, l'un des moins bien compris. Le dilophosaure est apparu à plusieurs reprises dans la culture populaire, notamment dans le film Jurassic Park, de Steven Spielberg, en 1993.

Croquis de lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/53fde25a-croquis-de-lezard-

Croquis de lézard

Croquis de lézard en tenue de camouflage sur un muret de pierre, imagier 2014 de RyXéo.

Cuetzpalin le lézard aztèque. Source : http://data.abuledu.org/URI/540a0e8f-cuetzpalin-le-lezard-azteque

Cuetzpalin le lézard aztèque

Glyphe Cuetzpalin (lézard) du calendrier aztèque.

Dessin de Dilophosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/512298ad-dessin-de-dilophosaurus

Dessin de Dilophosaurus

Dessin de Dilophosaure. Sa gueule était particulièrement étroite et souple, ses dents pourtant ne semblent pas avoir été faites pour chasser de grandes proies : étroites et pointues, elles se seraient tout de suite brisées, à ce que pensent certains chercheurs, à vouloir mordre dans un os, mais on ne peut plus soutenir la théorie qui faisait de lui un charognard. Il est très vraisemblable qu'il tuait sa victime à l'aide des griffes qu'il portait aux pattes avant et arrière. Une telle morphologie « passe partout » permettait au dilophosaure de chasser autant des proies imposantes comme le Plateosaurus que des proies beaucoup plus petites comme des petits mammifères et des lézards qu’il allait chercher dans les broussailles ou les crevasses des rochers.

Dilophosaurus dans son environnement. Source : http://data.abuledu.org/URI/51230d3a-dilophosaurus-dans-son-environnement

Dilophosaurus dans son environnement

Restauration de l'environnement probable du début du Jurassique conservé sur le site du SGDS (St George, Utah, États-Unis) : le théropode Dilophosaurus wetherilli en position de repos (SGDS.18.T1).

Enseigne du lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd694-enseigne-du-lezard

Enseigne du lézard

Enseigne du restaurant polonais "Pod Jaszczurem" à Gdańsk.

Escargot, rouge-gorge et lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fac02e-escargot-rouge-gorge-et-lezard

Escargot, rouge-gorge et lézard

Lithographie par Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890 : Rouge-gorge, escargot et lézard.

Gecko à Perpignan. Source : http://data.abuledu.org/URI/55ddf475-gecko-a-perpignan

Gecko à Perpignan

Gecko à Perpignan, été 2015.

Huit lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cceab-huit-lezards

Huit lézards

Planche en couleurs de dessins de huit lézards, Ernst Haeckel (1835-1919), biologiste allemand. Source : "Kunstformen der Natur", 1904, planche 79, Lacertilia. De haut en bas, de gauche à droite : Chamaeleon montium, Lophyrus tigrinus, Draconellus volans, Phrynosoma cornutum, Ptychozoon homalocephalum, Basiliscus americanus, Chlamydosaurus kingii, Moloch horridus.

La Lézarde en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a3df-la-lezarde-en-guadeloupe

La Lézarde en Guadeloupe

Saut de la Lézarde en Guadeloupe : La Lézarde est une rivière française ou un petit fleuve côtier de Basse-Terre en Guadeloupe qui se jette dans l'océan Atlantique à Petit-Bourg. Elle porte son nom du chemin qu'elle emprunte en serpentant entre la roche et la forêt tropicale. De 25,5 km de long, c'est une des rivières les plus importantes de Guadeloupe, qui coule dans la seule commune de Petit-Bourg. Elle prend source le long de la trace Merwart, à 564 m d'altitude, près du lieu-dit les Icaques, sur la commune de Petit-Bourg.

Le lézard d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfda5d-le-lezard-d-alice

Le lézard d'Alice

Le lézard projeté hors de la cheminée par le coup de pied d'Alice enfermée, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle retira son pied aussi bas que possible, et ne bougea plus jusqu’à ce qu’elle entendît le bruit d’un petit animal (elle ne pouvait deviner de quelle espèce) qui grattait et cherchait à descendre dans la cheminée, juste au-dessus d’elle ; alors se disant : « Voilà Jacques sans doute, » elle lança un bon coup de pied, et attendit pour voir ce qui allait arriver. La première chose qu’elle entendit fut un cri général de : « Tiens, voilà Jacques en l’air ! » Puis la voix du Lapin, qui criait : « Attrapez-le, vous là-bas, près de la haie ! » Puis un long silence ; ensuite un mélange confus de voix : « Soutenez-lui la tête. — De l’eau-de-vie maintenant. — Ne le faites pas engouer. — Qu’est-ce donc, vieux camarade ? — Que t’est-il arrivé ? Raconte-nous ça ! » Enfin une petite voix faible et flûtée se fit entendre. (« C’est la voix de Jacques, » pensa Alice.) « Je n’en sais vraiment rien. Merci, c’est assez ; je me sens mieux maintenant ; mais je suis encore trop bouleversé pour vous conter la chose. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été poussé comme par un ressort, et que je suis parti en l’air comme une fusée. »

Lézard Acanthodactylus erythrurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/552867d0-lezard-acanthodactylus-erythrurus

Lézard Acanthodactylus erythrurus

Lézard Acanthodactylus erythrurus, espèce extirpée, peut-être présente dans le sud de la France jusqu'à la fin du XXe siècle.

Lézard Algyroides marchi. Source : http://data.abuledu.org/URI/552868af-lezard-algyroides-marchi

Lézard Algyroides marchi

Lézard Algyroides marchi. Ce lézard vit dans des zones montagneuses de forêts tempérées ou de rochers.

Lézard Algyroides moreoticus. Source : http://data.abuledu.org/URI/552869b1-lezard-algyroides-moreoticus

Lézard Algyroides moreoticus

Lézard (Algyroides moreoticus), jeune mâle, Messine, Péloponnèse, Grèce. Cette espèce est endémique de la Grèce. Elle se rencontre au Péloponnèse et dans les îles Ioniennes de Zante, de Céphalonie et d'Ithaque. Ses habitats naturels sont les forêts et zones arbustives tempérées et les plantations. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Algyroides_moreoticus

Lézard bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/5049c479-lezard-bleu

Lézard bleu

Dessin de lézard bleu.

Lézard des îles Canaries. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1798c-lezard-des-iles-canaries

Lézard des îles Canaries

Lézard des îles Canaries (Gallotia galloti) à Las Cañadas, Tenerife, îles Canaries.

Lézard des murailles. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cacc7-lezard-des-murailles

Lézard des murailles

Un lézard des murailles. Les lézards sont des petits reptiles de l'ordre des Squamates. Ils partagent le fait d'avoir quatre pattes, des oreilles à tympan apparent sans conduit auditif externe, le corps recouvert d'écailles et la mue. Toutes les espèces ne perdent pas leur queue (autotomie) en cas d'agression. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9zard.

Lézard en pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd05b-lezard-en-pierre

Lézard en pierre

Lézard en pierre à la verticale sur un mur, cimetière de Bilbao.

Lézard en pierre à Barcelone. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd839-lezard-en-pierre-a-barcelone

Lézard en pierre à Barcelone

Lézard en pierre à Barcelone.

Lézard en train de muer. Source : http://data.abuledu.org/URI/535caff5-lezard-en-train-de-muer

Lézard en train de muer

La mue est le remplacement de la peau de certains reptiles appartenant à l'ordre des squamates, ordre qui comprend entre autres les lézards et les serpents. La mue désigne à la fois la perte de l'ancienne peau en tant que phénomène (on dit alors d'un reptile "qu'il est en train de muer") et l'ancienne peau elle-même, qui est aussi appelée exuvie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mue_%28squamate%29

Lézard lumineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ccf79-lezard-lumineux

Lézard lumineux

Forme de lézard avec une guirlande de lumières bleues.

Lézard mangeant un insecte. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fced45-lezard-mangeant-un-insecte

Lézard mangeant un insecte

Lézard mangeant un insecte en six étapes.

Lézard sur un mur. Source : http://data.abuledu.org/URI/501bdd06-lezard-murs

Lézard sur un mur

Photo d'un lézard au soleil sur un mur.

Lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fd18c0-lezards

Lézards

Lézards, par Walter Heubach (1865–1923).

Monument du lézard de Jaéen. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd497-monument-du-lezard-de-jaeen

Monument du lézard de Jaéen

Monument du lézard de Jaéen : légende d'un lézard-dragon carnivore.

Sabre ottoman au lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cdb6f-sabre-ottoman-au-lezard-

Sabre ottoman au lézard

Sabre ottoman au lézard du XVIIème siècle, Vienne.

Salamandre du Pont Alexandre III à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd775-salamandre-du-pont-alexandre-iii-a-paris

Salamandre du Pont Alexandre III à Paris

Salamandre du Pont Alexandre III à Paris : bollard d'amarrage métallique orné d'un lézard doré (salamandre ?), à coté du Pont Alexandre III dans le 8e arrondissement de Paris.

Silhouette de lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd554-silhouette-de-lezard

Silhouette de lézard

Silhouette de lézard.

Silhouette de lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd5b2-silhouette-de-lezard

Silhouette de lézard

Silhouette de lézard.

Taille du Dilophosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/512299e9-taille-du-dilophosaurus

Taille du Dilophosaurus

Comparaison entre la taille d'un homme et celle de deux espèces de Dilophosaure. Il pouvait mesurer jusqu'à deux mètres cinquante de haut, six mètres de long et peser 500 kilogrammes. Son crâne possédait des articulations qui lui permettaient de plisser le nez et une paire de crêtes osseuses sur la tête (d’où son nom). Le Dilophosaurus fut une importante figure dans le film de 1993 Jurassic Park et dans le roman original de Michael Crichton. La version filmée montre un Dilophosaurus qui possède une membrane rétractile au cou similaire à celle du chlamydosaurus ou lézard à collerette, et a la capacité de cracher aux yeux un venin aveuglant pour paralyser ses victimes. Il n'existe aucune preuve que le Dilophosaurus ait pu cracher du venin, ni qu'il ait possédé une collerette aux couleurs vives, ce qu'a reconnu M. Crichton, en invoquant la liberté de l'artiste. Dans le film de Steven Spielberg, le Dilophosaurus a été réduit à 1 m de haut et 1,5 m de long, beaucoup plus petit qu'en réalité.

Tête de Dilophosaurus wetherilli. Source : http://data.abuledu.org/URI/51230ed0-tete-de-dilophosaurus-wetherilli

Tête de Dilophosaurus wetherilli

Modèle de tête de Dilophosaurus wetherilli, au Muséum géologique de l'Institut Géologique Polonais de Varsovie.

Tournesols, fraises et lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/50face1f-tournesols-fraises-et-lezard

Tournesols, fraises et lézard

Lithographie par Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890 : Tournesols, fraises et lézard.

Un caméléon. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cdac0-un-cameleon

Un caméléon

Dessin de caméléon sur une branche, en bordure de ruisseau au dix-septième siècle, par Wenceslaus Hollar (1607–1677), graveur tchèque ; à l'arrière-plan, une charrette tirée par un cheval passe un pont, une barque avec des pêcheurs et un village.

Accouplement de lézards des souches. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cb564-accouplement-de-lezards-des-souches

Accouplement de lézards des souches

Accouplement de lézards des souches (Lacerta agilis). Les adultes mesurent une dizaine de centimètres du museau au cloaque. C'est un lézard corpulent à pattes courtes et à tête courte et épaisse. Sa coloration est assez variable, tirant sur le vert pour les mâles en période de reproduction. Beaucoup d'individus ont des ocelles et des marques ou marbrures sombres sur les flancs. Les femelles sont en général plus grises ou brunes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lacerta_agilis

Bilby de Pâques en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b2b3-bilby-de-paques-en-australie

Bilby de Pâques en Australie

Bilby (Macrotis lagotis), aussi appelé bandicoot lapin est une espèce de marsupial du désert. En langage aborigène : le Yuwaalaraay signifie « rat à long nez ». Il a la taille d'un chat ou d'un lapin. La longueur du corps est de 55 cm, celle de la queue de 29 cm. Sa fourrure gris-bleu, très douce, possède des taches brun clair. La queue est blanche et noire. Il a un museau pointu, de grandes oreilles dépourvues de poils, une ouïe fine, un odorat perçant mais une vue basse. Ses pattes avant, très puissantes, munies de griffes lui servent à déterrer ses aliments ou creuser son terrier. Il se nourrit de plantes (fruits, bulbes ou graines) et d'insectes ou d'araignées, accessoirement de souris, d'oiseaux ou de lézards.

Caracara huppé en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/55014938-caracara-huppe-en-vol

Caracara huppé en vol

Caracara huppé (Caracara plancus) en vol, département de Rocha, Uruguay. Il a une longueur totale de 50 à 65 cm et une envergure de 120 cm. Rapace audacieux et opportuniste, il se nourrit principalement de charognes et n'hésite pas à attaquer des animaux jeunes, blessés ou en difficulté, à voler de la nourriture à d'autres rapaces, à piller les nids d'oiseaux et à prendre des proies vivantes si la possibilité se présente (surtout des insectes et autres petites proies : crabes, serpents, lézards mais va aussi jusqu'à la taille d'une Aigrette neigeuse), ou encore à se nourrir de la coprah des noix de coco. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caracara_hupp%C3%A9

Chat de Geoffroy en Uruguay. Source : http://data.abuledu.org/URI/550140ac-chat-de-geoffroy-en-uruguay

Chat de Geoffroy en Uruguay

Chat de Geoffroy (Leopardus geoffroyi), département de Rocha, Uruguay. Ce félin chasse particulièrement les oiseaux, les reptiles (serpents-lézards) et les petits mammifères. Il ne chasse que la nuit. Ce petit félin passe la majeure partie de sa vie dans les arbres, où il grimpe avec une rare dextérité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chat_de_Geoffroy

Cicadelle blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/541546a4-cicadelle-blanche

Cicadelle blanche

Cicadelle blanche (Metcalfa pruinosa), 7cm, à Fronton (Haute-Garonne). Introduit accidentellement en Italie dans les années 1980, cet insecte piqueur-suceur d'origine américaine a rapidement colonisé le sud de la France. Elle est polyphage, et se nourrit de nombreuses variétés de taxons végétaux. Les plantes hôtes sont : érables, cornouillers, aubépines, saules, ormes, troènes, robiniers. Elle peut vivre sur ​​les plantes cultivées : comme la vigne, les agrumes, l'abricot, pêche, mûre et la framboise. Elle exsude un miellat particulièrement varié et abondant qui attire divers hyménoptères, dont les abeilles, qui le transforment en miel. Sur ce miellat se développe un champignon noirâtre, la fumagine. Les lézards se régalent à les consommer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cicadelle_blanche

Couple de faisans. Source : http://data.abuledu.org/URI/51351629-couple-de-faisans

Couple de faisans

Couple de faisans, 1918, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le faisan est omnivore : il se nourrit aussi bien de larves, d'insectes, de lézards que de pousses vertes, baies, fruits et graines.

Couple de lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/5652ca72-couple-de-lezards

Couple de lézards

Couple de lézards verts (Lacerta viridis).

Couple de lézards verts. Source : http://data.abuledu.org/URI/54dbbb5c-couple-de-lezards-verts

Couple de lézards verts

Couple de lézards verts européens (Lacerta viridis) : le mâle a environ 35-40 cm de long, la femelle 25-30 cm de long.

Hérisson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d7465e-herisson

Hérisson

Un jeune hérisson (Erinaceus europaeus) : le hérisson fait partie des animaux qui hibernent avec les marmottes, les loirs, les lérots, les spermophiles, les hérissons, le tenrec, le setifer, l’engoulevent de Nuttall, les grenouilles, les lézards, les tortues, les moufettes, ainsi que certains hamsters, souris, poissons, chauve-souris et les castors. L’hibernation est un état d’hypothermie régulée, durant plusieurs jours ou semaines qui permet aux animaux de conserver leur énergie pendant l’hiver. Durant l’hibernation les animaux ralentissent leur métabolisme jusqu’à des niveaux très bas, avec la température de leurs corps et des taux respiratoires qui s’abaissent graduellement, et en utilisant les réserves de graisse du corps qui ont été stockées pendant les mois actifs.

Kookaburra en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b62b-kookaburra-en-australie

Kookaburra en Australie

Le Martin-chasseur géant ou kookaburra (Dacelo novaeguineae), oiseau célèbre en Australie pour son cri. Oiseau mythique dans la culture aborigène, son chant ressemble à un rire rauque. Son nom australien (de la langue morte wiradjuri) est d'ailleurs "Laughing Kookaburra" (littéralement « Kookaburra rieur »). Il habite dans toutes les zones boisées où il peut trouver à proximité des zones dégagées pour pouvoir chasser. Il ne craint pas la proximité de l'homme. Comme tous les martins-chasseurs, il se nourrit en attendant patiemment installé sur une branche qu'une proie passe à proximité pour se précipiter dessus : carnivore, il mange ainsi souris et autres petits mammifères analogues, gros insectes, lézards, petits oiseaux et oisillons, et, surtout serpents. Il s'attaque de préférence à des proies plus petites que lui mais il n'est pas rare qu'il s'attaque par surprise à des animaux nettement plus gros que lui, en particulier des serpents venimeux. Les proies les plus petites sont avalées vivantes, les proies plus grosses sont d'abord tuées en les frappant vivement sur le sol.

Mante religieuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5b067-mante-religieuse-

Mante religieuse

Larve de mante religieuse (approx :6 mm) au sortir de l'oothèque qui protège les oeufs : au printemps (mai, juin) une centaine de larves émergent de l'oothèque. Chacune d'entre elles est confinée dans une très fine membrane, et après s'en être libérée (opération considérée comme une première mue), elle ressemblera en tous points à l'adulte. Celles-ci sont par ailleurs des proies faciles. Une araignée, des fourmis, des lézards ou même des oiseaux peuvent ainsi attaquer les nouveau-nés dès l'éclosion. Après six métamorphoses successives, l'insecte adulte porte des ailes, absentes jusque-là.

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.