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Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Peinture | Couleurs | Botanique | Clip art | Vert | Plantes | Lumière | Jaune | Agriculture | Rouge | Bleu | Violet | Confitures | Prunes | Aquarelles | Gelées (confiserie) | Fleurs dans l'art | Jules Eudes (1856-1938) | ...
Parapluie ouvert violet. Source : http://data.abuledu.org/URI/54045118-parapluie-ouvert-violet

Parapluie ouvert violet

Parapluie ouvert violet.

Quarante-et-un points violets en cercles. Source : http://data.abuledu.org/URI/54358864-quarante-et-un-points-violets-en-cercles

Quarante-et-un points violets en cercles

Quarante-et-un points violets en trois cercles concentriques autour d'un point central : petit cercle de huit points et deux grands cercles de seize points.

9 fleurs de couleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/504901f5-9-fleurs-de-couleur

9 fleurs de couleur

Neuf dessins de fleurs de couleur.

Anémone verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c0bd32-anemone-verte

Anémone verte

Les tentacules de cette anémone sont souples, non rétractiles, longs et assez fins, de couleur vert clair, avec la pointe violet-fuchsia. On la trouve sur les fonds rocheux entre 10 et 25m de profondeur.

Arc-en-ciel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50474193-arc-en-ciel

Arc-en-ciel

Clipart d'arc-en-ciel : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet.

Carte géologique de la Lorraine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957a9c-carte-geologique-de-la-lorraine

Carte géologique de la Lorraine

Carte géologique de la Lorraine : Alluvions récentes (gris clair), Alluvions anciennes (gris foncé), Crétacé (vert), Jurassique supérieur, moyen et inférieur (bleu), Trias supérieur, moyen et inférieur (violet), Granites hercyniens (orange), Paléozoïque et antérieur (rose). Source : BRGM. La carte géologique est un outil de connaissance géologique fondé sur la représentation des formations affleurantes. On y retrouve les trois principaux types de formations : magmatiques, sédimentaires et métamorphiques, ainsi que les informations géologiques relevées par le cartographe (failles, pendages, mines...). Afin de s'y retrouver, la légende de la carte géologique est découpée en plusieurs parties. Chaque type de formation est représentée par une gamme de couleur et un type de code. Par contre, une même formation présente sur plusieurs cartes peut avoir des nuances de couleurs et/ou des figurés différents en fonction de l'auteur de la carte et de ses besoins. De même, les codes des formations peuvent varier d'une carte à l'autre, mais doivent toujours respecter des critères globaux.

Champ de lavande en Provence. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c9f8ce-champ-de-lavande-en-provence

Champ de lavande en Provence

Ferme et champ de lavande en Provence. Lavandula angustifolia, ou lavande vraie. C'est la meilleure des lavandes pour la qualité de son huile essentielle. À l'état sauvage, elle pousse naturellement surtout en haute Provence au-dessus de 700 à 800 mètres d’altitude. Robuste, elle résiste aux contraintes climatiques des montagnes sèches de la haute Provence, mais elle peut être cultivée dans des régions plus septentrionales, d'autant qu'il en existe de nombreux cultivars. C'est un arbrisseau buissonnant pouvant atteindre 0,50 m de haut. Les feuilles, linéaires et de couleur gris-vert, ont une longueur variant entre 3 et 5 cm. Lors de la floraison (juillet-août), la plante développe de longs pédoncules non ramifiés terminés par des épis dont la couleur varie du mauve pâle au violet. Seule l’huile essentielle issue de cette production sur une zone déterminée bénéficie de l’Appellation d'origine contrôlée (AOC), huile essentielle de lavande de Haute-Provence. On recense environ 4 000 hectares cultivés dans les 4 départements producteurs.

Coqueret dit lanterne chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/505dd30e-coqueret-dit-lanterne-chinoise

Coqueret dit lanterne chinoise

Planche botanique du Coqueret, dit Lanterne chinoise (Physalis alkekengi), Atlas des Plantes de France, 1891. La plante est surtout connue pour son faux-fruit, une baie comestible de couleur orange enfermée dans un calice rouge orangé semblable à une lanterne. Indigène en Europe, sa cueillette est attestée dès le Néolithique sur des sites préhistoriques comme ceux du lac de Chalain dans le Jura français. Cette plante est parfois appelée Amour-en-cage ou Cerise d'hiver. Le terme « alkékenge » est apparu dans la langue française au XIVe siècle, il vient de l'ancien français « alquequange » ou « alcacange », lequel dérive de l'arabe al-kakang. Toute la plante, sauf la racine, peut servir à préparer un vin diurétique. Les fruits peuvent être consommés en salades mais aussi transformés en confiture, gelée, marmelade ou encore être incorporés dans des tartes, clafoutis ou tout autre gâteau.

Dessin de poisson pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/552c398f-dessin-de-poisson-pierre

Dessin de poisson pierre

Dessin de poisson pierre (Synanceia verrucosa) par J. F. Hennig, Illustrations de Ichtyologie ou histoire naturelle générale et particulière des Poissons, 1795-97, Berlin. Le poisson-pierre adulte mesure entre trente et quarante centimètres. Son corps globuleux est plus ou moins informe, flasque, boursouflé et est couvert d'excroissances cutanées verruqueuses. Il est d'une couleur blanche à violette (mais le plus souvent brune, jaunâtre ou rosâtre) qui est difficilement définissable parce qu'il présente la particularité de se confondre avec son environnement. Irrégulière, sa peau dépourvue d'écailles sécrète en effet un mucus capable de retenir les débris coralliens et les algues emportés par le courant : ce camouflage le rend généralement presque parfaitement indétectable au milieu des roches couvertes d'algues. Le poisson-pierre est surtout doté au sommet de son corps de 13 courtes épines dorsales reliées à des glandes à venin, qu'il peut dresser très rapidement pour piquer un éventuel agresseur et injecter ses toxines extrêmement puissantes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Poisson-pierre

Diffusion de Raleigh et de Mie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dd7afc-diffusion-de-raleigh-et-de-mie

Diffusion de Raleigh et de Mie

Illustration de la diffusion de Raleigh et de Mie sur une particule sphérique. De gauche à droite : intensité de la diffusion Rayleigh, de la diffusion Mie pour de petites particules et de la diffusion Mie pour de grosses particules, en fonction de la direction. L'onde incidente arrive par la gauche. La diffusion par des très petites particules, telles que des molécules, de dimensions inférieures au dixième de la longueur d'onde considérée, est un cas limite appelé diffusion Rayleigh. Pour les particules plus grosses que cette longueur d'onde, on doit prendre en compte la diffusion de Mie dans son intégralité : elle explique dans quelles directions la diffusion est la plus intense, on obtient ainsi un « patron de réémission » qui ressemble à celui des lobes d'émission d'une antenne, avec, dans le cas de grosses particules, un lobe plus intense dans la direction opposée à celle d'où provient l'onde incidente. La diffusion de Mie n'est pas fortement dépendante de la longueur d'onde utilisée comme c'est le cas dans celle de Rayleigh. Elle produit donc une lumière presque blanche lorsque le Soleil illumine de grosses particules dans l'air : c'est cette dispersion qui donne la couleur blanc laiteux à la brume et au brouillard. La couleur du ciel, pendant toute la durée du jour, est provoquée par diffusions Rayleigh et Mie de la lumière solaire dans l'atmosphère. La diffusion Rayleigh provoque les teintes bleues, violettes et vertes du ciel. Les couleurs caractéristiques du lever de soleil sont causées par diffusion de Mie de sa lumière par les particules de poussière, suie, fumée et cendre en suspension dans l'atmosphère : lorsque le Soleil est près de l'horizon, sa lumière traverse une plus grande épaisseur d'atmosphère, elle est donc plus susceptible d'être diffusée.

Échelle de couleur de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f131-echelle-de-couleur-de-radar-meteorologique

Échelle de couleur de radar météorologique

Expemple d'échelle de couleur associée avec une image de réflectivité pour un radar météorologique. On y retrouve l'intensité taux de précipitation et en correspondance en dBZ. En général, les images de réflectivité utilisent une variation de couleur similaire à celle de l’arc-en-ciel. Les intensités les plus faibles sont indiquée par le bleu pâle (cyan), les intensités modérées par le jaune et les fortes par le rouge puis le magenta. Les intensités peuvent être reliées à la réflectivité en dBZ ou à son équivalent en millimètres/centimètres par heure. Par exemple, les images disponibles sur le site du Service météorologique du Canada utilisent cette échelle : en hiver le violet représente le taux de précipitation le plus élevé (20 cm/h) alors que le bleu-vert du bas de l'échelle représente le taux le plus bas (0,1 cm/h). Durant les mois d'été, l'échelle de réflectivité est remplacée par celle des précipitations pluviales, en mm/h, qui va d'une trace à plus de 100 mm/h. Certains utilisateurs préfèrent cependant des codes numériques plus simples à interpréter. Ainsi, lorsqu'un pilote d'avion ou un contrôleur aérien décrivent l'intensité des échos de précipitations sur leur affichage radar, ils utilisent des niveaux : niveau 1 pour la précipitation faible, niveau 2 pour de la précipitation modérée possiblement reliée avec une basse visibilité et de la turbulence, niveau 3 pour de la pluie/neige forte reliée à des conditions de vol dangereuses. Certains affichages commerciaux indiquent le type de précipitations. Ainsi les images que l'on peut voir aux bulletins télévisés en hiver peuvent séparer les zones de pluie, de pluie verglaçante et de neige. Ceci n'est pas une information venant du radar mais une association avec les informations venant des stations météorologiques de surface. Un programme analyse la température, le point de rosée et le type de précipitation rapportés par les METAR sous une zone d'échos au radar et fait la division des zones. Cet analyse peut être améliorée en utilisant les données des modèles de prévision numérique du temps comme champ d'essai mais le tout reste sujet à des erreurs de lissage et ne tient pas compte des effets de petite échelle dans la distribution des types de précipitations (air froid emprisonné dans une vallée qui donne de la pluie verglaçante au lieu de pluie par exemple). Quand les données de double polarisation seront largement disponibles, une telle analyse sera plus fiable.

Épis de maïs de différentes couleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288c747-epis-de-mais-de-differentes-couleurs

Épis de maïs de différentes couleurs

Épis de maïs de différentes couleurs. C’est la superposition des couleurs de l'albumen et de sa couche à aleurone (tissu résultant de la fécondation) et du péricarpe (tissu d'origine maternel) qui donne sa couleur finale au grain de maïs. Deux types de pigments peuvent colorer l'albumen : 1) le carotène donne des grains jaunes (couleur la plus répandue) si l'aleurone et le péricarpe sont incolores ; 2) les anthocyanes donnent des grains rouge, bleu ou violet. L'absence de pigment donne des grains blancs. Le mélange des couleurs entre les différentes couches du grain (albumen, aleurone et péricarpe) donne des couleurs intermédiaires (orangé, rose, marron, vert). Quant aux grains "bariolés", ils sont dus aux effets des transposons.

Étoile chromatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a945fe-etoile-chromatique

Étoile chromatique

Étoile chromatique RJB (peinture). Une couleur tertiaire est une couleur obtenue par le mélange à parts égales d'une couleur primaire et d'une couleur secondaire. En peinture, les couleurs primaires sont le rouge, le jaune et le bleu. Dans les systèmes numériques, les couleurs primaires sont le rouge, le vert et le bleu. Même si les principes sont les mêmes, cette différence, jointe au fait que les pigments utilisés en peinture et les matériels informatiques ne permettent pas d'obtenir exactement les mêmes couleurs, fait que les couleurs secondaires et tertiaires sont différentes pour la peinture et pour les systèmes numériques.

Étoile chromatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a947ae-etoile-chromatique

Étoile chromatique

Étoile chromatique RVB (numérique) : Les procédés numériques peuvent être soit additifs comme les écrans couleur des ordinateurs, soit soustractifs comme les imprimantes d'ordinateur. Dans les systèmes additifs, les trois couleurs primaires sont le rouge, le vert et le bleu. Les couleurs secondaires sont le jaune (rouge + vert, le cyan (vert + bleu) et le magenta (bleu + rouge). Dans les systèmes soustractifs, les trois couleurs primaires sont le jaune, le cyan et le magenta. Les trois couleurs secondaires sont le rouge (magenta + jaune), le vert (jaune + cyan) et le bleu (cyan + magenta). Il y a 6 couleurs tertiaires obtenues par le mélange d'une couleur primaire et d'une couleur secondaire voisine. Elles sont identiques pour les systèmes additifs et soustractifs : rouge-Jaune : orange ; jaune-vert : lime ; vert-cyan : vert menthe ; cyan-bleu : bleu roi ; bleu-magenta : violet ; magenta-rouge : rose vif. Le mélange d'une couleur primaire et de la couleur secondaire qui lui fait face sur le cercle chromatique, théoriquement noir, dépend du matériel utilisé : noir pour les écrans d'ordinateurs, de fait gris-marron pour les imprimantes (ce qui est une des raisons pour lesquelles les imprimantes utilisent directement de l'encre noire). rouge + cyan ; vert + magenta ; bleu + jaune.

Figuier commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7bc6-figuier-commun

Figuier commun

Planche botanique N°289 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Figuier commun (Ficus carica). Le Figuier comestible est l'emblème du bassin méditerranéen, où il est cultivé depuis des millénaires. C'est le seul représentant européen du genre Figuier qui représente près de 600 espèces, la plupart tropicales. À maturité, les fruits, ou figues, sont selon les variétés de couleur verdâtre, jaune, marron-rouge ou violet plus ou moins foncé. Toutes les parties de la plante (rameaux, feuilles, fruits) contiennent un latex blanc et irritant.

Fleur de gingembre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a663c7-fleur-de-gingembre

Fleur de gingembre

Fleur de gingembre avant éclosion ; elle prend ensuite une couleur entre mauve et violette. Source : malayalam wikipedia.

Fleurs d'artichauts. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa8ca0-fleurs-d-artichauts

Fleurs d'artichauts

Lithogaphie de Anton Seder, 1890, Jugendstil (Art nouveau). Fleurs d'artichauts. Lorsqu'on laisse l'artichaut se développer, il se forme à son sommet une "fleur" dont la couleur varie du bleu au violet. Comme l'artichaut est une plante composée, il ne s'agit pas d'une fleur, mais d'un ensemble de fleurs (le capitule). Chaque fleur (ou fleuron) se présente sous forme d'une touffe de poils appelée aigrette ayant un minuscule ovaire (futur fruit) à sa base. C'est l'ensemble de ces fleurons qui constitue le foin -également appelé barbe- des artichauts que l'on consomme. Les graines se récoltent après complet dessèchement de la fleur.

Fosse de Porto Rico. Source : http://data.abuledu.org/URI/55f324d4-fosse-de-porto-rico

Fosse de Porto Rico

Vue en perspective du plancher océanique de l'océan Atlantique et de la mer des Caraïbes. Les Petites Antilles sont sur le côté inférieur gauche de l'image et la Floride est sur le coin supérieur droit. Le fond de la mer (couleur violette foncée) au centre de la vue est la Fosse de Porto Rico, au plus profond de l'océan Atlantique et la mer des Caraïbes.

Inflorescences vertes de cyanobactéries. Source : http://data.abuledu.org/URI/52152305-inflorescences-vertes-de-cyanobacteries

Inflorescences vertes de cyanobactéries

Inflorescence planctonique. Ce sont a priori des cyanophycées (algue bleue). Au début de l'épisode, près des berges ou là où le vent en provoque des accumulations, on distingue des taches vertes. Les cyanobactéries possèdent de la chlorophylle et d'autres pigments, d'où leurs couleurs variées (mais plutôt bleue dans près de 50 % des cas, ce qui explique leur nom, bien qu'en fait plus de la moitié des cyanobactéries connues ont une couleur extérieure autre (dorée, jaune, brun, rouge, orangé, vert émeraude, violet, ou bleu foncé presque noir).

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7967-julienne-des-dames

Julienne des dames

Planche botanique N°29 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : La julienne des dames (Hesperis matronalis). C'est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae . Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. La julienne des dames croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est une plante mellifère, médicinale considérée comme stimulante, antiscorbutique, diurétique, sudorifique, expectorante, rubéfiante et ornementale. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames'

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad9388-julienne-des-dames

Julienne des dames

Julienne des dames (Hesperis matronalis) par Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La julienne des dames est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae. Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames". Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. Elle croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est aussi une plante cultivée comme ornementale. On la trouve souvent dans les mélanges de fleurs de jachères car elle se ressème facilement. Elle est souvent subspontanée. C'est une plante mellifère. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Julienne_des_dames

La fosse de Porto Rico. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094d9f3-la-fosse-de-porto-rico

La fosse de Porto Rico

Vue en perspective du plancher océanique de l'océan Atlantique et de la mer des Caraïbes légendée en anglais. Les Petites Antilles sont sur le côté inférieur gauche de l'image et la Floride est sur le coin supérieur droit. Le fond de la mer (couleur violette foncée) au centre de la vue est la Fosse de Porto Rico, au plus profond de l'océan Atlantique et la mer des Caraïbes.

Le jeu de Mastermind. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eaff12-le-jeu-de-mastermind

Le jeu de Mastermind

Le jeu de "Mastermind", jeu de société, de réflexion, et de déduction, inventé par Mordecai Meirowitz dans les années 1970. Il se présente sous la forme d'un plateau perforé de 10 rangées de quatre trous pouvant accueillir des pions de couleur. Le nombre de pions de couleurs différentes est de 8 et les huit couleurs sont généralement : rouge ; jaune ; vert ; bleu ; orange ; blanc ; violet ; fuchsia. Il y a également des pions blancs et rouges (ou noirs) utilisés pour donner des indications à chaque étape du jeu.

Le jeu des différences des rêves de Cyril - 01. Source : http://data.abuledu.org/URI/5421a8f8-le-jeu-des-differences-des-reves-de-cyril-01

Le jeu des différences des rêves de Cyril - 01

Le jeu des différences des rêves de Cyril, à partir de la bande dessinée de Cyri-L, "Les rêves de Loïc" : chien → lapin ; skate → violoncelle ; panda → cochon ; colle → bonbons ; pot orange → pot violet ; ballon de basket → ballon de foot ; livre penché → livre à plat ; lampe de chevet ; couleur du chat ; casquette inversée.

Le spectre électromagnétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81854-le-spectre-electromagnetique

Le spectre électromagnétique

Proposition d'illustration du spectre électromagnétique, le spectre visible correspond aux couleurs en bas du schéma. La lumière visible, appelée aussi spectre visible ou spectre optique est la partie du spectre électromagnétique qui est visible pour l'œil humain. Il n'y a aucune limite exacte au spectre visible : l'œil adapté à la lumière possède généralement une sensibilité maximale à la lumière de longueur d'onde d'environ 550 nm, ce qui correspond à une couleur jaune-verte. Généralement, on considère que la réponse de l'œil couvre les longueurs d'ondes de 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. Les fréquences correspondantes vont de 350 à 750 THz (10¹² Hz). Cette gamme de longueur d'onde est importante pour le monde vivant car des longueurs d'ondes plus courtes que 380 nm endommageraient la structure des molécules organiques tandis que celles plus longues que 720 nm seraient absorbées par l'eau, constituant abondant du vivant. Ces extrêmes correspondent respectivement aux couleurs violet et rouge. Cependant, l'œil peut avoir une certaine réponse visuelle dans des gammes de longueurs d'onde encore plus larges. Les longueurs d'onde dans la gamme visible pour l'œil occupent la majeure partie de la fenêtre optique, une gamme des longueurs d'onde qui sont facilement transmises par l'atmosphère de la Terre.

Musée des santons à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e8e8fe-musee-des-santons-a-marseille

Musée des santons à Marseille

Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.

Paon bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/5135135f-paon-bleu

Paon bleu

Paon bleu, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le Paon bleu (Pavo cristatus) est une espèce d'oiseau galliforme de la famille des phasianidés. Ce paon est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique qu'il peut déployer en roue. C'est un oiseau originaire d'Asie (plus principalement d'Inde et du Sri Lanka). Le mâle est facilement reconnaissable à son plumage, sa huppe et sa traîne. Il mesure 90 cm à 110 cm sans sa queue, atteignant 3 m avec sa queue. La tête, le cou et la poitrine sont bleu-vert et violet avec des reflets métalliques. Autour des yeux se trouve une tache dénudée, et une crête de plumes, munies de barbes uniquement à leur extrémité, orne la couronne. Le bec, d'assez grande taille, est brun clair comme l'iris. Les plumes du dos sont vert doré avec des bordures couleur bronze, les couvertures alaires tertiaires blanches avec de fines rayures noires, les couvertures alaires primaires et secondaires d'un bleu-vert métallique et les rémiges et rectrices brunes. Les plumes sus-caudales au nombre de 100 à 150 en moyenne sont beaucoup plus longues que les rectrices et forment la traîne du paon. Ces plumes dites en « terminaison en queue de poisson » peuvent atteindre jusqu'à 1,5 mètre de longueur - elles grandissent jusqu'à la sixième année - mais en principe ne dépassent pas un mètre. Elles possèdent de longues barbes vert métallique avec des reflets bleus et de couleur bronze, formant, près de leur extrémité, une tache évoquant un œil et connue sous le nom d'ocelle (ocelles disposés à l'intersection de deux familles de spirales), dont le centre d'un bleu vif est entouré d'anneaux concentriques brun, jaune d'or et violet.

Patates douces. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a1cf20-patates-douces

Patates douces

Huit tubercules de patates douces (Ipomoea batatas). Cette plante produit des tubercules de forme plus ou moins allongée, voire arrondie, à la peau fine. Suivant la variété, la couleur de la peau est beige, brune, jaune, orange, rouge, violette. La chair du tubercule varie également blanc, beige, jaune, orange, rouge, rose, violette. Presque toutes les combinaisons de peau et de chair peuvent se rencontrer. Les tubercules avec la chair blanche ou jaune pâle sont moins sucrées et ont un taux d'humidité inférieur à celles qui sont rouges, roses et orange. Ils sont très riches en amidon. Leur saveur sucrée et leur texture farineuse rappellent un peu celle de la châtaigne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Patate_douce

Pennisetum caffrum réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227be98-pennisetum-caffrum-reunionnais

Pennisetum caffrum réunionnais

Touffe de Pennisetum caffrum près du Pas des Sables, à La Réunion. Pennisetum caffrum est une espèce de plante herbacée de la famille des poacées. Elle est endémique de l'île de La Réunion. Elle y croît en altitude et peut être facilement identifiée par ses épis généralement de couleur violette.

Prunelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bcb09e-prunelles

Prunelles

La prunelle est le fruit du prunelier (prunus spinosa), appelé aussi prunier épineux, ou épine noire, arbrisseau épineux à fleurs blanches. C'est un fruit à noyau. Sa forme est sphérique, sa couleur est bleu-violet, noir. Les fruits sont très astringents et acides, et deviennent plus sucrés à pleine maturité. Ils se récoltent généralement après les premières gelées. On en fait de l'eau-de-vie, du vin en Pays Basque sous le nom de Patxaran ou de la gelée.

Prunes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a0f6d9-prunes

Prunes

La prune est le fruit du prunier. Il s'agit d'un fruit à noyau (sur le plan botanique, c'est une drupe), à peau fine, voire transparente dans certaines variétés, à chair sucrée et juteuse. Sa forme est généralement sphérique, plus ou moins allongée, sa couleur varie du jaune clair au violet foncé (couleur prune).

Trois types de muscaris de jardins. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad9801-trois-types-de-muscaris-de-jardins

Trois types de muscaris de jardins

Trois types de muscaris, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Muscari est un genre de plantes monocotylédones printanières à bulbe, de 20 à 60 cm de haut. Les Muscaris sont facilement reconnaissables à leurs fleurs de couleur bleue, violette ou noirâtre, parfois blanche, petites clochettes ovoïdes à ouverture étroite, réunies en une grappe très serrée, dans laquelle elles sont presque soudées. Ce sont des plantes très rustiques, qui se ressèment facilement d'elles-mêmes. Le terme muscari (latin scientifique de la Renaissance muscarium) est un dérivé de musc, évoquant le parfum musqué de certaines espèces. Les feuilles, longues (environ 20 cm) et étroites, un peu charnues, d'un beau vert, sont situées à la base de la plante. Elles apparaissent en général après l'inflorescence. Les Muscari sont non toxiques (source : Poisindex). Le bulbe de cette plante est d'ailleurs consommé en Italie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Muscari

Ultraviolets des lampes fluorescentes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81a3a-ultraviolets-des-lampes-fluorescentes

Ultraviolets des lampes fluorescentes

Ultraviolets des lampes fluorescentes, une source commune artificielle, des rayons UVA. Le rayonnement de ces lampes déborde dans le haut du spectre de la lumière visible, ce qui donne la couleur violette qu’on observe. Il existe également des lampes UV de laboratoire, qui sont équipées d’un filtre pour supprimer la partie visible de leur spectre.