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Dessins et plans | Gravure | Photographie | Dix-neuvième siècle | Géométrie | Ambroise Paré (1509?-1590) | Chirurgiens français | Seizième siècle | Météorologie | Urbanisme | Pierre-Jean David d'Angers (1788-1856) | Statues | Peinture | François Chauveau (1613-1676) | Portraits | Constructions géométriques | Compas | Symétrie | Dix-septième siècle | Jean de La Fontaine (1621-1695) | ...
Maquette du forum de Lutèce. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b5516b-maquette-du-forum-de-lutece

Maquette du forum de Lutèce

Maquette du forum de Lutèce, Musée Carnavalet à Paris. Le cardo maximus de Paris, ou plus exactement de Lutèce, était l'axe nord-sud qui descendait de la montagne Sainte-Geneviève par la rue Saint-Jacques, bordé d'une série de bâtiments antiques étagés parmi lesquels, au bas de la colline, les thermes de Cluny. Le cardo maximus franchissait ensuite une première fois la Seine par le Petit-Pont, traversait l'île de la Cité par la « rue de la Cité », puis enjambait une deuxième fois le fleuve par le pont Notre-Dame, pour emprunter un double cardo constitué par la rue Saint-Martin. L'autre cardo de Paris est celui correspondant au boulevard Saint-Michel, sur la rive gauche, et la rue Saint-Denis, sur la rive droite. Au sommet de la montagne Sainte-Geneviève, ces deux premiers cardos encadraient le bâtiment central de la Lutèce romaine : le forum. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cardo

Marteau-pilon à vapeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d96b3-marteau-pilon-a-vapeur

Marteau-pilon à vapeur

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.115 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LE MARTEAU-PILON À VAPEUR. - On emploie maintenant, pour la construction des ponts en fer ou des grandes machines, des pièces de métal tellement grosses, qu'aucun marteau mû par une main d'homme ne pourrait les façonner. Pour les forger, on a inventé l'énorme marteau-pilon, que la vapeur met en mouvement et qui peut frapper depuis deux cents jusqu'à cinq cents coups par minute.

Matriçage de sécateurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/512127a8-matricage-de-secateurs

Matriçage de sécateurs

Forges de Pesmes, empreintes d'outillages pour forgeage - Pesmes - Haute-Sâone. Le forgeage est l'ensemble des techniques permettant d'obtenir une pièce mécanique en appliquant une force importante sur une barre de métal, à froid ou à chaud, afin de la contraindre à épouser la forme voulue. Le forgeage implique un dispositif de frappe (marteau, masse, martinet ou marteau-pilon) et un support (enclume ou matrice). Un sécateur est un outil d' agriculteur pour les opérations de taille. C'est une sorte de paire de ciseaux robuste qui permet de couper de petites branches pour tailler les arbustes par l'action d'une seule main. Il fut inventé par Antoine François Bertrand de Molleville (1744-1818), ancien ministre de Louis XVI, exilé par la Révolution. Lors du retour des Bourbons, il revint en France en 1815 avec son invention. Les sécateurs sont formés de deux poignées mobiles reliées entre elles par un axe et prolongées l'une par une lame et l'autre par une contre-lame. Le ressort du sécateur permet d'écarter la mâchoire de la lame coupante lorsqu'on n'appuie pas sur les poignées.

Merlin séduit par Nimue. Source : http://data.abuledu.org/URI/52adef2a-merlin-seduit-par-nimue

Merlin séduit par Nimue

Merlin séduit par Nimue (The Beguiling of Merlin), 1874, par Edward Burne-Jones (1833–1898).

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9fd1-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-foucault

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault

Appareillage utilisé par Foucault avec miroir tournant pour mesurer la vitesse de la lumière : en bas à gauche, la lumière est réfléchie par un miroir tournant (à gauche) en direction d'un miroir fixe (en haut) ; à droite, la lumière réfléchie en provenance du miroir stationnaire rebondit sur le miroir tournant qui a avancé d'un angle θ pendant le déplacement de la lumière. Le télescope situé à un angle 2θ de la source récupère le rayon réfléchi par le miroir tournant. Vers 1848, Fizeau et Foucault se lancent dans la mise au point d'expériences visant à mesure la vitesse de la lumière sur Terre, et à comparer la vitesse de la lumière dans l'air et dans l'eau.

Mesure de la vitesse de la lumière, par un miroir tournant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a790ef-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-un-miroir-tournant

Mesure de la vitesse de la lumière, par un miroir tournant

Schéma de l'expérience du miroir tournant pour la détermination de la vitesse de la lumière (Léon Foucault et Hippolyte Fizeau) : Méthode du miroir tournant, fabriqué par Louis Breguet. Le faisceau émis par la source ⊗ est réfléchi par un miroir tournant à grande vitesse, qui l'envoie sur un télescope fixe à distance S, ce qui donne une brève impulsion au moment où le miroir tournant est orienté dans la bonne direction. Cette impulsion réfléchie va trouver le miroir tournant décalé d'un angle α/2, et va donc se réfléchir à un angle α de la source. La mesure de la distance X ~ α P fournit la vitesse de la lumière connaissant la vitesse de rotation du miroir, et les diverses distances. En 1850, il mesure la vitesse de l'électricité avec E. Gounelle.

Métronomes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b00587-metronomes

Métronomes

Métronome électronique simple à gauche et métronome mécanique à ressort à droite : Inventé à Amsterdam en 1812 par l'horloger hollandais Dietrich Nikolaus Winkel (vers 1780-1826), le métronome traditionnel à pulsation audible fut breveté en 1816 par l'Allemand Johann Nepomuk Maelzel. Il est constitué d'un mouvement d'horlogerie à échappement muni d'un balancier gradué dont les battements (c'est-à-dire les pulsations) déterminent des durées égales (c'est-à-dire les temps), un contrepoids mobile coulissant sur le balancier permettant de modifier la vitesse (c'est-à-dire le tempo). Chaque graduation indique une subdivision de la minute. Par exemple, 60 signifie soixante pulsations par minute, soit une oscillation par seconde; 120 = cent-vingt pulsations par minute, soit deux oscillations par seconde, etc. Les instrumentistes et chefs d'orchestre lui préfèrent au XXIe siècle les métronomes électroniques apparus au cours de la deuxième moitié du XXe siècle et dont il existe un grand nombre de modèles plus ou moins perfectionnés, moins encombrants, plus précis et surtout plus fiables.

Montage de vues bordelaises. Source : http://data.abuledu.org/URI/5547da78-montage-de-vues-bordelaises

Montage de vues bordelaises

Montage de vues bordelaises. Images, de haut en bas et de gauche à droite : 1) Place de la Bourse Bordeaux quais 04 par Olivier Aumage ; 2) Le tramway Tramway Bordeaux par Véronique Debord ; 3) Tourny/Maison de Vin Bordeaux centre par Barbarellaa ; 4) Armoiries de Bordeaux Bordeaux Couronne par Olivier Aumage ; 5) Quartier Mériadeck Bordeaux par timtom.ch ; 6) Pont de pierre Bordeaux par Olivier Omage.

Monuments encyclopédiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/544400d3-monuments-encyclopediques

Monuments encyclopédiques

Ce graphique représente la taille de Wikipédia ainsi que celle de trois autres encyclopédies généralistes "classiques". La surface du toit des bâtiments est proportionnelle au nombre d'articles. Affiché dans sa taille originale, un pixel représente un article. La hauteur des bâtiments est fonction du pourcentage de conflits dans la catégorie correspondante. Les catégories et les conflits ne sont pas montrés pour les encyclopédies classiques. Chaque fenêtre rouge correspond à 1 000 éditeurs très actifs (avec plus de 100 éditions par mois), les bleues représentent 1 000 contributeurs actifs (plus de 5 éditions par mois). Chaque bonhomme bâton représente un million de visiteurs uniques par mois. Du fait du manque d'information concernant les encyclopédies classiques, il n'y a aucun visiteur dessiné près d'elles. Certains bonshommes transportent de petits carrés, qui représentent chacun 21 nouveaux articles par mois (un pixel par article dans les proportions normales).

Nappe de charriage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957489-nappe-de-charriage

Nappe de charriage

Rested d'une nappe de charriage en gris, après un début d'érosion : matériel autochtone et allochtone, nappe, faille, fenêtre, klippe. Une nappe de charriage est un ensemble de couches géologiques qui, lors d'une orogenèse, se sont décollées du socle et se sont déplacées sur de grandes distances. On parle alors de terrains allochtones par opposition aux terrains autochtones. Les termes allochtone et autochtone sont utilisés par convention et ne préjugent pas du déplacement absolu des strates mais de leurs déplacements relatifs, il est en effet souvent impossible de déterminer si c'est la couche supérieure ou inférieure qui s'est déplacée. La zone par laquelle la nappe est restée attachée sur son socle s'appelle la racine, la racine est fréquemment invisible ou a disparu ; dans ce cas on utilise la notion de patrie qui désigne la région de provenance de la nappe si elle existe encore. Un morceau de nappe isolé du reste de la nappe par l'érosion s'appelle une klippe. Le terme îlot a aussi été utilisé en français, ce terme datant de l'époque où la nature des nappes de charriage n'était pas connue et où l'on pensait que ces lambeaux de charriage provenaient d'îlots entourés par une mer peu profonde. Une zone de la nappe érodée permettant de voir les terrains autochtones sous-jacents s'appelle une fenêtre.

Navire français attaqué par des pirates en Méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c00e35-navire-francais-attaque-par-des-pirates-en-mediterranee

Navire français attaqué par des pirates en Méditerranée

Navire français attaqué par des pirates (deux galiotes barbaresques), vers 1615, par le peintre néerlandais Aert Anthonisz (1580-1620). Une galiote est un navire à rames, connu aussi sous le nom de demi-galère, puis, à partir du XVIIe siècle, un voilier. La galiote porte 2 mâts avec voiles latines et 16 rangs de rames, environ. Elle est utilisée par Venise comme par les barbaresques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Galiote

Notre-Dame de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f01a0-notre-dame-de-paris

Notre-Dame de Paris

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.284 : manuel scolaire, édition de 1904. L'intérieur de Notre-Dame de Paris.—C'est une des plus vastes nefs du moyen âge : elle a 180 mètres de long, elle a 31 arcades terminées en courbes élancées et pointues qu'on appelle ogives. Elle est éclairée par 37 fenêtres et par de magnifiques roses en pierre découpées, qu'on nomme rosaces.

Oeil d'Horus. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4a280-oeil-d-horus

Oeil d'Horus

Dans le mythe osirien enfin, Horus est le fils d'Osiris et d'Isis. Osiris, assassiné par son frère Seth, est ramené à la vie, le temps d'une union, grâce aux efforts conjugués d'Isis et de Nephtys. C'est de cette union miraculeuse que naît Horus l’Enfant, que les Grecs appelleront Harpocrate, ou Harsiésis, Horus fils d’Isis. Pour venger la mort de son père Osiris, Horus affronte son oncle Seth, il gagne le combat et reçoit le trône d'Égypte en héritage. D'où son surnom de « vengeur de son père ». Il est par-là même le premier des pharaons après son père. Cependant, sa légitimité sera sans cesse contestée par Seth. Horus est borgne : lors du combat qui l’oppose à Seth, Horus a perdu son œil gauche, qui est reconstitué par Thot. Appelé Oudjat, cet œil, que les Égyptiens portèrent sous forme d’amulette, possédait des vertus magiques et prophylactiques.

Pare-feu en forêt de Gascogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131fcab-pare-feu-en-foret-de-gascogne

Pare-feu en forêt de Gascogne

Un pare-feu dans la forêt des Landes de Gascogne (Gironde, Aquitaine) : le pare-feu forestier, coupe linéaire spécialement entretenue pour freiner l'extension rapide d'incendies de forêt. Il a souvent une double vocation : barrière anti-incendies ou destinée à ralentir ou bloquer le feu, et réseaux de chemins facilitant la circulation des pompiers, secours, personnels d'entretien ou de surveillance...

Plan de Chenonceau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e86155-plan-de-chenonceau

Plan de Chenonceau

Plan du château de Château de Chenonceau par Jacques I Androuet du Cerceau (1515-1585). Bâti en 1513 par Katherine Briçonnet, embelli par Diane de Poitiers puis Catherine de Médicis, sauvé pendant la Révolution française par Louise Dupin, il est aussi surnommé « château des Dames ».

Portrait d'Ambroise Paré. Source : http://data.abuledu.org/URI/54177446-portrait-d-ambroise-pare

Portrait d'Ambroise Paré

Portrait du chirurgien Ambroise Paré, premier chirurgien du roi Charles IX en 1562, par David d'Angers (1788-1856), plâtre, musée David d'Angers, Angers (Maine-et-Loire).

Portrait d'Ambroise Paré. Source : http://data.abuledu.org/URI/54177698-portrait-d-ambroise-pare

Portrait d'Ambroise Paré

Modèle du bronze d'Ambroise Paré par David d'Angers - Musée David d'Angers - Angers (Maine-et-Loire).

Portrait d'Ambroise Paré. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ebdec-portrait-d-ambroise-pare

Portrait d'Ambroise Paré

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : AMBROISE PARÉ est un chirurgien et anatomiste français du XVIème siècle. Ambroise Paré est le chirurgien des champs de bataille, le père de la chirurgie moderne. Il est l'inventeur de nombreux instruments. La généralisation alors relativement récente de l’usage des armes à feu rend les chirurgiens familiers avec des plaies d'une sorte nouvelle, que l’on cautérise au fer rouge ou à l’huile bouillante au risque de tuer le blessé. Paré met au point la ligature des artères, qu'il substitue à la cautérisation, dans les amputations.

Presse à balancier de 1831. Source : http://data.abuledu.org/URI/538efc65-presse-a-balancier-de-1831

Presse à balancier de 1831

Presse à balancier de 1831 en fer, bronze et acier, installée à l'hôtel des monnaies royal de Madrid en 1832. Invention de 1803 par Philippe Gengembre (1764-1838), fabriquée en 1831 par J.F. Saulnier d'après les inscriptions. Ce modèle porte le nom d'Austerlitz parce que les premières presses ont été fabriquées en fondant les canons russes capturés après cette bataille. Hauteur 77cm, Largeur 40cm. Lieu de conservation : Musée archéologique de Madrid. La frappe au balancier ou frappe au moulin est une technique utilisée pour frapper les monnaies par pression, inventée au XVIe siècle : le balancier se présentait comme une presse agissant par percussion du flan par les coins au moyen d'un arbre posé sur un socle, portant une vis et muni de deux bras d'acier, qui étaient prolongés par de lourdes boules de plomb et actionnés par 8 à 12 hommes au moyen de courroies attachées à des anneaux à l'extrémité des barres. La vis portait le coin mobile qui venait frapper le flan posé sur le coin fixe. Les équipes se relayaient tous les quarts d'heure tant le travail était pénible et fatigant. Le rendement du procédé était de 30 monnaies à la minute. Le procédé a permis la fabrication des monnaies françaises entre 1640 et 1830 environ, avant d'être remplacé par la frappe au levier. Il a produit les plus beaux documents de la numismatique française : en particulier les louis d'or et les écus et divisionnaires d'argent de Jean Warin et Isaac Briot produits entre 1640 et 1645. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Frappe_au_balancier

Projection orthogonale et rotation. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e82887-projection-orthogonale-et-rotation

Projection orthogonale et rotation

Angles de rotation du plan de projection afin d'obtenir une perspective par projection orthogonale avec l'axe des ''z'' vertical. On peut décrire le plan de projection par des rotations transformant un plan donné, par exemple le plan (Oxz). Si l'on s'impose que la projection de vec{e}_3 reste verticale, alors on voit que le plan de projection peut s'obtenir par deux rotations, par exemple : 1) une rotation autour de l'axe (Ox) ; puis une rotation autour de la projection de (Oz) sur le plan. 2) On peut aussi procéder dans « l'ordre inverse » : une rotation autour de (Oz) ; puis une rotation autour de la trace du plan (Oxy) sur le plan de projection.

Prothèses de jambes en 1575. Source : http://data.abuledu.org/URI/541775a4-protheses-de-jambes-en-1575

Prothèses de jambes en 1575

Prothèses de jambes et d'articulations. Ambroise Paré a fait progresser la chirurgie, notamment par la préférence qu'il donna à la ligature des artères sur leur cautérisation après les amputations, par la suppression de l'huile bouillante dans le traitement des plaies par armes à feu et par les prothèses qu'il inventa ou perfectionna. Autodidacte ne sachant ni le grec ni le latin, il publia à dessein ses ouvrages en français, avec les encouragements de la cour et de ses illustres contemporains, dont Pierre de Ronsard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ambroise_Par%C3%A9

Puce du rat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50793ea5-puce-du-rat

Puce du rat

Puce du rat (Xenopsylla cheopis) femelle adulte (source : http://phil.cdc.gov/ image id 2741), vecteur de la peste : L’homme est essentiellement contaminé par la piqûre de puce infectée, très rarement par la morsure d’un rongeur infecté et encore plus rarement en le consommant. Le modèle de transmission le plus répandu passe par les puces de rongeurs qui transmettent la bactérie de la peste à l’homme. Lors d’une épidémie, la transmission peut se faire par voie respiratoire interhumaine si l'un des malades est atteint d’une lésion respiratoire ouverte.

Reprise d'activité à la ferme après 1870. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f1d92-reprise-d-activite-a-la-ferme-apres-1870

Reprise d'activité à la ferme après 1870

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.306 : manuel scolaire, édition de 1904. LA FERME REPAREE PAR LA PAIX. Peu de nations ont éprouvé un plus grand désastre que la France en 1870, mais peu de nations auraient pu le réparer avec une aussi grande rapidité. Malgré cette crise violente, notre commerce, déjà considérable, a continué à accroître ; il a augmenté de plus d'un milliard. C'est par le travail et l'activité de tous ses enfants que la patrie devient chaque jour plus prospère

Réservoir d'eau pour le Canal du Midi. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dcee7-reservoir-d-eau-pour-le-canal-du-midi

Réservoir d'eau pour le Canal du Midi

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.204 ; manuel scolaire, édition de 1904 : RESERVOIR D'EAU POUR LE CANAL DU MIDI. - Pour retenir l'eau et la distribuer avec mesure, on a imaginé depuis longtemps de construire de grands réservoirs. Dans le canal du Midi, on a fermé des vallées par de larges murailles ; l'eau se trouve ainsi emprisonnée entre la montagne et le mur : en s'écoulant par une cascade ou par de grands robinets, elle alimente le canal été comme hiver.

Résiniers des Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/524de784-resiniers-des-landes

Résiniers des Landes

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.220 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Résiniers des Landes.—Le pin est un arbre très précieux et qui devrait être plus répandu, car il croît sur les terrains les plus pauvres; il assainit et fertilise le sol : de plus il est d'un bon rapport (50 fr. en moyenne par hectare). Outre son bois, on tire chaque année du pin la résine. Pour cela, des ouvriers font une entaille au-dessous de laquelle ils placent un petit pot ; la résine sort goutte à goutte et remplit ce pot, qu'il suffit de revenir chercher au bout de plusieurs mois. On devrait par un sage calcul d'hygiène et d'agriculture couvrir de pins une foule de pays incultes, qui, pauvres aujourd'hui, seraient bientôt enrichis et assainis par cette plantation.

Routes commerciales maritimes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c3f1cc-routes-commerciales-maritimes

Routes commerciales maritimes

Routes commerciales empruntées par les navires entre l'Angleterre et l'Australie-Nouvelle Zélande du XVIIIe au XXe siècle. Dessiné par Jérôme BLUM le 22 juillet 2006, inspiré par la version anglaise. La carte de fond est dans le domaine public. Elle est issue du projet Visible Earth de l'observatoire de la Terre de la NASA. Source : http://visibleearth.nasa.gov/view.php?id=57752. Les vents des quarantièmes rugissants ont joué un rôle significatif dans le choix de la route suivie par les clippers et donc sur le commerce entre l'Europe, l'Amérique du Sud et l'Orient. Wellington est la seule capitale nationale située dans les latitudes des quarantièmes rugissants. Elle est surnommée « Windy Wellington » ou « Windy Welly » à cause du fort vent omniprésent accentué par l'effet Venturi de sa position sur le détroit entre les deux îles principales de Nouvelle-Zélande. L'île de Tasmanie, l'État le plus méridional de l'Australie, est située entièrement dans les quarantièmes rugissants et a, par conséquent, un littoral occidental moins peuplé et balayé par les vents. De même, le sud de l'Amérique du Sud, la Patagonie, est continuellement balayé par les vents des Quarantièmes rugissants et des Cinquantièmes hurlants. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quaranti%C3%A8mes_rugissants.

Rue de la République à Lyon en 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/524db499-rue-de-la-republique-a-lyon-en-1877

Rue de la République à Lyon en 1877

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.155 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA RUE DE LA RÉPUBLIQUE À LYON. - Les grandes rues ne servent pas seulement à charmer les yeux par la régularité et par la beauté de leurs maisons ou de leur magasins ; elles assainissent les villes en permettant à l'air d'y circuler plus librement.

Rue de Rivoli à Paris en 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/524efb68-rue-de-rivoli-a-paris-en-1877

Rue de Rivoli à Paris en 1877

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.279 : manuel scolaire, édition de 1904. LA RUE DE RIVOLI A PARIS. - La rue de Rivoli, ainsi nommée à cause d'une victoire remportée en Italie par nos troupes, est l'une des principales rues de Paris. D'un côté elle est bordée par le palais et le jardin des Tuileries, par le Louvre, par l'Hôtel de Ville ; de l'autre côté, par de riches maisons et par des arcades sous lesquelles affluent les promeneurs.

Schéma d'une étoile de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/514894fc-schema-d-une-etoile-de-mer

Schéma d'une étoile de mer

Schéma non légendé d'une étoile de mer (Asterias rubens) : 1-Estomac pylorique, 2-Anus, 3-Glande rectale, 4-Canal hydrophore, 5-Madréporite, 6-Canal pylorique, 7-Cæcum pylorique, 8-Estomac cardiaque, 9-Gonade, 10-Osselets ambulacraires, 11-Ampoules. L'intérieur de l'étoile de mer est constitué au bas de chaque bras par un canal radiaire (prenant forme du canal circulaire) s'étendant sur tout son long et bordé par des canaux latéraux reliés par des ampoules ambulacraires. Le canal radiaire est recouvert par des osselets, mais les ampoules ambulacraires sont à découvert dans la cavité cœlomique (chaque ampoule est la racine des pieds ambulacraires présents à l'extérieur). D'une certaine manière, elles sont leur système hydraulique personnel. Deux enveloppes de gonades sont présentes, en plus ou moins grande quantité selon la saison, de chaque côté d'un bras. Au plus haut du bras on retrouve deux ceca pyloriques, au-dessus des gonades, reliés tous deux en leur centre à l'estomac pylorique pentagonal par leur conduit pylorique. De cet estomac, sort le contenu organique dans le court intestin, vers l'anus. L'intestin est relié en son centre par deux canaux reliés eux-mêmes à un ceca rectal, dont la fonction est toujours floue. Sous l'estomac pylorique se retrouve aussitôt rattaché, l'estomac cardiaque. Celui-ci est rattaché par des ligaments gastriques aux sillons ambulacraires afin de prévenir un trop grand mouvement dans le cœlome.

Spectrophotomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdd942-spectrophotometre

Spectrophotomètre

Principe du spectrophotomètre UV-visible monofaisceau. Légende : Source polychromatique, Monochromateur, Diaphragme, Cuve avec échantillon, Cellule photoélectrique, Amplificateur, Afficheur. La spectrophotométrie est une méthode analytique quantitative qui consiste à mesurer l'absorbance ou la densité optique d'une substance chimique donnée, généralement en solution. Plus l'échantillon est concentré, plus il absorbe la lumière dans les limites de proportionnalité énoncées par la loi de Beer-Lambert. La densité optique des échantillons est déterminée par un spectrophotomètre préalablement étalonné sur la longueur d'onde d'absorption de la substance à étudier. Un dispositif monochromateur permet de générer, à partir d’une source de lumière visible ou ultraviolette, une lumière monochromatique, dont la longueur d’onde est choisie par l’utilisateur. La lumière monochromatique incidente d’intensité I_0 ; traverse alors une cuve contenant la solution étudiée, et l’appareil mesure l’intensité I ; de la lumière transmise. La valeur affichée par le spectrophotomètre est l’absorbance à la longueur d’onde étudiée. Le spectrophotomètre peut être utilisé pour mesurer de manière instantanée une absorbance à une longueur d’onde donnée, ou pour produire un spectre d’absorbance (spectrophotomètre à balayage). Dans ce dernier cas, le dispositif monochromateur décrit en un temps court l’ensemble des longueurs d’onde comprises entre deux valeurs choisies par l’opérateur.

Structure d'un brin d'ADN. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ce3408-structure-d-un-brin-d-adn

Structure d'un brin d'ADN

Structure d'un brin d'ADN. Les quatre bases nucléiques C, G, A et T sont liées à une chaîne poly (2-désoxy-D-ribose-5-phosphate). La séquence des acides aminés dans les protéines est codée par les gènes constitués de l'ADN présent dans les chromosomes des cellules eucaryotes ou dispersé dans le cytosol des procaryotes — certains virus ont un génome constitué d'ARN. ADN et ARN sont des biomolécules de très grande taille formées par l'enchaînement linéaire de centaines de milliers de nucléotides de quatre types différents : l'ADN est un polymère de dAMP, TMP, dGMP et dCMP, symbolisées par les lettres A, T, G et C ;La séquence des acides aminés dans les protéines est codée par les gènes constitués de l'ADN présent dans les chromosomes des cellules eucaryotes ou dispersé dans le cytosol des procaryotes — certains virus ont un génome constitué d'ARN. ADN et ARN sont des biomolécules de très grande taille formées par l'enchaînement linéaire de centaines de milliers de nucléotides de quatre types différents : l'ADN est un polymère de dAMP, TMP, dGMP et dCMP, symbolisées par les lettres A, T, G et C. Ces nucléotides sont eux-mêmes formés respectivement d'une unité 2-désoxy-D-ribose-5-phosphate pour l'ADN.

Superficie des forêts par pays en 2005. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1c94-superficie-des-forets-par-pays-en-2005

Superficie des forêts par pays en 2005

Superficie des forêts par pays en 2005 : en ordonnées, par millions de km2, de 1 à 9 ; en abscisses, de gauche à droite : Russie, Brésil, Canada, États-Unis, Chine, Australie, R.D. Congo, Indonésie, Pérou, Inde. Dans le monde, la forêt - au sens le plus large - couvrait en 2005 environ 30 % des terres émergées. Selon la définition retenue, la superficie estimée de la forêt mondiale varie de 2,4 à 6 milliards d'hectares sur la base des chiffres envoyés par les États, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture a estimé la forêt mondiale à presque 4 milliards d'hectares, soit 0,62 ha/habitant. Mais la forêt est mieux préservée sur la ceinture tropicale humide et au nord de la zone tempérée dans l'hémisphère nord. Ailleurs, dans 64 pays abritant un total de 2,0 milliards d'habitants, on compte en 2005 moins de 0,1 hectare de forêt par personne, chiffre qui diminue inéluctablement alors que le taux de population augmente et que la forêt régresse. Sept pays ou territoires ne possèdent plus aucune forêt et dans 57 autres pays, elles ne couvrent plus que moins de 10 % des terres.

Symétrique d'un point par rapport à une droite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f554-symetrique-d-un-point-par-rapport-a-une-droite

Symétrique d'un point par rapport à une droite

Construction du symétrique d'un point C par rapport à une droite à la règle et au compas : Le symétrique du point C par rapport à la droite (AB) s'obtient en construisant le point d'intersection (différent de C) entre le cercle de centre A passant par C et le cercle de centre B et passant par C. Si le point C est sur la droite (AB), il est son propre symétrique et aucune construction n'est nécessaire.

Symétrique d'un point par rapport à une droite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f82c-symetrique-d-un-point-par-rapport-a-une-droite

Symétrique d'un point par rapport à une droite

Construction au compas seul du symétrique d'un point par rapport à une droite. Le symétrique du point C par rapport à la droite (AB) est le point d'intersection des cercles de centres A et B et passant par C. Dans la construction la droite (AB) est tracée en pointillés pour permettre de suivre le raisonnement mais elle ne sert pas en tant que telle dans la construction. En géométrie classique plane, le théorème de Mohr Mascheroni, démontré par Georg Mohr en 1672 et par Lorenzo Mascheroni en 1797, affirme que si une construction géométrique est possible à la règle et au compas, alors elle est possible au compas seul (sauf le tracé effectif des droites). Est considéré comme constructible tout point d'intersection de deux cercles dont les centres sont des points déjà construits et dont les rayons sont des distances entre des points déjà construits.

Système de coordonnées cartésiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096a1bc-systeme-de-coordonnees-cartesiennes

Système de coordonnées cartésiennes

Un système géodésique est, initialement, un repère tridimensionnel défini par : son centre O (choisi à proximité du centre de gravité terrestre) et trois axes orthonormés Ox, Oy et Oz, définis par leur orientation. Ox et Oy se trouvent pratiquement dans le plan équatorial terrestre, et Oz est orienté approximativement suivant l'axe de rotation terrestre. Dans un système géodésique ainsi défini, un point est localisé par ses coordonnées cartésiennes, exprimées par trois valeurs (X, Y, et Z) relatives aux trois axes du repère. Les données spatialisées sont rarement stockées sous cette forme, mais on peut avoir recours à ce système de données cartésiennes pour convertir des données d'un système géodésique à un autre.

Télécommande de TV sans pile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a94152-telecommande-de-tv-sans-pile

Télécommande de TV sans pile

Télécommande de TV sans pile, réalisée par Arveni sas pour Philips en 2011 : les piézoélectriques sont au cœur d'applications récentes visant à récupérer l'énergie présente dans notre environnement sous différentes formes ou effectuées par des mouvements quotidiens. Les premiers prototypes, dits microgénérateurs, sont apparus en 2006 (cf démonstrateur de sonnette de maison sans fil et sans pile de la société française Arveni s.a.s.). Ils récupèrent par exemple l'énergie mécanique fournie par la pression du doigt sur un bouton. L'électricité ainsi récupérée sert à alimenter un circuit radio, qui émet un message vers le récepteur. Il existe aussi des applications industrielles, comme les réseaux de capteurs sans fil où la source d'énergie est la vibration d'une machine par exemple. Les applications sont la maintenance préventive, la surveillance de santé des structures, ou le contrôle de processus.

Tempête et naufrage en mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ee5cf-tempete-et-naufrage-en-mer

Tempête et naufrage en mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.255 : manuel scolaire, édition de 1904. LA TEMPÊTE. - Les tempêtes de la mer sont produites par le vent et l'orage qui bouleversent les flots. Sous ce rapport, le nord-ouest de la France est parmi les contrées de l'Europe les plus exposées aux orages. Dans la tempête, les vagues fouettées par le vent bondissent jusqu'à une hauteur de douze mètres.

Testament expliqué par Ésope. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c46b1-testament-explique-par-esope

Testament expliqué par Ésope

Testament expliqué par Ésope, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Théâtre de marionnettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e96105-theatre-de-marionnettes

Théâtre de marionnettes

Théâtre de marionnettes italien. Le théâtre de marionnettes est une sorte de théâtre d'effigie. La représentation n’y est pas assurée par des comédiens en chair et en os, mais par des figurines (les marionnettes), voire par de simples objets, manipulés en temps réel par des marionnettistes (ou manipulateurs). Pour les marionnettes à fils, les figurines sont suspendues à des fils par plusieurs points d’attache (notamment au niveau des bras et des jambes). Le manipulateur peut ainsi leur donner vie par des mouvements en apparence très simples, mais qui nécessitent une véritable connaissance du métier. Ce type de marionnette est aussi appelé fantoche.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.

Treuil traditionnel de carriers. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e61d35-treuil-traditionnel-de-carriers

Treuil traditionnel de carriers

Treuil servant à remonter la pierre de Caen, reconstitué par les charpentiers du GRETA de Honfleur et exposé dans le château de Caen à l'occasion de l'exposition ''La Pierre de Caen des dinosaures aux cathédrales'' organisée par le musée de Normandie (juin 2010-janvier 2011). La pierre de Caen est un calcaire extrait dans la région de Caen (Calvados) et est employée à grande échelle depuis le XIe siècle. Une carrière est de nouveau en exploitation pour permettre la construction et la restauration de bâtiments. Le calcaire de la plaine de Caen s'est formé pendant la période Jurassique moyenne, lors de l'avancée maximum de la mer, à l'étage Bathonien (-167,7 ± 3,5 à -164,7 ± 4,0 millions d'années). Ce calcaire est formé, dans une mer peu profonde à proximité d'un rivage (type mangroves), de sable coquillier cimenté par de la boue carbonatée (menus débris organiques cimentés par de la calcite microcristalline). Son domaine est limité à l'ouest et au sud par le massif armoricain. La structure de la pierre de Caen, dans ses gisements tirés des étages inférieurs, est crayeuse et fine, ce qui permet un travail de sculpture facile mais la rend, par contre, vulnérable à l'érosion.

Triangle de Sierpinski avec 7 itérations. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183e6e7-triangle-de-sierpinski-avec-7-iterations

Triangle de Sierpinski avec 7 itérations

Le triangle de Sierpiński, aussi appelé par Mandelbrot le joint de culasse de Sierpiński (1882-1969), est une fractale, du nom de Wacław Sierpiński. Il peut s'obtenir à partir d'un triangle « plein » par une infinité d'itérations consistant à diviser par deux la taille du triangle puis à en juxtaposer trois exemplaires par leurs sommets pour former un nouveau triangle. À chaque itération le triangle est donc de même taille, mais « de moins en moins plein ».

Tribut envoyé par les animaux à Alexandre. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c5376-tribut-envoye-par-les-animaux-a-alexandre

Tribut envoyé par les animaux à Alexandre

Tribut envoyé par les animaux à Alexandre, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Turboréacteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c83ec3-turboreacteur

Turboréacteur

Schéma de turboréacteur d'avion typique (simple flux, simple corps). L'air est comprimé par les pales en entrant dans le réacteur, puis est mélangé avec le carburant qui brûle dans la chambre de combustion. Les gaz d'échappement donnent une forte poussée en avant et font tourner les turbines qui actionnent les pales de compression. Un turboréacteur fonctionne sur le principe d'action-réaction. La variation de vitesse de l'air entre l'entrée et la sortie du réacteur crée une quantité de mouvement (dénommée poussée) vers l'arrière du moteur qui, par réaction, — d'où le terme de moteur à réaction — engendre le déplacement du moteur, donc du véhicule sur lequel il est fixé, vers l'avant. Le turboréacteur fonctionne sur le principe des turbines à gaz. À l'admission, l'air est aspiré par la soufflante (le cas échéant) puis comprimé via un compresseur (dans tous les cas). Du kérosène est ensuite injecté puis mélangé avec l'air au niveau de la chambre de combustion puis enflammé, ce qui permet de fortement dilater les gaz. Ces derniers s'échappent du turboréacteur par la tuyère qui, en raison de sa section convergente, augmente la vitesse de l'air (suivant l'effet venturi) (l'écoulement étant maintenu subsonique au sein du réacteur). L'air passe au préalable par une turbine permettant d'entraîner le compresseur et les accessoires nécessaires au fonctionnement du réacteur ; le mouvement est auto-entretenu tant qu'il y a injection de carburant. En simplifiant, l'énergie de pression engendrée au sein du réacteur sera transformée en énergie cinétique en sortie, ce qui engendrera une forte poussée. À l'image des moteurs automobile, le turboréacteur réalise ainsi un cycle continu à quatre temps — admission, compression, combustion et détente/échappement — théoriquement décrit par le cycle de Brayton. Ce cycle est constitué d'une compression adiabatique réversible, d'une combustion isobare irréversible (le réacteur étant considéré comme un système ouvert), d'une détente adiabatique réversible et d'un refroidissement isobare réversible.

Vecteur vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccd4e5-vecteur-vitesse-angulaire

Vecteur vitesse angulaire

Le vecteur vitesse angulaire d'une particule au point P par rapport à l'origine O est déterminé par la composante orthogonale du vecteur vitesse v. La vitesse angulaire d'une particule est mesurée par rapport ou relativement à un point, appelé origine. Comme indiqué sur la figure (avec les angles phi et heta en radians, si l'on trace une droite depuis l'origine (O) jusqu'à la particule (P), alors le vecteur vitesse (v) de la particule a une composante le long de la droite (composante radiale, v∥) et une composante orthogonale (v_perp). Si la composante radiale est nulle, la particule se déplace sur un cercle, alors que si la composante orthogonale est nulle, la particule se déplace sur une ligne droite passant par l'origine. Un mouvement radial n'induit aucun changement dans la direction de la particule par rapport à l'origine, c'est pourquoi, lorsque l'on s'intéresse à la vitesse angulaire, la composante radiale peut être ignorée. Ainsi, la rotation est entièrement produite par le mouvement orthogonal relativement à l'origine, et la vitesse angulaire est entièrement déterminée par cette composante.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».

Wagons-trémie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116aa6b-wagons-tremie

Wagons-trémie

Un wagon-trémie est un wagon ferroviaire dont le déchargement s'effectue par gravité soit par dessous, soit latéralement. La cargaison vidée est guidée par une trémie (grand entonnoir destiné à stocker puis à verser une matière pondéreuse (grain, sable…) par gravitation). Les côtés du wagon-trémie sont toujours fixes et de hauteurs variables selon les chargements. Le déchargement peut s'effectuer soit manuellement, soit automatiquement, l'ouverture de la trémie étant alors commandée par un système mécanique ou électromécanique.