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Photographie, Instruments de musique, Instruments à vent, Instrumentistes, Instruments de musique mécaniques, Automatophones, Dinant (Belgique), Musique des rues, Orgue de Barbarie
Joueur d'orgue de Barbarie à Dinant en Belgique. L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Cithare, Cordes (musique), Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Cordes (instruments de musique), Cordes pincées (instruments de musique), Instruments de musique -- Indonésie, Kacapi
Le kacapi est un instrument de musique à cordes pincées du pays Sunda en Indonésie et existe aussi à java centre sous le nom de siter. C'est une petite cithare de 75 cm de long, en forme de bateau, taillé dans du bois monoxyle, avec une cavité dans le dos. Il a deux chevilles à friction. Le manche a cinq ou six frettes excavées et ciselées du bois massif. Le chevalet consiste en un reste du bois de la caisse de résonance, laissé sur la table d'harmonie qui possède plusieurs ouïes. Il est souvent très décoré et poli, rendant parfois impossible son jeu, n'étant alors qu'une pièce décorative. C'est un instrument joué avec un grand plectre, mais dont peu de musiciens subsistent. On en joue soit en solo soit en accompagnement.
Photographie, Jeunes filles, Petits métiers, Sculpteurs, Fontaines -- Belgique, Artistes belges, Saint-Gilles (Belgique), Transporteurs
Fontaine du rond-point de la "Barrière" avec la copie de la statue de "la porteuse d'eau" par Julien Dillens (1849-1904) à Saint-Gilles en Belgique. Julien Dillens s'inspira d'une jeune fille réelle qui puisait l'eau du Bocq, à proximité de la place, pour abreuver les chevaux qui tiraient l'omnibus qui avait son terminus sur la place (source : wikipedia).
Dessins et plans, loup, Contes de fées, Saut d'obstacles, Garçons, Sauts (athlétisme), Comtesse de Ségur (1799-1874)
Le bon petit Henri, chapitre V, La chasse, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Henri fut sur la point de rejeter dans la forêt ce bâton inutile, mais il pensa que ce ne serait pas poli, il le prit en remerciant le Loup. «Monte sur mon dos, Henri», dit le Loup. Henri sauta sur le dos du Loup ; aussitôt le Loup fit un bond si prodigieux qu'il se trouva de l'autre côté du précipice. Henri descendit, remercia le Loup et continua sa marche.
Photographie, Bruxelles (Belgique), Petits métiers, Couvreurs, Sculpteurs, Artistes belges, Albert Desenfans (1845-1938)
Statue du couvreur en tuiles réalisée par le sculpteur belge Albert Desenfans (1845-1938). Square du Petit Sablon à Bruxelles.
Peinture, Villages, Anglais (langue), Caroline du Nord (États-Unis), Indiens d'Amérique, Seizième siècle, Aquarelles, North Carolina (États-Unis), Palissades, Villages communautaires
Le village algonquien de Pomeioc, North Carolina, aquarelle. Source : NARA - 535753. Commentaire de 1885 : Dessin du XVIème siècle du village algonquien de Pomeiock, près de la baie de Gibbs en Caroline du Nord, avec huttes et longues maisons protégées par une palissade. (A 16th-century sketch shows the Algonquian village of Pomeiock, near present-day Gibbs Creek, North Carolina, with huts and longhouses inside a protective palisade.) Légende en anglais de l'aquarelle : La ville de Pomeiock et la forme véritable de leurs maisons, couvertes et fermées par des nates ou des écorces d'arbres. Enceinte de petits pieux serrés plantés en guise de murs. (The towne of Pomeiock and true forme of their howses, couered and enclosed some w(i)th matts, and some w(i)th the barcks of trees. All compassed about w(i)th smale poles stock thick together in stedd of a wall.)
Peinture, Lavandières, Lavoirs, Lavoirs publics, Marguerite Delorme (1876-1946), Saint-Pol-de-Léon (Finistère)
Les lavandières de Saint-Pol-de-Léon en Bretagne, tableau donné en 1909 au musée du château de Lunéville après avoir reçu le prix Gallimard-Jaubert au Salon de la Société des Artistes Français.
Carte des différents secteurs de Dunkerque : en bleu, Dunkerque-Centre et Glacis-Victoire ; en mauve, Dunkerque-Sud ; en rouge, Malo-les-Bains ; en vert, Rosendaël ; en jaune, Petite-Synthe ; en noir, Grand Port Maritime de Dunkerque ; en marron, Saint-Pol-sur-Mer et en vert clair, Fort-Mardyck.
Photographie, Phares, Phares -- France, Dix-neuvième siècle, Monuments historiques, Aides à la navigation, Architecture, Finistère (France), Brignogan-Plage (Finistère)
Le phare de Pontusval est érigé sur la pointe de Beg-Pol, commune de Brignogan-Plages. La construction du phare fut décidée suite à de nombreux naufrages sur la côte, et fut terminée en juin 1869. Le premier allumage eut lieu le 15 septembre 1869. Le phare sert de relais entre le phare de l'Île Vierge et le phare de l'Île de Batz. Cinquante-deux marches permettent d'atteindre le sommet. Le phare (hors cuisine, véranda et garage) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 23 mai 2011. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Pontusval
Reconstitution hypothétique de la carte du monde perdue d'Hécatée de Milet (550-480 av. JC. VIe siècle av. J.-C.).
Photographie, Maquettes (architecture), Canaries (îles), Tenerife (Canaries), Autochtones -- Canaries, Guanches, Contribution à l'ethnologie
Maquette d'un village guanche à Tenerife, Canaries. Les Guanches portaient des vêtements en peau de chèvre ou en fibres textiles que l'on a retrouvés dans des tombes sur la Grande Canarie. Ils appréciaient les bijoux, les colliers en bois, en pierre ou de coquillages fabriqués selon divers modèles. Ils utilisaient principalement des perles de céramique de formes variées, lisses ou polies, en général noires et rouges. Ils se peignaient le corps. Les pintaderas, objets en terre cuite évoquant des sceaux, semblaient servir uniquement à la peinture corporelle, dans des couleurs variées. Ils fabriquaient des poteries grossières généralement sans aucun décor, mais parfois ornées à l'aide des ongles. Les armes des Guanches étaient les mêmes que celles des anciens peuples du sud de l'Europe : hache en pierre polie sur Grande Canarie, et plus fréquemment la hache en pierre ou en obsidienne taillée à Ténérife. Ils utilisaient aussi la lance, la massue, parfois garnie de pointes en pierre, ainsi que le javelot. Il semble qu'ils aient connu le bouclier. L'alimentation de base des Guanches était le gofio, un aliment à base de céréales grillées d'origine berbère et élaboré à partir d'orge, de blé et de rhizome de fougère.
Là, il demande poliment au meunier de les moudre comme grains de blé le plus tôt possible : scène 7, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Photographie, Astronomie, Rome, Dix-huitième siècle, Architecture, Basiliques -- Italie, Francesco Bianchini (1662-1729), Calendrier grégorien, Méridiennes
Méridienne de la Basilique Sainte-Marie-des-Anges-et-des-Martyrs à Rome construite par Francesco Bianchini (1702). Vers 1700, le pape Clément XI demanda à Francesco Bianchini, astronome, mathématicien, archéologue, historien et philosophe, de construire une ligne méridienne, sorte de cadran solaire, à l’intérieur de la basilique. Le pape souhaitait vérifier l’exactitude de la réforme grégorienne du calendrier et avait besoin d’un moyen de prévoir exactement la date de Pâques. Il voulait enfin que Rome soit dotée d’une méridienne aussi importante que celle construite peu de temps auparavant par Giovanni Domenico Cassini (Perinaldo 1625 - Paris 1712), dans la basilique San Petronio de Bologne. La basilique présentait pour cette installation quelques avantages : comme les autres thermes de Rome, l’édifice était déjà naturellement orienté au sud, donc exposé au soleil ; la hauteur des murs autorisait de tracer une ligne très longue permettant de mesurer l’avance du soleil sur toute l’année ; les anciens murs étaient depuis longtemps stabilisés dans le sol, assurant que les instruments d’observation calibrés avec précaution ne bougeraient pas ; enfin, placée dans les anciens thermes de Dioclétien, la méridienne représenterait une victoire symbolique du calendrier chrétien sur le calendrier païen.
Photographie, Néolithique, Meules (agriculture), Farine, Outils, Agriculture préhistorique, Outils préhistoriques, Céréales, Meules à grains, Âge de la pierre polie, Agriculture néolithique, Broyeurs, Meules à grains préhistoriques, Pierres à meules
Meule et broyeur en pierre du néolithique, avec grains de céréales : La meule en pierre néolithique pour écraser les grains avec un broyeur en forme de pierre ronde est un des outils phares de la révolution néolithique qui permit le passage des chasseurs-cueilleurs nomades aux agriculteurs sédentaires.
Noisette l'écureuil, 1903, par Beatrix Potter (1866-1943). The Tale of Squirrel Nutkin-6, Source : http://www.gutenberg.org/files/14872/14872-h/14872-h.htm : Ils demandèrent poliment à Vieux-Brun l'autorisation de ramasser les noisettes de son île.
Photographie, Oranges, Agrumes, Oranger -- Fruits, Arbres fruitiers -- Cultures, Brabant flamand (Belgique), Oranger doux
Oranger doux (Citrus sinensis) au Jardin National Botanique de Belgique, à Meise : Le Jardin est installé sur le domaine du château de Bouchout, quoiqu'en partie également situé sur la commune de Wemmel.
Photographie, Phares, Phares -- France, Landes, Spirales, Aides à la navigation, Architecture, Landes (France. - région), Contis-les-Bains (Landes, France), Saint-Julien-en-Born (Landes, France)
Le phare de Contis est un phare maritime de 1er ordre du littoral aquitain et un amer situé à Contis, station balnéaire de la commune de Saint-Julien-en-Born, dans le département français des Landes. Jusqu'en 1790, le plus grand des deux clochers de l'église Sainte-Marie de Mimizan sert d'amer, facilitant la navigation diurne dans cette partie du golfe de Gascogne. Il s'effondre à cette date par vétusté et manque d'entretien. En 1856, la Commission des phares décide, sous l'égide de Napoléon III, de renforcer les dispositifs de navigation dans ce secteur par la construction d'un nouveau phare, qui se situerait à égale distance de de Biarritz et d'Arcachon. La construction du phare de Contis-les-bains, comme on dit alors, est ainsi ordonnée par décret de Napoléon III en 1860. Entièrement blanc à l'origine, le phare est embelli en 1937 et orné de deux bandes noires en forme de double vis d'Archimède par le peintre Bellocq4, afin qu'il puisse aussi servir d'amer, c'est-à-dire de repère de jour à la navigation. Il se classe ainsi dans la catégorie des phares "barber's poles" (du nom des enseignes de barbier aux États-Unis) noirs et blancs, caractérisée par deux bandes noires effectuant chacune un enroulement autour du corps du phare. La première bande noire prend naissance à la base du phare au niveau de la porte ouest, la seconde bande débute à la base du phare au niveau de sa porte est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Contis
Photographie, Arbres, Botanique, Plantes méditerranéennes, Ajaccio (Corse-du-Sud. - région), Pin parasol, Flore méditerranéenne, Pin pignon, Pinus pinea
Pin parasol (Pinus pinea) sur le site du Ricanto à Ajaccio, Corse-du-Sud.
Planche botanique du poirier commun (Pyrus communis), Atlas des plantes de France. 1891 : La poire, fruit du poirier, est comestible. Son bois très homogène, compact et qui peut acquérir un beau poli, est recherché pour l'ébénisterie, la gravure et la sculpture. Il constitue un excellent bois de chauffage.
Pont du Kizil Hauzen en Iran en 2013. Le pont du Kizil-Hauzen ou Pol-e Dokhtar est un pont situé près de la ville de Mianeh en Azerbaïdjan oriental (Iran), permettant de franchir la rivière Ghezel Ozan. Sa partie centrale a été détruite en 1946. Son style architectural remonterait au VIIIe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_du_Kizil-Hauzen
Gravure, Ponts, Caravanes, Rivières, Architecture médiévale, Eugène Flandin (1809-1876), Iran -- Antiquités, Iran -- Civilisation (19e siècle)
Pont du Kizil Hauzen en Iran en 1840, par Eugène Flandin, in Voyage en Perse, 1851. Le pont du Kizil-Hauzen ou Pol-e Dokhtar est un pont situé près de la ville de Mianeh en Azerbaïdjan oriental (Iran), permettant de franchir la rivière Ghezel Ozan. Sa partie centrale a été détruite en 1946. Son style architectural remonterait au VIIIe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_du_Kizil-Hauzen
Gravure, Lentilles (optique), Lumière, Lumière -- Propagation, Dix-neuvième siècle, Lumière, Théorie ondulatoire de la, Opticiens, Savants allemands, Spectre solaire, Spectroscopes
Portrait de Joseph von Fraunhofer, opticien et physicien allemand (1787-1826). Il fut l'inventeur du spectroscope avec lequel il repéra les raies du spectre solaire. il mit au point de nouvelles machines à polir les miroirs et de nouveaux types de verres optiques (le verre flint achromatique), qui apportèrent une amélioration décisive à la qualité des lentilles. Dans son institut d’optique, Fraunhofer ne se contentait pas de polir des lentilles ; il fabriquait entièrement des lunettes astronomiques, avec leur monture. On doit d'ailleurs à Fraunhofer les montures dites « équatoriales ». Aujourd'hui, la plupart des instruments d'amateur sont équipés de ce type de monture.
Gravure, Ampoules électriques, Caricatures et dessins humoristiques, Affiches, Affiches publicitaires, Lithographie française, Appareils électriques, Français (langue), Sem (1863-1934), OSRAM
Lithographie de Sem, 1910. Titre : "J'attire poliment votre attention sur la lampe Osram;"
Photographie, Rémouleurs, Métiers, Artisanat, Petits métiers, Coutellerie (industrie), Thiers (Puy-de-Dôme)
Rémouleur au travail sur son rouet, Musée de la coutellerie, Thiers (Puy-de-Dôme).
Ganymède sur l'Olympe, entouré de Zeus qui lui a offert un coq, une déesse le couronnant et Hébé. Face A d'une amphore attique à figures noires, v. 510 av. J.-C.
Photographie, Serrures, Ferronnerie d'art, Pierre Boulanger (1813-1891), Vézelay (Yonne) -- Basilique de la Madeleine
Serrure de portail du narthex de la Basilique de la Madeleine à Vézelay, par Pierre Boulanger, ferronnier d'art (1813-1891).
Photographie, Sculpture en marbre, Rome, Marbre, Taureau (astrologie), Astronomes, Signes du zodiaque, Animaux -- Dans l'art, Art italien, Basiliques -- Italie, Francesco Bianchini (1662-1729)
Signe zodiacal du Taureau (astrologie) sur panneau de marbre blanc incrusté de marbres de couleur (opus sectile) ornant un côté de la Méridienne de la Basilique Sainte-Marie-des-Anges-et-des-Martyrs à Rome construite par Francesco Bianchini (1702).
Photographie, Botanique, Jardins botaniques, Tervueren (Belgique), Arbres remarquables par leur histoire, Arbres historiques, Fabacées
Sophora du Japon (Styphnolobium japonicum), originaire de Chine, naturalisé ou cultivé ailleurs. Circonférence en cm mesurée à 1m50 du sol: 306 cm (2007) ; position exacte : Tervueren (Belgique) – Parc du musée royal de l’Afrique centrale.
Photographie, Statues, Alpinisme, Alpinistes, Chamonix-Mont-Blanc (Haute-Savoie), Horace-Bénédict de Saussure (1749-1799), Alpinisme -- Guides, Jacques Balmat (1762-1834)
Statue en bronze à Chamonix du guide Jacques Balmat (1762-1834) indiquant le sommet du Mont Blanc de sa main droite à Horace-Bénédict de Saussure, botaniste, philosophe et géologue genevois considéré comme le fondateur de l'alpinisime.
Statue place de la République à Paris avant réaménagements de 2013. La Statue de la République, inaugurée sur la place du même nom à Paris en 1883, constitue une de ses œuvres les plus célèbres, son frère réalisa le piédestal.
Photographie, Statues, Géographie, Marianne (allégorie), Architecture, Léopold Morice (1846-1919), Place de la République (Paris, France), François-Charles Morice (1848–1908)
Statue de Marianne place de la République à Paris par Léopold Morice (1846-1919), piédestal par son frère, l'architecte François-Charles Morice (1848–1908).
Tilleul à grandes feuilles (Tilia platyphyllos) : circonférence mesurée à 1m50 du sol : 704 cm - (2007) ; nom : Li Tiyou do vî Payis ; position exacte : Bioul (Belgique) – Rue du Grand Tilleul.
Photographie, Chocolat, Alimentation, Tours, Pâtisseries (commerce), Artisanat d'art, Chocolaterie, Industries agroalimentaires, Frameries (Belgique)
L'artisan chocolatier de la boulangerie-pâtisserie Godefroid à Frameries (Belgique) procédant à la fabrication d'une tour en chocolat.
Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.
Dessins et plans, Architecture militaire, Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768), Tours sèches
Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.
Aulne glutineux ou aulne noir (Alnus glutinosa). Circonférence en cm mesurée à 1m du sol : 421 cm (en 2007) ; Position exacte : Porcheresse (Daverdisse, province de Luxembourg en région wallonne) Belgique – à proximité de la « Machine à élever les eaux ».,
Photographie, Belgique, Arbres feuillus, Arbres remarquables par leur histoire, Hainaut (Comté), Magnoliacées
Tulipier de Virginie (Liriodendron tulipifera) de Ham-sur-Heure en Belgique, Province de Hainaut. Arbre remarquable de par sa taille en Belgique ; circonférence en cm mesurée à 1m50 du sol : 516 cm (en 2007) ; hauteur : 45 m (1999) ; position exacte : Ham-sur-Heure – Allée du Tulipier.
Vase antique à parfum en forme de hérisson : Aryballe, ouverture située à l'oreille gauche, écailles métaphoriques pour le bouclier de piquants. V. 600 av. J.-C.
Photographie, Chouettes, Antiquités grecques, Céramique, Céramique grecque de l'Antiquité, Vases grecs corinthiens
Aryballe protocorinthien en forme de chouette, vers 630 av. J.-C. Ouverture située sous le croupion, trou dans la base pour suspendre par un lacet. L'aryballe (grec ancien : αρυβάλλος, aryballos, la racine de ce mot est αρυω qui signifie "puiser") est un vase grec antique à panse globulaire, piriforme ou oboïde, utilisé pour stocker de l'huile parfumée destinée aux soins du corps. Les aryballes sont très fréquemment utilisés comme réservoir d'huiles par les athlètes.
Dessins et plans, Antiquités, Cartes du monde, Antiquités grecques, Milet (ville ancienne), Géographes
Reconstitution hypothétique de la carte du monde perdue d'Hécatée de Milet (VIe siècle av. J.-C.).