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Dessins et plans, Seizième siècle, Bestiaires, Créatures fabuleuses, Alphabets (décoration), Abécédaires, Alphabets d'ornement, Lettres majuscules, Écriture capitale, Animaux -- Dans l'art, Bestiaires fabuleux, Vingt-et-un (le nombre)
Alphabet du XVIème siècle (manquent le J, O, W, X et Z). A : Tête d'oiseau et deux serpents, B : Roi et diable, C : Oiseau chevauchant un sanglier sauvage, D : Plante, E : Dragon, F : Oiseau et fleur, G : Chien, H : Marcheur, I : Chien ailé et lézard, K : Masques grotesques, L : Flûtiste portant un chapeau en forme d'oiseau, M : Lion et chardon, N : Poisson en habit de roi, P : Pélican, Q : Oiseau ou dragon, R : Masques et grimaces, S : Lézard en habit de roi, T : Deux griffons, V : Fou du roi, U : Soleil, Y : Petits animaux et plantes. Source : F. Delamotte, “Ornamental Alphabets, Ancient and Mediæval” (1879).
D'après les aquarelles de J. Eudes (Société Linéenne de Caen) dans : A. Guillaumin, ''Les Fleurs de Jardins'', tome I : ''Les Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'Anémone coronaire ou Anémone couronnée (Anemone coronaria) est une plante de la famille des Ranonculacées répandues sur les pelouses, champs, oliveraies, vignes ou cultures à l’abandon des zones basophiles méditerranéennes. Il existe deux types d'anémone couronnée : l'anémone de Caen à fleur unique et l'anémone "St. Brigid'" à fleur double. L'anémone couronnée est également appelée anémone coronaire, anémone des fleuristes ou anémone cultivée. En France, l'anémone couronnée est protégée sur l'ensemble du territoire par l'arrêté du 20 janvier 1982, modifié par l'arrêté du 31 août 1995. Dès le IVe siècle avant notre ère, Théophraste (-372, -288) signalait la floraison précoce de « l'anémone dite « des prairies » [A. coronaria L. et A. pavonina Lam] avec le glaïeul, une jacinthe et presque toutes les autres fleurs de montagnes dont il est fait usage » (Recherche sur les plantes, livre VI).
Photographie, Pain -- Variétés, Aliments pour le petit déjeuner, Farines, Meunerie, Produits céréaliers, Avena, Avoine
L’Avoine cultivée (Avena sativa L.), parfois appelée Avoine byzantine, est une plante bisannuelle appartenant au genre Avena de la famille des Poacéess (graminées), et cultivée comme céréale ou comme fourrage à couper en vert; leurs pousses tendres et sucrées plaisent à tous les animaux de la ferme. Elle fait partie des céréales à paille et est utilisée principalement dans l’alimentation animale (notamment des équidés). L'utilisation de l'avoine dans l'alimentation est surtout d'origine anglo-saxonne ou nord-européenne. Elle concerne les flocons d’avoine, le gruau, le porridge, des biscuits, et la préparation d'une boisson telle que la bière de type oatmeal stout.
Dessins et plans, Cartes topographiques, Dix-huitième siècle, Plantes tropicales, Alexander von Humboldt (1769-1859), Expéditions scientifiques, Amazonie, Forêts tropicales pluviales, Orénoque (cours d'eau), Orénoque, Vallée de l'
Plan du canal de Casiquaire dressé par Humboldt. Légende d'origine : "Carte de l'Intérieur de la Guyane Espagnole dressée sur les lieux d'Humboldt". En 1799, Humboldt est présenté au roi et à la reine d'Espagne. Il obtient des passeports avec le sceau royal qui garantit aux voyageurs l'assistance des autorités qu'ils rencontrent. Bonpland devient officiellement compagnon et secrétaire de Humboldt. Humboldt et Bonpland sont les premiers à effectuer une exploration scientifique digne de ce nom. L'ambition majeure de Humboldt pendant son voyage aux Amériques est de découvrir l'interaction des forces de la nature et les influences qu'exerce l'environnement géographique sur la vie végétale et animale. Le 5 juin 1799, ils embarquent, à La Corogne, à bord de la corvette « Le Pizarro » à destination du Venezuela, et après une escale aux Canaries, ils arrivent le 16 juillet à Cumaná au Venezuela, à l'est de Caracas. Pendant la navigation, Humboldt fait des mesures astronomiques, météorologiques, de magnétisme, de température et de composition chimique de la mer. En Amérique, il a un profond dégoût pour la façon dont se vendent et s'évaluent les esclaves, même si c'est dans les possessions espagnoles qu'ils sont le moins maltraités. Chateaubriand dira de lui dans son édition de 1827 de "Voyages en Amérique" : « En Amérique, l'illustre Humboldt a tout peint et tout dit ». Humboldt et Bonpland explorent la forêt tropicale pour tenter de confirmer la présence, considérée comme impossible, d'un canal naturel entre l'Orénoque et l'Amazone, le canal de Casiquiare, et de localiser le lieu exact de la source de l'Orénoque. Ils récoltent de nombreux spécimens d'animaux et de plantes inconnus, et Humboldt relève méticuleusement la température du fleuve, du sol et de l'air, et la pression atmosphérique, l'inclinaison magnétique, la longitude et la latitude.
Photographie, Légumineuses, Trèfles, Plantes, Botanique, Inflorescences, Fabaceae, Chatons (botanique), Papilionacées, Trèfle des champs, Trèfle pied-de-lièvre, Trifolium, Trifolium arvense, Estonie
Fleurs de trèfle pied-de-lièvre, Keila, en Estonie (Trifolium arvense L.) : c'est un trèfle commun dans toute l'Europe, en plaine ou en moyenne montagne. De couleur blanc rosâtre, son inflorescence est surtout caractérisée par les nombreux poils blancs soyeux dont sont munis les calices, beaucoup plus grands que les corolles. Ces poils, liés à la forme plus ou moins oblongue de l'inflorescence, sont à l'origine du nom vernaculaire. Comme tous les trèfles, le pied-de-lièvre appartient à l'ordre des Fabales et à la famille des Fabacées (ou Légumineuses, ou Papilionacées). Plante annuelle, parfois bisannuelle, poussant en plaine, ou en montagne jusqu'à 1 600 mètres, présente dans toute l'Europe, à l'exception des zones boréales. On la rencontre aussi bien sur sols acides que basiques. Commune, elle apprécie les terrains sablonneux et secs, lisière des champs, friches, bord des chemins, ou encore dunes. Parfois adventice des vignes et des vergers non irrigués, le Pied-de-lièvre fleurit de mai à septembre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tr%C3%A8fle_Pied-de-li%C3%A8vre
Photographie, Plantes des jardins, Aliments, Condiments, Ciboulette, Cuisine (condiments), Cuisine (plantes odoriférantes)
La ciboulette ou civette (Allium schoenoprasum L.) est une plante aromatique de la famille des Liliacées ou Alliacées, cultivée pour ses feuilles souvent utilisées comme condiment.
Cônes d'un cèdre de l'Atlas, allée du château de Pouthet, Eymet (Dordogne).
Crabe violoniste (Uca pugilator) au refuge de la vie sauvage de Pinckney Island, Caroline du Sud. Le crabe violoniste reste sous la mangrove en marée haute et en sort à marée basse pour se nourrir de cadavres et de plantes en décomposition, qu'il filtre dans la boue. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crabe_violoniste.
Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation.
Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation. Les végétaux absorbent grâce à leurs racines les ions nitrate (NO3-) et, dans une moindre mesure, l'ammonium présent dans le sol, et les incorporent dans les acides aminés et les protéines. Les végétaux constituent ainsi la source primaire d'azote assimilable par les animaux. En milieu anoxique (sol ou milieu aquatique non oxygéné), des bactéries dites dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz diazote, c'est la dénitrification.
Cycle de l'azote dans un aquarium : 1 - Nourriture et nutriments, 2 - Production d'urée et d'ammoniac, 3 - Ammoniac → nitrites, 4 - Nitrites → nitrates (Nitrospira), 5 - Evaporation, 6 - Lumière, 7 - Sol, 8 - Oxygène, 9 - Gaz carbonique. Dans un aquarium, ce sont les déjections des poissons et la nourriture non consommée qui sont à l'origine de la formation d'ammoniac. Ce produit extrêmement toxique pour les animaux aquatiques est transformé en nitrates beaucoup moins toxiques et bénéfiques pour les plantes par des bactéries présentes naturellement ou artificiellement (plantées) dans l'aquarium. Les bactéries nitrosomonas transforment l'ammoniac en nitrites, eux-mêmes très toxiques pour les animaux aquatiques. Et les bactéries nitrobacter transforment les nitrites en nitrates. Nitrates qui sont alors absorbés par les plantes présentes dans l'aquarium.
Photographie, Arbres, Botanique, Étangs, Étangs -- Aménagement, Austin (Tex.), Cyprès chauve, Taxodium distichum
Cyprès chauves (Taxodium distichum) plantés sur la rive d'un étang, Lady Bird Lake (anciennement Town Lake), à Austin, au Texas, USA.
La savane, Abulédu, 20140513 : "Le petit lapin pas malin", par Yvain Coudert.
La savane, Abulédu, 20140513 : "Le petit lapin pas malin", par Yvain Coudert.
La savane, Abulédu, 20140513 : "Le petit lapin pas malin", par Yvain Coudert.
Carte de 1839 représentant la distribution des plantes selon l'altitude en Amerique. Dessin et gravure George Aikman ; hauteur : 26,7 cm. largeur : 36,8 cm. Source : Geographicus Rare Antique Maps.
Carte de l'écosystème originel terrestre et marin de l'île de Hawaï : avant la colonisation humaine se trouvaient une savane aujourd'hui disparue, et une grande forêt de plaine dont il ne subsiste que quelques fragments.
Évolution des teneurs connues de CO2 de l'atmosphère terrestre. (Pour rendre ces variations plus visibles, l'échelle temporelle n'est pas linéaire) : Variations dans le temps de la vapeur d'eau, du CO2 (deux gaz à effet de serre) et de l'oxygène, produit par les algues, bactéries photosynthétiques et plantes(qui ont permis d'importants puits de carbone et la production de la couche d'Ozone protectrice). D'après les données réunies par le "Journal pour la Science" pour un dossier sur l'atmosphère publié en 1996.
Le Cœur de Marie ou encore Cœur-de-Jeannette ou Cœur-Saignant (Dicentra spectabilis L.) est une plante vivace de la famille des Papavéracées, cultivée pour ses fleurs roses et blanches très décoratives.
Fruit d'Annona senegalensis près de Fada N'Gourma, Burkina Faso.
Fuligule mâle de Madagascar (Aythya innotata). C'est un canard de plongée extrêmement rare du genre Aythya, qu'on a cru éteint. Avant sa redécouverte en 2006, la dernière observation confirmée de l'espèce a été faite au bord du lac Alaotra sur le plateau central de Madagascar en 1991. Ce canard plongeur est confiné aux lacs et marais d'eau douce peu profonds qui combinent des eaux libres et des secteurs de végétation dense. Il se nourrit d'invertébrés et de graines de plantes aquatiques en plongeant fréquemment dans les eaux peu profondes. Il est vu généralement seul, parfois en couple. La taille de la couvée est de deux en moyenne et la couvaison a été observée en mars-avril.
L'horticulteur est une personne qui pratique l'art de cultiver les jardins, de pratiquer la culture des légumes, des fleurs, des arbres ou arbustes fruitiers et d'ornement. Ce n'est donc pas toujours un métier car le terme désigne aussi la personne qui cultive son jardin. Il a donc pour activité la culture de plantes, dans une finalité ornementale ou pour l'alimentation.
Dessins et plans, Plantes, Apiacées, Botanique, Botanique -- Nomenclature, Inflorescences, Ombellifères, Chatons (botanique), Dicotylédones
Inflorescence de l'ombelle composée, caractéristique de la famille des Apiacées (Apiaceae), appelées aussi Ombellifères (Umbelliferae, nom alternatif), famille de plantes dicotylédones
Photographie, automne, Art nouveau (architecture), Plantes de jardinières, Musée de l'école de Nancy, Plantes en pot
Jardinières d'automne au musée de l'école de Nancy.
Photographie, automne, Art nouveau (architecture), Plantes de jardinières, Musée de l'école de Nancy, Plantes en pot
Jardinières d'automne, maison Corbin au musée de l'école de Nancy.
Photographie, Lanternes, Grilles, Jardins publics, Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes, Architecture
Lanterne sur la grille de l'entrée principale du Jardin des Plantes à Paris, (côté Seine, place Valhubert).
Le Laurier, Laurier-sauce ou Laurier vrai (Laurus nobilis L.) est un arbuste à feuillage persistant et coriace de la famille des Lauracées. Il est originaire du Bassin méditerranéen. Ses feuilles sont utilisées en cuisine pour leur arôme. Elles sont généralement séchée (condiment et rentrent dans la composition du bouquet garni) pour infusion ou cuit dans la sauce.
Dessins et plans, Saisons, Plantes -- Variations saisonnières, Plantes, Cernes d'arbres, Dendrochronologie, Arbres -- Croissance, Cycles biologiques, Variations saisonnières
Les quatre saisons du calendrier : printemps, été, automne et hiver, auxquelles se rajoutent deux saisons intermédiaires dans les régions au climat tempéré, l'avant-printemps et l'arrière-été.
Dessins et plans, Lettres (alphabet), Seizième siècle, Lettrines, Animaux -- Création artistique, Bestiaires, Créatures fabuleuses
Lettrines de l'alphabet latin du VI° siècle (manquent J, O, W, X et Z) de F. Delamotte, “Ornamental Alphabets, Ancient and Mediæval” (1879), avec descriptif des illustrations. A : Tête d'oiseau et deux serpents ; B : Roi et diable ; C : Oiseau chevauchant un sanglier sauvage ; D : Plante ; E : Dragon ; F : Oiseau et fleur ; G : Chien ; H : Personne en train de marcher ; I : Chien aîlé et lézard ; K : masques grotesques ; L : Joueur de flûte portant un chapeau en forme d'oiseau ; M : Lion et chardon ; N : Poisson en costume de roi ; P : Pélican ; Q : Oiseau ou dragon ; R : Masques et visages ; S : Lézard en costume de roi ; T : Deux griffons ; V : Bouffon ; U : Soleil ; Y : Petit animal et plantes.
Photographie, Botanique, Ruines, Villages ruinés, Lierre grimpant, Toscanes (Italie. - îles), Plantes des ruines, Plantes rudérales
Lierre sur les murs d'un église en ruine à San Lorenzo dans l'île d'Elbe.
Planche botanique du lilas (Syringa vulgaris), L. Deutschlands Flora in Abbildungen, Johann Georg Sturm (Peintre Jacob Sturm), 1786.
Photographie, Lever de soleil, Pins, Parcs nationaux -- États-Unis, Reflets, Photographie de paysages, Étangs, Lagunes, Floride (États-Unis), Plantes des étangs
Matin au bord de l'étang, Jonathan Dickinson State Park, Martin County, Floride.
Mousse espagnole au Conservatoire botanique de Mascarin, à la Réunion. Tillandsia L. est un genre de plante de la famille des Bromeliaceae (famille de l'ananas). Ce genre comprend plus de 400 espèces, soit épiphytes ou lithophytes, soit terrestres, présentes essentiellement sur le continent américain (de la Floride à l'Argentine). Les tillandsias épiphytes et lithophytes, les plus nombreuses, sont parfois appelées « filles de l'air », du fait de leur propension naturelle à s'accrocher partout où les conditions leur permettent : fils téléphoniques, branches d'arbres, écorces, rochers nus, etc. Leurs graines légères et munies d'un parachute soyeux facilitent cette dissémination. Leurs feuilles, de couleur plus ou moins argentée, sont recouvertes de cellules spécialisées capables d'absorber rapidement l'humidité ambiante (rosée, eau de ruissellement). Leurs racines, quand elles existent, sont transformées en crampons chez les espèces dites « aériennes » et ne servent plus que d'ancrage à leur support.
bois, Peinture, Noix (fruits du noyer), Plantes, Botanique -- Nomenclature, Ébénisterie, Huile de noix, Noyer commun
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. Le noyer commun, ou noyer royal (Juglans regia L.), est un arbre assez commun, originaire d'Eurasie, cultivé pour son bois recherché en ébénisterie et ses fruits, les noix, riches en huile. C'est le seul représentant subspontané en France de la famille des Juglandacées.
Photographie, Papillons, été, Saisons, Arbousiers, Nymphale de l'arbousier, Pacha à deux queues (animaux)
Nymphale de l'arbousier (Charaxes jasius). Le Pacha à deux queues est un grand papillon au dessus marron bordé d'orange avec aux ailes antérieures, une seconde ligne orange et deux queues aux ailes postérieures. Le revers est très ornementé, marron avec dessins blancs, bordure orange, marron puis orange puis blanc aux antérieures, bordure orange, marron puis blanc aux postérieures. Bivoltin, il vole de mai à juin puis d'août à octobre. C'est un grand voilier capable de migration verticale ou de tenter d'agrandir son territoire, ce qui nécessite une présence de sa plante hôte, l'arbousier (Arbutus unedo).
Photographie, Fruits, Solanacées, Physalis, Aliments, Aliments frais, Alkékenge, Amour-en-cage, Coquerets
Physalis (du grec phusalis, vessie, en raison de la forme de son calice) est un genre de plantes de la famille des Solanaceae, sans doute originaires des Amériques où elles portent le nom maracaibo d'Uchula ou mexicain de tomatillo, mais le nom d'une des espèces, alkékenge, date du XVIe siècle et dérive de l'arabe al-kâkanj (lui-même un emprunt au persan, comme tous les termes en -anj ; dénomination populaire : karazu l-quds, "cerise de Jérusalem"). Les fruits (baies enveloppées d'un calice) sont généralement toxiques, mais chez certaines espèces, une fois arrivés à maturité, sont comestibles, même exquis et hautement décoratifs. On les appelle communément cerises de terre au Québec et coquerets (en raison de la couleur de crête de coq de ses fruits), groseilles du Cap ou amours en cage, dans les autres pays francophones, ou encore lanternes japonaises.
Un Gazé ou Piéride de l'aubépine (Aporia crataegi) butinant une fleur de plantain lancéolé (Plantago lanceolata L.) ou "herbe à cinq coutures ou à cinq côtes", plante herbacée vivace de la famille des Plantaginacées. Plantago lanceolata
Photographie, Arbustes, Jardins botaniques -- France, Dix-huitième siècle, Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes, Arboriculture fruitière, Pistachier, Pistacia vera, Arbustes fruitiers -- Cultures, Sexualité végétale
Pistacia vera L. Vue d'un specimen historique, planté au Jardin des Plantes ("Jardin des semis", devenu Jardin alpin) en 1702. C'est l'étude de cet arbre qui permit à Sébastien Vaillant de prouver la notion de sexualité chez les végétaux en 1716.
Gravure, Apiacées, Botanique, Tiges (botanique), Plantes condimentaires, Anis vert, Anis (graine), Pimpinella anisum
Planche botanique de l'anis (Pimpinella anisum). Source : "Flora von Deutschland, Österreich und der Schweiz 1885", Gera.
Évolution de la production de pois protéagineux dans l'Union européenne de 1973 à 2007. L'Union européenne est le deuxième producteur mondial de pois, derrière le Canada, mais reste importatrice nette. Les pois protéagineux (pois secs) sont très majoritairement destinés à l'alimentation animale. Ainsi au cours de l'exercice 2005/2006, sur une consommation totale de 3,85 millions de tonnes, 3,33 Mt (86,5 %) ont été incorporés dans les aliments composés pour animaux, tandis que l'alimentation humaine, les semences et l'export représentaient respectivement 5,2 %, 4,5 % et 3,7 %. La production communautaire avait fourni pour ce même exercice 2,44 Mt, soit un taux d'autosuffisance de 63,2 %. La France est de loin le premier producteur (avec 48,6 % du total) devant l'Allemagne, l'Espagne et le Royaume-Uni. Le développement de la culture du pois protéagineux en Europe a été lancée après l'embargo américain de 1973 sur les tourteaux de soja qui avait révélé la forte dépendance de l'Europe vis-à-vis des importations de protéines végétales du continent américain et la fragilité de l'approvisionnement de ses élevages hors-sol (porcins, volailles). Cette situation était la conséquence des accords du GATT de 1962, par lesquels la CEE pouvait maintenir des droits de douane élevés sur les céréales en contrepartie du libre accès des graines oléo-protéagineuses importées notamment des États-Unis). En France, la production de pois protéagineux, qui avait atteint son maximum à près de 3,8 millions de tonnes en 1993, a beaucoup baissé, atteignant 1,04 million de tonnes en 2006. Le pois y représente 75 % de la production totale de protéagineux (pois, féverolle, lupin). Le développement du pois (des plantes protéagineuses en général) et de son utilisation en alimentation animale a nécessité un important effort de recherche fondamentale et appliquée, tant sur le plan de la génétique que de ses applications agronomiques et zootechniques, mobilisant de nombreux organismes, comme l'INRA en France ou le John Innes Centre au Royaume-Uni. Ces recherches sont coordonnées au niveau européen par l'association européenne des protéagineux (AEP), dont les activités sont vulgarisées sur Internet par le « Grain Legume Portal».