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Photographie, Coquillages, Bivalves, Coquillages comestibles, Mollusques bivalves, Mer Rouge, Bénitiers, abcd-six-minutes-pour-la-mer-rouge, Tridacna Maxima
Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.
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Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.
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Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.
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Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.
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Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.
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Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.
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Photographie, Coquillages, Antiquités préhistoriques, Perles de colliers, Âge du bronze, Colliers, Millau (Aveyron. - région), Remontage (archéologie)
Collier préhistorique de coquillages : âge du bronze. Description : Perles discoïdes calibrées en test de bivalves ; Coquillage perforé (Cérithe) ; Canine de canidé ; Crache de cervidé ; Incisive de bovidé ; Perles en jais ; Perles en calcite ; Perle en calcaire ; Perle en bois de cervidé ; Perle en cuivre. Etage : Holocène Âge du Bronze (ancien) (de -1800 à -1500 avant notre ère) ; Localité : Dolmens de Peyrolevado, Saint-Germain, Millau, Aveyron. Ancienne collection d’ Émile Cartailhac (1845 - 1921), Muséum de Toulouse MHNT.PRE.2009.0.239.1.
Dessins et plans, Coquillages, Instruments à vent, Coloriages, Dessin en noir et blanc, Art tibétain, Bouddhisme tibétain, Conques (mollusque)
La conque blanche dextrogyre (sk. shankha, tib. dundkar) est la trompe des héros dans la littérature indienne épique. La conque Panchajanya "qui contrôle les cinq sortes d’êtres" est l’un des attributs de Vishnou. Dans le bouddhisme elle représente la voix du Bouddha et son enseignement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ashtamangala
Triton à taches noires (Cymatium lotorium) est un genre de gastéropodes de la famille des Ranellidae.
Coquille de Bufonaria perelegans, de la famille des Bursidae. Taille : 83 mm.
Coupe de coquille de nautile : chez certaines espèces comme les nautiles (jamais chez les gastéropodes) la coquille est cloisonnée. Ce qui veut dire que l'animal ne peut occuper qu'une partie de sa coquille. Spirale logarithmique.
Dessin de coquille Saint-Jacques (Pecten maximus), in "Natural History: Mollusca" (1854), p. 6, par Philip Henry Gosse (1810–1888).
Peinture, Coquillages, Tulipomanie (Pays-Bas. - 1634-1637), Fleurs -- Dans l'art, Sauterelles, Tulipes, Peintres néerlandais, Animaux -- Dans l'art, Art baroque, Composition florale, Jacob Marrel (1614–1681)
Deux tulipes, un coquillage et une sauterelle, aquarelle et gouache sur parchemin, 1639, par Jacob Marrel (1614–1681), peintre baroque d'origine néerlandaise.
Photographie, Coquillages, Escargots, Gastéropodes, Biologie marine, Carnets de croquis, Îles -- Philippines, Nature -- Observation, Gastéropodes d'eau douce
Escargot chevelu (Thiara cancellata), Longueur 2,0 cm, Originaire des Philippines, Coquillage provenant d'une collection personnelle : Vues dorsale, latérale droite, ventrale, arrière et frontale. Röding, 1798. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Thiara_%28gastropod%29
Photographie, Coquillages, Ponts, Fillettes, Seine (France. - cours d'eau), Sculpture, Léopold Morice (1846-1919), Paris (France) -- Pont Alexandre III
Fillette aux coquillages du pont Alexandre-III à Paris.
Papillons, Peinture, Fleurs, Coquillages, Peintres flamands, Insectes, Entomologie, Jan van Kessel (1626–1679)
Fleurs, papillons, coquillages et insectes, 1653, par le peintre flamand Jan van Kessel (1626–1679).
Insectes et coquillages en 1653, par le peintre flamand Jan van Kessel (1626–1679).
Photographie, Antiquités, Coquillages, Bitume, Jeux de dés, Lapis-lazuli, Londres (GB), Jeux de pions, Jeux de plateau, Antiquités assyro-babyloniennes, Antiquités (objets anciens), British museum. Library. Londres, Londres (GB. - 1889) -- Grève des dockers, Mésopotamie (Jusqu'à 539 av. J.-C.), Objets en bitume
Jeu royal d'Ur, conservé à Londres au British Museum : Le jeu royal d'Ur, ou jeu des vingt carrés, est un jeu de l'ancienne Mésopotamie. Il est connu par deux plateaux, découverts dans des tombes royales d'Ur par Leonard Woolley dans les années 1920. La surface des tableaux en bois est couverte d'une âme de bitume avec une marqueterie de coquillages, de cornaline et de lapis-lazuli formant les riches ornements des cases du jeu. Ces plateaux sont datés d'environ 2600 avant J.-C., ce qui fait du jeu l'un des jeux les plus anciens connus à ce jour avec le senet égyptien. Ce jeu se jouait sur un plateau, avec trois dés à quatre faces et deux équipes de sept pions : les Noirs et les Blancs.
Photographie, Coquillages, Peinture et décoration murales, Langoustes, Fresques, Animaux -- Dans l'art, Brescia (Italie), Art romain
Langouste et coquillages, fresque romaine du IInd siècle après JC. dans la Domus dell'Ortaglia, Brescia, Italie.
Peinture, Coquillages, Peintres français, Peinture de portraits, Dix-neuvième siècle, Maîtres d'école primaire
"Le vieux maître d'école" par Jean-Jacques Monanteuil (1785-1860), auteur de portraits à l’huile et au crayon qui se distinguent par la ressemblance et la finesse de la touche.
Planche de coquillages, IX, 1859, par George Brettingham Sowerby II (1812–1884) : 1) Pecten pusio, Talochlamys pusio ; 2), 3) Pecten varius, Mimachlamys varia ; 4) Pecten niveus, Mimachlamys varia nivea ; 5) 6) 7) Pecten opercularis, Aequipecten opercularis ; 8) Pecten Audouinii, Aequipecten opercularis ; 9) 10) Pecten danicus, Pseudamussium peslutrae ; 11) 12) Pecten tigrinus, Palliolum tigerinum ; 13) Pecten maximus, Pecten maximus ; 14) Pecten similis, Similipecten similis ; 15) Pecten striatus, Palliolum striatum ; 16) Pecten furtivus, Palliolum incomparabile : 17) Hippothyris psittacea, Hemithiris psittacea ; 18) Terebratula cranium, Macandrevia cranium ; 19) Terebratula capsula, Gwynia capsula ; 20) Argiope caput-serpentis, Terebratulina retusa ; 21) Argiope cistellula, Argyrotheca cistellula ; 22) Argiope decollata ; 23) Argiope seminulum, 24) Crania anomala, Novocrania anomala ; Nos 17—24 Brachiopodes, les autres Mollusques.
"Cypraea" est un genre de gastéropodes d'aspect lisse et brillant, dont les couleurs éclatantes sont à l’origine de la popularité. Il existe plus de 200 espèces distinctes dans ce genre, et plusieurs milliers de sous-espèces ou variétés ont été décrites. Elles sont aussi connues pour avoir servi de monnaie d'échanges dans les sociétés primitives en Chine environ 2100 ans avant Jésus-Christ et ceci jusqu'à l'apparition des premières monnaies en bronze sous les Shang (1766-1122 avant J-C). C'est d'ailleurs pour cette raison que de nombreux caractères chinois ayant un rapport avec l'argent contiennent le caractère qui représente le coquillage "Cypraea".
Photographie, Coquillages, Antiquités préhistoriques, Quiberon (Morbihan), Tombes préhistoriques, Sépultures préhistoriques
Reconstitution de tombe double préhistorique, île de Téviec (Morbihan). La reconstitution de cette tombe du Mésolithique a été confiée à Philippe Lacomme qui, au début du XXe siècle, était le taxidermiste et préparateur du muséum. Il a signé cette œuvre en la datant de 1938. Les deux corps ont été ensevelis avec beaucoup de soin dans une fosse creusée moitié dans le sous-sol et moitié dans les débris de cuisine qui le recouvraient. L’ensemble est protégé par un toit fait de bois de cervidés7. Le mobilier funéraire comprend des silex et surtout des stylets en os de sanglier, ainsi que des bijoux funéraires formés de coquilles marines percées et assemblées en colliers, bracelets et anneaux de jambes. Quelques-uns des objets en os portent quelques traits gravés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9viec
Photographie, Fleurs, Coquillages, Peintres flamands, Insectes, Jan van Kessel (1626–1679), Bois en trompe l'oeil
Insectes, fleurs et coquillages, Trompe l'oeil du XVIIème siècle, par le peintre flamand Jan van Kessel (1626–1679).
Photographie, Biologie marine, Coquillages comestibles, Sylt (Allemagne. - île), Balanes, Vasières intertidales
Un couteau sabre (Ensis ensis) avec des balanes crénelées sur sa coquille, trouvé dans une vasière du parc national de la mer des Wadden du Schleswig-Holstein, près de Kampen, sur l'ile de Sylt, en Allemagne.
Gravure, Caroline du Nord (États-Unis), Indiens d'Amérique, Seizième siècle, Latin (langue), Canoës, North Carolina (États-Unis)
Fabrication des canoés indiens en Virginia en 1590 : technique dite du "bois fouillé" sans outillage en fer, en brûlant le tronc d'arbre et le grattant avec des coquillages. John White (vers 1540 - après 1593), dessinateur et géomètre anglais, prit part aux toutes premières tentatives de colonisation anglaise en Amérique du Nord. Ses dessins de la faune et des hommes peuplant les côtes de Caroline du Nord comptent au nombre des plus anciennes sources iconographiques relatives à l'Amérique du Nord. Planche légendée en latin.
Photographie, Afrique, Alimentation, Bivalves, Mollusques, Cuisine (fruits de mer), Fruits de mer, Coquillages comestibles, Sénégal, Cuisine sénégalaise, Cuisine (coquillages), Ressources en fruits de mer, Ressources halieutiques, Sine-Saloum (Sénégal)
Fruits de mer et coquillages en vente à Fadiouth au Sénégal. L'Anadara senilis (ou arche) est un mollusque bivalve que l'on trouve notamment dans l'ouest africain. Déjà signalé par Michel Adanson dans son Histoire naturelle du Sénégal, ce coquillage est exploité au Sénégal depuis des millénaires. Il est en particulier très présent dans les amas coquilliers du Sine-Saloum. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Senilia_senilis
Photographie, bois, Fruits, Fleurs, Boiseries, Dix-septième siècle, Richmond upon Thames (GB) -- Hampton Court Palace, Bois, Objets en, Bois -- Sculpteurs, Fleurs dans l'art, Sculpture anglaise
Sculpture en bois de l'artiste anglais Grinling Gibbons (1648-1721) dans les appartements du roi Guillaume III d'Angleterre au palais de Hampton Court. Il fut nommé maître sculpteur de la Couronne. Gibbons était également un protégé du principal architecte de son époque, Sir Christopher Wren. Il fut surtout un virtuose de la sculpture sur bois, ornée de fleurs et de coquillages que l'on croirait vivants.
Dessins et plans, Paris (France), Géologie, Calcaire, Stratigraphie, Carrières souterraines (exploitations minières)
Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).
Nacre géante (Pinna nobilis), longueur réelle environ 60cm, coquillage bivalve protégé de Méditerranée, de couleur rouge vivant enfiché verticalement dans les fonds sableux, souvent couverts d'herbiers de posidonie (Posidonia oceanica). C'est l’un des plus grands coquillages existant dans le monde (elle peut dépasser 1 m de long). Jadis abondante sur le littoral français, elle a été décimée par la pollution, fragilisée par le recul des herbiers à posidonie, par les ancrages et les chalutages, mais aussi par les plongeurs avides de souvenirs originaux ; elle est aujourd'hui devenue très rare. Elle est protégée en France depuis le 26 novembre 1992 et sa pêche est interdite. Elle recèle souvent des crustacés vivant à l'intérieur.
Joueurs d'Awalé au Festival des Jeux de Cannes, 2 mars 2013. L'awélé ou awalé est un jeu de société combinatoire abstrait portable créé en Afrique. C'est le plus répandu des jeux de la famille mancala, ensemble de jeux africains de type « compter et capturer » dans lesquels on distribue des cailloux, graines ou coquillages dans des coupelles ou des trous, parfois creusés à même le sol.
Photographie, Pâtisserie -- Appareils et matériel, Coeur, Desserts, Pâtisseries (gâteaux), Pâtisserie -- Moules, Vingt-huit (le nombre), Madeleines sucrées
Deux plaques de madeleines cuites en forme de cœurs et de coquillages. Plaque de 7x4 coeurs au premier plan.
Photographie, Maquettes (architecture), Canaries (îles), Tenerife (Canaries), Autochtones -- Canaries, Guanches, Contribution à l'ethnologie
Maquette d'un village guanche à Tenerife, Canaries. Les Guanches portaient des vêtements en peau de chèvre ou en fibres textiles que l'on a retrouvés dans des tombes sur la Grande Canarie. Ils appréciaient les bijoux, les colliers en bois, en pierre ou de coquillages fabriqués selon divers modèles. Ils utilisaient principalement des perles de céramique de formes variées, lisses ou polies, en général noires et rouges. Ils se peignaient le corps. Les pintaderas, objets en terre cuite évoquant des sceaux, semblaient servir uniquement à la peinture corporelle, dans des couleurs variées. Ils fabriquaient des poteries grossières généralement sans aucun décor, mais parfois ornées à l'aide des ongles. Les armes des Guanches étaient les mêmes que celles des anciens peuples du sud de l'Europe : hache en pierre polie sur Grande Canarie, et plus fréquemment la hache en pierre ou en obsidienne taillée à Ténérife. Ils utilisaient aussi la lance, la massue, parfois garnie de pointes en pierre, ainsi que le javelot. Il semble qu'ils aient connu le bouclier. L'alimentation de base des Guanches était le gofio, un aliment à base de céréales grillées d'origine berbère et élaboré à partir d'orge, de blé et de rhizome de fougère.
Peinture, Plages, Plages -- France, Marées, Peintres anglais, Joseph Mallord William Turner (1775-1851), Calais
Tableau de Turner (1775-1851), Marée basse à Calais (Calais Sands at Low Water - Poissards Collecting Bait), 1832 : ramassage de coquillages.
Photographie, Afrique, Masques, Art africain, Ethnologie -- Burkina Faso, Bar-le-Duc (Meuse), Masques bwa
Masque blanc Bwa. Village de Boni (Burkina Faso). Bois, coquillages, coton teinté, cartonnage. Musée barrois.
Photographie, Canards, Chats, Antiquités romaines, Pompéi (ville ancienne), Sarcelle d'hiver, Poissons, Coquillages comestibles, Perdrix, Mosaïques, Tadorne de Belon
Mosaïque romaine, Casa del Fauno, à Pompéi. Registre supérieur : chat tenant une perdrix dans la gueule ; registre inférieur : canards (à gauche un mâle de Sarcelle d’hiver, à droite un Tadorne de Belon), oiseaux, coquillages, poissons. Mosaïque romaine, Casa del Fauno, Pompéi.