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Photographie, Météorologie, Vents, Botanique, Vent, Hêtre austral, Nothofagus, Terre de Feu (îles), Tierra del Fuego
Action du vent sur un arbre, Tierra del Fuego : hêtre de l'Antarctique (Nothofagus antarctica).
Croquis de voile à corne sur un petit bateau. Cette voile fait partie de la famille des voiles auriques. Évolution de la voile au tiers, elle augmente encore les performances en ramenant toute la surface en arrière du mât, libérant la partie avant de celui-ci pour l'installation d'une trinquette et de focs. La forme de la voile qui déverse beaucoup au niveau de la corne, la rend peu efficace au plus près du vent mais permet cependant de porter une grande surface de toile pour un mât court.
Croquis de voile à livarde sur un petit bateau. La livarde est également connue sous le nom de balestron, un espar qui permet de tendre la voile aurique en partant du mât vers le haut, ou de tendre une voile triangulaire du mât vers le point d'écoute, comme sur les sharpies. Cette voile connut ses heures de gloire dans la marine fluviale : simple à mettre en œuvre, elle était adaptée aux mâts rabattables ou amovibles de diverses embarcations, comme les chalands, les barges et certaines péniches. Parmi les embarcations ayant porté ce gréement à la perfection, nous comptons les barges de la Tamise dont certains exemplaires naviguent encore aujourd'hui à la plaisance, tandis que d'autres sommeillent dans un musée.
Croquis de voile latine sur un petit bateau. Apparue au IXe siècle, d'inspiration arabe, elle est surtout répandue en Méditerranée. Sa grande vergue se nomme antenne. Pour qu'elle soit efficace sur les deux amures, il est nécessaire de la changer de côté à chaque virement. Cette manœuvre consiste à gambeyer. Elle remplaça vite les voiles carrées utilisées depuis le temps des Romains, tant sur les navires marchands (tartanes) que militaires (galères, chébecs) car plus adaptée aux régimes de vent de cette région où elle perdure toujours sur des embarcations comme les pointus méditerranéens.
Canards, Gravure, Enfants, Bouche, souris, Agneaux, Dix-septième siècle, Latin (langue), Oies, Comenius (1592-1670), Dictionnaires illustrés, Cigales, Corneilles, Dictionnaires illustrés allemands, Loups, Vent
Douze mots avec verbe de bruit, de A à M (en allemand), par Comenius (1592-1670), "Le monde visible en images" (Orbis sensualium pictus), 1658 : la corneille, l'agneau, la cigale, l'enfant, le vent, l'oie, la bouche, la souris, le canard, le loup, l'ours
Gravure, paris, Humour, Vent, Relations entre hommes et femmes, Accessoires de mode, Mode -- Création, J. WELY (1873-1910), Porte-jarretelles
"Trottin et Jeunesse dorée" en 1900, par André VIDECOCQ-WELY dit J. WELY (1873-1910), illustrateur. Source : Das Album, IV, page 33.
Dessins et plans, Sports nautiques, Vents, Navigation à voile, Dessin en couleurs, Vent, Navigation à voile -- Étude et enseignement, Bateaux à voile, Régulateurs d'allure (navigation)
Schéma des allures en navigation à voile par rapport au vent, avec réglage des voiles : vent debout, prés, bon plein, petit largue, travers, largue, grand largue, vent arrière.
Une voile est caractérisée principalement par sa forme, son grammage et le(s) matériau(x) dont elle est composée.Les trois angles de la voile (sur une voile à forme triangulaire) ont une appellation spécifique : 1) Le point de drisse désigne l'angle situé au sommet de la voile une fois celle-ci hissée : c'est l'endroit où la drisse est frappée. 10) Le point d'amure désigne l'angle attaché au point fixe du bateau : lorsque la voile est en position, le point d'amure est sur l'avant du bateau. 12) Le point d'écoute désigne l'angle de la voile auquel est frappée l'écoute (foc) ou non loin duquel est passée l'écoute (grand-voile). Chacune des extrémités de la voile reçoit un renfort (3) constitué de plusieurs épaisseurs de tissus cousues ensemble parfois renforcées par une structure rigide. La têtière (3) est la partie renforcée de l'extrémité supérieure de la voile. Un œillet situé à chacun des angles permet de fixer la voile au gréement. Les côtés d'une voile triangulaire sont : la bordure (11), encore appelée l'envergure, car souvent reliée à une vergue (ici la bôme) est le côté de la voile parallèle au pont : c'est le bas de la voile lorsque celle-ci est hissée ; le guindant (6) est le côté de la voile solidaire de l'étai (foc) ou du mât (grand-voile) ; la chute (5) est le côté de la voile situé vers l'arrière, toujours libre : sa tension est réglée par un nerf de chute (8). Sur la grand-voile on trouve également 2 à 3 bandes de ris (9) - zones horizontales en partie renforcées et comportant des œillets aux extrémités qui sont utilisées pour réduire la surface de la grand-voile lorsque le vent forcit (prise de ris). Une voile est généralement composée de laizes (7) bandes de tissus cousues, découpées de manière à répartir l'effort en faisant éventuellement varier le grammage et positionner le creux de la voile (une voile n'est pas plate sauf s'il s'agit d'une voile de tempête comme le tourmentin). La chute des grand-voiles modernes est arrondie : c'est le rond de chute qui est autorisé par 3 à 4 lattes (4). Sur les voiliers très rapides, la voile peut aussi être complètement lattée, la tension des dites lattes permettant d'obtenir très exactement le profil souhaité. Le guindant de la grand-voile est rendu solidaire du mât soit grâce à des coulisseaux (2) fixés à la voile et passés dans la gorge du mât soit grâce à une ralingue (c’est-à-dire un cordage cousu le long de la voile). La bordure de la grand-voile est également tenue par une ralingue ou un/des coulisseau(x) passée dans la gorge de la bôme.
Photographie, Jardins, Jardins botaniques, Mères et filles, Vent, Sculpture, Art contemporain, Îles -- Madère, Manfred Kielnhofer
"Viens dans le vent", Jardin tropical de Monte Palace, île de Madère, statue en bronze de 1989 par l'artiste autrichien Manfred Kielnhofer.
Dessins et plans, Bateaux à voiles, Sports nautiques, Voiles (marine), Flèches, Navigation à voile, Vent, Coloriages, Dessin en noir et blanc, Navigation à voile -- Étude et enseignement, Manoeuvres
Manoeuvre du virement de bord en bateau à voile. La flèche rouge indique la direction du vent.
Voile au tiers sur un petit bateau. Une voile au tiers, ou bourcet, est une voile aurique en forme de trapèze dont le bord supérieur, ou têtière, est transfilé sur une vergue dont le point de drisse est situé environ au tiers avant de sa longueur.
Altocumulus lenticulaire, en Islande. Un altocumulus lenticularis ou nuage lenticulaire est un type d'altocumulus stationnaire en forme de profil d'aile d'avion qu'on retrouve en aval du sommet des montagnes sous le vent, signant la présence d'un ressaut ou onde orographique. En réalité, il se reforme en permanence du côté du vent et se dissout de l'autre côté, réalisant un nuage stationnaire contrastant avec le vent horizontal fort à cette altitude qui devrait le déplacer rapidement. Selon les conditions, il y a souvent un empilement de plusieurs exemplaires formant une « pile d'assiettes ». Il est apprécié des vélivoles car il montre la présence d'une ascendance stable et puissante.
Photographie, Phoques, Vêtements, Capuches (vêtements), Anoraks (vêtements), Boyaux de phoques, Imperméabilité
Anorak inuit d'adulte traditionnel en boyau de phoque : Parka (Kamleika). À l'origine le terme anorak désigne un vêtement imperméable ou coupe-vent, s'enfilant par la tête. L'anorak peut se limiter à une coquille coupe vent ou être renforcé par un isolant thermique. La coupe est de forme relativement cintrée et courte afin de permettre les activités physiques, notamment la navigation en kayak, tout en conservant assez de largeur pour pouvoir être porté par-dessus des vêtements isolants. L'anorak comprend généralement une capuche solidaire. Les anoraks les plus anciens étaient réalisés dans les matériaux disponibles aux inuits présentant des propriétés d’imperméabilité, notamment les boyaux d'animaux ou la fourrure. Photographie du "Royal Albert Memorial Museum".
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à vent, Cornemuse, Boha, Cornemuse landaise
Cornemuse des landes, connue sous le nom gascon de "boha". Instrument de facture récente (2003). La boha (prononcer "bou-heu") ou cornemuse des Landes de Gascogne est un instrument de musique à vent utilisé dans la musique gasconne. C'est une cornemuse à anches simples. Elle a une petite poche et possède une partie mélodique et un seul bourdon à 2 tons contenus dans une pièce en bois de buis ou de fruitier recelant deux perces parallèles, appelée pihet (mot gascon de même racine que "pifre" signifiant "fifre"). Le nom "boha" vient du verbe bohar qui en gascon signifie souffler ; les sonneurs de boha sont appelés bohaires. La boha était autrefois sonnée sur une aire comprenant une partie des actuels départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et du Gers. La boha est constituée de 4 parties essentielles : - La poche : généralement en peau de chèvre voire d'agneau. - Le porte-vent : contenant en général une valve (d'autres systèmes existent ou sont en expérimentation) pour empêcher le retour de l'air. - Le pihet (double tuyau) : contenant deux tuyaux, un pour la mélodie et un pour le bourdon. Le tuyau mélodique est percé de 7 ou 8 trous ; le tuyau du bourdon est percé d'un trou et est prolongé par le brunidèr - Le brunider : pièce de bois prolongeant le tuyau du bourdon et qui permet s'il est mis ou enlevé de modifier la note du bourdon. La boha est généralement associée à une culture de bal gascon et accompagne des danses comme le rondeau, la mazurka, la polka, la valse, la scottish…
Photographie, Musique, Instruments à vent, Instrument à vent, Musique d', Bois (instruments de musique), Bombarde (instrument de musique), Bombarde, Musique de
La bombarde est un instrument de musique à vent à anche double de la famille des hautbois, employé dans la musique bretonne. Le mot « bombarde » provient du latin bombus, signifiant « bourdonnement » ou « bruit sourd ». En breton l'instrument s'appelle ar vombard (mutation de bombard)1 ou an talabard. Un joueur de bombarde s'appelle un talabarder. Il s'agit d'une variante de hautbois populaire spécifique à la Bretagne.
Photographie, Chapeaux, Vêtements -- Accessoires, Vitrines, Humour, Écharpes (vêtements), Mannequins des étalages
Chapeau et écharpe d'un mannequin emportés par le vent dans une vitrine.
La clarinette (du provençal clarin, « hautbois ») est un instrument de musique à vent de la famille des bois caractérisée par son anche simple et sa perce quasi cylindrique. Elle a été créée vers 1690 par Johann Christoph Denner (1655-1707) à Nüremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le « chalumeau ». La clarinette soprano (en si♭) est le modèle le plus commun.
Gravure, Lune, soleil, Vents, Repas, Contes indiens, Joseph Jacobs (1854-1916), John Dickson Batten (1860-1932)
Le repas du soleil, du vent et de la lune, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.
Le cor d'harmonie (French horn en anglais) est un instrument à vent de la famille des cuivres. Il est caractérisé par son embouchure et sa perce conique qui lui confère un son doux et riche en harmoniques.
Coup de vent dans les glaces, le 23 janvier 1840. Atlas pittoresque, planche 172. Atlas pittoresque, planche 138. Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.
Coup de vent près des îles powell le 27 janvier 1838. Atlas pittoresque, planche 16. Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.
Vecteurs vent, vitesse du bateau et vent apparent suivant les quatre allures du bateau : vent arrière, petit largue, bon plein et près. Plus le bateau accélère plus le vent apparent augmente, plus l'effort de la voile augmente. À chaque augmentation de vitesse la direction du vent apparent bouge, il faut régler de nouveau la voile pour être à l'incidence optimale (portance maximum). Plus le navire accélère, plus l'angle "vent apparent et direction du navire" se rapproche, donc la poussée vélique est de moins en moins orientée en direction de l'avancement du navire, obligeant un changement de cap pour être de nouveau dans les conditions maximales de poussée vélique. Le navire peut donc aller plus vite que le vent. L'angle "direction du navire et vent" peut être assez faible, il en résulte que le navire peut être aux allures de près à travers. Le navire remonte au vent.
Âne, Gravure, Moulins à vent, Gustave Doré (1832-1883), Ânes, Chevaliers et chevalerie, Don Quichotte, Sancho Panza, Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), Rossinante
Planche VI des illustrations de Gustave Doré, 1863, pour Miguel de Cervantes "Don Quixote": La bataille de Don Quichotte contre les "géants", les moulins à vent. L'aile emporte après elle le cheval Rossinante et le chevalier.
Don Quichotte et les moulins à vent, Alcalá de Henares (Espagne).
Photographie, Moulins à vent, Chevaliers et chevalerie, Azulejos, Littérature de jeunesse, Don Quichotte, Sancho Panza, Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616)
Azulejo de Puerto Lapice (Ciudad real) représentant une scène des aventures de Don Quichotte : le combat contre le moulin à vent.
Effet du vent sur une voile aux différentes allures.
Phénomène d'érosion éolienne et hydrique sur sol dévégétalisé, Ile Maurice (Colline, Chamarel). Dans la zone intertropicale, l'altération des roches feldspathiques par lessivage permet la formation de latérites, roches rouges ou brunes constituées d'hydroxydes d'aluminium et de fer et qui forment une véritable cuirasse à la surface des plateaux des régions chaudes et humides. L'érosion éolienne attaque les roches en enlevant des particules (déflation,abrasion) ou en polissant la surface. Elle est d'autant plus efficace que les obstacles sont inexistants et que le vent est puissant, régulier et chargé de poussières. Elle conduit à une dégradation environnementale sévère par l’appauvrissement des sols et le déplacement de volumes élevés de particules par le vent. L’érosion éolienne est le principal facteur physique d’épuisement des terres agricoles et, par l’ensablement, constitue une des gênes majeures dans les aires urbaines et oasiennes des écosystèmes secs.
Évolution du vent apparent. En ordonnée, vitesse du vent apparent en noeuds ; en abscisse, allure en degrés, de vent arrière à vent debout. En noir, vent réel à 14 noeuds.
Formation de précipitations orographiques : Les précipitations stratiformes proviennent du soulèvement lent et à grande échelle de l'humidité qui se condense uniformément ; précipitations orographiques où le relief force les masses d'air à s'élever : les versants au vent sont alors très pluvieux, les versants sous le vent sont plus secs. Le foehn est une illustration de ce phénomène.
Photographie, Musique, Instruments de musique -- Afrique, Instruments à vent, Flûte, Bois (instruments de musique), Roseaux, Instruments de musique -- Afrique du Nord, Instruments à vent en bois, Taghanimt, Aurès (Algérie. - massif)
La gasba ou tighanimt est un instrument de musique à vent rustique répandu en Numidie ou le Pays Chaoui (Tunisie occidentale et Algérie orientale) mais aussi dans les régions autrefois peuplées par les Numides tels que le Ziban au sud des Aures, ainsi que dans les autres grandes régions zénètes : en Oranie (Algérie) et au Rif (Maroc). C'est une flûte de roseau oblique à embouchure libre. L'artisan utilise une tige de taghanimt (roseau) des plus solides et souple. Les Aurès sont réputées pour la qualité de leurs roseaux. La gasba est une flûte oblique et à ce titre, elle se joue en posant la flûte sur le côté de la bouche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gasba
L'harmonica est un instrument de musique à vent et à anche libre fonctionnant sur le même principe que l'accordéon : des anches métalliques de taille et de poids uniques, produisent des sons en vibrant au passage de l'air (aspiré ou soufflé, ce qui est très peu fréquent pour un instrument à vent). D'une tessiture normale de trois octaves, il se décline en trois grandes familles : l'harmonica diatonique simple ; l'harmonica diatonique double (appelé aussi trémolo) ; l'harmonica chromatique.
Photographie, Phares -- France, Ondes, Ondes -- Propagation, Matière, Baleines (Charente-Maritime), Phare des, Énergie de la houle, Houle, Ondes de surface
Mer croisée, peu agitée. Petite houle au pie du Phare des Baleines, île de Ré, janvier 2011. La houle est un mouvement ondulatoire de la surface de la mer qui est formé par un champ de vent éloigné de la zone d'observation (vent lointain). C'est donc un cas particulier de vague non déferlante. Il présente un aspect relativement régulier bien qu'il ne corresponde pas à la définition de la vague régulière périodique. Il ressemble plutôt à une telle onde dont l'amplitude varie lentement. Plus précisément c'est la partie de l'état de la mer qui se caractérise par son absence de relation avec le vent local. Une houle se caractérise en première approximation par une hauteur, double de l'amplitude, (de quelques décimètres à quelques mètres) et une longueur d'onde ou une période (généralement de l'ordre d'une dizaine de secondes). En réalité, il s'agit d'un phénomène qui n'est pas périodique et qui peut s'interpréter comme une somme d'une infinité de composantes sinusoïdales infiniment petites.
Photographie, Musique, Instruments à vent, Bambous, Calebasses, Anches, Instruments de musique -- Chine, Instruments à vent -- Anches, Dai (peuple d'Asie)
Le hulusi est un instrument à vent à anche libre de culture dai, composé d'une calebasse et de tubes de bambou. Le son est proche de celui d'une clarinette. C'est un cousin du pungi indien. Trois tubes sortent de la calebasse. Le central, le plus long, comporte des trous, bouchés avec les doigts. Dans certains hulusi, le tube central peut se détacher du reste pour se transformer en une flûte traversière. Selon les modèles, un ou deux des autres tuyaux contiennent un bouchon amovible : ce sont des bourdons qui produisent un son lorsque le bouchon est enlevé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hulusi
Photographie, Musique, Instruments à vent, Instruments de musique électroniques, Synthétiseur (instrument de musique)
Instrument à vent électronique (EWI) permettant de piloter un synthétiseur. L'EWI possède un bec équipé de capteurs de pression d'air (contrôle du volume) et de pression des lèvres (vibrato). Les clefs ne se déplacent pas, la détection des doigtés se fait par conductivité (détection de la position des doigts par courant électrique), ce qui permet de jouer très rapidement. L'octave est choisie parmi sept en positionnant le pouce gauche sur un ensemble de rouleaux. Le capteur de pression d'air permet une grande étendue dynamique, en particulier en combinaison avec un synthétiseur analogique. Le contrôleur à vent indique les notes à jouer à un synthétiseur intégré ou externe, il est possible de le connecter à une station de travail numérique afin de produire une plus grande variété de sons. Cet instrument a été utilisé tout particulièrement par les musiciens smooth jazz. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Electronic_Wind_Instrument
Photographie, Instruments de musique, Instruments à vent, Instrumentistes, Instruments de musique mécaniques, Automatophones, Dinant (Belgique), Musique des rues, Orgue de Barbarie
Joueur d'orgue de Barbarie à Dinant en Belgique. L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.
Joueur de Cor des Alpes suisse à Nendaz, dans le Valais (Suisse). Le cor des Alpes est un instrument de musique à vent utilisé initialement pour communiquer à distance en montagne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cor_des_Alpes.
Dessins et plans, Moulins à vent, Ailes, Communication, Arts du langage, Communication non-verbale, Communication et culture, Communication visuelle
Langage des ailes de moulin à vent : en quartier, en bout de pied, en jambe de chien gauche, en jambe de chien droite. Les moulins étaient aussi des postes de surveillance avec leurs messages codés : les ailes arrêtées en croix de saint André (en quartier) signalaient un heureux évènement chez le meunier, que le moulin était au repos ou le retour au calme dans un conflit militaire ; les ailes en croix grecque (en bout de pied) signalaient que le moulin était prêt à travailler ou appelaient au rassemblement ; inclinées à gauche, position « venante », elles annonçaient un heureux événement comme un mariage ou une naissance ou alertaient d'un danger militaire ; inclinées à droite, elles annonçaient un deuil chez le meunier ou dans le village ou un danger militaire écarté. Les ailes étaient toujours orientées vers le lieu de l'événement.
Peinture, Vents, Hans Christian Andersen (1805-1875), Anne Anderson (1874-1930), Alchimistes, Contes merveilleux
Le conte du vent, conte de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Anne Anderson (1874-1930).
Gravure, Contes de fées, Art nouveau (décoration), Hirondelles, Hans Christian Andersen (1805-1875), Coloriages, Dessin en noir et blanc, Dugald Stewart Walker (1883-1937)
Frontispice du "conte du vent", conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 108
Peinture, Contes de fées, Art nouveau (décoration), Hans Christian Andersen (1805-1875), Dugald Stewart Walker (1883-1937)
Le conte du vent, conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 114.
Gravure, Soleil -- Activité, soleil, Vents, Ésope (0620?-0560? av. J.-C.), Fables antiques, Charles Robinson (1870-1930)
Douze fables d'Ésope illustrées par Charles Robinson, 1895 ː Le soleil et le vent.
Le vent du nord et le soleil, fable d'Ésope. (151 mots, à partir du CE1) Traduction de la version anglaise de Vernon Jones de 1912 (Gutenberg) par als (avril 2012).
Dessins et plans, soleil, Vents, Ésope (0620?-0560? av. J.-C.), Fables antiques, Arthur Rackham (1867-1939)
Le vent du nord et le soleil, 1912, illustration de la fable d'Ésope par Arthur Rackham (1867-1939). Source : Gutenberg, 11339.
Gravure, Vents, Dix-septième siècle, Ésope (0620?-0560? av. J.-C.), Cruches, Fables antiques, Wenceslaus Hollar (1607–1677)
Le vent et la cruche, fable d'Ésope illustrée par Wenceslaus Hollar (1607–1677).