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Gravure | Passants | Photographie | Boucs | Trépieds | Gourdes (récipients) | Orme | Architecture médiévale -- Europe | Blessures | Jules Verne (1828-1905) | Littérature de jeunesse | Édouard Riou (1833-1900) | Eau -- Distribution | Batna (Algérie. - wilaya) | Pluie | Louis-Léopold Boilly (1761-1845) | Droit de passage | Péages urbains | Peinture | Outres (récipients) | ...
Bonnet et écharpe en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c45d0-bonnet-et-echarpe-en-hiver

Bonnet et écharpe en hiver

Bonnet et écharpe en hiver pour un passant dans la rue.

La Petite aux grelots 07. Source : http://data.abuledu.org/URI/534822df-la-petite-aux-grelots-07

La Petite aux grelots 07

Images d'Épinal, 1880, La Petite aux grelots : De retour à la maison elle raconta à sa grand’mère ce qu’elle avait vu, puis prenant ses vêtements elle y attacha une grande quantité de grelots, et s’étant munie de deux petits bâtons garnis de sonnettes, ainsi équipée, elle reprit le chemin du château en agitant ces bâtons : Tique, tique tac…. tique, tique tac…. Source : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Petite_aux_grelots

Le coup de vent en 1894. Source : http://data.abuledu.org/URI/55192bbf-le-coup-de-vent-en-1894

Le coup de vent en 1894

Le coup de vent dans la rue en 1894, par Félix Vallotton (1865-1925).

Conte du lion blessé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5251c9b1-conte-du-lion-blesse

Conte du lion blessé

Illustration des contes de fées de Joseph Jacobs (1854-1916), par John Dickson Batten (1860-1932), p.107 : le lion blessé. Androclès fut un esclave romain. On raconte qu'ayant été livré aux bêtes dans le Grand cirque de Rome pour s'être enfui de chez son maître, proconsul d'Afrique, il fut reconnu et épargné par un lion dont il avait guéri une blessure dans les déserts de l'Afrique. L'empereur, apprenant cette explication de la bouche d'Androclès, le gracia et lui fit cadeau du lion. Androclès le promena en laisse dans la ville, recevant de l'argent des passants. Cet événement est placé vers le Ier siècle. Il n'a d'autre garant que le récit d'Aulu-Gelle, qui le cite d'après Apion, qui en aurait été le témoin à Rome probablement sous Caligula.

La maison du professeur Lidenbrock. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280b192-la-maison-du-professeur-lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock, illustration by Édouard Riou page 19 de "Voyage au centre de la Terre", 1864, de Jules Verne (1828-1905) : La vieille maison penchait un peu, il est vrai, et tendait le ventre aux passants ; elle portait son toit incliné sur l’oreille, comme la casquette d’un étudiant de la Tugendbund ; l’aplomb de ses lignes laissait à désirer ; mais, en somme, elle se tenait bien, grâce à un vieil orme vigoureusement encastré dans la façade, qui poussait au printemps ses bourgeons en fleurs à travers les vitraux des fenêtres.

Outre en peau de bouc. Source : http://data.abuledu.org/URI/53601b2c-outre-en-peau-de-bouc

Outre en peau de bouc

Guerba , ou l'outre auressienne, à Aïn Touta près de Batna : Signifiant récipient, la Guerba est le symbole même de la région des Aurès. Elle sert de contenant à une eau qu'elle conserve fraîche grâce à sa composition intérieure et donne à l'eau ce goût unique particulier si apprécié des Chaouis des Aurès. Encore utilisé aujourd'hui, ce Frigo ancestral donne la mesure de la générosité des habitants chaouis des Aurès. À l'ombre, accrochée au mur à l'aide d'une tige métallique ou suspendue à la Hamara (en chaoui, ce qui signifie trépied ou encore El Hamara en arabe), l'outre offre généreusement de son ventre et de son goulot étroit, son eau aux passants, une eau fraîche et d'un goût agréable.

Péage du Passez-payez. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9704a-peage-du-passez-payez

Péage du Passez-payez

Passez-Payez sous la pluie à Paris, 1803, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). « Passez payez » est la devise et le cri des décrotteurs parisiens qui, pendant les années qui suivent la Révolution, chaque fois qu'il pleut, posent une planche à travers la chaussée pour les passants qui souhaitent traverser sans s'enfoncer dans la boue et veulent bien leur verser en contrepartie un droit de passage. Au lendemain de la Révolution et des guerres qui l'ont suivie, la capitale abrite une foule de pauvres et de déracinés à la recherche de moyens de subsister. C'est ainsi que vers les années 1800, certains d'entre eux imaginent, à l'aide d'une simple planche munie à l'une de ses extrémités de deux roues, un nouveau service à offrir aux membres des classes aisées.