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Bambous | Photographie | Musique | Instruments à vent | Instruments de musique | Botanique | Peinture | Flûte | Forêts | Échafaudages | Gravure sur bambou | Flûte droite | Dessins et plans | Alimentation | Gravure | Instruments de musique -- Chine | Instruments de musique -- Japon | Kyōto (Japon) | Routes | Instruments de musique -- Indonésie | ...
Arbres de serre. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f18b5-arbres-de-serre

Arbres de serre

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p. 294 : manuel scolaire, édition de 1904. ARBRES DE SERRE. - Les principaux sont les palmiers, qui ne peuvent guère croître en France à l'air libre que dans le comté de Nice et à Toulon, les bambous, sorte de grands roseaux dont on trouve des plantations aux environs de Nîmes, les bananiers les aloès, les cactus aux feuilles piquantes.

Bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f96159-bambous

Bambous

Bambous, entre 1540 et 1590, par Xu Wei (1521–1593), peintre chinois auteur de la légende de Mulan.

Bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/54042967-bambous

Bambous

Bambous.

Contes de fées japonais - 99. Source : http://data.abuledu.org/URI/5684678c-contes-de-fees-japonais-99

Contes de fées japonais - 99

Contes de fées japonais - 99, traduction en anglais par 0zaki, 1908 : Le coupeur de bambous.

Cuisson à la vapeur dans un bambou. Source : http://data.abuledu.org/URI/51026afd-cuisson-a-la-vapeur-dans-un-bambou

Cuisson à la vapeur dans un bambou

Cuisson à la vapeur dans une branche de bambou coupée aux deux extrémités posée de biais sur un support fourchu. Source : Peter Darman, "The Survival Handbook" 1996. Schéma manuscrit légendé en anglais : Steamingtechniques.jpg ; KVDP. Derivative work -vectorisation : Bamboo_steaming.svg ; Beao. Traduction en français : Christophe Catarina.

Échafaudages de bambous à Shanghai. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af4e0-echafaudages-de-bambous-a-shanghai

Échafaudages de bambous à Shanghai

Échafaudages de bambous à Shanghai. Le tronc du bambou est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour les échafaudages.

Ektara du Bengale. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c528d-ektara-

Ektara du Bengale

L'ektara des bauls du Bengale, est un instrument unique en son genre. C'est une petite caisse de résonance cylindrique en bois ou gourde, sur laquelle une peau de chèvre est fixée ; une corde est nouée à celle-ci et tendue grâce à deux languettes d'un bambou fendu fixées elles au bord de la caisse. Une cheville y est placée pour accorder la corde. On en joue debout ou assis, et uniquement de la musique folklorique ou des bhajans dévotionnels. On obtient une mélodie sur l'instrument baul en pressant sur le bambou fendu en deux : plus on presse le bambou, plus la note devient grave, et plus on le relâche, plus la note devient aiguë. Pour l'autre, il suffit de pincer la corde avec le doigt, et il n'y a pas de variation mélodique : c'est un bourdon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ektara.

Forêt de bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102b0a5-foret-de-bambous

Forêt de bambous

Forêt de bambous. Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome. La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux-mêmes divisés en ramuscules. Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour. Les chaumes se balancent aux vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.

Forêt de bambous à Taïwan. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af3ef-foret-de-bambous-a-taiwan

Forêt de bambous à Taïwan

Forêt de bambous près de Shizhuo (Comté de Shiayi à Taïwan). Cette île est située au sud-est de la Chine continentale, au sud du Japon et au nord des Philippines, et bordée à l’est par l’océan Pacifique, au sud par la mer de Chine méridionale, à l’ouest par le détroit de Taïwan et au nord par la mer de Chine orientale. Elle sera longtemps connue en français sous le nom de Formose et Formosa dans la majorité des autres langues européennes (ceci durant toute la période antérieure aux années 1960), puisque les marins portugais l’appelaient Ilha Formosa, la « belle île ». Le bambou est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30 % de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30 % d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires. Mais les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, à l'échelle locale. Le tronc du bambou est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour les échafaudages des gratte-ciel. Parmi les dix plus hauts du monde, ceux du Two International Finance Center (416 m) et Central Plaza (374 m) de Hong Kong, la Jin Mao Tower (421 m) de Shanghai, le Shun Hing Square (384 m) Shenzhen ou le Citic Plaza (391 m) de Guangzhou (Canton), en Chine, ont notamment utilisé ce matériau.

Hulusi chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53304b36-hulusi

Hulusi chinois

Le hulusi est un instrument à vent à anche libre de culture dai, composé d'une calebasse et de tubes de bambou. Le son est proche de celui d'une clarinette. C'est un cousin du pungi indien. Trois tubes sortent de la calebasse. Le central, le plus long, comporte des trous, bouchés avec les doigts. Dans certains hulusi, le tube central peut se détacher du reste pour se transformer en une flûte traversière. Selon les modèles, un ou deux des autres tuyaux contiennent un bouchon amovible : ce sont des bourdons qui produisent un son lorsque le bouchon est enlevé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hulusi

Panier à dos en canne de Provence. Source : http://data.abuledu.org/URI/52743449-panier-a-dos-en-canne-de-provence

Panier à dos en canne de Provence

Panier à dos en canne de Provence (Arundo donax, Jonc ordinaire ou Roseau à quenouilles).

Ryuteki, flûte traversière japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315eca-ryuteki

Ryuteki, flûte traversière japonaise

Le ryūteki est une flûte traversière japonaise fabriquée traditionnellement en bambou. Ryūteki signifie littéralement "flûte du dragon". Elle est utilisée dans la musique gagaku où le son du ryūteki est censé représenter les dragons qui montent entre les lumières des cieux (représentés par les shō) et les gens de la terre représentés par les hichiriki. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ry%C5%ABteki.

Shakuhachi, flûte chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316008-shakuhachi

Shakuhachi, flûte chinoise

Le shakuhachi est une flûte chinoise, également utilisée en musique japonaise droite à embouchure libre en bambou. Évoquant la nature, elle est utilisée en musique traditionnelle. C'est au VIe siècle qu'on retrouve des traces écrites de la flûte de bambou prouvant son utilisation au Japon. Au VIIe siècle, la flûte de bambou faisait partie des instruments utilisés pendant les représentations données à la cour, musique connue sous le nom de Gagaku. Le musicien est généralement agenouillé, assis sur ses talons. Contrairement au joueur de flûte à bec, qui souffle dans un bec rigide conduisant ainsi l’air dans un sifflet, le joueur de shakuhachi souffle dans son instrument comme on soufflerait dans le goulot d’une bouteille vide. L’embouchure du shakuhachi présente également un bord biseauté, permettant au joueur de contrôler très finement la hauteur du son, en un mouvement d’abaissement ou de montée de l’instrument, par rapport à l’axe des lèvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shakuhachi

Suling indonésienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339357e-suling

Suling indonésienne

La suling est une flûte droite indonésienne en bambou. On l'utilise notamment dans le duo kacapi suling. On la retrouve aux Philippines. C'est une flûte à conduit de 60 cm de long, avec le biseau taillé vers l'intérieur. Une bande en ratan ou en palme entoure l'extrémité plate, et entraîne la vibration de l'air nécessaire pour produire une note. Le nombre de trous diffère en fonction du style de jeu : pelog, salendro, madenda ou mandalungan. Elle est utilisée notamment dans le gamelan. Elle produit de nombreuses harmoniques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Suling

53 stations des chats de Tokaido. Source : http://data.abuledu.org/URI/513f1133-53-stations-des-chats-de-tokaido

53 stations des chats de Tokaido

53 chats pour illustrer les 53 stations de la route japonaise reliant au XVIII° siècle Tokyo et Kyoto, par Utagawa Kuniyoshi (1797-1861). La route du Tōkaidō, reliant Edo à Kyoto en passant par le littoral, représente une distance totale de 500 kilomètres environ, que les voyageurs du XVIIe siècle mettent alors pratiquement deux semaines à parcourir, à pied la plupart du temps, mais aussi à cheval, en logette de bambous tressés (kago) ou en palanquin (norimono), selon l'aisance plus ou moins grande des voyageurs.

Étal d'insectes grillés en Thailande. Source : http://data.abuledu.org/URI/522cbd93-etal-d-insectes-grilles-en-thailande

Étal d'insectes grillés en Thailande

Insectes frits vendus sur un étal à Bangkok en Thaïlande ; de gauche à droite : locustes, vers de bambous, chrysalides de mouches, criquets, scorpions, dytiques aquatiques et coléoptères aquatiques géants grillés.

Faisans du Tibet. Source : http://data.abuledu.org/URI/5310b4a0-faisans-du-tibet

Faisans du Tibet

Faisans du Tibet, Tragopan (Tragopan blythii) par John Gould (1804-1881). Leur nom commémore l'ornithologue britannique Edward Blyth (1810-1873). La bavette déployée est de forme plutôt carrée à angles arrondis et de couleur jaune bordée de bleu turquoise. Habitat : forêt luxuriante composée de chênes, de bambous, de fougères et de rhododendrons sur un épais sous-bois herbeux. Dans les zones exposées au dérangement humain, ce tragopan s’est réfugié en forêt primaire à sous-bois dense couvrant des parois escarpées. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tragopan_de_Blyth.

Pirogue à balancier de Vanikoro. Source : http://data.abuledu.org/URI/596e475c-pirogue-a-balancier-de-vanikoro

Pirogue à balancier de Vanikoro

Pirogue à balancier de Vanikoro de type ploynésien avec abri et voile, conçue pour aller en haute-mer : cordages en fibre de coco tressées, case en roseaux et bambous tressés, voile en feuilles de pandanus tressées.