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Dans le mythe osirien enfin, Horus est le fils d'Osiris et d'Isis. Osiris, assassiné par son frère Seth, est ramené à la vie, le temps d'une union, grâce aux efforts conjugués d'Isis et de Nephtys. C'est de cette union miraculeuse que naît Horus l’Enfant, que les Grecs appelleront Harpocrate, ou Harsiésis, Horus fils d’Isis. Pour venger la mort de son père Osiris, Horus affronte son oncle Seth, il gagne le combat et reçoit le trône d'Égypte en héritage. D'où son surnom de « vengeur de son père ». Il est par-là même le premier des pharaons après son père. Cependant, sa légitimité sera sans cesse contestée par Seth. Horus est borgne : lors du combat qui l’oppose à Seth, Horus a perdu son œil gauche, qui est reconstitué par Thot. Appelé Oudjat, cet œil, que les Égyptiens portèrent sous forme d’amulette, possédait des vertus magiques et prophylactiques.
Antiquités, Peinture, Mythologie grecque, Tragédies, Oreste, Iphigénie, Autels, Iphigénie en Tauride - Euripide (0480-0406 av. J.-C.), Morts -- Aspect religieux, Morts -- Culte, Rites et cérémonies, Rites et cérémonies funéraires, Rites et cérémonies funéraires antiques, Rites et cérémonies funéraires grecs
Offrandes aux morts (rite funéraire grec), illustration de "Iphigénie en Tauride" in « Histoires extraites des tragédies grecques », par Alfred Church (1829-1912), professeur de latin et chercheur britannique (source : Projet Gutenberg).
Ordre dorique en architecture : 1) Tympan du fronton, 2) Acrotère, 3) Cimaise (du fronton), 4) Corniche, 5) Mutule, 6) Geison, 7) Frise, 8) Triglyphe, 9) Métope, 10) Larmier, 11) Goutte, 12) Réglet (ou Regula), 13) Architrave, 14) Chapiteau, 15) Abaque, 16) Échine, 17) Colonne, 18) Cannelures, 19) Stylobate. Le prototype de la colonne dorique est une colonne de bois surmontée d'une pierre lisse ou granuleuse, qui deviendra le chapiteau (à Olympie, Pausanias, voyageur du IIe siècle, a vu des colonnes originales en bois du temple d'Héra encore en place). Les colonnes doriques les plus anciennes étaient très trapues (premier temple d'Aphaia à Égine), puis elles s'affinent avec le temps. De même le chapiteau, très aplati, se redresse et, à l'époque hellénistique, s'écarte à peine du fût. La hauteur de la colonne, comparée au diamètre inférieur, varie entre 4 diamètres et 5 diamètres 3/4 ; la dimension des entrecolonnements est de 1 diamètre environ ; le rapport de l'entablement à la colonne est à peu près de 1 à 3 ; la hauteur de l'architrave est généralement de 3/4 de diamètre ; celle de la frise, de un diamètre ; celle de la corniche, d'1/4 de diamètre ; celle du chapiteau, y compris l'échine, le tailloir et les filets, d'1/2 diamètre. Le nombre de cannelures du fût varie de seize à vingt-quatre. Chaque triglyphe tombe à l'aplomb du milieu de chaque colonne et du milieu de chaque entrecolonnement, excepté le triglyphe de chaque extrémité, qui se trouve rapporté à l'angle de l'entablement. Outre ces différences dans les proportions et les divisions, l'ordre dorique a connu, en Grèce, des variations assez remarquables de caractère et de style. La frise du Parthénon est ornée de bas-reliefs. La plus belle application qui ait été faite de ce système d'architecture se voit à Athènes, dans les Propylées et le Parthénon. L'ordre dorique est l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. Ce fut le système d'architecture que les Grecs employèrent dans le plus grand nombre de leurs monuments.
Papyrus trouvé à Oxyrhynque en Égypte, comportant un fragment des Éléments d'Euclide.
Phiale en argent de type perse, vers 400-350 av. J.-C. Provenance : Ithaque, Grèce ( British Museum). Une phiale (en grec ancien φιάλη / phiálê), un mot d'origine vieux-perse, est une coupe Perse Achéménide que les Grecs antiques servaient pour les rituels. Les phiales d'argent pouvaient être destinées à la thésaurisation, comme dans le sanctuaire d'Apollon à Délos à l'époque de l'Indépendance de la cité.
Peinture, Printemps, Aquarellistes, Renonculacées, Botanique, Aquarelles, Fleurs dans l'art, Pivoines, Jules Eudes (1856-1938), Flore, Paeonia
Poenia carollina, Pivoine mâle, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.Étymologie : Péon (Παιὠν - Paiôn) était un des plus anciens dieux guérisseurs des grecs, puisqu'il est mentionné dans les tablettes en linéaire B de Knossos en Crête. Il soigna et guérit Hadès et Arès de leurs blessures de guerre. Les anciens Grecs dénommaient aussi la pivoine "paiônia". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pivoine
Dessins et plans, Ports -- France, Antiquités grecques, Murs de villes, Architecture -- Dessins et plans, Marseille (Bouches-du-Rhône), Remparts, Plans d'architecture, Massilia (ville ancienne)
Jardin des vestiges de la bourse à Marseille. Schéma représentant l'ancien rivage de la mer et les remparts grecs : 1a: Corne du port, 1b: Quai de pierres, 1c: Plate-forme de décharge, 2a: Tracé des fortifications grecques de la deuxième moitié du IIe siècle avant J.C., 2b: mur de Crinas, 2c: Tour carrée, 2d: Tour penchée, 2e: Courtine, 2f: Tour sud, 3: avant-mur du Ve siècle, 4: Bassin d'eau douce (début du IIe siècle), 5: Terrasse funéraire à triglyphes bas (IVe siècle avant J.C.), 6a: Puits public (détruit), 6b: Terrasse funéraire (détruite), 7: Voie dallée (IVe siècle), 8: Centre commercial de la bourse.
Peinture, Philosophes grecs, L' école d'Athènes - Raphaël (1483-1520), Philosophes antiques, Raphaël (1483-1520), Platon (0427?-0348? av. J.-C.), Aristote (0384-0322 av. J.-C.), Éthique à Nicomaque - Aristote (0384-0322 av. J.-C.), Humanisme de la Renaissance, Humanistes, Timée - Platon (0427?-0348? av. J.-C.)
Détail de la fresque de Raphaël, L'Ecole d'Athènes, 1509. Aristote montre la terre pour exprimer sa croyance dans le savoir construit sur l'observation empirique et l'expérience ; il tient dans sa main gauche un exemplaire de l'Éthique de Nicomaque. Platon, à gauche, en peplum rouge, tient son Timée sous son bras gauche et montre le ciel, pour exprimer sa croyance dans les Formes.
Gravure, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Platon (0427?-0348? av. J.-C.), Dix-septième siècle
Illustration de l'ouvrage de Thomas Stanley, 1655, ''L'histoire de la philosophie, comprenant la vie, les opinions, les actions et les discours des philosophes, illustrés par une effigie de chacun d'eux''.
Dessins et plans, Portraits, Médecine, Médecine grecque et romaine, Dessin de portraits, Hippocrate (0460-0377 av. J.-C.), Médecine -- Histoire, RyXéo, Yvain Coudert, Philosophes grecs dans l'Antiquité, ABCD, ABCD-inventions, Éthique médicale, Médecine antique
Portrait d'Hippocrate (0460-0377 av. J.-C.), médecin grec. - Né dans l'île dorienne de Cos (Kos) en mer Égée méridionale (Dodécanèse) ; serait mort à Larissa en Thessalie. - Sous son nom, on groupe un grand nombre d'oeuvres, authentiques ou non, qui forment le "Corpus Hippocraticum" (notice data-bnf). Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Hippocrates_rubens.jpg
Photographie, Chiffres romains, Latin (langue), Hospices, Apothicaireries, Beaune (Côte-d'Or), Antidotes, Contrepoisons, Pharmacopée -- France, Pots de pharmacien, Thériaque
Pot à thériaque du XVIIIe siècle (Hospices de Beaune, Côte-d'Or). M.DCC.LXXXII (1782) : la thériaque (appelée θηριον par les Grecs) est un célèbre contrepoison rapporté de Rome par Pompée, puis complété par Andromaque, médecin de Néron. Autre appellation : mithridate, du Roi Mithridate qui s'en servait comme contrepoison. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9riaque
Gravure, Dix-huitième siècle, François Quesnay (1694-1774), Physiocrates, Tableau économique - François Quesnay (1694-1774)
Portrait de François Quesnay réalisé par Jean-Charles François d'après une peinture de Jean-Martial Frédou. La « Physiocratie » est le « gouvernement par la nature ». Le terme est forgé par Pierre Samuel du Pont de Nemours qui le crée en associant deux mots grecs : phusis (la Nature) et kratein (gouverner). On s'accorde à penser que le fondateur de cette école est François Quesnay, qui en devient le chef de file incontesté après la publication du Tableau économique en 1758, par lequel il décrit la circulation des richesses dans l'économie. Les Physiocrates s'appellent entre eux « Les Économistes ». Ces travaux révolutionnaires pour l'époque anticipent ceux d'Adam Smith en s'intéressant à la création de la richesse, mais aussi et surtout à sa répartition via des diagrammes de flux et de stocks représentant de manière très élaborée le fonctionnement de l'économie. Le but de ce groupe de marchands et de grands commis de l'État est de mettre en place les outils qui permettront au roi de France de mieux mesurer la création de richesse et ainsi pouvoir faire de meilleures lois permettant d'éviter les disettes via une production et une répartition optimisées des richesses. Cependant, en prenant pour hypothèse que le travail est la source de toute création de richesse, cette analyse va heurter de plein front les intérêts de l'aristocratie française, pour laquelle le simple fait de travailler était synonyme de dérogeance. François Quesnay en habile politique va dans le "Tableau économique" faire reposer la source de la richesse non plus sur le travail, mais sur la capacité « miraculeuse » de la terre à produire de la nourriture à chaque printemps !!!
Dessins et plans, Antiquités, Antiquités gréco-romaines, Antiquités romaines, Antiquités grecques, Vents, Rose des vents, Sénèque (0004 av. J.-C.-0065), Latin (langue)
Les 12 vents antiques, d'après la nomenclature de Sénèque : noms latins en rouge et grecs en bleu.
Dessins et plans, Cartes politiques, Bosphore (Royaume), Expansion territoriale, Grecs, Mer Noire (région. - nord), Pont-Euxin
Carte montrant l'extension du Royaume du Bosphore sous la dynastie des Spartocides.
Ganymède sur l'Olympe, entouré de Zeus qui lui a offert un coq, une déesse le couronnant et Hébé. Face A d'une amphore attique à figures noires, v. 510 av. J.-C.
Fables, Gravure, Dix-septième siècle, Jean de La Fontaine (1621-1695), François Chauveau (1613-1676), Athlètes, Poètes grecs anciens, Simonides Samius (06..-05..?)
Simonide préservé des dieux, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).
Gravure, Sculpture sur bois médiévale, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Socrate le Scholastique (0380?-0450?), Platon (0427?-0348? av. J.-C.)
Représentation médiévale de Platon (debout à gauche) et Socrate écrivant (assis, à droite).
Photographie, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Présocratiques, Sept sages de la Grèce, Législateurs, Solon (0640-0561 av. J.-C.), Venise (Italie) -- Palazzo Ducale
Chapiteau du portique du Palais ducal de Venise : Colonne 36 - "Chapiteau de la Justice", donné à Pietro Lamberti et Giovanni di Martino da Fiesole. Inscription en italien : "SALo UNO DEI SETE SAVI DI GRECIA CHE DIÈ LEGE" = Solon, un des sept sages de Grèce, qui fut législateur.
Statues, Gravure, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Ionie, Ionie -- Histoire, Milet (ville ancienne), Thalès, Théorème de, Asie mineure, Sept sages de la Grèce
Gravure représentant une statue de Thalès, un des sept sages de la Grèce, sur fond de ruines antiques, Thomas Stanley, (1655), L'histoire de la philosophie ("The history of philosophy : containing the lives, opinions, actions and Discourses of the Philosophers of every Sect, illustrated with effigies of divers of them").
Photographie, Statues, Anglais (langue), Géographes, Strabon (0060?-0020? av. J.-C.), Turc (langue), Amasya (Turquie), Auteurs grecs anciens
Statue du géographe Strabon à Amasya, Turquie. Plaque bilingue (en turc et en anglais).
Planche botanique du sureau noir (Sambucus nigra), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce est aussi appelé « arbre de Judas » . Il tire son nom du grec sambûke (flûte) : les pâtres grecs taillaient leurs flûtes dans le bois tendre du sureau dont les rameaux sont creux.
Dessins et plans, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Milet (ville ancienne), Présocratiques, Thalès, Théorème de, Asie mineure, Sept sages de la Grèce
Portrait de Thalès de Milet, THALES MILESIUS (Θαλῆς ὁ Μιλήσιος), ca. 624 av JC–ca. 546 av JC), philosophe grec pré-socratique de Milet en Asie Mineure, l'un des "Sept Sages" de Grèce. Source : "Promptuarii Iconum Insigniorum ", 1553, de Guillaume Rouille (1518?-1589)
Gravure, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Ionie, Ionie -- Histoire, Milet (ville ancienne), Présocratiques, Thalès, Théorème de
Buste de Thalès (illustration de l'ouvrage d'Ernst Wallis, 1877) "Illustrerad verldshistoria utgifven av E. Wallis. band I". Thalès de Milet, appelé communément Thalès (en grec ancien : Θαλῆς ὁ Μιλήσιος / Thalễs ho Milếsios), était un philosophe et savant grec né à Milet vers 625 av. J.-C. et mort vers l'an 547 av. J.-C dans cette même ville d'Ionie. L'Ionie est une région historique du monde grec antique située à l'ouest de l'Asie mineure, entre Phocée et Milet. Elle emprunte son nom à Ion, ancêtre légendaire des peuples de cette région. C'est en Ionie que se sont développées les premières formes de science de la philosophie en Occident, chez les penseurs appelés Présocratiques. Il fut l'un des « Sept sages » de la Grèce antique et le fondateur présumé de l'école milésienne. Philosophe de la nature, il passe pour avoir effectué un séjour en Égypte, où il aurait été initié aux sciences égyptienne et babylonienne. On lui attribue de nombreux exploits arithmétiques, comme le calcul de la hauteur de la Grande Pyramide ou la prédiction d'une éclips
Dessins et plans, Géométrie, Astronomie, Claude Ptolémée (0100?-0170?), Cercles, Cercles du triangle, Mathématiciens grecs
Quadrilatère illustrant le théorème de Ptolémée. Le théorème de Ptolémée est un théorème de géométrie euclidienne. Il décrit une relation algébrique entre les longueurs des côtés et des diagonales d'un quadrilatère, équivalente à l'inscription du quadrilatère dans un cercle. L'implication directe est attribuée à l'astronome et mathématicien grec Ptolémée, dont il se servit pour ses calculs liés à l'astronomie.
Dessins et plans, Pyramides, Pyramides -- Égypte, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Thalès, Théorème de, Sept sages de la Grèce, Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres - Diogène Laërce, Guizèh (Égypte) -- Pyramide de Mykérinos
Mesure de la hauteur de la grande pyramide de Gizeh (théorème de Thalès). Anecdote rapportée dans Le Banquet des Sept Sages de Plutarque : Selon Diogène Laërce, le pharaon Amasis aurait dit que personne n'était en mesure de savoir quelle était la hauteur de la Grande Pyramide et Thalès aurait relevé le défi en calculant le rapport entre son ombre et celle d'un corps de référence, au moyen d'un gnomon ou d'un bâton : « Ainsi, vous, Thalès, le roi d'Égypte vous admire beaucoup, et, entre autres choses, il a été, au-delà de ce qu'on peut dire, ravi de la manière dont vous avez mesuré la pyramide sans le moindre embarras et sans avoir eu besoin d'aucun instrument. Après avoir dressé votre bâton à l'extrémité de l'ombre que projetait la pyramide, vous construisîtes deux triangles par la tangence d'un rayon, et vous démontrâtes qu'il y avait la même proportion entre la hauteur du bâton et la hauteur de la pyramide qu'entre la longueur des deux ombres. »
Clip art, Géométrie, Triangle, Angles, Cercle, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Thalès, Théorème de
Illustration du théorème de Thalès dans un demi-cercle : propriétés des angles inscrits et complémentaires.
Illustration du théorème de Thalès : triangles inscrits dans un demi-cercle.
Chèvres, Peinture, Fromage de chèvre, Dix-neuvième siècle, Agriculture, Munich (Allemagne), Lait de chèvre, Nikolaos Vokos (1854–1902), Peintres grecs
Traite d'une chèvre en Grèce par une jeune femme, par Nikolaos Vokos (1854–1902), peintre grec de l'école de Munich.
Photographie, Chouettes, Antiquités grecques, Céramique, Céramique grecque de l'Antiquité, Vases grecs corinthiens
Aryballe protocorinthien en forme de chouette, vers 630 av. J.-C. Ouverture située sous le croupion, trou dans la base pour suspendre par un lacet. L'aryballe (grec ancien : αρυβάλλος, aryballos, la racine de ce mot est αρυω qui signifie "puiser") est un vase grec antique à panse globulaire, piriforme ou oboïde, utilisé pour stocker de l'huile parfumée destinée aux soins du corps. Les aryballes sont très fréquemment utilisés comme réservoir d'huiles par les athlètes.
Photographie, Vitraux civils, Décoration et ornement -- Art nouveau, Temples grecs, Louis Comfort Tiffany (1848-1933), Verriers d'art
Louis Comfort Tiffany stained glass, Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, Pennsylvania, USA.
Photographie, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Platon (0427?-0348? av. J.-C.), Esslingen (Allemagne)
Vitrail de l'église St Denis à Esslingen (sud-est de Stuttgart, en Allemagne) représentant PLATON. Légende en latin.
Photographie, Vitraux civils, Décoration et ornement -- Art nouveau, Arts décoratifs, Temples grecs, Louis Comfort Tiffany (1848-1933), Verriers d'art
Vitrail du temple grec par Tiffany en 1900, Cleveland Museum of Art, USA.
Peinture, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Arts de la Renaissance, Paradoxe, Vincenzio Carducci (1576-1638), Zénon d'Élée, Paradoxes de
Fresque de Carducci ou de Tibaldi illustrant l'enseignement des Paradoxes de Zélée : le philosophe montre aux étudiants les Portes de la Vérité et de l'Erreur (''Veritas et Falsitas''). Bibliothèque de l'Escurial, à Madrid. Zénon serait l'inventeur de la dialectique (méthode de raisonnement qui cherche à établir la vérité en défendant successivement des thèses opposées) ; l'œuvre de Zénon a été consacrée à argumenter contre les contradicteurs de Platon, son maître. Il est principalement connu de nos jours pour ses paradoxes restés célèbres dans l'histoire de la philosophie,
Dessins et plans, Histoire, Antiquités étrusques, Géographie, Méditerranée (région) -- Civilisation, Antiquités carthaginoises, Antiquités grecques et romaines
Carte des zones d'influences dans l'Ouest de la Mer Méditerranée en 509 av. J-C : Carthaginois en vert, Étrusques en bleu, Grecs en beige, Romains en marron.