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Photographie | Phares | Phares -- France | Géographie | Dessins et plans | Phare du XXe siècle en France | Aides à la navigation | Balises | Signalisation maritime | Sécurité maritime | Navigation -- Mesures de sécurité | Mer du Nord | Phare du XIXe siècle en France | Phare du Calvados | Botanique | Monuments historiques | Sports | Phare de la Somme | Peinture | Phare monument historique (France) | ...
Marie aux sabots de bois se gage - 16. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcd314-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-16

Marie aux sabots de bois se gage - 16

Marie aux Sabots de bois se gage - 16, Jordic (1876 - 1915) : ... en l'air, qui plonge soudain dans un grand tonneau de raisiné. On ne voit plus que deux pieds qui s'agitent en l'air désespérément. M. Poivre saisit les deux jambes et tire. Ohé ! hisse !! Marie est si enfoncée dans le raisiné qu'on n'arrive pas à la dégager de suite. "Ohé ! hisse !" M. Poivre, tout rouge, arrive enfin à retirer la petite bonne, mais dans quel état ! Le raisiné s'est collé à ses cheveux, son visage est enduit d'un masque gluant, elle a une robe de confiture. M. Poivre va chercher un seau d'eau, une des bonnes, obligeante, prend le grand balai de paille ; on frotte, on gratte, enfin on débarbouille Marie qui grelotte sous l'eau froide. Heureusement que la mère Mariannick la réchauffera bien vite avec quelques gifles qui lui éviteront un rhume. FIN

Marie aux sabots de bois se gage - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcb90d-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-2

Marie aux sabots de bois se gage - 2

Marie aux Sabots de bois se gage - 2, Jordic (1876-1915) : Marie a posé par terre le paquet qui contient son trousseau complet : une chemise, deux mouchoirs et une paire de bas. Sa patronne l'interroge : -- Savez-vous balayer, laver, repasser ? -- Oui, Madame. Marie a été très bien élevée : pain de seigle et galette de blé noir à tous les repas, gifles à discrétion. Et maintenant, à l'ouvrage. Madame arrive, majestueuse, dans sa robe de soie et dit : -- Vous allez vous occuper des enfants. Elle présente un beau chat angora au poil roux, et un magnifique caniche noir, au poil frisé. -- Voici M. Minet et M. Bob. Vous irez les conduire chez le père Bénéadek, le tondeur, rue...

Moulin de Barbaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/552af948-moulin-de-barbaste

Moulin de Barbaste

Moulin de Barbaste, Nérac (47). Le moulin a un aspect sévère. Le corps central a un plan carré. Il est cantonné de quatre tours également de plan carré. Le moulin se compose de six étages au-dessus de l'étage des roues du moulin. Hauteur des tours : 29 m. pour la plus haute, 26 m. et 27 m. pour les autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Moulin_des_Tours_de_Barbaste

Multiplication de deux carrés magiques - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f5679c-multiplication-de-deux-carres-magiques-1

Multiplication de deux carrés magiques - 1

Multiplication de deux carrés magiques : Soit à effectuer le « produit » de ces deux carrés magiques, un de 3x3 et l'autre de 4x4. Le carré magique final sera de 12x12. Le « produit » de deux carrés magiques crée un carré magique d'ordre supérieur aux deux multiplicandes. Ce produit s'effectue ainsi. Soit les carrés magiques M et N : 1) Le carré final sera d'ordre MxN ; 2) Diviser le damier final en NxN sous-damiers de MxM cases ; 3) Dans le carré N, réduire de 1 la valeur de tous les nombres ; 4) Multiplier ces valeurs réduites par M × M. Les résultats sont reportés dans les cases de chaque sous-damier correspondant du carré final ; 5) Les cases du carré M sont additionnées NxN fois aux cases du damier final. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carr%C3%A9_magique_%28math%C3%A9matiques%29.

Murène. Source : http://data.abuledu.org/URI/510be9ba-murene

Murène

Les murènes ou murénidés (Muraenidae) forment une famille de poissons anguilliformes. On compte environ 200 espèces réparties dans 15 genres. La plus grande espèce, la murène à longue queue‎, peut mesurer jusqu'à 4 m de long mais la plupart mesurent environ 1,50 m. Les murènes sont des prédateurs de crevettes, crabes, seiches, pieuvres et poissons qu’elles chassent plutôt la nuit. Elles chassent parfois en coopération avec des mérous ou d'autres poissons prédateurs.

Noble rhubarbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81b86-noble-rhubarbe

Noble rhubarbe

La noble rhubarbe ou rhubarbe du Sikkim (Rheum nobile) est une plante herbacée géante de la famille des Polygonaceae. Elle est originaire de l'Himalaya, on la trouve dans le nord-est de l'Afghanistan, au nord du Pakistan et de l'Inde, au Népal, au Sikkim (en Inde), au Bhoutan, au Tibet et au Myanmar, localisée dans l'étage alpin entre 4 000 à 4 800 m d'altitude. C'est une espèce extraordinaire de rhubarbe (genre Rheum). De ses 1 à 2 m de hauteur, Rheum nobile culmine au-dessus de tous les buissons et les herbes courtes dans son habitat, et elle est visible à plus d'un kilomètre. Rheum nobile est souvent appelée par les anglophones "glasshouse plant" = plante de serre, à cause de sa rangée externe de bractées translucides qui laisse passer la lumière visible, créant un effet de serre, mais arrêtant les rayons ultraviolets. Ceci constitue une importante défense contre l'augmentation de l'exposition aux UV-B et le froid extrême dû à l'altitude élevée de sa distribution.

Oppidum gaulois de Château-Chinon. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d4a259-oppidum-gaulois-de-chateau-chinon

Oppidum gaulois de Château-Chinon

Plan de l'oppidum gallo-romain de Castrum Caninum situé au sommet du Calvaire (609 m) à Château-Chinon dans la Nièvre, en Bourgogne. Compte tenu de sa situation stratégique, son histoire est chargée depuis les époques gauloise et gallo-romaine avec le peuple des Éduens, au Moyen Âge et à l'Ancien Régime comme étant une châtellenie puis un comté appartenant aux plus grandes familles du Royaume de France. D'après les fouilles archéologiques, l’oppidum était constitué d'une enceinte ovale, d'une superficie d'environ 3,5 ha (~130 m x ~250 m). L'accès y était rendu possible par deux poternes : l'une située au nord-est près d'une source, donnant accès aujourd'hui au bois de La Promenade, la seconde située au sud, tournée vers la ville actuelle en contre-bas. L'oppidum était divisé en deux parties inégales, séparées par une langue de terre entourée de deux fossés, encore observables de nos jours. La partie située au sud a ensuite servi d'emplacement au château féodal. Avant cela, l'oppidum gaulois aurait été également un castrum romain occupant une position stratégique de la voie romaine reliant Augustodunum (Autun) à Intaranum (Entrains-sur-Nohain).

Otaries d'Alaska. Source : http://data.abuledu.org/URI/5372a60e-otaries-d-alaska

Otaries d'Alaska

Otaries d'Alaska, île de Middleton. Le lion de mer de Steller ou otarie de Steller (Eumetopias jubatus) est la plus grande des espèces d'otaries et peut vivre jusqu'à 51,5 ans. Les mâles sont quatre fois plus lourds que les femelles et les plus gros peuvent atteindre 1 tonne pour une longueur de 3 m. Une femelle pèse environ 270 kg pour 2,20 m de longueur. Malgré leur poids, ils sont d'excellents nageurs. Le lion de mer de Steller possède une fourrure brune, plus foncée pour les femelles, et des mâchoires si solides qu'elles sont capables de broyer leurs proies : calmars, harengs, saumons, capelans et autres poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lion_de_mer_de_Steller

Parcours CheMAIN faisant à Concots 06. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b4848d-parcours-chemain-faisant-a-concots-06

Parcours CheMAIN faisant à Concots 06

Golem du Quercy : Panneau N°6 du parcours des artistes près de Concots-46, Mickaël Langevin (cliché als33). Le circuit entre les villages est d'environ 5 km, la boucle de Concots 700 m, et celle d'Escamps 1500 m.

Phare d'Ault en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535929a4-phare-d-ault

Phare d'Ault en Mer du Nord

Le phare d'Ault ou phare d'Onival, construit sur la falaise d'Onival sur la commune d'Ault dans la Somme, a été mis en service en 1951. C'est une tour tronconique blanche en béton armé au sommet de briques rouges. Il se situe sur le terrain militaire du sémaphore. Il est automatisé depuis 2001 et contrôlé du bureau de Saint-Valery-sur-Somme. Il remplace l'ancienne construction bâtie en briques en 1885 et dynamitée le 6 juin 1940. Hauteur : 28 m - Elévation : 108 m - Portée : 17 milles (31km). Feux : blanc et rouge, à 3 occultations groupées de 12 s. Optique : fixe, focale 0.50 m. Lanterne : halogène 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ault

Phare de Berck en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535925f6-phare-de-berck

Phare de Berck en mer du Nord

Situé à l'embouchure de la baie d'Authie, sur la pointe du Haut-Banc, dans les dunes, l'actuel phare de Berck (Pas-de-Calais) a été construit en béton précontraint. C'est une tour cylindrique en maçonnerie de béton qui est accolée à un bâtiment en forme de L dans un grand jardin. Il est situé à proximité de l'hôpital maritime de Berck. Le phare précédent, bâti en 1836, a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 44.50 m - Elévation : 57 m - Porté : 24 milles marins. Feux : 1 éclat blanc régulier 5 s. Optique : verre taillé à 4 panneaux focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Berck

Phare de Carteret dans le Cotentin. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f4bd0-phare-de-carteret

Phare de Carteret dans le Cotentin

Le phare de Carteret est une maison-phare bâtie sur la falaise du cap de Carteret, sur la commune de Barneville-Carteret (Manche). Hauteur : 18 m - élévation : 83.90 m - portée : 26 miles. Feux : Blanc à éclats (2+1), 15 s. Optique : Lentille de Fresnel à 6 panneaux, focale 0,50 m. Lanterne : Lampe halogène 660w - Ø 3 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Carteret

Phare de Cayeux en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535927d6-phare-de-cayeux-sur-mer

Phare de Cayeux en Mer du Nord

Le phare de Cayeux est situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, au sud de la baie de Somme. Le phare est détruit le 31 août 1944 par les troupes allemandes. Un feu provisoire est mis en service le 25 avril 1947 en attendant la construction du phare actuel. En septembre 1951, le nouveau phare est mis en service. C'est une tour cylindrique en maçonnerie lisse, peinte en rouge et blanc. Un pavillon attenant sert de logement pour le gardien. Il est automatisé depuis 1999. Le contrôle s'effectue du bureau de Saint-Valery-sur-Somme où il y a toujours un membre du personnel d'astreinte. Hauteur : 28 m - Elévation : 35 m - Portée : 19 milles. Feux : 1 éclat rouge régulier, 5 secondes. Optique : éclats tournants, 4 lentilles de Fresnel, focale 0.375m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cayeux

Phare de Chausey dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f51cd-phare-a-chausey

Phare de Chausey dans la Manche

Le phare de Chausey désigne une maison-phare située sur la Grande-Île de Chausey (Manche). Hauteur : 19 m - élévation : 37 m - portée 42 kms - feux éclats blancs/ 5 s. Optique : Lentille 4 panneaux au 1/4, focale 0,30 m - Lanterne : lampe halogénure 250 W. Sa présence a été rendue indispensable à cause du nombre considérable d'îles et d'îlots rendant la navigation hasardeuse. Cette construction en pierres de taille provient des carrières de l'île. Elle est constituée d'une tour carrée accolée à la façade arrière du bâtiment d'habitation des gardiens et des locaux techniques. Cette installation est complétée par un dispositif de corne de brume (corne 1 son/30 s) localisée à 80 m de l'habitation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Chausey

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Phare de Fécamp en Pays de Caux. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e2247-phare-de-fecamp

Phare de Fécamp en Pays de Caux

Le phare de Fécamp se situe à l'extrémité de la jetée nord, dite pointe Fagnet, de l'entrée du port de Fécamp, à 40 km environ au nord du Havre en Seine-Maritime, sur le littoral du pays de Caux. C'est un feu de port, couplé avec celui de la jetée sud, sur l'ancien sémaphore. hauteur 14.50 m - Elévation : 21 m - feux : fixe - automatisation : oui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_F%C3%A9camp

Phare de Gatteville dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6d79-phare-de-gatteville

Phare de Gatteville dans la Manche

Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Il comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Il est électrifié en 1893. Hauteur 74,75 m - Elévation 78,85 m - Portée : 29 milles (53 km) ; Feux : 2 éclats blancs 10 secondes - Optique : 2 lentilles de Fresnel à 4 panneaux 1/4 jumelés, focale 0.30 m ; Lanterne : lampes au xénon 1600 w 1 par temps clair, 2 si brume. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gatteville

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e60fd-phare-de-honfleur

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Honfleur, appelé aussi phare de la Falaise des Fonds ou phare du Butin, se situe sur la commune de Honfleur, département du Calvados, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine en aval du pont de Normandie. En 1908, ce phare fut réalisé à l'extinction du phare de Fatouville pour signaler l'entrée ouest du port de Honfleur. Il fut équipé d'un feu à 2 occultations/8 secondes (3 secteurs blancs, 2 secteurs rouges et un secteur vert). En 1933, il est électrifié et modifié en feu à 2 occultations/12 secondes (secteurs colorés : 3 blancs, 2 rouges, 1 vert). Il est éteint durant la guerre et rallumé en 1951. Le phare de Honfleur a été légèrement modifié après la guerre, lors de la construction de la route. C'est une tour carrée blanche en maçonnerie de pierres apparentes, corniche et chaînage d'angle en pierre de taille de granit de Cherbourg. Elle est rehaussée de la lanterne verte et l'appareillage provenant de l'ancien phare de l'Hôpital. Elle est équipée d'un feu à 3 éclats/12 secondes (secteurs colorés blancs, rouges, verts). Un feu rouge, présent sur la jetée, complète la signalisation. Hauteur : 14.50 m - Elévation : 17.50 m ; feux : 3 éclats/12 secondes (secteurs blancs, rouges et verts) ; Optique : tambour 360°/0.50 m de focal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Honfleur

Phare de l'île de Groix. Source : http://data.abuledu.org/URI/54324964-phare-de-l-ile-de-groix

Phare de l'île de Groix

Le phare de la pointe des chats, île de Groix dans le Morbihan. Construit vers 1897 sur une ancienne batterie de défense, il fut mis en service le 15 octobre 1898. On jugea indispensable la construction de cet édifice de 15,22 m (17,92 m au-dessus du niveau de la mer) en raison des nombreux navires qui faisaient naufrage sur la longue base rocheuse des Chats (appellation venant du surnom donné à ces récifs par les groisillons de l'époque), s'étendant sur plus d'un kilomètre. Chaque nuit, il avertit donc les marins en direction ou en partance de Lorient de l'important danger que représente cette côte très découpée, par 1 éclat rouge toutes les 5 secondes d'une portée d'environ 19 milles (soit 35 km). Automatisé, habité mais non gardienné, il ne se visite pas. La pointe où il se situe constitue une réserve naturelle géologique protégée. On y trouve plusieurs types de minéraux (grenats, micaschistes, glaucophanes, épidotes...). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_pointe_des_Chats

Phare de la Balue en Ille-et-Vilaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f61b1-phare-de-la-balue-en-ille-et-vilaine

Phare de la Balue en Ille-et-Vilaine

Le phare de la Balue, phare en terre, est un des quatre phares de Saint-Malo, situé près du quartier Saint-Servan. En août 1944, il est détruit par l'armée allemande. En janvier 1948, le phare, reconstruit à l'identique, est de nouveau allumé avec un feu directionnel vert. En 1975, il est automatisé et télécontrôlé. L'aide-radio fut supprimée en 2000. Hauteur : 37,5 m ; Élévation : 74 m ; Portée : 25 milles nautiques ; Feux : 1 feu vert fixe ; Optique Directionnel en verre taillé, focale : 0,50 m ; Lanterne : Lampe halogène 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_Balue

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6a5f-phare-de-ver-sur-mer

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine

Le phare de Ver-sur-Mer se trouve en baie de Seine, sur la commune de Ver-sur-Mer, dans le département du Calvados. Il a été mis en service au début des années 1900, endommagé en 1944 et remis en état après la guerre. C'est aussi un radiophare (indicatif éR-fréquence 310 kHZ - portée 20 miles). Hauteur : 13 m - Elévation : 42 m ; Portée : 26 milles (48 km) ; Feux : 3 éclats blancs 15 s - Optique : lentille à 6 panneaux focale 0.50 m -Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ver-sur-Mer

Phare du Cap Lévi sur la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e71e6-phare-du-cap-levi

Phare du Cap Lévi sur la Manche

Le phare du cap Lévi est situé au cap Lévi, sur la commune de Fermanville, dans la Manche. Il sert de relais entre le phare de la Hague et le phare de Gatteville. La tour est édifiée en 1947 sur les dessins des architectes Levasseur et Chauliat qui ont gardé le type de construction du phare détruit en 1944. La nouvelle tour est plus petite (28 mètres contre 31), mais a été construite à 2 mètres de plus au-dessus de la mer. Hauteur : 28 m - Elévation : 36 m - Portée 20 milles ; Feux : rouge à éclats, 5 secondes - Optique : type STPB en verre moulé à 4 panneaux, focale 0.375 m monture en aluminium Lanterne : lampe halogène 650 W. Kapelwic "l'anse de la chapelle" au Moyen Âge est le nom primitif d'un hameau dans une anse (vik en norrois) à proximité ; le nom est d'abord devenu "Caplevy" par métathèse de L et amuïssement du C. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Cap_L%C3%A9vi

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590a32-phare-du-cap-gris-nez-

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord

Le phare et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS). Le phare du cap Gris-Nez éclaire le Pas-de-Calais. Le phare actuel fut mis en service en 1957. C'est une construction en pierres apparentes se trouvant dans le site classé (1987) des deux caps de la côte d'Opale (cap Blanc-Nez et cap Gris-Nez). À son pied se trouve le CROSS Gris Nez. Le premier phare fut allumé en 1837 et rehaussé en 1861 ; l'électrification de celui-ci se fit en 1869. Détruit par les Allemands pendant l'été 1944, la tour fut reconstruite en 1952. Les optiques flottent dans un bain de mercure. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 31 m - élévation : 72 m - Portée : 29 miles marins. Feux : 1 éclat blanc toutes les 5 secondes. Optique : verre taillé à 2 panneaux, focale 0.375 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_cap_Gris-Nez

Phare du Hourdel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53592f23-phare-du-hourdel

Phare du Hourdel en Mer du Nord

Le phare du Hourdel est un phare situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, il est bâti sur le côté sud de la Baie de Somme, en bout de la pointe du Hourdel. Le premier feu date de 1840. En 1852, ce feu de port fixe est monté sur une potence de bois de 10 m. En 1905, un nouvel appareil est monté sur une potence métallique et cabane en tôle de 10,20 m de hauteur. Il est détruit en 1944. En 1948, une tour cylindrique de 18 m en béton armé et accolée à une chambre de service est construite. C'est un feu blanc et vert à 3 occultations toutes les 12 secondes. Hauteur : 18m - Elévation : 25 m - Feux : blanc et vert. Optique : directionnel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Hourdel

Phare du Portel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591a41-phare-d-alprech-le-portel-pas-de-calais

Phare du Portel en Mer du Nord

Phare situé sur la pointe d'Alprech au sud de la ville de Le Portel. Destiné à signaler le coté Sud du port de Boulogne sur Mer. Mise en service en 1963. Automatisé en 1977. Hauteur : 17 m - Elévation : 62.35 m - Porté : 26 milles (48 km). Feux : Blanc (3 éclats groupés 15 s). Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Portel

Pierre de Geyter. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc6eff-pierre-de-geyter

Pierre de Geyter

Pierre de Geyter à Lille-Fives : Le géant, après avoir descendu la rue du Château, rejoint la rue de Noyon. Inauguré en 1984 il représente le musicien compositeur de l'Internationale, Pierre de Geyter (1848-1932) qui fut ouvrier à Fives, faubourg de Lille. Le géant en est à sa deuxième version, mise en service en 2004. En 2006, il troqua la veste grise des ateliers ferroviaires pour le bleu de travail. D'une hauteur de 3,80 m et d'un poids de 35 kg, il nécessite un seul porteur. Le diamètre du panier est de 1,50 m à la base.

Piste d'athlétisme à huit couloirs. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d4c868-piste-d-athletisme-a-huit-couloirs

Piste d'athlétisme à huit couloirs

Poids, Saut à la perche, Saut en hauteur, Longueur et Triple saut, Marteau/Disque, Javelot. Une piste d'athlétisme est une surface plane et ovale, de longueur officielle de 400 m en plein air. La largeur et le nombre de couloirs sont variables (habituellement de six à huit couloirs de 1,22 mètre de large, le couloir 8 faisant 453,03 m de long). La piste d'athlétisme est souvent associé à d'autres aires, destinées à la pratique d'autres disciplines de l'athlétisme (sauts, lancers) ou à d'autres sports (football, rugby à XV). Plusieurs formes de piste existent, en anse de panier (à deux rayons) ou à un rayon. Les rayons changent selon la forme de la piste, la partie droite fait 80 m, la partie courbe (virage) fait 120 m. La longueur de la ligne droite d'arrivée permet le 100 m et le 110 m haies par un allongement de part et d'autre de l'anneau. Ceci est dicté par l'implantation générale du stade. Les critères sont la topographie du sol, l'emprise de toutes les zones annexes (tribunes, parking, voie d'accès, billetterie, stade d'échauffement, buvettes...), la présence ou non d'un terrain de foot ou de rugby au centre, etc...La longueur officielle du tour de piste est de 400 m ; certains stades font l'exception avec des tours de piste variant entre 500 et 600 m.

Planeur Biot Massia de 1879 au Musée du Bourget. Source : http://data.abuledu.org/URI/52718811-planeur-biot-massia-de-1879-au-musee-du-bourget

Planeur Biot Massia de 1879 au Musée du Bourget

Planeur Biot Massia (1879), Envergure 8.60 m x Longueur 4.20 m, poids 30 kg, Musée de l'Air et de l'Espace, Paris Le Bourget.

Platane multicentenaire de Fervaques. Source : http://data.abuledu.org/URI/531224ea-platane-multicentenaire-de-fervaques

Platane multicentenaire de Fervaques

Platane d'Orient du château le Kinnor à Fervaques, Calvados. Plus vieux platane de France : 25 m de hauteur, 13,80 m de circonférence à 1,50 m du sol, 36 m d'envergure. Domaine de Fervaques dit aussi château le Kinnor : Château et parc, classés Monument historique. Partie XVe siècle construite par Guillaume de Hautemer, maréchal de Fervaques, corps de logis en brique et pierre fin XVIe siècle/début XVIIe siècle, porterie à pont-levis, douves, vestiges du colombier, pont sur la Touques, parc.

Pont d'aquitaine à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148c0e0-pont-d-aquitaine-a-bordeaux

Pont d'aquitaine à Bordeaux

Pont d'aquitaine vu depuis la rive droite, à Lormont. Le pont d'Aquitaine est un pont suspendu situé sur la rocade de Bordeaux, France. Le pont fut terminé en 1967 et a une portée de 394 m pour une longueur de 1 767 m. En 1954, le maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas, devint ministre des Travaux Publics et, dès le 13 août 1954, la décision de principe de construire le pont suspendu était prise. Le ministre des Travaux Publics, Robert Buron, en posa la première pierre le 20 mai 1960. Commencés en 1961, les travaux se sont étalés sur six ans. L'ouvrage fut inauguré officiellement le 6 mai 1967, sous la présidence du ministre des Travaux Publics de l'époque, François-Xavier Ortoli. Conformément au « dogme » en vigueur en France à l’époque de la construction, les fils n’ont pas été galvanisés. Ils ont fait l’objet d’une protection individuelle et d’ensemble par des produits traditionnels, dont la durée de vie n’était pas à l’échelle de celle attendue de l’ouvrage.

Pont de Cadix. Source : http://data.abuledu.org/URI/58f53b2c-pont-de-cadix

Pont de Cadix

Le pont de la Constitution de 1812, appelé aussi pont de La Pepa, est un pont à haubans qui surplombe la baie de Cadix reliant Cadix au continent. Le pont, construit entre 2008 et septembre 2015, a une largeur de 34,3 m avec deux voies par direction, une portée de 540 m et une longueur totale de 3 092 m. Il est le second pont au monde pour sa hauteur (69 mètres) au-dessus du trafic maritime après le pont Verrazano-Narrows de New York.

Pont de Krk en Croatie. Source : http://data.abuledu.org/URI/555fd042-pont-de-krk-en-croatie

Pont de Krk en Croatie

Pont de Krk en Croatie. C'est un pont en arc mesurant 1430 m de longueur, il relie l'île croate de Krk à la Croatie et permet ainsi le passage de plus d'un million de véhicules par an. Il est le second plus long pont en arc en béton du monde et figure parmi les plus grandes arches jamais réalisées. Il se compose de deux arches en béton précontraint reposant sur l'îlot de Sveti Marko entre Krk et le territoire continental. La plus grande des deux arches mesure 390 m. La seconde arche mesurant quant à elle 244 m. Il fut inauguré le 19 juillet 1980 et portait initialement le nom Titov most (Le Pont de Tito) en mémoire du président yougoslave Josip Broz Tito. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_de_Krk

Règles de vol à vue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b12466-regles-de-vol-a-vue

Règles de vol à vue

Schéma résumant les règles de vol à vue en France (visibilité minimum, distance aux nuages) selon l'altitude par rapport au niveau moyen de la mer (AMSL) ou par rapport au sol (ASFC). Les règles spécifiques qui s'appliquent sous la surface S (vol à proximité des nuages, visibilité réduite à 1.5 km) ne concernent que les espaces aériens non controlés. Dans un espace de classe E la règle de distances aux nuages (1500 m hor. et 300 m vert.) et de visibilité minimale de 5 km s'applique jusqu'au sol.

Rhinocéros blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50618881-rhinoceros-blanc

Rhinocéros blanc

Les rhinocéros sont des mammifères herbivores appartenant à la famille des Rhinocerotidae, ordre des périssodactyles. Toutes les espèces de rhinocéros sont considérées comme menacées de disparition. Le rhinocéros fait localement l'objet d'un programme ou de projets de réintroduction. Ils peuvent mesurer 5 m de long pour 1,80 m de hauteur, et un poids pouvant avoisiner les trois tonnes. Ce sont les plus gros mammifères terrestres actuels après l'éléphant. Comme l'éléphant, le rhinocéros barète ou barrit.

Sari bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/511ad5bf-sari-bleu

Sari bleu

Le sari (साड़ी en hindi) est un vêtement traditionnel porté par des millions de femmes srilankaise et indiennes dont l'origine remonterait vers 100 av. J.-C.. C'est une des rares habitudes vestimentaires à avoir été conservée par le temps. Le sari est une large bande de tissu d'environ 1,20 m de large sur 5 à 6 m de long. Sa technique de drapé varie selon les régions, les castes, les activités, les religions, etc. Le sari se porte sur un jupon et un corsage serré laissant le ventre nu. Il est fait d'une pièce, et il n'est habituellement porté que par les femmes mariées car c'est l'un des six signes du mariage au Sri Lanka et en Inde.

Séquoia d'Ottrott. Source : http://data.abuledu.org/URI/5312683d-sequoia-d-ottrott

Séquoia d'Ottrott

Séquoia du parc des Frères de la Charité du Windeck à Ottrott (Bas-Rhin), le deuxième plus gros arbre d'Alsace avec plus de 10 m de tour de tronc à 1,50 m du sol.

Séquoia géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53943f14-sequoia-geant

Séquoia géant

Séquoia géant (Sequoiadendron giganteum) au Jardin du Pré-Catelan, Bois de Boulogne. Le chef indien Sequoyah le Cherokee, de son véritable nom George Guess, inventeur de l'alphabet cherokee, a donné son nom à l'arbre en raison de sa force et de sa persévérance. Cette dédicace fut faite par le botaniste autrichien Stephan Ladislaus Endlicher. Le Séquoia géant n'est pas l'arbre le plus haut ni le plus large du monde. Il est tout simplement le plus volumineux de la planète. Il atteint habituellement une hauteur de 50 à 85 m pour un diamètre de 6 à 8 m. Le Séquoia géant se caractérise également par sa longévité puisqu'il peut atteindre plus de 3 000 ans. Sa croissance initiale est vigoureuse et verticale avec une forme conique caractéristique. Au-delà de 100 ans, il a tendance à se développer plutôt en diamètre et son sommet s'arrondit. S'il ne pousse pas en situation isolée, il perd rapidement ses branches basses à cause de l'ombrage provoqué par les arbres voisins, ce qui explique l'absence de branches sur une hauteur de 20 à 50 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9quoia_g%C3%A9ant

Stratocumulus vu d'avion. Source : http://data.abuledu.org/URI/523371f2-stratocumulus-vu-d-avion

Stratocumulus vu d'avion

Stratocumulus perlucidus, vu d'un hublot d'avion. Le stratocumulus est un genre de nuage appartenant à l'étage inférieur et situé à une altitude comprise entre 500 et 2500 m. Son épaisseur est de 600 m. Il est d'origine convective, mais son extension verticale est immédiatement limitée par la stabilité de la couche supérieure. Visuellement, ce sont de larges masses sombres et arrondies, habituellement en groupe, lignes ou vagues.

Taille du Dilophosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/512299e9-taille-du-dilophosaurus

Taille du Dilophosaurus

Comparaison entre la taille d'un homme et celle de deux espèces de Dilophosaure. Il pouvait mesurer jusqu'à deux mètres cinquante de haut, six mètres de long et peser 500 kilogrammes. Son crâne possédait des articulations qui lui permettaient de plisser le nez et une paire de crêtes osseuses sur la tête (d’où son nom). Le Dilophosaurus fut une importante figure dans le film de 1993 Jurassic Park et dans le roman original de Michael Crichton. La version filmée montre un Dilophosaurus qui possède une membrane rétractile au cou similaire à celle du chlamydosaurus ou lézard à collerette, et a la capacité de cracher aux yeux un venin aveuglant pour paralyser ses victimes. Il n'existe aucune preuve que le Dilophosaurus ait pu cracher du venin, ni qu'il ait possédé une collerette aux couleurs vives, ce qu'a reconnu M. Crichton, en invoquant la liberté de l'artiste. Dans le film de Steven Spielberg, le Dilophosaurus a été réduit à 1 m de haut et 1,5 m de long, beaucoup plus petit qu'en réalité.

Terrain de football. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d4b210-terrain-de-football

Terrain de football

Auteur : Arnaud Gaillard. Marquage du terrain : Le terrain de jeu doit être rectangulaire et délimité par des lignes. Ces lignes font partie intégrante des surfaces qu’elles délimitent. Les deux lignes de démarcation les plus longues sont appelées lignes de touche. Les deux plus courtes sont nommées lignes de but. Le terrain de jeu est divisé en deux moitiés par la ligne médiane qui joint le milieu des lignes de touche. Le point central est marqué au milieu de la ligne médiane. Autour de ce point, est tracé un cercle de 9,15 m de rayon. Afin de matérialiser la distance à observer par l’adversaire lors de l’exécution d’un coup de pied de coin, il est possible de tracer une marque à 9,15 m de l’arc de cercle de coin, à l’extérieur du terrain de jeu, perpendiculairement à la ligne de but et à la ligne de touche.

Terrain de rink hockey. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a1dcac-terrain-de-rink-hockey

Terrain de rink hockey

Terrain de rink hockey ou hockey sur patins. Le rink hockey se joue en salle, sur une piste (rink) rectangulaire pouvant mesurer de 34 m à 44 m de long sur une largeur de 17 m à 22 m en respectant toujours un ratio de 2:1, mais les matchs internationaux ne se déroulent que sur des pistes de 40 m sur 20 m. Les coins de la piste sont arrondis formant un quart de cercle mesurant entre 3 et 1 m de diamètre. La piste est entourée par une barrière d'au moins 0,20 m de haut et de 1 m de haut dans les matchs internationaux. Le sol peut être en béton, résine, plancher ou même marbre. Les buts ont une largeur de 1,70 m mètre et une hauteur de 1,05 m mètre. À l'intérieur des buts, un épais filet et une barre au ras du sol permettent d'emprisonner la balle dans les cages (auparavant, deux arbitres derrière chaque but validaient les buts). Derrière chaque but, un filet de 4 m de haut est dressé, afin d'éviter que la balle ne rebondisse sur un mur et frappe un joueur. Une ligne médiane sépare le terrain en deux zones. La surface de réparation mesure 9 m sur 5,40 m. À son extrémité se tient le point de penalty. Un demi-cercle du rayon de la cage constitue une zone de protection pour gardien. À 7,40 m mètres de la ligne de but, se tient le point de coup franc direct. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rink_hockey

Tétraèdre de Cauchy. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c46cfb-tetraedre-de-cauchy

Tétraèdre de Cauchy

Tétraèdre permettant de calculer le vecteur-contrainte normal à une face quelconque avec un vecteur n, fonction des composants du tenseur des contraintes. Considérons le petit élément de volume d au délimité par le tétraèdre de sommets M, (dx1,0,0),(0,dx2,0), (0,0,dx3). Les vecteurs normaux aux faces sont donc vec e_1,vec e_2,vec e_3 et le vecteur de composantes (1/mathrm{d}x_1, 1/mathrm{d}x_2, 1/mathrm{d}x_3). La force vec{mathrm{F}} s'exerçant sur une face vérifie vec mathrm{F} = mathrm{T} cdot vec n où vec n le vecteur caractéristique de la face, c'est-à-dire le vecteur normal ayant pour norme l'aire de la face. On a par exemple sur la face [M, (dx1,0,0),(0,dx2,0)], la relation vec mathrm{F} = egin{pmatrix} mathrm{F}_1 \ mathrm{F}_2 \ mathrm{F}_3 end{pmatrix} = egin{pmatrix} sigma_{11} & sigma_{12} & sigma_{13}\ sigma_{12} & sigma_{22} & sigma_{23}\ sigma_{13} & sigma_{23} & sigma_{33}\ end{pmatrix} cdot egin{pmatrix} 0\ 0\ (mathrm{d}x_1 cdot mathrm{d}x_2)/2\end{pmatrix}.

Thon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4cfec-thon

Thon

Le thon rouge du Nord (Thunnus thynnus), aussi appelé thon rouge de l'Atlantique ou « scombres », ou thon rouge de Méditerranée plus au sud, est l'une des trois espèces de thon rouge avec le thon rouge du Pacifique (Thunnus orientalis) et le thon rouge du Sud (Thunnus maccoyii). Il est rapide, pouvant atteindre 20 à 30 km/h, et de grande taille, puisque les spécimens les plus grands mesurent plus de 3 m et pèsent plus de 650 kg. Grâce à son sang chaud, il est capable de nager très rapidement et de chasser dans des eaux très froides. Le thon rouge vit principalement entre deux eaux, c'est-à-dire entre la surface de l'eau et jusqu'à 500 à 1 000 m de profondeur, ce qui lui vaut d'être qualifié de «pélagique».

Tour génoise des îles Finocchiarola. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20594-tour-genoise-des-iles-finocchiarola

Tour génoise des îles Finocchiarola

Les îles Finocchiarola (en corse Finuchjarola) forment un archipel inhabité de la mer Tyrrhénienne. Elles se trouvent toutes proches de la côte nord-est du Cap Corse, sur la commune de Rogliano, entre la baie de Tamarone (au sud) et celle de Santa Maria (au nord), et sont constituées de trois îlots désertiques : A Terra, le plus proche de la côte (200 m) ; Mezzana, l'îlot central ; Finocchiarola, le plus grand, le plus haut et le plus au large des îlots (500 m), qui culmine à 27 m au niveau de la tour ruinée. En 1594, une tour littorale fut construite au point culminant du plus grand îlot. Elle était destinée à la défense du Cap corse sous l'occupation génoise et est aujourd'hui en état de ruine. Les deux îlots les plus au larges sont la propriété du Conservatoire du littoral aujourd'hui, et le troisième entre dans sa zone d'intervention. L'archipel fait partie de la Réserve naturelle des îles Finocchiarola depuis 1987. La réserve fut principalement mise en place pour la préservation du goéland d'Audouin, espèce endémique. Les îlots présentent une faune et une flore très particulière. Ils tirent d'ailleurs leur nom d'une plante caractéristique, le fenouil sauvage, finochju en corse.

Traineau de transport égyptien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea6a2-traineau-de-transport-egyptien

Traineau de transport égyptien

Traineau de transport des barques funéraires du complexe funéraire de Sésostris III à Dahchour : il mesure 4,21 m de long pour une largeur de 0,78 m. Afin d'acheminer les pierres extraites des lointaines carrières (Assouan est situé à près de mille kilomètres de la région memphite des pyramides), le transport fluvial sur le Nil était nécessaire. Le transport par voie fluviale, parfaitement maîtrisé, était essentiel aux anciens Égyptiens. Ils avaient à leur disposition des embarcations spécialement adaptées aux lourdes charges (barges transportant des colonnes monolithiques et sans doute des blocs de granite à fond de cale ou suspendus dans l'eau entre deux embarcations), comme l'atteste le bas-relief de la chaussée d'Ounas. L'activité atteignait son maximum durant la période des inondations, mais, afin de remédier aux difficultés liées aux périodes de décrue, une voie navigable a été creusée parallèlement et à l'ouest du Nil, permettant aux convois de débarquer leurs lourdes charges dans les ports situés à l'emplacement des temples bas des divers chantiers.

Un diodon ou poisson hérisson. Source : http://data.abuledu.org/URI/552d8082-un-diodon-ou-poisson-herisson

Un diodon ou poisson hérisson

Diodon ou poisson porc-épic à épines courtes (Diodon liturosus), espèce de poisson marin démersale de la famille des Diodontidae. Il possède la capacité en cas de danger de se gonfler en avalant de l'eau ce qui a pour résultat de le rendre plus impressionnant vis-à-vis de son agresseur de par son volume et ses épines dressées. Autre particularité de l'animal, il concentre dans certaines parties de son corps comme le foie,la peau, les gonades et les viscères un poison mortel, nommé tétrodotoxine qui est une puissante neurotoxine. Ce système défensif constitue un dispositif supplémentaire pour dissuader les prédateurs potentiels. Il apprécie les lagons, les platiers et abords de récifs coralliens et rocheux entre la surface et 90 m de profondeur, toutefois il est généralement rencontré entre 15 et 30 m. Le régime alimentaire de ce poisson porc-épic est basé sur la consommation de crustacés, d'échinodermes, de mollusques bivalves et gastéropodes. Journal Museum Godeffroy, 1876. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diodon_liturosus

Usain Bolt aux Jeux Olympiques 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/534711f1-usain-bolt-aux-jeux-olympiques-2008

Usain Bolt aux Jeux Olympiques 2008

Usain Bolt exulte après sa victoire au 100 m durant les jeux olympiques de 2008 à Pékin. Photo prise très peu de temps (1 à 2 secondes) après le franchissement de la ligne d'arrivée. À Pékin, il est devenu le premier athlète masculin à gagner trois épreuves aux cours des mêmes Jeux olympiques depuis Carl Lewis en 1984, et le premier coureur de l'histoire à établir les records du monde dans ces trois disciplines lors des mêmes Jeux. Il a répété le même triplé à Londres. Son nom et ses performances en sprint lui ont valu le surnom de "Lightning Bolt" ("l'Éclair", ou "la Foudre"). C'est le premier sprinter à améliorer trois fois de suite le record du monde du 100 m et à obtenir la plus nette amélioration du record depuis le passage au chronométrage électronique, en 1968. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Usain_Bolt

Usain Bolt aux Jeux Olympiques de 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/5392e0a1-usain-bolt-aux-jeux-olympiques-de-2008

Usain Bolt aux Jeux Olympiques de 2008

Usain Bolt après sa victoire au "Cent mètres" des Jeux Olympiques de 2008 à Pékin. Il est le premier athlète à avoir réussi à conserver ses titres olympiques du 100 m, du 200 m et du relais 4 × 100 m, de Pékin les 16, 20 et 22 août 2008, à Londres les 5, 9 et 11 août 2012, et le premier olympien à avoir remporté quatre médailles d'or individuelles et six en tout dans les épreuves de sprint en athlétisme. Il devient à ce titre l'un des plus grands sprinteurs de tous les temps, se qualifiant lui-même de "légende". Il est également, l'athlète le plus décoré des championnats du monde d'athlétisme, totalisant, après ceux de Moscou 2013, huit médailles d'or et deux en argent. Source : fr.wikipedia.org/wiki/Usain_Bolt

Zèbres et termitière. Source : http://data.abuledu.org/URI/536018d8-zebres-et-termitiere

Zèbres et termitière

Zèbres et termitière en Tanzanie. Sa structure, construite et entretenue par les termites, est conçue pour une ventilation passive et le maintien d'une température et hygrométrie optimales pour le nid. Leurs formes et structures sont très variées. Ces monticules ou cheminées pouvant atteindre 6 m de haut (exceptionnellement jusqu'à 8 m en Afrique), et leur diamètre à la base, jusqu'à 30 m. La muraille de ces termitières, très dure, est faite d'un mélange de terre et de salive cuit par le soleil. Une termitière humivore est source de richesse organique et minérale, constituant un îlot de fertilité dans les cas étudiés en zone soudano-sahélienne. Elles sont utiles à la bonne conservation de la matière organique du sol en savane, abritant une communauté microbienne à la fois différente de celle du tube digestif des termites et du sol environnant. Elles ont une activité dénitrifiante 18 fois plus élevée que celle du sol local.Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Termiti%C3%A8re