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Salle de théâtre. Source :

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Salle de théâtre

Photo d'une salle de théâtre : The Journal Tyne Theatre

Séquence protéique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5382fa82-sequence-proteique

Séquence protéique

Schéma montrant les quatre principaux niveaux de la structure protéique. La structure des protéines est la composition en acides aminés et la conformation en trois dimensions des protéines. Elle décrit la position relative des différents atomes qui composent une protéine donnée. Les protéines sont des macromolécules de la cellule, dont elles constituent la « boîte à outils », lui permettant de digérer sa nourriture, produire son énergie, de fabriquer ses constituants, de se déplacer, etc. Elles se composent d'un enchaînement linéaire d'acides aminés liés par des liaisons peptidiques. Cet enchaînement possède une organisation tridimensionnelle (ou repliement) qui lui est propre. De la séquence au repliement, il existe 4 niveaux de structuration de la protéine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_des_prot%C3%A9ines

Structure tridimensionnelle du PCNA. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0a2e9-structure-tridimensionnelle-du-pcna

Structure tridimensionnelle du PCNA

Le PCNA (proliferating cell nuclear antigen) est une protéine connue pour améliorer la processivité des ADN polymérases chez les eucaryotes et les Archaea lors de la réplication de l'ADN1. La structure et la fonction du PCNA sont comparables à la pince β de l’ADN polymérase III des bactéries. Le PCNA est une protéine constituée de trois sous-unités formant un anneau. Cette structure lui permet d’encercler le brin d’ADN et de coulisser le long de ce brin : on l'appelle parfois "pince coulissante". Source : wikipedia, PCNA_protéine.

Carrés alimentaires de Krill. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e465f1-carres-alimentaires-de-krill

Carrés alimentaires de Krill

Carrés de "viande" de krill dans l'antarctique. Cent mille tonnes de Krills antarctiques sont pêchées chaque année. Cette pêche s’est développée à partir des années 1970, avant de connaître un pic au tout début des années 1980, avant de ralentir légèrement. Le contenu riche en protéines et vitamines du krill, qui le rend utilisable pour l'alimentation humaine comme pour l'industrie d'aliments pour animaux, ainsi que sa grande concentration et son abondance ont tout d’abord intéressé la Russie, une des premières nations à pratiquer cette pêche. Actuellement, les principales nations pêcheuses sont la Corée du Sud, la Norvège, le Japon, la Russie, l’Ukraine et la Pologne. La biologie particulière du krill pose d'autres problèmes pour son utilisation dans l'alimentation. En effet, rapidement après sa sortie de l'eau, les enzymes puissantes contenues dans le krill commencent à dégrader ses protéines, ce qui oblige à un traitement rapide du crustacé fraîchement pêché. La transformation consiste à séparer la partie arrière de la tête et à enlever la carapace de chitine, dans l'optique de produire des produits congelés et des poudres concentrées. Avant sa commercialisation, il est nécessaire d'ôter sa carapace chitineuse riche en fluorures qui sont des composés toxiques pour l'homme. Cette opération est assez délicate à cause de la taille de l'animal et de sa fragilité. Toutes ces difficultés ont fortement augmenté le coût de la pêche du Krill antarctique, et cette activité ne s’est pas autant développée que certains le laissaient présager.

Champs de colza en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/506ff0bd-champs-de-colza-en-fleur

Champs de colza en fleur

Champs de colza en fleur près de Bavenhausen (Allemagne). En Europe, à la suite de l'augmentation récente de la production d'agro-carburants à partir de colza, on peut considérer que le colza est cultivé à la fois pour l'alimentation animale (grâce à la teneur élevée en protéines du tourteau), pour les agro-carburants et pour l'alimentation humaine. C'est aussi un moyen pour les Européens d'éviter l'importation de produits OGM (soja) et d'assurer une autonomie partielle en protéines. La production mondiale de colza qui s'élevait à 36 millions de tonnes en 2003 (source FAO) a augmenté ces dernières années pour atteindre 56 millions de tonnes en 2011.

Croissance du tigre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df43aa-croissance-du-tigre

Croissance du tigre

Courbe de croissance du tigre du Bengale. Les jeunes tigres sont nus et incapables de marcher à la naissance ; ils pèsent de 750 à 1 600 g selon les sous-espèces : le tigre nouveau-né est 200 fois plus léger que le tigre adulte. Trois à trente minutes après la naissance, lorsque le premier cri est poussé, la tigresse libère les petits du cordon ombilical et les nettoie. Attirés par la chaleur du corps de leur mère, les nouveau-nés aveugles cherchent alors les mamelles en tâtonnant. L’allaitement commence durant les quatre premières heures, et les trois premiers jours y seront consacrés. Dans un premier temps, l'allaitement dure 70 % des heures du jour, puis le temps consacré à cette activité diminue : il passe à 60 % au bout de dix jours, 30 % après quarante jours et seulement 10 % à 90 jours, lorsque les jeunes tigres ont presque terminé leur sevrage. La tigresse se désintéresse rapidement des jeunes immobiles, considérés comme mort-nés ; de même, elle ne forcera pas ses petits à se nourrir. Le lait de la tigresse est très riche en lipides et en protéines, ce qui leur assure une croissance rapide : le tigre multiplie son poids par cent durant les vingt premiers mois, sa croissance continuant plus doucement jusqu’à ses deux ans. Source : Kailash Sankhala, "Le tigre : ses mœurs - son histoire - son avenir", MLP Editions, 1998, 96 p. (ISBN 2-7434-1070).

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7c336-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation.

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a2e0-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation. Les végétaux absorbent grâce à leurs racines les ions nitrate (NO3-) et, dans une moindre mesure, l'ammonium présent dans le sol, et les incorporent dans les acides aminés et les protéines. Les végétaux constituent ainsi la source primaire d'azote assimilable par les animaux. En milieu anoxique (sol ou milieu aquatique non oxygéné), des bactéries dites dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz diazote, c'est la dénitrification.

Fromage. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ad95c-fromage

Fromage

Fromage à croûte orange. Le fromage est un aliment de base, riche en graisses, protéines, calcium et phosphore à longue conservation en comparaison de la durée de conservation du lait à partir duquel il est fabriqué.

Huitres de palétuviers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50426-huitres-de-paletuviers

Huitres de palétuviers

Huîtres de palétuviers dans une mangrove de Carabane (Casamance, Sénégal). La cueillette de fruits de mer, notamment d’huîtres, est une autre activité ancestrale toujours pratiquée en Casamance, qui est l’une des trois régions productrices d’huîtres du Sénégal, avec la Petite-Côte et le Sine-Saloum. Les huîtres se développent sur les racines des palétuviers découvertes à marée basse. Elles sont cueillies pendant la saison sèche, principalement par les femmes, qui contrôlent, de la récolte à la distribution, une activité qui ne nécessite guère d’investissement en dehors des déplacements et qui leur assure une certaine autonomie financière. Les huîtres occupent une place importante dans la consommation familiale. Riches en oligo-éléments et en vitamine C, elles sont, chez les Diolas, la deuxième source de protéines animales après le poisson, devançant le poulet et le porc. Elles sont volontiers associées au riz, base de l’alimentation traditionnelle, voire le remplacent, en cas de pénurie. Localement on les consomme bouillies ou grillées au feu de bois, accompagnées d’une sauce relevée. Lorsqu’elles ont été décortiquées et séchées au soleil ou fumées, elles sont vendues dans la région ou conservées, éventuellement durant quelques mois. Dans certains villages – dont Karabane – elles sont parfois gardées vivantes, pendant plusieurs semaines, avant d’être transportées sur les marchés. Outre leurs qualités nutritives, les huîtres constituent aussi une source de revenus appréciable. Karabane se trouvant au centre de la zone de cueillette, c’est l’une des raisons pour lesquelles cette escale revêt une importance stratégique. Autrefois les huîtres étaient écoulées plus facilement, jusqu’à Dakar, au sein de la communauté diola qui y vit. Elles sont vendues par les cueilleuses elles-mêmes ou par les marchandes ambulantes, que l'on appelle bana-bana. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane

Insecte doré. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3555d-insecte-dore

Insecte doré

Un insecte recouvert d'or avant d'être examiné avec un microscope électronique à balayage. Les matériaux appelés à être regardés sous un microscope électronique peuvent nécessiter un traitement afin de produire un échantillon approprié. La technique requise varie selon le modèle et l'analyse requise. Le "Freeze-fracture" ou "gel-etch" : mode de préparation particulièrement utile pour l'examen des membranes de lipides et des protéines intégrées en vue de face. Les tissus frais ou cellules en suspension sont congelés rapidement, puis fracturés par simple cassure ou à l'aide d'un microtome, tout en étant maintenus à la température de l'azote liquide. La surface froide fracturée (parfois «gravée» en augmentant la température à environ --100 °C pendant plusieurs minutes pour que la glace sublime) est ensuite contrastée avec des vapeurs de platine ou d'or, à un angle moyen de 60° dans un évaporateur à vide. Une deuxième couche de carbone, pulvérisé perpendiculairement au plan moyen de la surface est souvent appliquée pour améliorer la stabilité du revêtement. Le spécimen est ramené à température et pression ambiante, puis la réplique métallique extrêmement fragile est détachée de la matière biologique sous-jacente par une délicate digestion chimique par des acides, une solution d'hypochlorite ou des détergents SDS. Le reste, encore flottant, est soigneusement lavé des résidus chimiques, soigneusement accroché sur les grilles du microscope, séché puis observé dans le MET.

Lentilles Beluga. Source : http://data.abuledu.org/URI/509b86a8-lentilles-beluga

Lentilles Beluga

La lentille cultivée (Lens culinaris) est une espèce de plantes dicotylédones annuelles appartenant à la famille des Fabaceae ou légumineuses, largement cultivée pour ses graines comestibles riches en protéines.

Oeuf cassé. Source : http://data.abuledu.org/URI/514b7c5b-oeuf-casse

Oeuf cassé

L'œuf de poule contient deux éléments comestibles, le blanc et le jaune. La valeur nutritive de l'œuf pour 100 g est de 140 calories, 12,3 g de protéines, 9,8 g de lipides et 0,58 g de glucides. Le jaune d'oeuf ou vitellus ; le blanc d'oeuf ou albumen, la coquille calcaire.

Plateau de safous mûrs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5380ee8b-plateau-de-safous-murs

Plateau de safous mûrs

Plateau de 22 safous très mûrs (Dacryodes edulis). Le safou est le fruit du safoutier. Le safou s’appelle prune en français courant, ceci est une appellation erronée. Il est aussi appelé atanga, en réalité il s'agit d'un emprunt de l’appellation indigène Atanga, au Gabon plus spécifiquement. Ainsi, en français on a créé le terme Atangatier pour désigner l'arbre qui produit les atangas. Il existe plusieurs variétés, le safou se distingue par la variété de ses couleurs d'un fruit à un autre, du rose clair au bleu marine en passant par le bleu ciel et le violet. Il renferme un noyau. La chair du safou est souvent grasse. Le safou contient 59 % d’humidité soit (53,3 g/100 g) d'eau, 4 % soit 11,2 g de protéines, 5 % de glucides, 8,7 % de fibres, 1,4 % de minéraux et fournit 234 cal pour 100 g. Sa teneur en acide gras (22,1 %) est équivalente à celle de l’avocat. On compte aussi le cuivre (0,93 mg/100 g), les lipides (29,4 mg/100 g). La pulpe fraîche contient des quantités considérables d'acides palmitique et linoléique. On trouve aussi dans le safou de la provitamine A (72 mg/100 g), de la vitamine C 11 mg (acide ascorbique), de la vitamine E (1,3 mg/100 g) et des minéraux, dont les plus présents sont le calcium (65 mg/100 g), le potassium (443 mg/100 g) et le phosphore (68 mg/100 g). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Safou

Pois protéagineux dans l'Union européenne 1973-2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0be99-pois-proteagineux-dans-l-union-europeenne-1973-2007

Pois protéagineux dans l'Union européenne 1973-2007

Évolution de la production de pois protéagineux dans l'Union européenne de 1973 à 2007. L'Union européenne est le deuxième producteur mondial de pois, derrière le Canada, mais reste importatrice nette. Les pois protéagineux (pois secs) sont très majoritairement destinés à l'alimentation animale. Ainsi au cours de l'exercice 2005/2006, sur une consommation totale de 3,85 millions de tonnes, 3,33 Mt (86,5 %) ont été incorporés dans les aliments composés pour animaux, tandis que l'alimentation humaine, les semences et l'export représentaient respectivement 5,2 %, 4,5 % et 3,7 %. La production communautaire avait fourni pour ce même exercice 2,44 Mt, soit un taux d'autosuffisance de 63,2 %. La France est de loin le premier producteur (avec 48,6 % du total) devant l'Allemagne, l'Espagne et le Royaume-Uni. Le développement de la culture du pois protéagineux en Europe a été lancée après l'embargo américain de 1973 sur les tourteaux de soja qui avait révélé la forte dépendance de l'Europe vis-à-vis des importations de protéines végétales du continent américain et la fragilité de l'approvisionnement de ses élevages hors-sol (porcins, volailles). Cette situation était la conséquence des accords du GATT de 1962, par lesquels la CEE pouvait maintenir des droits de douane élevés sur les céréales en contrepartie du libre accès des graines oléo-protéagineuses importées notamment des États-Unis). En France, la production de pois protéagineux, qui avait atteint son maximum à près de 3,8 millions de tonnes en 1993, a beaucoup baissé, atteignant 1,04 million de tonnes en 2006. Le pois y représente 75 % de la production totale de protéagineux (pois, féverolle, lupin). Le développement du pois (des plantes protéagineuses en général) et de son utilisation en alimentation animale a nécessité un important effort de recherche fondamentale et appliquée, tant sur le plan de la génétique que de ses applications agronomiques et zootechniques, mobilisant de nombreux organismes, comme l'INRA en France ou le John Innes Centre au Royaume-Uni. Ces recherches sont coordonnées au niveau européen par l'association européenne des protéagineux (AEP), dont les activités sont vulgarisées sur Internet par le « Grain Legume Portal».

Pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da80e-pomme-de-terre

Pomme de terre

Planche botanique de la Pomme de terre (Solanum tuberosum), Atlas des Plantes de France, 1891. La Pomme de terre, ou Patate (langage familier, canadianisme et français régional), est un tubercule comestible. Elle est originaire de la cordillère des Andes dans le sud-ouest de l'Amérique du Sud où son utilisation remonte à environ 8 000 ans. Introduite en Europe vers la fin du XVIe siècle à la suite de la découverte de l’Amérique par les conquistadors espagnols, elle s'est rapidement diffusée dans le monde et est aujourd’hui cultivée dans plus de 150 pays sous pratiquement toutes les latitudes habitées. C'est une source importante de glucides, qui se présentent principalement sous forme de fécule, mais aussi de protéines et de vitamines. Ses qualités nutritives et sa facilité de culture font qu’elle est devenue l'un des aliments de base de l’humanité. La fécule de pomme de terre a donné naissance à une industrie de transformation aux multiples débouchés dans les secteurs agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique et industriel.

Poudre de feuilles de baobab sêchées. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e5519c-poudre-de-feuilles-de-baobab-sechees

Poudre de feuilles de baobab sêchées

Vente de lalo (poudre de feuilles de baobab séchées) sur un marché de Joal-Fadiouth (Sénégal). Joal-Fadiouth est une commune du Sénégal située à l'extrémité de la Petite-Côte, au sud-est de Dakar. Elle réunit en réalité deux villages, Joal – le plus gros –, établi sur le littoral, et Fadiouth – le plus visité –, une île artificielle constituée d'amoncellements de coquillages et reliée à la côte par un pont de bois. La feuille de baobab riche en protéines et minéraux (calcium, fer, potassium, magnésium, manganèse, phosphore et zinc) se consomme en bouillie. Au Sénégal, le "lalo" est une poudre de feuilles de baobab séchées que l'on incorpore aux céréales ou aux sauces, notamment lors de la préparation du couscous de mil. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Baobab_africain.

Préparation du sagou 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/522cde2b-preparation-du-sagou-1

Préparation du sagou 1

Préparation du sagou en Indonésie. Le tronc du sagoutier râpé, donne après transformation une fécule alimentaire : le sagou, une poudre semblable à de l'amidon de maïs, mais elle offre peu de protéines et de vitamines.

Sarrasin ou Blé noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2ed1-sarrasin-ou-ble-noir

Sarrasin ou Blé noir

Planche botanique N° 280 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Blé noir (Polygonum fagopyrum). Malgré son appellation courante de blé noir, le sarrasin n'est pas une graminée, et n'est pas une espèce du genre Triticum (genre regroupant les variétés de blé). Il est dépourvu de gluten, ce qui le rend difficile à utiliser en panification ou pour la confection des pâtes. Il est utilisable dans la confection de produits destinés aux personnes intolérantes au gluten. Les fruits sont des akènes à trois angles, qui contiennent une seule graine. Leur maturation est très échelonnée, ce qui rend la récolte plutôt délicate. Riches en protéines, elles contiennent tous les acides aminés essentiels, en outre elles posséderaient de nombreuses propriétés pour l'alimentation. C’est un grain hautement nutritif, de surcroît riche en fibres solubles et en composés antioxydants. En France la culture a failli disparaître (le blé noir couvrait 700 000 hectares en France au XIXe siècle et 160 000 hectares en Bretagne au milieu des années 1960), remplacée par l'orge, le blé et le maïs, plus rentables. La FAO indique que 30 000 ha sont cultivés en France. Plante mellifère : dans le cadre de l'année internationale de la biodiversité 2010, un projet pilote est en cours en Franche-Comté qui vise à cultiver des surfaces de sarrasin pour permettre aux abeilles d'utiliser le pollen produit par ces plantes comme élément nutritif.

Schéma d'un grain du maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288c5d1-schema-d-un-grain-du-mais

Schéma d'un grain du maïs

Schéma d'un grain de maïs : 1-Embryon, 2-Albumen (Amidon farineux), 3-Couche à aleurone (amidon corné ou vitreux), 4-péricarpe, 5-zone de transfert. Le grain de maïs est en fait un caryopse, formé de trois parties d’origines différentes : 1) l’embryon, couramment appelé « germe », situé à la base du grain qui comprend l’embryon proprement dit ou « gemmule » et le scutellum, c’est-à-dire le cotylédon, organe de réserve dans lequel la plantule puise son énergie initiale ; l’embryon est issu de l’œuf formé à la suite de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et de l’oosphère, il est diploïde ; 2) l’albumen, tissu de réserve (blanc ou jaune), essentiellement composé de grains d’amidon, sauf la couche périphérique située sous le péricarpe qui contient des grains d’aleurone (incolore, rouge ou violet) riches en protéines ; ce tissu est issu de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et des deux noyaux de la cellule centrale, c’est donc un tissu triploïde (à 3n chromosomes) ; 4) l’enveloppe extérieure, fine membrane (incolore, rouge ou violette) translucide et fibreuse, issue du péricarpe de l’ovaire (donc en réalité une partie du fruit et non pas de la graine).

Structure d'un brin d'ADN. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ce3408-structure-d-un-brin-d-adn

Structure d'un brin d'ADN

Structure d'un brin d'ADN. Les quatre bases nucléiques C, G, A et T sont liées à une chaîne poly (2-désoxy-D-ribose-5-phosphate). La séquence des acides aminés dans les protéines est codée par les gènes constitués de l'ADN présent dans les chromosomes des cellules eucaryotes ou dispersé dans le cytosol des procaryotes — certains virus ont un génome constitué d'ARN. ADN et ARN sont des biomolécules de très grande taille formées par l'enchaînement linéaire de centaines de milliers de nucléotides de quatre types différents : l'ADN est un polymère de dAMP, TMP, dGMP et dCMP, symbolisées par les lettres A, T, G et C ;La séquence des acides aminés dans les protéines est codée par les gènes constitués de l'ADN présent dans les chromosomes des cellules eucaryotes ou dispersé dans le cytosol des procaryotes — certains virus ont un génome constitué d'ARN. ADN et ARN sont des biomolécules de très grande taille formées par l'enchaînement linéaire de centaines de milliers de nucléotides de quatre types différents : l'ADN est un polymère de dAMP, TMP, dGMP et dCMP, symbolisées par les lettres A, T, G et C. Ces nucléotides sont eux-mêmes formés respectivement d'une unité 2-désoxy-D-ribose-5-phosphate pour l'ADN.

Structure d'un chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/529061e2-structure-d-un-chloroplaste

Structure d'un chloroplaste

Ultrastructure d'un chloroplaste : 1-membrane externe, 2-espace intermembranaire, 3-membrane interne (1+2+3 : enveloppe), 4-stroma (fluide aqueux), 5-lumière du thylakoïde, 6-membrane du thylakoïde, 7-granum (thylakoïdes accolés), 8-thylakoïde inter-granaire (lamelle), 9-grain d'amidon, 10-ribosome, 11-ADN, 12-plastoglobule (gouttelette lipidique). La taille des chloroplastes est de l'ordre du micromètre (µm). Ils prennent souvent la forme de disques aplatis de 2 à 10 µm de diamètre pour une épaisseur d'environ 1 µm. Le chloroplaste est un organite composé de deux membranes (1 et 3) séparées par un espace inter-membranaire (2). Il contient un réseau membraneux constitué de sacs aplatis nommés thylakoïdes (8) qui baignent dans le stroma (4) (liquide intra-chloroplastique). Les thylakoïdes sont composés d'un lumen (5) entouré d'une membrane (6), et contiennent de la chlorophylle (pigments verts) et des caroténoïdes (pigments jaune orange). Un empilement de thylakoïdes se nomme granum (7) (au pluriel : des grana). D'autre part, le stroma contient quelques réserves sous forme d'amidon (9), et des structures lipidiques dont le rôle est encore mal compris, les plastoglobules (12). De plus, ces organites contiennent de l'ADN regroupé en nucléoides (11). Les ribosomes (10) sont constitués d'ARNr, synthétisés dans les chloroplastes, et de protéines codées par les génomes nucléaires et chloroplastiques.

Structure générale des acides aminés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ce32ab-structure-genetique-des-acides-amines

Structure générale des acides aminés

Structure générale d'un acide α-aminé. Les acides aminés (ou aminoacides) sont une classe de composés chimiques possédant deux groupes fonctionnels : à la fois un groupe carboxyle –COOH et un groupe amine –NH2. Parmi ceux-ci, les acides α-aminés se définissent par le fait que leur groupe amine est lié à l'atome de carbone adjacent au groupe acide carboxylique (le carbone α), ce qui leur confère la structure générique H2N–CHR–COOH, où R représente la chaîne latérale, qui identifie l'acide α-aminé. Les acides α-aminés jouent un rôle fondamental en biochimie comme constituants élémentaires des protéines : ils polymérisent en formant des liaisons peptidiques qui aboutissent à de longues chaînes macromoléculaires appelées peptides.

Usine de production de farine de poisson en Écosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e3eff7-usine-de-production-de-farine-de-poisson-en-ecosse

Usine de production de farine de poisson en Écosse

Usine de production de farine de poisson en Écosse, Bressay, Îles Shetland : Usine de Westfield (West Lothian). Les farines de poisson sont des farines animales produites à partir de poissons. Obtenues par séparation de la phase liquide (eau et lipide, extraite par cuisson/pressage) et des protéines, puis par broyage et séchage, elles sont riches en protéines animales (lysine, méthionine) faciles à digérer pour de nombreux mammifères et oiseaux. Les minoteries transformant le poisson en farine sont généralement à la fois proches de la mer et éloignées des habitations en raison des odeurs dégagées par le process industriel et les farines. Le poisson utilisé pour les fabriquer peut avoir été pêché en mer (pêche minotière) ou il peut s'agir de déchets de l’industrie du poisson (rejet de la chaine de filetage essentiellement ou valorisation de captures excédentaires invendues ou de poissons abimés lors de la pêche ou du transport ou présentant des anomalies (déformations, cancers, tumeurs, parasitoses qui défavoriseraient la vente à l’étal du poissonnier…). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Farine_de_poisson.

Utilisation des Pois secs en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0c0da-utilisation-des-pois-secs-en-2003

Utilisation des Pois secs en 2003

Utilisations des pois secs (''Pisum sativum'') au niveau mondial en 2003. Source : FAOSTAT. Alimentation humaine 48% ; Alimentation animale 35% ; Semences 8% ; Transformés 5% ; Pertes 3% ; Variation de stock 1%. Concernant l'alimentation humaine, sur une consommation mondiale d'un peu moins de 4 millions de tonnes, le sous-continent indien en représente 37,2 %, dont 31,2 % pour l'Inde. Dans cette région du monde, les légumineuses jouent un rôle important dans l'apport en protéines dans l'alimentation, la majorité de la population étant végétarienne, toutefois le pois n'y joue qu'un rôle secondaire après de nombreuses autres espèces dont le pois chiche, le pois cajan, diverses sortes de haricots secs, les lentilles etc. Les autres consommateurs importants sont la Chine (12,8 %), le Royaume-Uni (5,8 %), la Russie (5,7 %), les États-Unis (4,1 %) et l'Éthiopie (3,7 %). L'Inde joue un rôle majeur sur le marché international du pois sec ; ce pays est en effet le premier consommateur mondial, le premier importateur et le quatrième producteur. L'Uttar Pradesh est la principale région productrice. Concernant l'alimentation animale, la consommation est fortement concentrée en Europe et en Chine. Les trois premiers pays consommateurs, Russie, France et Chine, totalisent près de 60 % du total (respectivement 22,1 %, 18,7 % et 17,7 %). La transformation industrielle des pois pour en tirer des dérivés amylacés et protéiques est relativement marginale. En France, le groupe Roquette Frères a créé en 2007 une usine de transformation de pois protéagineux en convertissant l'ancienne féculerie de Vic-sur-Aisne.