Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Calcaire | Bordeaux (Gironde) | Botanique | Jardins botaniques -- France | Dessins et plans | automne | Peinture | Sant Miquel de Llíria (Espagne. - site archéologique) | Travaux d'Hercule | Llíria (Espagne) | Antiquités | Mythologie grecque | Hercule | Avenches (Suisse) | Antiquités romaines | Roches calcaires | Animaux -- Dans l'art | Alimentation | Ensoleillement | ...
Calcaire à astéries, dit pierre de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b64b3c-calcaire-a-asteries-dit-pierre-de-bordeaux

Calcaire à astéries, dit pierre de Bordeaux

roche calcaire jaunâtre utilisée comme pierre de construction en Gironde (ici sur une maison de Sainte Foy La Grande). Ce calcaire d'origine marine est riche en débris coquilliers, spicules d'astéries(étoiles de mer) et coraux. Il est daté de l'Oligocène (32 millions d'années) .

Chemin de halage à Saint-Cirq-Lapopie. Source : http://data.abuledu.org/URI/553aacdb-chemin-de-halage-a-saint-cirq-lapopie

Chemin de halage à Saint-Cirq-Lapopie

Chemin de halage des gabarres de Bouziès à Saint-Cirq-Lapopie (Lot) utilisé du Moyen-Age jusqu'à la fin du XIXe siècle servant aujourd'hui de chemin de randonnée (parc naturel des Causses du Quercy). En arrière-plan le pont du chemin de fer reliant Cahors à Cajarc.

Cycle simplifié du Carbone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50958142-cycle-simplifie-du-carbone

Cycle simplifié du Carbone

Cycle du carbone simplifié.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Inscriptions gallo-romaines à Avenches. Source : http://data.abuledu.org/URI/527403f5-inscriptions-gallo-romaines-a-avenches

Inscriptions gallo-romaines à Avenches

Inscriptions de stèles funéraires gallo-romaines en pierre calcaire du Jura au musée archéologique d'Avenches en Suisse : D M = Diis Manibus. Les Anciens croyaient que les morts devenaient dieux dès que la flamme les avait dévorés ; on les appelait dii animales (dieux des âmes) ou Mânes : de là la consécration des sépultures : Diis Manibus Sacrum.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9b25-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : pelouse calcaire xérophile.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9b6e-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : coteau calcaire.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9ba1-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : coteau calcaire.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9bdb-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : coteau calcaire.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9c1a-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : coteau calcaire.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9c58-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : coteau calcaire.

Mur de moellons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b648bc-mur-de-moellons

Mur de moellons

Maçonnerie (mur mitoyen) en moellons de calcaire smillés partiellement jointoyés au mortier de chaux (joints tirés au fer).

Pavot somnifère. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a032b-pavot-somnifere

Pavot somnifère

Planche botanique de Pavot somnifère (Papaver somniferum) ou "pavot des jardins", Atlas des Plantes de France, 1891 : Connu pour ses propriétés psychotropes sédatives, il est aussi cultivé à des fins ornementales ou alimentaires. Le pain au pavot est consommé couramment dans les régions slaves et germaniques notamment en Alsace. Le pavot somnifère se rencontre dans les montagnes asiatiques et est également assez commun en Europe, y fréquentant les mêmes terrains calcaires que le coquelicot : ce sont des plantes dites calcicoles.

Salle de théâtre. Source :

Photographie, Dessins et plans, loup, Lièvres, Bateaux, Grenouilles, Antiquités, Gravure, Peinture, Clip art, Balles et ballons, Amphibiens, Fleurs, Géométrie, Couleurs, Accumulateurs, Piles électriques, Plages, Forêts, Sable, Parasols, Cuisine (pain), Jardinage, Jardins, Réfrigérateurs, Réfrigération et appareils frigorifiques, Bains, Bovins de boucherie, Crustacés, Cuisine -- Appareils et matériel, Nuages, Produits viticoles, feu, Linux (système d'exploitation des ordinateurs), Compas, Salades, Livres illustrés pour enfants, Ombres, laine, Poisson, Plantes des jardins, Confitures, Outillage, Pêches, Cartes à jouer, Mer, Architecture végétale des jardins, Légumes, Potages, Navires à voiles, Découpage (cuisine), Viande, Viande -- Coupe, Étoiles, Cuisine (porc), Saucisses, Enseignes, Tables (meubles), Ongle, Cuisine (aliments naturels), Thé, Bleu, Mouton (viande), soleil, Cuisine (oeufs), Peur chez les animaux, Caricatures et dessins humoristiques, noir, Mécanique, Navires, Triangle, Oeufs, Baies (fruits), Porc, Émotions, Albums à colorier, Nombres cardinaux, Éléments de cuisine, Ustensiles de cuisine, Dinde (viande), Nouvelle-Zélande -- Civilisation, Boissons non alcoolisées, Peur, Pâtisseries, Familles, Fêtes -- Accessoires, Cuisine (fromage), Gelées (confiserie), Maillots de bain, Alimentation, Ciel, Temps -- Systèmes et normes, Oeufs -- Coquilles, Poissons d'eau douce, Parents et enfants, Cuisine (poisson), Véhicules prioritaires, Poulet (viande), Râteaux, Animaux des forêts, Cheminées, Couple -- Psychologie, Espace-temps, Cuisine (sucre), Bains de soleil, Terre, Veaux, Vents, Pyramides, Couple, Graines, Filage à la main, Poissons de mer, Rouge, Aluminium, Vert, Sacs, Membres, Cercle, Navires -- Équipement, Physique, Lumière, Lumière -- Propagation, Joie, Géologie -- Cartes, Poisson rouge, Saumon rouge, Agriculture -- Outillage, Coeur, Art médiéval, Trèfles, Pyramides -- Égypte, Cristaux, Blé, Batteries, Marbre, Fillettes, Caricature, Calcaire, Plantes méditerranéennes, Géométrie euclidienne, Navigation à voile, Cuisine (légumes verts), Sacs en tissu, Pelles, Thalès, Théorème de, Seizième siècle, Dix-neuvième siècle, Dix-septième siècle, Cuivre, Grumes, Albums, Pères, Pères et filles, Sentiers, Maisons individuelles, Pattes, Refus d'obéissance, Jardins médiévaux, Lièvre d'Europe, Méditerranée (région), Cuisine (thym), Aliments crus, Parapente, Vol libre, Dix-huitième siècle, France (Révolution) (1789-1799), Albrecht Dürer (1471-1528), Vinaigre, Poisson fumé, Poisson salé, Auckland (Nouvelle-Zélande), Nouvelle-Zélande (1945-....), Aliments, Cuisine (fruits), Aliments d'origine animale, Aliments fermentés, Cuisine (légumes), Produits de l'oeuf, Boissons alcoolisées, Hérodote (0484?-0420? av. J.-C.), Circulation, Vents -- Vitesse, Métamorphisme (géologie), Savants français, Cuisine (aliments crus), Cuisine (fruits de mer), Cuisine (aliments surgelés), Volaille (viande), Cuisine (poulet), Cuisine (volaille), Produits du blé, Sirops, Sauce à salade, Cuisine (viande), Cuisine (plantes odoriférantes), Crèmes (desserts), Entremets, Poisson surgelé, Agneau (viande), Desserts, Hors-d'oeuvre, Cuisine (baies), Cuisine (vinaigre), Ondes, Cuisine (céréales), Jeux de plage, Conduits d'évacuation de fumées, Fumées, Pull-over, Bronzage, Astérides, Seaux, Serviettes, Chlorure de sodium, Cycle hercynien, Boeuf (viande), Rôtis, Rotissoires, Plats complets, Astacidés, Cuisine (écrevisses), Décapodes (crustacés), Écrevisses, Vinaigrette, Champignons cultivés, Cuisine (champignons), Cuisine (truffes), Truffe du Périgord, Tubéracées, Cassis, Cassissier, Cuisine (cassis), Aliments -- Composition, Blanquette, Cuisine (veau), Veau (viande), Veaux -- Alimentation, Omble de fontaine, Poissonneries, Saumons, Saumons -- Pêche commerciale, Cuisine (semoule), Semoule, Cônes de pin, Pignons (graines), Aliments enrichis, Cuisine (restes), Tourtes, Deux, Jeux de société, Trois, Soupes, Infusions, Lumière, Théorie ondulatoire de la, Cuisson sur réchaud de table, Fondues, Savants allemands, Jumeaux, Interférence (optique), Rhubarbe, Augustin Fresnel (1788 - 1827), Diffraction, Ondes -- Diffraction, Énergie, Photons, Temps, Mesure du, France (Chute des Girondins) ( 30 mai-2 juin 1793), Exécutions capitales et exécuteurs, France (1793), Espace de Minkowski, Relativité (physique), Cônes de lumière, Relativité générale (physique), Architecture égyptienne, Constructions en pierres sèches, Cuisine (rhubarbe), Rhubarbes, Cuisine (boeuf), Cuisines, Aliments -- Consommation, Césium, Horloges à césium, Horloges atomiques, Berne (Suisse), Échelles de temps atomique, Temps (droit international), Johannes Kepler (1571-1630), Des révolutions des orbes célestes - Nicolas Copernic (1473-1543), Héliocentrisme, Énergie éolienne en mer, Portance, Aérodynamique, Relativité restreinte (physique), Muons, Rayons cosmiques, Aquarelle, Le lièvre - Albrecht Dürer (1471-1528), Peintres allemands, Cuisine (plantes aromatiques), Résistance à la chaleur, Thymus (plantes), Abats, Cuisine (abats), Tripes, Aliments -- Réfrigération, Entreposage frigorifique, Frigidaire, Frigo, Danse maorie, Ethnologie -- Nouvelle-Zélande, Linux (logiciels), Rugby, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), Ferias, Aliment, Chevreau (viande), Tacuini sanitatis - al-Muẖtār ibn al-Ḥasan ibn ʿAbdūn ibn Saʿdūn Ibn Buṭlān (10..-1066?), Tangram, Corrosion, Corrosion électrochimique, Assemblages à rivets, Corrosion galvanique, Réactions chimiques -- Mécanismes, Électricité, Symétrie, Constructions géométriques, Génie mécanique, Ressorts et suspension, Ressorts, Volutes, Algues marines, Algues -- Aspect économique, Navires -- Australie, Navires -- Déchets -- Élimination, Navires océanographiques, Navires -- Règlements de sécurité, Sargasses, Mer des, Auteurs arabes, Yuwānīs Ibn Buṭlān (10..-1066?), Jardins -- Aspect symbolique, Famille -- Anthropologie, Famille -- Loisirs, Famille -- Santé et hygiène, Mouton (laine), Quenouilles, Regroupement familial, Veillées, Scènes de la vie quotidienne, Vie quotidienne, Révolution industrielle, Projection cinématographique, Signes et symboles, Carreau, Cartes à jouer, Jeux avec, Pique, Trèfle, Chaleur -- Convection, Dissipateurs thermiques (électronique), Électronique, Acides aminés, Protéines

Salle de théâtre

Photo d'une salle de théâtre : The Journal Tyne Theatre

Vignoble jurassien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5273e331-vignoble-jurassien

Vignoble jurassien

Vignoble jurassien, exemple d'imbrication des vignes entre prairies et bois ; la falaise calcaire domine le coteau marneux.

Visage d'Amenemhat III. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ea6daa-visage-d-amenemhat-iii

Visage d'Amenemhat III

Antiquité égyptienne du musée du Louvre. Visage d'Amenemhat III, en calcaire. Présent au Louvre.

Action du gel sur un bloc architectural. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f47ebe-action-du-gel-sur-un-bloc-architectural

Action du gel sur un bloc architectural

Cryofracturation d'un moellon de pierre calcaire. Il s'agit d'une pierre rectangulaire, qui a été extraite de la partie interne d'une fortification construite par Vauban (Citadelle Vauban de Lille). Cette pierre, probablement extraite d'une "catiche" proche de Lille a été exposée à l'air durant une période de gel. Le délitement s'est produit en quelques jours. C'est une forme très accélérée de la Cryoclastie (fragmentation de roches dures par le gel). Quand un bâtiment se dégrade, des briques gélives ou des pierres calcaires tendres (donc gélives) peuvent être mises à nu. Ces matériaux étaient précédemment protégés du froid et des chocs thermiques par l'épaisseur et l'inertie thermique du mur. Quand ce type d'appareillage vient à être mis au jour et exposé au gel, les matériaux peuvent se dégrader très rapidement (en quelques jours parfois) s'il s'agit de calcaires poreux et gorgés d'eau.

Ancienne presse de lithographie. Source : http://data.abuledu.org/URI/511cbfe3-ancienne-presse-de-litographie

Ancienne presse de lithographie

Presse de lithographie, 1934. La pierre est préparée selon diverses recettes, chaque lithographe ayant la sienne. Le tracé est exécuté directement sur la pierre, au moyen de crayons lithographiques, de plumes ou de pinceaux avec de l'encre lithographique que l'on peut étendre à la manière du lavis, ou en ayant recours à diverses techniques pour obtenir des matières particulières. On peut gratter certaines parties du dessin. On peut aussi procéder à un report d'un dessin par un calque ou un « papier report ». Une fois le tracé exécuté, la pierre est placée sur la presse lithographique et humidifiée pour l'impression ; étant poreuse, la pierre calcaire retient l'eau. L’encre grasse est alors déposée au moyen d’un rouleau en caoutchouc. À l'origine on utilisait des rouleaux en cuir, plus difficiles à nettoyer. L'encre reste sur la pierre aux endroits imprégnés du gras du dessin tandis qu'elle est repoussée par l’humidité partout ailleurs (l'encre grasse est hydrophobe). Lorsque la pierre est assez encrée, on pose le papier et on passe sous presse. Pour imprimer en couleurs, il faut recommencer l'impression de la même feuille, en redessinant à chaque fois, sur une pierre différente, le motif en fonction de sa couleur, et en tenant compte éventuellement des superpositions de couleurs qui donneront des teintes mixtes.

Anémone hépatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad7a02-anemone-hepatique

Anémone hépatique

Anémone hépatique, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. C'est une plante duveteuse, aux feuilles généralement persistantes pétiolées, en rosette, à trois lobes vert dessus, souvent brun rougeâtre ou violettes dessous. Les fleurs sont généralement bleues (parfois aussi blanches, roses ou pourprées) avec de cinq à dix sépales ovales. C'est une plante à la floraison précoce (mars-avril) dont il existe des variétés cultivées. Habitat type : sous-bois herbacés médioeuropéens, basophiles. Sols riches et frais souvent calcaire au Québec. On la rencontre dans les bois, broussailles, prés, et même rochers, surtout en montagne en Europe continentale. Séchée, elle peut être utilisée pour ses propriétés diurétiques en macération dans de l'eau ou du vin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hepatica_nobilis

Angers, chapiteau de Juliomagus. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fe3c9-angers-chapiteau-de-juliomagus

Angers, chapiteau de Juliomagus

Angers, Musée des Beaux-Arts, Juliomagus : chapiteau composite en calcaire de la 1ère moitié du II° siècle, trouvé en réemploi dans les fondations de la Tour Toussaint en 1974.

Angers, chapiteau médiéval. Source : http://data.abuledu.org/URI/562ffcb6-angers-chapiteau-medieval

Angers, chapiteau médiéval

Angers, chapiteau médiéval en calcaire du VIII° siècle, église Saint-Julien.

Angers, Statue de lion funéraire. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fe33d-angers-statue-de-lion-funeraire

Angers, Statue de lion funéraire

Angers, Musée des Beaux-Arts, Juliomagus : statue de lion tenant entre ses pattes une tête de bélier (calcaire, II° siècle).

Bas-relief sur le chemin de halage à Saint-Cirq-Lapopie. Source : http://data.abuledu.org/URI/553aaf81-bas-relief-sur-le-chemin-de-halage-a-saint-cirq-lapopie

Bas-relief sur le chemin de halage à Saint-Cirq-Lapopie

Bas-relief ciselé dans la roche calcaire, oeuvre du sculpteur toulousain Daniel Monnier (1985).

Boutique de drapier gallo-romain à Burdigala. Source : http://data.abuledu.org/URI/5559e1c2-boutique-de-drapier-gallo-romain-a-burdigala

Boutique de drapier gallo-romain à Burdigala

Boutique de drapier gallo-romain à Burdigala, Musée d'Aquitaine à Bordeaux. Bloc en calcaire sculpté trouvé en réemploi dans la base du rempart romain, rue des Trois-Conils en 1838 : à droite personnage chargé d'un sac de linge ou occupé au foulage, sous le fronton d'un petit édicule ; à gauche, personnage en tunique avec capuchon rabattu, derrière un comptoir, le bras gauche posé sur une pile de draps pliés (?). Dans la partie supérieure, trois claies pour le linge ?

Carte géologique des marbres méditerranéens. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2b15e-carte-geologique-des-marbres-mediterraneens

Carte géologique des marbres méditerranéens

Carte du bassin méditerranéen à l'époque Hercynienne. Dépôts de calcaires et situation des principales carrières de marbre (points rouges). L’ensemble des marbres (au sens moderne) s’est formé à partir d’un gigantesque dépôt de calcaire qui s’est réalisé entre pendant le Dévonien supérieur ou Carbonifère inférieur, dans un intervalle de temps de 50 millions d'années, entre -380 et -330 millions d'années. Ce dépôt s’est accumulé au fond des mers qui occupaient les cuvettes de la pénéplaine hercynienne, dont il ne restera que des îles formées par les massifs de la chaîne hercynienne. Pour la France : par le Massif armoricain, le Massif central, le Massif des Vosges, l’Ardenne et deux autres massifs sur l’emplacement actuel des Alpes et des Pyrénées. La formation définitive des marbres s’est produite par une cristallisation complète des calcaires, appelée métamorphisme, en conjuguant la pression, la température et l’action de vapeurs venues des profondeurs du globe.

Chapiteau médiéval à Montauban. Source : http://data.abuledu.org/URI/571ab02f-chapiteau-medieval-a-montauban

Chapiteau médiéval à Montauban

Chapiteau médiéval à Montauban : XIIIème siècle, en calcaire, trouvé pendant les fouilles du parking de la cathédrale.

Collier préhistorique de coquillages. Source : http://data.abuledu.org/URI/5461438d-collier-prehistorique-de-coquillages

Collier préhistorique de coquillages

Collier préhistorique de coquillages : âge du bronze. Description : Perles discoïdes calibrées en test de bivalves ; Coquillage perforé (Cérithe) ; Canine de canidé ; Crache de cervidé ; Incisive de bovidé ; Perles en jais ; Perles en calcite ; Perle en calcaire ; Perle en bois de cervidé ; Perle en cuivre. Etage : Holocène Âge du Bronze (ancien) (de -1800 à -1500 avant notre ère) ; Localité : Dolmens de Peyrolevado, Saint-Germain, Millau, Aveyron. Ancienne collection d’ Émile Cartailhac (1845 - 1921), Muséum de Toulouse MHNT.PRE.2009.0.239.1.

Collier protohistorique. Source : http://data.abuledu.org/URI/549deddb-collier-protohistorique

Collier protohistorique

Parure de l’âge du bronze. Description : Perles discoïdes calibrées en test de bivalves ; Coquillage perforé (Cérithe) ; Canine de canidé ; Crache de cervidé ; Incisive de bovidé ; Perles en jais ; Perles en calcite ; Perle en calcaire ; Perle en bois de cervidé ; Perle en cuivre.Etage : Holocène Âge du Bronze (ancien) (de -1800 à -1500 avant notre ère) ; Localité : Dolmens de Peyrolevado, Saint-Germain, Millau, Aveyron. Ancienne collection d’ Émile Cartailhac (1845 - 1921). Muséum de Toulouse MHNT.PRE.2009.0.239.1 ; Taille : 170x170x15 mm.

Corail. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c19e44-corail

Corail

Le corail-cerveau de Neptune, polypes (petites poches ouvertes dont la bouche est entourée d'une couronne de tentacules dans lesquels se prolonge la cavité gastrique) vivant dans un squelette calcaire, se présente sous la forme d'une colonie hémisphérique pouvant dépasser 1m de diamètre.

Coupe d'un oeuf de poule domestique. Source : http://data.abuledu.org/URI/514b7d37-coupe-d-un-oeuf-de-poule-domestique

Coupe d'un oeuf de poule domestique

Coupe d'un oeuf de poule domestique. De gauche à droite : 1. Coquille calcaire, 2. Membrane coquillière externe, 3. Membrane coquillière, interne, 4. Chalaze, 5. Blanc d’œuf (ou albumen) externe (fluide), 6. Blanc d’œuf (ou albumen) intermédiaire (visqueux), 7. Peau du jaune d’œuf (ou vitellus), 8. Jaune d’œuf (ou vitellus) formé. 9. Point blanc (cicatricule) puis embryon 10. Jaune d’œuf (ou vitellus) jaune 11. Jaune d’œuf (ou vitellus) blanc 12. Blanc d’œuf (ou albumen) interne (fluide) 13. Chalaze 14. Chambre à air 15. Cuticule

Début de pédogénèse sur pierre calcaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/509da146-debut-de-pedogenese-sur-pierre-calcaire

Début de pédogénèse sur pierre calcaire

Début de pédogénèse sur pierre calcaire en Lombardie, au pied des Alpes.

Érosion à Étretat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50955168-erosion-a-etretat

Érosion à Étretat

Un produit de l'érosion du littoral : l'arche naturelle de la Manneporte, Etretat, France. L'érosion peut creuser la roche et donner naissance à des modelés de dissection. Les falaises d'Étretat sont constituées de calcaire du Crétacé, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la craie blanche à silex du Sénonien, plus précisément du Turonien au Coniacien. On y distingue les strates régulières de silex, ce qui explique la présence de galets sur la plage. En effet, à la suite de l'effondrement de pans de falaise, le calcaire et le silex se trouvent au contact de l'eau de mer qui dissout le calcaire et l'action des vagues polit le silex pour en faire des galets. L'existence de trois arches successives : la porte d'Amont, la porte d'Aval et la Manneporte ne serait pas liée à l'origine à l'érosion marine, mais à l'action d'une rivière côtière parallèle à la plage qui aurait creusé son lit dans la falaise avant le recul de celle-ci, matérialisé par l'« aiguille » d'un calcaire plus dur qui a empêché sa dissolution définitive, d'où cette extraordinaire création de la nature. Ensuite, la mer aurait élargi les arches, donnant au site l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui. Une autre hypothèse met au contraire l'accent sur une érosion différentielle par la mer, qui serait liée aux caractéristiques de dureté de la craie locale dans la zone de balancement des marées.

Érosion par le gel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f47c2b-erosion-par-le-gel

Érosion par le gel

En bas à gauche : cryofracturation d'un moellon de pierre calcaire. Il s'agit d'une pierre rectangulaire, qui a été extraite de la partie interne d'une fortification construite par Vauban (Citadelle Vauban de Lille). Cette pierre, probablement extraite d'une "catiche" proche de Lille a été exposée à l'air durant une période de gel. Le délitement s'est produit en quelques jours. C'est une forme très accélérée de la Cryoclastie (fragmentation de roches dures par le gel).

Escalier du roi d'Aragon dans les falaises de Bonifacio. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a7f257-escalier-du-roi-d-aragon-dans-les-falaises-de-bonifacio

Escalier du roi d'Aragon dans les falaises de Bonifacio

Escalier du roi d'Aragon taillé dans les falaises de Bonifacio en Corse : taillé par l'homme directement dans le calcaire et composé de 189 marches, cet escalier aurait, selon la légende, été creusé en seulement une nuit par les troupes du roi d'Aragon lors du siège de Bonifacio de 1420. Plus probablement creusé sur une durée plus longue par les moines franciscains pour accéder à une source d'eau potable située en bas de l'escalier. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonifacio

Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5454d2db-ferme-castrale-de-hermalle-sous-huy

Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy

Façade nord de la Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy en Belgique : Au XVIIe siècle, le comte du Saint-Empire romain Conrard d'Ursel, propriétaire du château de Hermalle, fait rénover et agrandir son bien. Il le dote notamment d'une tour-porche d'entrée, avec un portail cintré que surmonte une bretèche en tuffeau ornée d'un cartouche daté 1642. Les murs extérieurs sont en briques sur un soubassement biseauté de moellons de grès et calcaire. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferme_castrale_de_Hermalle-sous-Huy

Hercule et la biche de Cérynie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53aed3b5-hercule-et-la-biche-de-cerynie

Hercule et la biche de Cérynie

Hercule et la biche de Cérynie, mosaïque romaine de Lliria (Valence en Espagne) en calcaire des Douze Travaux d'Hercule, IIIème siècle après J.-C., conservée au Musée Archéologique National de Madrid : opus tessellatum.

Hercule et le lion de Némée. Source : http://data.abuledu.org/URI/53aebe9d-hercule-et-le-lion-de-nemee

Hercule et le lion de Némée

Le lion de Némée, mosaïque romaine de Lliria (Valence en Espagne) en calcaire des Douze Travaux d'Hercule, IIIème siècle après J.-C., conservée au Musée Archéologique National de Madrid : opus tessellatum

Hercule et le pommier des Hespérides. Source : http://data.abuledu.org/URI/53aeda81-hercule-et-le-pommier-des-hesperides

Hercule et le pommier des Hespérides

Hercule et les pommes d'or du Jardin des Hespérides, mosaïque romaine de Lliria (Valence en Espagne) en calcaire des Douze Travaux d'Hercule, IIIème siècle après J.-C., conservée au Musée Archéologique National de Madrid : opus tessellatum.

Hercule et les écuries d'Augias. Source : http://data.abuledu.org/URI/53aed2a6-hercule-et-les-ecuries-d-augias

Hercule et les écuries d'Augias

Hercule et les écuries d'Augias, mosaïque romaine de Lliria (Valence en Espagne) en calcaire des Douze Travaux d'Hercule, IIIème siècle après J.-C., conservée au Musée Archéologique National de Madrid : opus tessellatum.

Hibernation d'un escargot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa791e-hibernation-d-un-escargot-

Hibernation d'un escargot

Escargot (Helix pomatia) ayant formé son épiphragme pour l'hiver. Les escargots terrestres ne sont actifs que lorsque l’humidité est suffisamment élevée. Dans le cas contraire, l’animal se rétracte à l’intérieur de sa coquille qu’il obture par un voile muqueux (courte inactivité) ou par un épiphragme, ce qui lui évite la déshydratation. La photopériode et la température sont des variables saisonnières qui induisent les états d'inactivité. Hibernation et estivation sont des réponses à des stress environnementaux prévisibles. Chaque espèce présente une stratégie adaptée pour résister à ces stress. L'épiphragme est un bouchon de mucus, plus ou moins imprégné de calcaire, qui durcit en séchant.

Inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume. Source : http://data.abuledu.org/URI/52740788-inscription-commemorant-la-construction-d-une-salle-de-jeu-de-paume

Inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume

Architrave en pierre calcaire avec inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume (sphaeristerium) dans un complexe thermal et sportif, en l'honneur de Claudius Maternus au début du II° s. ap. J.-C., Musée gallo-romain d'Avenches en Suisse.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580a9a00-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : pelouse calcaire.

Le château danois en Estonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/552241ff-le-chateau-danois-en-estonie

Le château danois en Estonie

Le château de Toompea, siège du Riigikogu (parlement estonien), à Tallinn (Estonie) : Castrum Danorum (Le château danois en latin) est un château situé sur la colline de calcaire de Toompea, dans la partie centrale de Tallinn, capitale de l'Estonie.

Le dieu Attis. Source : http://data.abuledu.org/URI/5274081a-le-dieu-attis

Le dieu Attis

Le dieu Attis avec son bonnet phrygien, pierre calcaire, 40 après J.-C. Musée archéologique d'Avenches en Suisse.

Limodore à feuilles avortées. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640395-limodore-a-feuilles-avortees

Limodore à feuilles avortées

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La limodore à feuilles avortées, (Limodorum abortivum), est une orchidée terrestre européenne. C'est une plante saprophyte comme la néottie nid d'oiseau (autre Orchidacée vivant sans chlorophylle). Plante de mi-ombre, sur substrat frais, de préférence calcaire, broussailles et prébois thermophiles.

Lithographie. Source : http://data.abuledu.org/URI/511cc32c-lithographie

Lithographie

Exemple de lithographie d'une ancienne carte de Munich : la pierre en négatif et le papier en positif. Inventée par Aloys Senefelder (1771-1834) en 1796 en Allemagne, la lithographie (du grec lithos, « pierre » et graphein, « écrire ») est une technique d’impression à plat qui permet la création et la reproduction à de multiples exemplaires d’un tracé exécuté à l’encre ou au crayon sur une pierre calcaire. Après avoir essayé de devenir acteur, il s’essaya à l’écriture dramatique avec un certain succès. Des déboires avec plusieurs éditeurs le persuadèrent d'imprimer lui-même ses textes, mais il ne disposait pas des fonds nécessaires à l'achat d'une presse, de caractères et de papier. Senefelder chercha un procédé moins coûteux qui lui permettrait d'imprimer ses œuvres sans avoir recours aux techniques traditionnelles de l'imprimerie. Il expérimenta différents procédés, découvrant ainsi la stéréographie. Après une longue période d'essais et d'erreurs, il eut l'idée d'utiliser la pierre qui lui servait à préparer ses couleurs au lieu des plaques de cuivre et de zinc qui ne lui avaient donné que des résultats médiocres. Cependant le procédé qui consiste à remplacer la plaque de métal par une plaque de pierre n'avait en soi rien de nouveau puisque Senefelder reconnaît avoir vu des plaques d'ardoises dans la boutique d'un imprimeur. La véritable découverte de Senefelder relève de la chimie. Ayant un jour, faute d'encre et de papier, utilisé une pierre pour y écrire une liste en se servant du mélange de cire, de suif, de noir de fumée et d'eau dont il se servait pour ses plaques de métal, il eut l'idée de plonger la pierre dans un bain fait d'une mesure d'eau-forte pour dix mesures d'eau. Au bout de cinq minutes, les parties écrites étaient restées intactes et faisaient maintenant saillie de l'épaisseur d'une carte à jouer. Les ayant encrées de façon satisfaisante au bout d'un certain nombre d'essais et d'erreurs, il réalisa un tirage dont la qualité le persuada de continuer à développer ce procédé.

Métamorphisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2b533-metamorphisme

Métamorphisme

Phase de métamorphisme des roches sédimentaires et dépôts calcaires. 1 : Phase de dépôt calcaire. 2 : soulèvement des plaques et métamorphisme. Le marbre primitif est issu de terrains calcaires qui se sont formés à une période où il n’existait aucune vie marine. Le dépôt de cette matière calcaire, sur des roches anciennes, ne s’est pas fait de manière égale, car des circonstances particulières des attractions plus ou moins fortes déterminèrent la formation de quelques couches plus épaisses que les autres, et moins mêlées de feuillets schisteux. Au cours du cycle hercynien (-416 à –251 millions d’années), la couche inférieure de roches ancienne (granite) souleva les couches de sédiments primaires les plus épaisses et encore semi-fluides, qui retombèrent sur elles-mêmes et qui formèrent, aux pieds des grandes chaînes, des cordons de collines calcaires mêlées de schistes et de serpentines. Des bouleversements physico-chimiques transformèrent cette roche sédimentaire des collines en roche métamorphique, qui donna naissance aux marbres primitifs, grenus, sensiblement cristallisés et généralement d’une seule couleur, blanc, gris, rouge ou noir.

Notre-Dame-De-La-Garde. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b89689-notre-dame-de-la-garde

Notre-Dame-De-La-Garde

Notre-Dame-De-La-Garde, 1906, par Paul Signac (1863–1935). Metropolitan Museum of Art. Notre-Dame de la Garde (en provençal, Nostre-Damo de la Gardo), souvent surnommée « la Bonne Mère », est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis 1917.

Oeuf cassé. Source : http://data.abuledu.org/URI/514b7c5b-oeuf-casse

Oeuf cassé

L'œuf de poule contient deux éléments comestibles, le blanc et le jaune. La valeur nutritive de l'œuf pour 100 g est de 140 calories, 12,3 g de protéines, 9,8 g de lipides et 0,58 g de glucides. Le jaune d'oeuf ou vitellus ; le blanc d'oeuf ou albumen, la coquille calcaire.

Orchis à deux feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/506407c8-orchis-a-deux-feuilles

Orchis à deux feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La platanthère à deux feuilles, (Platanthera bifolia), encore appelée Orchis à deux feuilles, est une orchidée terrestre européenne. Espèce héliophile ou de demi-ombre ; sol riche en base ; indifférente au calcaire. Commune dans presque toute la France jusqu'à 2200 m, de l'étage collinéen à l'étage subalpin ; rare en région méditerranéenne.

Paysage de garrigue. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfc918-paysage-de-garrigue

Paysage de garrigue

Paysage de garrigue dans l'Hérault : en botanique, la garrigue (de l'occitan garriga) désigne une formation végétale caractéristique des régions méditerranéennes, proche du maquis. Selon l'École agronomique de Montpellier, la garrigue est au calcaire ce que le maquis est aux terrains siliceux. Cette formation, qui s'établit dans les massifs calcaires en terrain sec et filtrant, résulte en général de la dégradation de la forêt de chênes verts, qui passe progressivement à des peuplements de pins d'Alep, puis à la garrigue. En France, elle occupe environ 400 000 hectares, principalement en Provence et dans le Languedoc.

Pomme de pin gallo-romaine votive. Source : http://data.abuledu.org/URI/5274090b-pomme-de-pin-gallo-romaine-votive

Pomme de pin gallo-romaine votive

Pomme de pin gallo-romaine votive en calcaire, Musée archéologique d'Avenches en Suisse.

Puits artésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d4e13a-puits-artesien

Puits artésien

Puits classique à gauche, et puits artésien à droite : niveau piézométrique, alluvions, couche étanche (argile), couche aquifère (calcaire). L'artésianisme se produit lorsque la configuration particulière de la géologie d'un lieu et sa topographie provoquent une telle mise en pression de l'aquifère que la ligne piézométrique « sort » du sol. On désigne parfois à tort par « puits artésien » un puits foré dans une nappe sous pression, même si elle n'est pas jaillissante mais simplement captive.