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Photographie, Préhistoire, Géologie, Érosion, Abris-sous-roche, Relief karstique, Encorbellements, Thaurac (Hérault), Plateau de
Abri sous roche de Thaurac. Ce type de cavité largement ouverte et protégée par un surplomb (encorbellement plus ou moins important pouvant s'effondrer en gros blocs et amorcer la formation d'un nouvel abri sous roche) fut très souvent occupée par l'homme préhistorique en quête d'abris aérés et faciles d'accès, de façon permanente (habitat, sépulture) ou occasionnelle (campement saisonnier, halte de chasse, atelier...).
Photographie, Géologie, Roches calcaires, Roches -- Érosion, Cryoclastie, Géomorphologie, Sols -- Gel
Cryofracturation d'un moellon de pierre calcaire. Il s'agit d'une pierre rectangulaire, qui a été extraite de la partie interne d'une fortification construite par Vauban (Citadelle Vauban de Lille). Cette pierre, probablement extraite d'une "catiche" proche de Lille a été exposée à l'air durant une période de gel. Le délitement s'est produit en quelques jours. C'est une forme très accélérée de la Cryoclastie (fragmentation de roches dures par le gel). Quand un bâtiment se dégrade, des briques gélives ou des pierres calcaires tendres (donc gélives) peuvent être mises à nu. Ces matériaux étaient précédemment protégés du froid et des chocs thermiques par l'épaisseur et l'inertie thermique du mur. Quand ce type d'appareillage vient à être mis au jour et exposé au gel, les matériaux peuvent se dégrader très rapidement (en quelques jours parfois) s'il s'agit de calcaires poreux et gorgés d'eau.
Fer, Photographie, Pierre, Géologie, Pierre à bâtir, sylvanus-aquitaine, Sanguinet (Landes), Fer -- Minerais
Alios et garluche dans les Landes. Musée des lacs, Sanguinet (Landes).
Photographie, Géologie, Animaux -- Fossiles, Ammonites (Mollusques), Bélemnites, Haut-Atlas (Maroc. - centre)
Ammonites et bélemnites déplacées sur le platier supratidal ("teepee") par une vague de tempête ou un courant de marée. Les coquilles flottées sont probablement liées entre elles par un tissu algaire. Lias moyen (Carixien, dét. R. Du Dresnay) du Haut Atlas, Maroc. Voir Septfontaine (1985), Revue de Micropal.
Ammonites et pierre de Coade : Ammonites sur la chaussée devant le musée Philpot, Lyme Regis, Dorsest, GB. Sa couleur varie du gris clair au jaune clair jusqu'au beige, sa surface est d'un poli mat. Sa facilité de moulage en fait un matériau idéal pour la fabrication d'ornements, y compris des façades entières, et de statues. Les moules peuvent être réutilisés un bon nombre de fois, permettant la fabrication d'objets identiques en série, le coût de création des moules peut être ainsi amorti. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_Coade
Photographie, Géologie, Géographie, Goéland argenté, Réverbères (éclairage public), Jurassique, Ammonites, Dorsetshire (GB), Larus argentatus, Stratigraphie -- Jurassique
Crépuscule sur la promenade de Lyme Regis, Comté de Dorset (Angleterre). La forme en ammonite des réverbères rappelle la position de la ville sur la côte jurassique (Jurassic Coast), un site classé Patrimoine mondial de l'UNESCO. L'oiseau est un Goéland argenté (Larus argentatus).
Parc des arbres fossiles à Thiruvakari, district de Villupuram, état de Tamilnadu en Inde.
Photographie, Îles, Géologie, Géographie, Sébastien Le Prestre Vauban (marquis de, 1633-1707), Manche (mer), Archipels, Archipel des Côtes-d'Armor, Ébihens (Côtes-d'Armor), Île des, Hébihens (Côtes-d'Armor), Île des, Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor), Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor) -- Île des Ébihens, Transgression (géologie)
L'archipel des Hébihens (ou Ébihens) vu depuis la pointe du Chevet à mi-marée, commune de Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor). C'est un petit archipel français, prolongeant la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer. Le rocher principal, d'une superficie de 20 hectares, est une des quelques îles privées de Bretagne, occupée principalement en été. La légende veut que son isolement date du raz-de-marée qui aurait détruit la forêt de Scissy, forêt mythique située dans la baie du mont Saint-Michel, en 709 et que les plages qui l'entourent étaient alors recouvertes d'arbres et d'herbus. Pour les historiens et les scientifiques, la montée des eaux date, non pas de 709, mais de plus de 10 000 ans, à la fin de la dernière glaciation. Des fouilles entreprises ont mis au jour des vestiges attestant d'une occupation gallo-romaine de l'archipel dès avant notre ère. Un petit village coriosolite y fut érigé. Coriosolite signifiant "de Corseul" ; alors la capitale gauloise locale. Vauban ordonna l'édification d'une tour sur l'îlot principal qui fut construite de 1694 à 1696 par le comte Louis de Pontbriand qui était capitaine garde-côte du littoral de Saint-Malo et propriétaire de l'îlot. Cette tour fut notamment financée par un impôt perçu sur les prises de maquereaux réalisées lors de certains jours de fêtes chômés. Elle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 15 juillet 2010. Lors de la dispersion des biens du clergé, les Ébihens furent vendus à Jean-Georges Michel, l'un des capitaines de course de Robert Surcouf, pour une somme dérisoire. Aujourd'hui, cette propriété privée est partagée entre cinq propriétaires, majoritairement descendants directement ou non de Jean-Georges Michel. Ils veillent avec patience et énergie à ce que ce site naturellement protégé par son insularité, perdure pour les générations futures. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Archipel_des_%C3%89bihens
Atoll de l'île de la Pentecôte dans le Pacifique, "dessin emprunté à l’admirable Voyage du capitaine Beechey, donne une faible idée du singulier aspect que présente un atoll ; c’est un des plus petits et les îlots étroits qui l’environnent forment un anneau complet". Charles Darwin (1809-1882), Voyage d'un naturaliste autour du monde, page 413.
Photographie, Géologie, Alluvions, Ballast (chemins de fer), Matériaux de construction, Minéraux d'alluvions, Vosges (France)
"Les ballastières" Cantrelle, Commune de Sainte-Marguerite dans les Vosges : le sol est constitué d'alluvions.
Bastnaesite du Burundi au Musée royal de l'Afrique centrale (Tervuren, Belgique)
Bloc de lave en Islande, au pied de la montagne Reynisfjall, près du village de Vík í Mýrdal dans le sud de l'Islande.
Schéma du bouclier guyanais en Amérique du sud : Vénézuéla, Guyane, Suriname, Guyane, Brésil.
Photographie, Massif central (France), Géologie, Photographie de paysages, Vues, Relief (géographie), Géographie, Randonnée pédestre, Brèches (géologie), Puy Mary (Cantal)
Brèche de Roland et Puy de Peyre Arse vu depuis le Puy Mary, Massif Central, Cantal.
Photographie, Géologie, Baies, Géographie, Calanques, Calanques (Bouches-du-Rhône), Marseille (Bouches-du-Rhône) -- Calanques
La calanque de Morgiou est une des nombreuses calanques des côtes de Marseille. Elle se situe dans le quartier officiel marseillais des Baumettes. En 1622, les pêcheurs de Marseille y avaient organisé, à l'occasion de la venue du roi Louis XIII en visite à Marseille, une gigantesque pêche au thon traditionnelle appelée une madrague.
Photographie, Géologie, Granite, Baies, Géographie, Calanques, Calanques (Bouches-du-Rhône), Côte d'Azur (France), Esterel (France. - massif)
Calanques de l'Estérel. De Saint-Raphaël à Mandelieu-la-Napoule, le massif de l'Esterel tombe à pic dans la mer, qui découpe de multiples criques sauvages ou habitées (Agay, le Trayas). Caractérisées par le contraste entre la couleur rouge de la roche granitique du massif volcanique primaire, et le bleu de la Méditerranée elles composent l'un des paysages les plus remarquables de la Côte d'Azur. Contrairement aux calanques marseillaises, les calanques de l'Estérel sont très accessibles. De nombreuses épaves antiques gisent aussi sur les hauts fonds proches de la côte, passage obligé, dangereux pour les embarcations de l'époque, des voies de commerce méditerranéen. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calanque.
Photographie, Géologie, Géographie, Catalan (langue), Italien (langue), Occitan (langue), Calanques, Provençal (langue), Corse (langue), Occitan (langue) -- Noms géographiques, Piana (Corse-du-Sud)
Les Calanques de Piana en Corse du Sud, traversées par la route D81. Une calanque (calanca ou calanco en occitan ou provençal, calanca en corse et en italien; cala en catalan) est une formation géologique particulière se présentant sous forme d'un vallon étroit et profond à bords escarpés, en partie submergé par la mer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calanque.
Calanques de Piana en Corse-du-Sud. Les calanques de Piana (en corse calanche di Piana) sont des calanques situées sur la côte ouest de la Corse, sur la rive sud du golfe de Porto, à mi-chemin entre Ajaccio et Calvi. La route du bord de mer sur laquelle se trouve ce site est une route sinueuse qui passe à travers de roches colorées hachées. Ces formations rocheuses sont percées de cavités, les taffoni, dues à l'action des écarts de température, de l'humidité couplée aux embruns de la mer Méditerranée et aux vents forts.
Cañón Flosagja, fosse entre les deux plaques tectoniques, Parc National de Þingvellir, Suðurland, Islande.
Carrière de marbre de Carrare à ciel ouvert. Aux techniques traditionnelles d'abattage, par saignée au pic, au coin, à la masse réalisé à bras d'homme, succède le travail mécanique et « aveugle » des machines : la frappe mécanique du marteau-piqueur, la scie à chaîne (haveuse), la perforatrice rotative (de la tarière au rotary), le marteau perforateur, le jet d'eau sous pression voir le laser de puissance. Comparativement au travail à la main ou le mineur, à chaque coup choisit le point d'attaque le plus approprié, le travail de la machine est extrêmement dispendieux en énergie : l'abattage avec une machine ponctuelle consomme 76 fois plus, l'abattage à l'explosif dans des trous de mine est du même ordre. Une tarière de grand diamètre consomme 135 fois plus, la combinaison optimale, tarière, havage, et tir en forage réduit ce facteur à 20. Le marbre de Carrare (pour les Romains marmor lunensis, « marbre de Luni ») est un type de marbre, extrait des carrières des Alpes apuanes sur le territoire de Carrare, universellement connu comme un des marbres les plus prisés pour sa blancheur sans trop de veinage.
Photographie, Afrique, Géologie, Katanga (Congo, République démocratique), Minéraux, Tervuren (Belgique)
Carrollite du Katanga au Musée royal de l'Afrique centrale (Tervuren, Belgique). La carrolite est une espèce minérale composée de sulfure de cobalt, de nickel et de cuivre de formule Cu (Co,Ni)2S4 avec des traces de Fe. Source : King, V. & R.L. Morgan (2005), Crystallograpy of Carrollite from the Kamoya South II mine, Democratic Republic of Congo, Rochester Mineralogical Symposium.
Dessins et plans, Géologie, Géologie -- Cartes, Cartes topographiques, Pacifique (océan), Formations (géologie), Amérique du Nord, Cascades, Chaîne des
Carte des subdivisions géo-morphologiques et structurelles de la chaîne des Cascades (Amérique du Nord).
Dessins et plans, Volcanisme, Géologie, Géologie -- Cartes, Formations (géologie), Hawaii (États-Unis), Kilauea (Hawaii. - cratère), Coulées de lave, Lave
Carte géologique légendée de l'île Kilauea (Hawaï) : cônes de scories, coulées de lave, cônes littoraux, dépôts de téphras (cendres), âge en années.
Carte géologique de la caldeira de Kilauea. D'un diamètre de 12,6 kilomètres en tenant en compte des failles les plus extérieures mais longue de 4,7 kilomètres, large de 3,1 kilomètres et profonde de 165 mètres pour sa dépression centrale, elle mesure 10,7 km2 de superficie et culmine à 1 222 mètres d'altitude. Une route, la Crater Rim Road, en fait le tour en passant à proximité des locaux de l'observatoire volcanologique d'Hawaï et du centre d'interprétation du parc national des volcans d'Hawaï qui englobe la caldeira. Le fond de la caldeira est tapissé de coulées de lave dont les plus anciennes remontent à 1885. Le cratère Halemaʻumaʻu en forme de puits, dans le Sud-Ouest de la caldeira, est le siège de l'activité volcanique au sommet du volcan depuis le 3 janvier 1983.
Carte géologique de la Lorraine : beige-Alluvions récentes, gris-Alluvions anciennes, vert-Crétacé, bleu clair-Jurassique supérieur et Jurassique moyen, bleu foncé-Jurassique inférieur, rose-Trias supérieur, mauve clair-Trias moyen, violet-Trias inférieur, orange-Granites hercyniens, rose pâle-Paléozoïque et antérieur.
Carte géologique de la Lorraine : Alluvions récentes (gris clair), Alluvions anciennes (gris foncé), Crétacé (vert), Jurassique supérieur, moyen et inférieur (bleu), Trias supérieur, moyen et inférieur (violet), Granites hercyniens (orange), Paléozoïque et antérieur (rose). Source : BRGM. La carte géologique est un outil de connaissance géologique fondé sur la représentation des formations affleurantes. On y retrouve les trois principaux types de formations : magmatiques, sédimentaires et métamorphiques, ainsi que les informations géologiques relevées par le cartographe (failles, pendages, mines...). Afin de s'y retrouver, la légende de la carte géologique est découpée en plusieurs parties. Chaque type de formation est représentée par une gamme de couleur et un type de code. Par contre, une même formation présente sur plusieurs cartes peut avoir des nuances de couleurs et/ou des figurés différents en fonction de l'auteur de la carte et de ses besoins. De même, les codes des formations peuvent varier d'une carte à l'autre, mais doivent toujours respecter des critères globaux.
Dessins et plans, Géologie, Géologie -- Cartes, Géologie appliquée, Kerguelen (Terres australes et antarctiques françaises), Îles
Carte géologique simplifiée des îles Kerguelen, dans les Terres australes et antarctiques françaises. Légende en français.
Dessins et plans, Géologie, Géologie -- Cartes, Failles normales, Failles (géologie), Failles inverses, Roches sédimentaires, Armoricain (France), Massif, Roches
Carte géologique du massif armoricain légendée en français : roches sédimentaires, roches intrusives, autres roches, failles. Source : Service Géologique National.
Carte géologique du Sénégal - de Podor à Saldé au 1/200 000ème.
Dessins et plans, Afrique, Géologie, Géologie -- Cartes, Sénégal, Saint-Louis (Sénégal. - région administrative), Saint-Louis (Sénégal)
Carte géologique du Sénégal - de Saint-Louis à Dagana au 1/200 000ème.
Carte géologique du Sénégal au 1/200 000ème de Matam - Semmé.
Carte géologique du Sud-Ouest du Sénégal au 1/500 000ème.
Carte géologique et minière de Madagascar en 1922.
Carte du bassin méditerranéen à l'époque Hercynienne. Dépôts de calcaires et situation des principales carrières de marbre (points rouges). L’ensemble des marbres (au sens moderne) s’est formé à partir d’un gigantesque dépôt de calcaire qui s’est réalisé entre pendant le Dévonien supérieur ou Carbonifère inférieur, dans un intervalle de temps de 50 millions d'années, entre -380 et -330 millions d'années. Ce dépôt s’est accumulé au fond des mers qui occupaient les cuvettes de la pénéplaine hercynienne, dont il ne restera que des îles formées par les massifs de la chaîne hercynienne. Pour la France : par le Massif armoricain, le Massif central, le Massif des Vosges, l’Ardenne et deux autres massifs sur l’emplacement actuel des Alpes et des Pyrénées. La formation définitive des marbres s’est produite par une cristallisation complète des calcaires, appelée métamorphisme, en conjuguant la pression, la température et l’action de vapeurs venues des profondeurs du globe.
Dessins et plans, Géologie -- Cartes, Cartes touristiques, Kilimanjaro (Tanzanie. - région administrative)
Carte géologique du Kilimanjaro en Tanzanie, légendée en français.
Schéma présentant les structures de déformation de la chaine hercynienne, légendé en français.
Photographie, Pont, Chemins de halage, Géologie, Calcaire, Géographie, Affleurements (géologie), Roches calcaires, Halage, Sentiers de randonnée, Lot (France. - cours d'eau), Quercy (France. - causses), Parcs naturels régionaux, Chemins de fer -- Abandon, Saint-Cirq-Lapopie (Lot), Sentiers de halage
Chemin de halage des gabarres de Bouziès à Saint-Cirq-Lapopie (Lot) utilisé du Moyen-Age jusqu'à la fin du XIXe siècle servant aujourd'hui de chemin de randonnée (parc naturel des Causses du Quercy). En arrière-plan le pont du chemin de fer reliant Cahors à Cajarc.
Photographie, Géologie, Minéralogie, Activités d'éveil (enseignement primaire), Talmont-sur-Gironde (Charente-Maritime), Enseignement primaire
Collection de minéralogie scolaire d'antan, musée d'histoire locale de Talmont-17.
Dessins et plans, Terre, Géologie, Géologie -- Cartes, Croûte continentale, Croûte océanique, Terre -- Manteau, Terre -- Manteau inférieur, Terre -- Manteau supérieur, Terre -- Noyau
Structure de la Terre : 1. Noyau interne, 2. Noyau externe, 3. Manteau inférieur, 4. Manteau supérieur, 5. Low velocity zone (L.V.Z), entre 5 et 6. discontinuité de Mohorovicic (MOHO), 6. Croûte terrestre
Dessins et plans, Géologie, Géologie -- Cartes, Bure (Meuse), Déchets radioactifs -- Élimination -- Évaluation du risque, Dépôts de déchets radioactifs, Géoécologie
Coupe géologique du secteur de Bure. Coupe NO-SE au niveau du Laboratoire de recherche souterrain de Meuse/Haute-Marne : réseau de galeries souterraines localisé sous le territoire de la commune de Bure (Meuse). Dans le cadre des recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde, ce laboratoire de recherche souterrain est exploité par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) afin d'évaluer les propriétés de confinement de la formation géologique située à 500 mètres de profondeur. La construction du laboratoire débute en 2000 dans le cadre de la loi Bataille relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs de haute activité. Une première phase de construction (des expériences sont menées en parallèle) s'achève en 2007 et des travaux d'extension sont en cours depuis 2008.
Pierres de lauze à St Mary's Chapel, Caithness, Écosse. Le terme de diaclase, du grec διά [dia] (par) et klasis (fracture, rupture) est utilisé pour désigner l'épisode au cours duquel une roche se fend sans que les parties disjointes s'éloignent l'une de l'autre (ne pas confondre avec la faille). Il n'y a ni déplacement (pas de rejet), ni remplissage. Ce type de fracture est souvent orienté perpendiculairement aux limites de stratification. Une diaclase peut apparaître du fait des pressions auxquelles est soumise la roche : pression lithostatique et contraintes locales liées aux mouvements. Mais en général, de faibles contraintes tectoniques sont nécessaires et les diaclases se forment facilement.
Photographie, Géologie, Tectonique, Hérault (France), Bédarieux (Hérault. - région), Discordance (géologie)
Discordance (Cambrien / Trias) de Bédarieux, Hérault (34) : Lorsqu'il y a interruption de la sédimentation, suivie d'une déformation (failles, basculement ou plissement) et d'une érosion, il y a discordance entre les couches (ou strates) les plus anciennes déformées et celles plus récentes, horizontales. Il existe aussi des discordances sédimentaires. Elles sont le résultat d'un changement du milieu de dépôt. Ce changement est provoqué par une variation du niveau marin.
Domaines géologiques de France : domaine hercynien (orange), domaine des bassins céno-mésozoïques (jaune), domaine alpin fossés (bleu clair) et reliefs (bleu foncé) ; trait noir : rift ouest-européen.
Domaines géologiques en France : domaine hercynien (massif armoricain, massif central, Vosges, Ardennes) en orange, domaine des bassins céno-mésozoïques (parisien et aquitain) en jaune, domaine alpin en bleu (fossés et relief), rift ouest-européen.
Dessins et plans, Tectonique des plaques, Croûte continentale, Failles normales, Néotectonique, Terre -- Croûte -- Extension
Schéma 3D d'une Faille Normale (Géologie, Tectonique) : en géologie, une faille normale est un plan incliné (le plus souvent d'environ 60°) séparant deux compartiments rocheux. Le glissement sur ce plan de faille se traduit par un écartement des deux compartiments, et par l'abaissement du bloc supérieur par rapport au bloc inférieur. Les failles normales caractérisent donc une déformation extensive. Elles se trouvent généralement dans les régions où la croûte continentale ou océanique est étirée et amincie en réponse à un écartement des plaques tectoniques en présence.
Formation des nappes phréatiques, Daubrée, Les eaux souterraines, Revue des Deux Mondes, tome 81, 1887. 359 mots.
Dessins et plans, Géologie, Tectonique des plaques, Relief (géographie), Géographie, Aléoutiennes (Alaska), Îles, Morphogéologie sous-marine, Zones de subduction
L'arc des Aléoutiennes à l'ouest de l'Alaska, est un arc océanique typique de la plupart des zones de subduction. L'angle de pente de la lithosphère descendante, qui est la plaque Pacifique, sur presque toute la fosse des Aléoutiennes est de 45 degrés. La fosse s'étend sur 3 400 km du nord de la fosse des Kouriles jusqu'au golfe d'Alaska, marquant la frontière où deux plaques tectoniques se rencontrent, une zone de subduction où la plaque pacifique passe sous la plaque nord-américaine. Le point le plus profond de la fosse a été mesuré à 7 822 mètres. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fosse_des_Al%C3%A9outiennes
Frontn au-dessus de l'entrée de la galerie de minéralogie et de géologie au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris : Minéralogie - Bibliothèque.
Dessins et plans, Paris (France), Géologie, Calcaire, Stratigraphie, Carrières souterraines (exploitations minières)
Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).
Dessins et plans, Géologie, Érosion, Formations superficielles (géologie), Formations (géologie), Affleurements (géologie), Durance (Hautes-Alpes), Vallée haute de la, Plateaux (géographie), Plateaux (géographie) -- France, Valensole (Alpes-de-Haute-Provence)
Géologie du plateau de Valensole, coupes d'ouest en est légendées : bassin molassique, érosion de la chaîne de montagne et chevauchement ; la Durance.