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Photographie, Fours, Alimentation, Cuisson au four, Habitudes alimentaires, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande), Rotorua (Nouvelle-Zélande)
Assiette de hāngi pour un repas de touristes au village maori de Mitai, Rotorua, Nouvelle-Zélande : cuisson dans un four traditionnel enterré.
Photographie, Alimentation, Reims (Marne), Cuisine (biscuits), Produits régionaux, Spécialités régionales, Biscuits -- Recettes, Carmin, Cochenille, Carmin de, Cuisine champenoise
Biscuit Rose de Reims. Sa création remonte aux années 1690. À cette date, des boulangers champenois soucieux d'utiliser la chaleur de leur four après le défournage, eurent l'idée de créer une pâte spéciale qui, après avoir subi une première cuisson, était laissée dans le four à pain où elle finissait de sécher. D'où le mot « bis-cuit », c'est-à-dire cuit deux fois4. La recette est inchangée depuis cette date, et sans aucun doute l'un des derniers véritables « bis-cuits ». La Maison Fossier est la dernière biscuiterie à fabriquer le biscuit rose. À l'origine, le biscuit était blanc. Il doit son teint rose au carmin, un colorant rouge naturel ajouté à la recette produit à partir des femelles de cochenille. Initialement blanc, le biscuit s’est paré de rose afin d’estomper les fines particules noires extraites de la gousse de vanille qui tachetaient sa robe.
Peinture, Caricatures et dessins humoristiques, Dix-neuvième siècle, Peintres anglais, Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques, Cuisson au four à bois, Pain d'épices, James Gillray (1756-1816), Napoléon Ier (empereur des Français, 1769-1821)
Caricature par James Gillray (1756-1816) : Napoléon, le grand pâtissier sortant du four une nouvelle troupe de rois (Tiddy Doll, the great French-Gingerbread-Baker drawing out a new Batch of Kings), 23 Janvier 1806.
Photographie, Cuisine -- Appareils et matériel, Fours électriques, Moules à pâtisserie, Cuisine -- Ustensiles, Brioches, Temps de l'Épiphanie, Cuisine -- Recettes
Contrôle de la cuisson d'une frangipane dans un four électrique.
Dessins et plans, Fours, Anthropologie de l'alimentation, Cuisson au four, Dessin ethnographique, Ethnographie et architecture, Habitudes alimentaires, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande), Observation (anthropologie), Pratiques traditionnelles (cuisine)
Pratiques traditionnelles de cuisiner du peuple Maori habitant une île volcanique. On prépare ainsi leur plat traditionnel : le Hangi. Source de l'illustration : Peter Darman, "The Survival Handbook" 1996. Schéma manuscrit légendé en anglais ( KVDP : Earthoven_hangi.jpg), vectorisation Beao (Maori_earth_oven.svg), traduction en français Christophe Catarina (FourEnTerreMaori-Fr).
Photographie, Alimentation, Poêles, Crêpes, gaufres, etc., Desserts, Cuisine (pois chiches), Cuisine provençale, Nice (Alpes-Maritimes) -- Vieille ville
Crêpe géante, Socca, juste sortie du four dans le Vieux-Nice (Alpes-Maritimes). La socca est le nom donné à une spécialité culinaire à base de farine de pois chiche originaire de Ligurie, consommée à Menton, à Monaco et à Nice. De Vintimille jusqu'aux environs de La Spezia elle porte le nom de farinata, dans le sud du Piémont, elle porte le nom de belecàuda (belle et chaude). À Toulon, entre autres, elle est appelée cade. La socca se déguste chaude, si possible juste à la sortie du four, souvent accompagnée de poivre et sans l'aide de couverts. Ses qualités gustatives proviennent d'une double sensation née de son mode de cuisson : à la fois croustillante et craquante (sur sa surface saisie au-dessus) et très moelleuse au-dessous. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Socca.
Photographie, Cuisine (pain), Sandwichs, Cuisine (jambon), Cuisson à la poêle, Cuisson au gaz, Cuisson à l'électricité, Cuisine (fromage), Aliments, Cuisine rapide, Croque-monsieur
Un croque-monsieur ou croquemonsieur, appelé familièrement croque, est une sorte de sandwich chaud, au pain de mie, au jambon et au fromage (le plus souvent de l'emmental), grillé à la poêle, au four ou dans un appareil spécialisé.
Photographie, Fours, Crêpes, gaufres, etc., Toulon (Var), Cuisson au four à bois, Produits régionaux, Aliments -- Spécialités régionales
Le fameux four à cade (socca) de Toulon, qui alimente les toulonnais depuis plusieurs générations. A déguster une recette analogue à la cade nicoise plus sophitiquée.
Photographie, Géographie, Cuisson au four à bois, Altiplano (plateau), Fourneaux de cuisine, Lacs -- Pérou, Meseta del Titicaca
Fourneau traditionnel et ustensiles de cuisson à Uros, sur une île flottante du lac Titicaca au Pérou.
Photographie, Fours, Alimentation, Cuisson au four, Habitudes alimentaires, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande), (Rotorua, Nouvelle-Zélande)
Ingrédients pour préparer un hangi maori (Rotorua, Nouvelle-Zélande).
Ruuff, il les enfourne d'un coup : scène 6, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Photographie, Cuisine -- Appareils et matériel, Fours électriques, Alimentation, gâteaux, Moules à pâtisserie, Cuisine -- Ustensiles, Brioches, Temps de l'Épiphanie, Cuisine -- Recettes
Mise au four d'une frangipane pour cuisson dans un four électrique, avec une manique.
Photographie, Fours, Alimentation, Cuisson au four, Habitudes alimentaires, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande), Rotorua (Nouvelle-Zélande)
Préparation d'un plat traditionnel maori, le hāngi, pour des touristes à Mitai, Rotorua (Nouvelle-Zélande) : creuser une fosse dans le sol, y faire chauffer des pierres avec un grand feu, placer des paniers d'aliments sur les pierres bouillantes et recouvrir de terre pendant plusieurs heures avant de déterrer le hāngi. C'est excellent.
À partir d'œufs, de sucre en poudre, de farine fine, de graines d'anis, de zeste de citron et de levure chimique (ou de bicabonate de soude), on obtient une pâte qu'on refroidit avant de l'abaisser sur environ 0,5 cm d'épaisseur. Le moule à Springerle enfariné (s'il est en bois) est pressé sur la pâte et les petits fours sont découpés à l'aide d'un couteau ou d'une roulette à pâtisserie. Il faut laisser reposer les Springerles ainsi obtenus pendant au moins 24 heures afin qu'ils sèchent et mouiller leurs pieds (leurs dessous) avant de les poser sur une tôle beurrée parsemée de graines d'anis pour une cuisson à 160 °C (320 °F). Ainsi, en fin de cuisson, le Springerle typiquement développe des "pieds" (qu'on appelle "fuesslé" en alémanique badois et alsacien) sur lesquels il semble reposer. Ordinairement les fuesslés dorés apparaissent au bout de 15 minutes de cuisson et sont le signe que la cuisson est terminée. Il fait laisser refroidir sur une claie à pâtisserie et les entreposer dans une boîte en métal avec une tranche de pomme pendant 4 semaines afin qu'ils développent une consistance propre à la consommation. Anciennement, on en conservait pendant toute l'année avant d'en préparer une nouvelle fournée.
Photographie, Fruits, Cuisine alsacienne, Tartes, Alimentation, gâteaux, Cuisine (prunes), Tartes sucrées -- Recettes, Pâtisseries (gâteaux), Prunes -- Recettes
La tarte aux quetsches est une variété de tarte sucrée, garnie de quetsches dénoyautées et coupées en moitiés ou en quarts, puis cuite au four. On ajoute à mi-cuisson un mélange de lait, œuf battu, et sucre ; c'est un flan appelé pepele en alsacien. La tarte au quetsches est une pâtisserie servie en dessert, froide, tiède ou chaude. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tarte_aux_quetsches