Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Phares -- France | Phares | Optique | Géographie | Phare du XXe siècle en France | Aides à la navigation | Balises | Signalisation maritime | Navigation -- Mesures de sécurité | Mer du Nord | Sécurité maritime | Monuments historiques | Astronomie | Lumière | Réflexion (optique) | Géométrie | Physique | Art optique | ...
Microscope électronique de Ruska. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b35363-microscope-electronique-de-ruska

Microscope électronique de Ruska

Microscope électronique construit par Ernst Ruska en 1933. Suite aux élaborations théoriques de Louis de Broglie en 1924, on a pu prouver en 1926 que des champs magnétiques ou électrostatiques pouvaient être utilisés comme lentilles pour les faisceaux d'électrons. Le premier prototype de microscope électronique a été construit en 1931 par les ingénieurs allemands Ernst Ruska et Max Knoll. Ce premier instrument grossissait au mieux les objets de quatre cent fois. Deux ans plus tard, Ruska construisit un microscope électronique qui dépassait la résolution possible d'un microscope optique. Reinhold Rudenberg, le directeur scientifique de Siemens, a breveté le microscope électronique en 1931, stimulé par une maladie dans la famille, pour rendre visible le virus de la poliomyélite.

Miroir plan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5023f37e-miroir-plan

Miroir plan

Schéma de la réflexion par un miroir plan

Musée Vasarely à Budapest. Source : http://data.abuledu.org/URI/5386136b-musee-vasarely-a-budapest

Musée Vasarely à Budapest

Façade de l'entrée du musée Vasarely à Budapest en Hongrie.

Musée Vasarely à Budapest. Source : http://data.abuledu.org/URI/53861461-musee-vasarely-a-budapest

Musée Vasarely à Budapest

Façade du musée Vasarely à Budapest, en Hongrie.

Opacité électromagnétique de l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be41a2-opacite-electromagnetique-de-l-atmosphere

Opacité électromagnétique de l'atmosphère

Opacité électromagnétique (ou transmittance) de l'atmosphère en fonction de la longueur d'onde (jusqu'à 1km). L’absorption optique est une autre propriété importante de l'atmosphère. Différentes molécules absorbent différentes longueurs d'onde de radiations. Par exemple, l'O2 et l'O3 absorbent presque toutes les longueurs d'onde inférieures à 300 nanomètres. L'eau (H2O) absorbe la plupart des longueurs d'onde au-dessus de 700 nm, mais cela dépend de la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Quand une molécule absorbe un photon, cela accroît son énergie. Quand les spectres d'absorption des gaz de l'atmosphère sont combinés, il reste des « fenêtres » de faible opacité, autorisant le passage de certaines bandes lumineuses. La fenêtre optique va d'environ 300 nm (ultraviolet-C) jusqu'aux longueurs d'onde que les humains peuvent voir, la lumière visible (communément appelé lumière), à environ 400–700 nm et continue jusqu'aux infrarouges vers environ 1100 nm. Il y a aussi des fenêtres atmosphériques et radios qui transmettent certaines ondes infrarouges et radio sur des longueurs d'onde plus importantes. Par exemple, la fenêtre radio s'étend sur des longueurs d'onde allant de un centimètre à environ onze mètres. Le graphe ci-dessus représente 1-T (exprimé en %) (T:transmittance)

Paire de jumelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/583b50e2-paire-de-jumelles

Paire de jumelles

Paire de jumelles datant des années 1020. Musée de l'immigration de São Paulo.

Paysage sur gouttes d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/538adac3-paysage-sur-rosee-du-matin

Paysage sur gouttes d'eau

Guttation sur une prêle des eaux (Equisetum fluviatile) en Belgique dans la réserve naturelle "Marie Mouchon". Les gouttes d’eau comme la rosée peuvent être une forme de lentille naturelle. De petites tailles, elles ont la forme d'une calotte sphérique. Plus grosses, elles se déforment sous leur propre poids. La valeur limite est de quelques millimètres pour l'eau. La rosée sur les végétaux ne doit pas être confondue avec le phénomène biologique de guttation, dans lequel les végétaux eux-mêmes produisent le liquide qui se retrouve ensuite sous forme de gouttelettes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_optique

Phare d'Ault en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535929a4-phare-d-ault

Phare d'Ault en Mer du Nord

Le phare d'Ault ou phare d'Onival, construit sur la falaise d'Onival sur la commune d'Ault dans la Somme, a été mis en service en 1951. C'est une tour tronconique blanche en béton armé au sommet de briques rouges. Il se situe sur le terrain militaire du sémaphore. Il est automatisé depuis 2001 et contrôlé du bureau de Saint-Valery-sur-Somme. Il remplace l'ancienne construction bâtie en briques en 1885 et dynamitée le 6 juin 1940. Hauteur : 28 m - Elévation : 108 m - Portée : 17 milles (31km). Feux : blanc et rouge, à 3 occultations groupées de 12 s. Optique : fixe, focale 0.50 m. Lanterne : halogène 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ault

Phare de Berck en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535925f6-phare-de-berck

Phare de Berck en mer du Nord

Situé à l'embouchure de la baie d'Authie, sur la pointe du Haut-Banc, dans les dunes, l'actuel phare de Berck (Pas-de-Calais) a été construit en béton précontraint. C'est une tour cylindrique en maçonnerie de béton qui est accolée à un bâtiment en forme de L dans un grand jardin. Il est situé à proximité de l'hôpital maritime de Berck. Le phare précédent, bâti en 1836, a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 44.50 m - Elévation : 57 m - Porté : 24 milles marins. Feux : 1 éclat blanc régulier 5 s. Optique : verre taillé à 4 panneaux focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Berck

Phare de Calais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5359081e-phare-de-calais

Phare de Calais

Le phare de Calais fut construit en 1848, électrifié en 1883 et automatisé en 1992. Aujourd'hui il n'y a plus de gardien mais se sont les techniciens des phares et balises qui veillent au bon fonctionnement du phare. Il remplaça la tour du Guet du XIIIe siècle. En effet, à l'époque, on allumait un feu au sommet de la tour afin d'aiguiller les marins. Il est l'un des deux phares français, avec celui de Dunkerque, à être construit près du centre ville. On accède à la lanterne par 271 marches. Il a échappé à la destruction pendant la Seconde Guerre mondiale. De jour il se distingue des autres phares côtiers environnants par sa couleur blanche et le dessous de lanterne en noir. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 19 avril 2011. Hauteur : 55 mètres - Elévation : 59 mètres - Portée : 43 km. Feux : 4 éclats blancs séparés sur période de 15 secondes. Optique : verre taillé à 4 panneaux, focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Calais

Phare de Carteret dans le Cotentin. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f4bd0-phare-de-carteret

Phare de Carteret dans le Cotentin

Le phare de Carteret est une maison-phare bâtie sur la falaise du cap de Carteret, sur la commune de Barneville-Carteret (Manche). Hauteur : 18 m - élévation : 83.90 m - portée : 26 miles. Feux : Blanc à éclats (2+1), 15 s. Optique : Lentille de Fresnel à 6 panneaux, focale 0,50 m. Lanterne : Lampe halogène 660w - Ø 3 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Carteret

Phare de Cayeux en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535927d6-phare-de-cayeux-sur-mer

Phare de Cayeux en Mer du Nord

Le phare de Cayeux est situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, au sud de la baie de Somme. Le phare est détruit le 31 août 1944 par les troupes allemandes. Un feu provisoire est mis en service le 25 avril 1947 en attendant la construction du phare actuel. En septembre 1951, le nouveau phare est mis en service. C'est une tour cylindrique en maçonnerie lisse, peinte en rouge et blanc. Un pavillon attenant sert de logement pour le gardien. Il est automatisé depuis 1999. Le contrôle s'effectue du bureau de Saint-Valery-sur-Somme où il y a toujours un membre du personnel d'astreinte. Hauteur : 28 m - Elévation : 35 m - Portée : 19 milles. Feux : 1 éclat rouge régulier, 5 secondes. Optique : éclats tournants, 4 lentilles de Fresnel, focale 0.375m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cayeux

Phare de Chausey dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f51cd-phare-a-chausey

Phare de Chausey dans la Manche

Le phare de Chausey désigne une maison-phare située sur la Grande-Île de Chausey (Manche). Hauteur : 19 m - élévation : 37 m - portée 42 kms - feux éclats blancs/ 5 s. Optique : Lentille 4 panneaux au 1/4, focale 0,30 m - Lanterne : lampe halogénure 250 W. Sa présence a été rendue indispensable à cause du nombre considérable d'îles et d'îlots rendant la navigation hasardeuse. Cette construction en pierres de taille provient des carrières de l'île. Elle est constituée d'une tour carrée accolée à la façade arrière du bâtiment d'habitation des gardiens et des locaux techniques. Cette installation est complétée par un dispositif de corne de brume (corne 1 son/30 s) localisée à 80 m de l'habitation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Chausey

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Phare de Gatteville dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6d79-phare-de-gatteville

Phare de Gatteville dans la Manche

Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Il comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Il est électrifié en 1893. Hauteur 74,75 m - Elévation 78,85 m - Portée : 29 milles (53 km) ; Feux : 2 éclats blancs 10 secondes - Optique : 2 lentilles de Fresnel à 4 panneaux 1/4 jumelés, focale 0.30 m ; Lanterne : lampes au xénon 1600 w 1 par temps clair, 2 si brume. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gatteville

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e60fd-phare-de-honfleur

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Honfleur, appelé aussi phare de la Falaise des Fonds ou phare du Butin, se situe sur la commune de Honfleur, département du Calvados, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine en aval du pont de Normandie. En 1908, ce phare fut réalisé à l'extinction du phare de Fatouville pour signaler l'entrée ouest du port de Honfleur. Il fut équipé d'un feu à 2 occultations/8 secondes (3 secteurs blancs, 2 secteurs rouges et un secteur vert). En 1933, il est électrifié et modifié en feu à 2 occultations/12 secondes (secteurs colorés : 3 blancs, 2 rouges, 1 vert). Il est éteint durant la guerre et rallumé en 1951. Le phare de Honfleur a été légèrement modifié après la guerre, lors de la construction de la route. C'est une tour carrée blanche en maçonnerie de pierres apparentes, corniche et chaînage d'angle en pierre de taille de granit de Cherbourg. Elle est rehaussée de la lanterne verte et l'appareillage provenant de l'ancien phare de l'Hôpital. Elle est équipée d'un feu à 3 éclats/12 secondes (secteurs colorés blancs, rouges, verts). Un feu rouge, présent sur la jetée, complète la signalisation. Hauteur : 14.50 m - Elévation : 17.50 m ; feux : 3 éclats/12 secondes (secteurs blancs, rouges et verts) ; Optique : tambour 360°/0.50 m de focal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Honfleur

Phare de la Balue en Ille-et-Vilaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f61b1-phare-de-la-balue-en-ille-et-vilaine

Phare de la Balue en Ille-et-Vilaine

Le phare de la Balue, phare en terre, est un des quatre phares de Saint-Malo, situé près du quartier Saint-Servan. En août 1944, il est détruit par l'armée allemande. En janvier 1948, le phare, reconstruit à l'identique, est de nouveau allumé avec un feu directionnel vert. En 1975, il est automatisé et télécontrôlé. L'aide-radio fut supprimée en 2000. Hauteur : 37,5 m ; Élévation : 74 m ; Portée : 25 milles nautiques ; Feux : 1 feu vert fixe ; Optique Directionnel en verre taillé, focale : 0,50 m ; Lanterne : Lampe halogène 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_Balue

Phare de la Hève en Seine-Maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e2456-phare-de-la-heve

Phare de la Hève en Seine-Maritime

Le phare de la Hève est un phare moderne s'élevant sur les hautes falaises crayeuses du nord de l'estuaire de la Seine, sur le cap de la Hève, dans la commune de Sainte-Adresse. Il a été mis en service en 1951 ; un escalier de 161 marches mène à sa lanterne. Après un effondrement de falaise, deux phares identiques de 17 mètres de hauteur furent construits en 1775 à une centaine de mètres de la falaise. Ils furent les premiers phares électrifiés de France en 1863. Ils furent détruits pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Hauteur : 32 m - élévation : 102.5 m - portée : 27 milles marins (50 kms) Feux : 1 éclat blanc 5 secondes - Optique : tournante à 4 panneaux focale 0.30m ; lanterne : halogènes 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_H%C3%A8ve

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6a5f-phare-de-ver-sur-mer

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine

Le phare de Ver-sur-Mer se trouve en baie de Seine, sur la commune de Ver-sur-Mer, dans le département du Calvados. Il a été mis en service au début des années 1900, endommagé en 1944 et remis en état après la guerre. C'est aussi un radiophare (indicatif éR-fréquence 310 kHZ - portée 20 miles). Hauteur : 13 m - Elévation : 42 m ; Portée : 26 milles (48 km) ; Feux : 3 éclats blancs 15 s - Optique : lentille à 6 panneaux focale 0.50 m -Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ver-sur-Mer

Phare du Cap Lévi sur la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e71e6-phare-du-cap-levi

Phare du Cap Lévi sur la Manche

Le phare du cap Lévi est situé au cap Lévi, sur la commune de Fermanville, dans la Manche. Il sert de relais entre le phare de la Hague et le phare de Gatteville. La tour est édifiée en 1947 sur les dessins des architectes Levasseur et Chauliat qui ont gardé le type de construction du phare détruit en 1944. La nouvelle tour est plus petite (28 mètres contre 31), mais a été construite à 2 mètres de plus au-dessus de la mer. Hauteur : 28 m - Elévation : 36 m - Portée 20 milles ; Feux : rouge à éclats, 5 secondes - Optique : type STPB en verre moulé à 4 panneaux, focale 0.375 m monture en aluminium Lanterne : lampe halogène 650 W. Kapelwic "l'anse de la chapelle" au Moyen Âge est le nom primitif d'un hameau dans une anse (vik en norrois) à proximité ; le nom est d'abord devenu "Caplevy" par métathèse de L et amuïssement du C. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Cap_L%C3%A9vi

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590a32-phare-du-cap-gris-nez-

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord

Le phare et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS). Le phare du cap Gris-Nez éclaire le Pas-de-Calais. Le phare actuel fut mis en service en 1957. C'est une construction en pierres apparentes se trouvant dans le site classé (1987) des deux caps de la côte d'Opale (cap Blanc-Nez et cap Gris-Nez). À son pied se trouve le CROSS Gris Nez. Le premier phare fut allumé en 1837 et rehaussé en 1861 ; l'électrification de celui-ci se fit en 1869. Détruit par les Allemands pendant l'été 1944, la tour fut reconstruite en 1952. Les optiques flottent dans un bain de mercure. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 31 m - élévation : 72 m - Portée : 29 miles marins. Feux : 1 éclat blanc toutes les 5 secondes. Optique : verre taillé à 2 panneaux, focale 0.375 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_cap_Gris-Nez

Phare du Hourdel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53592f23-phare-du-hourdel

Phare du Hourdel en Mer du Nord

Le phare du Hourdel est un phare situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, il est bâti sur le côté sud de la Baie de Somme, en bout de la pointe du Hourdel. Le premier feu date de 1840. En 1852, ce feu de port fixe est monté sur une potence de bois de 10 m. En 1905, un nouvel appareil est monté sur une potence métallique et cabane en tôle de 10,20 m de hauteur. Il est détruit en 1944. En 1948, une tour cylindrique de 18 m en béton armé et accolée à une chambre de service est construite. C'est un feu blanc et vert à 3 occultations toutes les 12 secondes. Hauteur : 18m - Elévation : 25 m - Feux : blanc et vert. Optique : directionnel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Hourdel

Phénakistiscope de la boxe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5388de02-phenakistiscope-de-la-boxe

Phénakistiscope de la boxe

Eadweard Muybridge (1830-1904). Le phénakistiscope (mot formé du grec phenax -akos, "trompeur", et skopein, "examiner") est un jouet optique donnant l'illusion du mouvement fondé sur la persistance rétinienne. Il a été inventé par le Belge Joseph Plateau en 1832. Il comporte un disque en carton, percé de dix à douze fentes, sur lequel un mouvement est décomposé en une séquence d'images fixes, et un manche permettant son maintien pendant sa rotation. Pour percevoir le mouvement, le spectateur se place en face d'un miroir et positionne ses yeux au niveau des fentes du disque, du côté opposé aux dessins. Il fait ensuite tourner le carton. Les fentes servent d'obturateur en ne laissant apparaître l'image reflétée dans le miroir qu'un très court instant. L'œil ne voit donc que des images fixées par la persistance rétinienne, s'animant les unes après les autres, ce qui reconstitue le mouvement lorsque le disque tourne à une vitesse suffisante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ph%C3%A9nakistiscope

Pollen de Lavande au microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/5095585b-pollen-de-lavande

Pollen de Lavande au microscope

Photo d'un pollen de lavande au microscope optique.

Principe de fonctionnement d'un laser. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3c088-principe-de-fonctionnement-d-un-laser

Principe de fonctionnement d'un laser

Principe de fonctionnement d'un laser : 1 - milieu excitable 2 - énergie de pompage 3 - miroir totalement réfléchissant 4 - miroir semi-réfléchissant 5 - faisceau laser. Un laser (acronyme de l'anglais « light amplification by stimulated emission of radiation », en français : « amplification de la lumière par émission stimulée de rayonnement ») est un appareil qui produit une lumière spatialement et temporellement cohérente basée sur l'effet laser. Descendant du maser, le laser s'est d'abord appelé maser optique. Une source laser associe un amplificateur optique basé sur l'effet laser à une cavité optique, encore appelée résonateur, généralement constituée de deux miroirs, dont au moins l'un des deux est partiellement réfléchissant, c'est-à-dire qu'une partie de la lumière sort de la cavité et l'autre partie est réinjectée vers l'intérieur de la cavité laser. Avec certaines longues cavités, la lumière laser peut être extrêmement directionnelle. Les caractéristiques géométriques de cet ensemble imposent que le rayonnement émis soit d'une grande pureté spectrale, c’est-à-dire temporellement cohérent.

Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/518faa6e-principe-de-la-mesure-optique-de-la-vitesse-angulaire

Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire

Effet Sagnac : Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire. On appelle effet Sagnac le décalage temporel de la réception de deux signaux lumineux tournant en sens inverse autour de la circonférence d'un disque en rotation (par rapport à un référentiel inertiel), quand ils sont émis par un émetteur-récepteur fixé sur ce disque. L'effet Sagnac a été découvert par Georges Sagnac en 1913.

Principe de réflexion angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2a7e0-principe-de-reflexion-angulaire

Principe de réflexion angulaire

Principe de réflexion angulaire par analogie avec un miroir. La réflexion est le brusque changement de direction d'une onde à l'interface de deux milieux. Après réflexion l'onde reste dans son milieu de propagation initial. Ce phénomène se rencontre pour différents types d'ondes : réflexion optique ou réflexion des ondes électromagnétiques ; réflexion acoustique ou réflexion des ondes mécaniques ; réflexion électrique.

Projecteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51828756-projecteur

Projecteur

Un projecteur est un appareil qui combine une ou plusieurs source(s) lumineuse(s) avec un dispositif optique destiné à projeter un puissant faisceau de lumière dans une direction particulière.

Projection d'éclipse solaire à travers des jumelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/550d6fc3-projection-d-eclipse-solaire-a-travers-des-jumelles

Projection d'éclipse solaire à travers des jumelles

Projection d'éclipse solaire à travers des jumelles.

Projection solaire dans un solarscope à Liège. Source : http://data.abuledu.org/URI/550d8a3c-projection-solaire-dans-un-solarscope-a-liege

Projection solaire dans un solarscope à Liège

Projection solaire dans un solarscope à Liège, 1er août 2010. Le solarscope est un appareil en carton ou en bois présentant tout un système optique permettant de projeter une image du disque solaire sur un écran dans le boîtier. Utile pour les observations de groupe. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Observation_du_Soleil

Prototype de scanner. Source : http://data.abuledu.org/URI/585fb9a0-prototype-de-scanner

Prototype de scanner

Premier prototype de scanner inventé par Godfrey Hounsfield (1919-2004) à l'EMI (Electric and Musical Industries). Exposition UKRC 2005 au centre G-MEX de Manchester G-MEX centre.

Quatre exemples de distance focale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb71d7-quatre-exemples-de-distance-focale

Quatre exemples de distance focale

Le point focal F et la distance focale f d'une lentille positive (convexe), négative (concave), un miroir concave et un miroir convexe. Il est toujours possible de calculer les distances focales à partir des données géométriques et des indices d'un système (courbure, indice de réfraction) puisqu'elles sont reliées à la vergence. Néanmoins quand ces données viennent à manquer une mesure expérimentale est possible. Les mesures expérimentales, pour les systèmes minces tels les lentilles minces, reposent généralement sur la détermination des positions des foyers objet et image. On rappelle que le foyer image est le point vers lequel convergent après le système des rayons qui sont parallèles à l'axe optique avant le système. À l'inverse, des rayons passant par le foyer objet ressortent parallèles à l'axe optique. Les rayons ne passent pas nécessairement physiquement par le foyer, il peut s'agir de leur prolongation.

Réfraction. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a59f8c-refraction

Réfraction

Principe de réfraction d'onde selon Huygens-Fresnel (Augustin Jean Fresnel, né le 10 mai 1788 à Broglie et mort le 14 juillet 1827 à Ville-d'Avray, est un physicien français fondateur de l’optique moderne ; il proposa une explication de tous les phénomènes optiques dans le cadre de la théorie ondulatoire de la lumière). Le principe de Huygens-Fresnel est un principe utilisé en optique : il permet entre autres de calculer l'intensité dans les phénomènes de diffraction et d'interférence. Il consiste à considérer chaque point de l'espace indépendamment. Si un point M reçoit une onde d'amplitude E(M, t), alors on peut considérer qu'il réémet une onde sphérique de même fréquence, même amplitude et même phase. Au lieu de considérer que l'onde progresse de manière continue, on décompose sa progression en imaginant qu'elle progresse de proche en proche. Formulé par Fresnel en 1815, ce principe reprend la base du modèle ondulatoire développé par Huygens (1690). Soit une surface ∑ et une source lumineuse S. On découpe ∑ en surfaces élémentaires d∑ centrées autour d'un point P. Chaque point P de ∑ atteint par la lumière émise par la source S se comporte comme une source secondaire fictive émettant une ondelette sphérique.

Résolution vidéo : Standards. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cde8f6-resolution-video-standards

Résolution vidéo : Standards

Comparaison des principaux formats d'affichage standards (chaque ratio largeur sur hauteur est représenté dans une couleur différente). Les formats d’affichage vidéo s'appliquent aussi bien au domaine de l'informatique que celui de l'équipement vidéo. Ces formats sont définis par leur caractéristiques, comme le rapport largeur / hauteur, la définition d'écran de l'image affichée (définie par le nombre de pixels sur la largeur et par le nombre de pixels sur la hauteur), le nombre ou la profondeur des couleurs / teintes (exprimée en bits) ainsi que la fréquence de rafraîchissement exprimée en Hz (Hertz). Certains de ces formats sont standardisés et quelques-uns normalisés mais leur nombre et leur variété ne cesse d'évoluer avec les nouvelles technologies développées et exploitées par l'industrie de l'électronique.

Rover sur Mars. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a815bb-rover-sur-mars

Rover sur Mars

Vue d'artiste d'un "Mars Exploration Rover" : Les M. E. R. comportaient chacun un Mini-TES - un spectromètre d'émission thermique miniature (c'est-à-dire un spectromètre infrarouge). En optique, le spectrographe sépare la lumière entrante selon sa longueur d'onde et enregistre le spectre résultant dans un certain détecteur. C'est ce type de spectromètre qui a remplacé le spectroscope dans les applications scientifiques. En astronomie, les spectrographes sont d'un usage courant. On les monte au centre d'un télescope qui peut être un télescope d'observatoire terrestre ou un télescope embarqué dans un vaisseau spatial.

Scanner 3D à la cité des sciences. Source : http://data.abuledu.org/URI/58604c7e-scanner-3d-a-la-cite-des-sciences

Scanner 3D à la cité des sciences

Scanner 3D à la cité des sciences (fab lab).

Scanner de livre à Internet Archive. Source : http://data.abuledu.org/URI/56776349-scanner-de-livre-a-internet-archive

Scanner de livre à Internet Archive

Scanner pour un livre, Internet Archive à San Francisco, Californie.

Sculpture de Vasarely à Budapest. Source : http://data.abuledu.org/URI/53860e30-sculpture-de-vasarely-a-budapest

Sculpture de Vasarely à Budapest

Sculpture de Vasarely (1908-1997) devant la gare de Budapest en Hongrie.

Spectrophotomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdd942-spectrophotometre

Spectrophotomètre

Principe du spectrophotomètre UV-visible monofaisceau. Légende : Source polychromatique, Monochromateur, Diaphragme, Cuve avec échantillon, Cellule photoélectrique, Amplificateur, Afficheur. La spectrophotométrie est une méthode analytique quantitative qui consiste à mesurer l'absorbance ou la densité optique d'une substance chimique donnée, généralement en solution. Plus l'échantillon est concentré, plus il absorbe la lumière dans les limites de proportionnalité énoncées par la loi de Beer-Lambert. La densité optique des échantillons est déterminée par un spectrophotomètre préalablement étalonné sur la longueur d'onde d'absorption de la substance à étudier. Un dispositif monochromateur permet de générer, à partir d’une source de lumière visible ou ultraviolette, une lumière monochromatique, dont la longueur d’onde est choisie par l’utilisateur. La lumière monochromatique incidente d’intensité I_0 ; traverse alors une cuve contenant la solution étudiée, et l’appareil mesure l’intensité I ; de la lumière transmise. La valeur affichée par le spectrophotomètre est l’absorbance à la longueur d’onde étudiée. Le spectrophotomètre peut être utilisé pour mesurer de manière instantanée une absorbance à une longueur d’onde donnée, ou pour produire un spectre d’absorbance (spectrophotomètre à balayage). Dans ce dernier cas, le dispositif monochromateur décrit en un temps court l’ensemble des longueurs d’onde comprises entre deux valeurs choisies par l’opérateur.

Système optique, image réelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb751f-systeme-optique-image-reelle

Système optique, image réelle

Schéma système optique stigmatique : Un système optique est dit stigmatique si tout faisceau issu d'un point lumineux donne à la sortie du système un faisceau convergeant en un point, ou semblant provenir d'un point. Autrement dit, si tout rayon émis par un point lumineux donne après passage dans le système optique un rayon dont le support (une droite) est concourant avec tous les autres supports (ceux des autres rayons après passage dans le système optique) en un même point. Ce point est appelé image.

Télémètre optique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac8c32-telemetre-optique

Télémètre optique

Télémètre optique utilisé par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, 1943. Source : Archives fédérales allemandes. Instrument d'optique indépendant permettant de mesurer la distance d'un objet visé par un système de concordance visuelle à double image donnée par des objectifs dont la grandeur de la base en donnera la précision.

Télescope spatial Hubble. Source : http://data.abuledu.org/URI/53430cff-telescope-spatial-hubble

Télescope spatial Hubble

Schéma de la partie optique (OTA) du télescope spatial Hubble, légendé en français : en jaune, trajet de la lumière incidente ; miroir secondaire et miroir primaire ; baies des équipements ; instruments axiaux (4) ; instruments radiaux (4) ; banc optique ; baffles.

Télescope spatial Hubble. Source : http://data.abuledu.org/URI/53430dcb-telescope-spatial-hubble

Télescope spatial Hubble

Schéma explosé du télescope spatial Hubble : en vert, contrôle d'orientation ; en violet, télécommunications ; en gris, structure principale ; en bleu, système optique ; en rouge, instruments scientifiques ; en jaune, production d'énergie.

Théodolite ancien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6e02d-theodolite-ancien

Théodolite ancien

Théodolite datant de 1900, Musée d'optique de Zeiss à Oberkochen en Allemagne. Le théodolite permet de mesurer des angles horizontaux et verticaux.

Thomas Young, pionnier de l'optique ondulatoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a599b3-thomas-young-pionnier-de-l-optique-ondulatoire

Thomas Young, pionnier de l'optique ondulatoire

Thomas Young (13 juin 1773-10 mai 1829), est un physicien, médecin et égyptologue britannique. Son excellence dans de nombreux domaines non reliés fait qu'il est considéré comme un polymathe, au même titre par exemple que Léonard de Vinci, Gottfried Leibniz ou Francis Bacon. Son savoir était si vaste qu'il fut connu sous le nom de phénomène Young. Il exerça la médecine toute sa vie, mais il est surtout connu pour sa définition du "module de Young" en science des matériaux et pour son expérience des "fentes de Young" en optique, dans laquelle il mit en évidence et interpréta le phénomène d’interférences lumineuses.

Trajectoire naturelle de la boule de billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d95232-trajectoire-naturelle-de-la-boule-de-billard

Trajectoire naturelle de la boule de billard

Réaction naturelle des bandes au billard. En jouant sans effet, l’angle de réflexion égale l’angle d’incidence, comme en optique. Les effets latéraux ainsi que les effets rétro et coulé modifient l’angle de réflexion. La force du coup ainsi que la qualité et la hauteur des bandes modifient légèrement la réflexion.

Un arbre au sténopé. Source : http://data.abuledu.org/URI/54009dca-un-arbre-au-stenope

Un arbre au sténopé

Un arbre au sténopé (trou d'aiguille en anglais). Un sténopé est un dispositif optique très simple permettant d'obtenir un appareil photographique dérivé de la camera obscura. Il s'agit d'un trou de très faible diamètre. Par extension, on appelle ainsi l'appareil photographique utilisant un tel dispositif. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9nop%C3%A9

Un Million de pixels. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0a373-un-million-de-pixels

Un Million de pixels

Un million de pixels.

Une loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3863f-une-loupe

Une loupe

Loupe devant un stylo.

Vanesse du chardon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ce61a0-vanesse-du-chardon

Vanesse du chardon

Vanesse du chardon (Vanessa cardui). Les deux ailes des papillons sont symétriques par réflexion : l'une est comme l'image dans un miroir de l'autre.