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Photographie | Géographie | Phares | Phares -- France | Balises | Signalisation maritime | Aides à la navigation | Phare du XXe siècle en France | Mer du Nord | Dessins et plans | Monuments historiques | Phare monument historique (France) | Mer du Nord (région) | Phare du Pas-de-Calais | Météorologie | Poisson | Peinture | Phare de la Somme | Poissons de mer | Afrique du Nord | ...
Niveaux trophiques en Atlantique nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e5d7-niveaux-trophiques-en-atlantique-nord

Niveaux trophiques en Atlantique nord

Tendance à la réduction du niveau trophique moyen dans les pêcheries de l'Atlantique nord et des zones côtières (poisson débarqué, sachant qu'une partie a été jetée en mer) pour la période 1950–2000, à partir d'un calcul basé sur l'aggrégation de données venant de 180 000 cellules d'un demi-degré de côté (latitude/longitude) (Méthode d'aggrégation de Watson et al, 2004). La validité statistique est forte et on peut remarquer un déclin beaucoup plus rapide (mai plus tardivement entamé ?) dans l'Atlantique Nord. Atelier Graphique de Wikimedia Commons, d'après Pauly D. and Watson R., (2005), « Background and interpretation of the ‘Marine Trophic Index’ as a measure of biodiversity », Philosophical Transactions of the Royal Society B., n°360, pp. 415-423.

Ours blanc et ses petits. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bc771c-ours-blanc-et-ses-petits

Ours blanc et ses petits

Ours blanc et ses petits (mer de Beaufort).

Paysage littoral au Danemark. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0d25b-paysage-littoral-au-danemark

Paysage littoral au Danemark

Littoral occidental de Suðuroy dans les îles Féroé (en féroïen : Føroyar, prononcé [ˈføːɹjaɹ] ; en danois : Færøerne, prononcé [ˈfɛɐ̯ˌøːˀɐnə]) : archipel subarctique situé entre la mer de Norvège et l'océan Atlantique nord, à peu près à mi-chemin entre l'Écosse et l'Islande. Les îles Féroé forment un pays constitutif du royaume du Danemark, avec le Danemark et le Groenland. Elles couvrent 1 400 km2 pour une population en 2010 de presque 50 000 habitants appelés Féringiens. Les îles Féroé sont une province autonome du royaume du Danemark depuis 1948 ; elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans toutes les affaires à l'exception de la Défense (un ministre des Affaires étrangères fut nommé en 2008). L'érosion et l'altération puis le transport et le dépôt des sédiments ont largement participé à l’élaboration du modelé des paysages volcaniques actuels. Les côtes des îles sont accidentées et rocheuses : même si quelques crêtes basses sont présentes, la plupart des côtes sont à falaises. Dans le cas des îles Féroé, les géomorphologues parlent de méga-falaises (max. 725 m) pour ces murailles côtières vertigineuses parmi les plus remarquables du monde. La raideur de l’abrupt se termine par une rupture de pente à la base qui correspond au passage à la plate-forme d’abrasion littorale. Fjords et vallées glaciaires se sont dessinés au Quaternaire.

Pétroglyphe en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5295ce3e-petroglyphe-en-guadeloupe

Pétroglyphe en Guadeloupe

Pétroglyphe Arawak, rivière Plessis (Guadeloupe). Baillif se situe dans le sud-ouest de l'île de la Basse-Terre en limite de la côte sous le vent par le nord, de l'agglomération de Basse-Terre par le sud et de Saint-Claude à l'est dont elle est séparée par la rivière des Pères. Elle s'étend sur le versant occidental du massif volcanique de Basse Terre qui se jette abruptement dans la mer des Caraïbes. La commune s'étend jusqu'au sommet du Grand Sans Toucher (à 1 354 m). Le climat y est de type tropical. Les Arawaks sont les premiers Amérindiens à avoir eu un contact avec les Espagnols du XVe siècle, c’est-à-dire Christophe Colomb et son équipage.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Phare d'Ault en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535929a4-phare-d-ault

Phare d'Ault en Mer du Nord

Le phare d'Ault ou phare d'Onival, construit sur la falaise d'Onival sur la commune d'Ault dans la Somme, a été mis en service en 1951. C'est une tour tronconique blanche en béton armé au sommet de briques rouges. Il se situe sur le terrain militaire du sémaphore. Il est automatisé depuis 2001 et contrôlé du bureau de Saint-Valery-sur-Somme. Il remplace l'ancienne construction bâtie en briques en 1885 et dynamitée le 6 juin 1940. Hauteur : 28 m - Elévation : 108 m - Portée : 17 milles (31km). Feux : blanc et rouge, à 3 occultations groupées de 12 s. Optique : fixe, focale 0.50 m. Lanterne : halogène 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ault

Phare de Berck en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535925f6-phare-de-berck

Phare de Berck en mer du Nord

Situé à l'embouchure de la baie d'Authie, sur la pointe du Haut-Banc, dans les dunes, l'actuel phare de Berck (Pas-de-Calais) a été construit en béton précontraint. C'est une tour cylindrique en maçonnerie de béton qui est accolée à un bâtiment en forme de L dans un grand jardin. Il est situé à proximité de l'hôpital maritime de Berck. Le phare précédent, bâti en 1836, a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 44.50 m - Elévation : 57 m - Porté : 24 milles marins. Feux : 1 éclat blanc régulier 5 s. Optique : verre taillé à 4 panneaux focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Berck

Phare de Boulogne-sur-mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591809-phare-carnot-boulogne-sur-mer

Phare de Boulogne-sur-mer

Le phare de Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, est un phare classé "phare en mer" (le seul de la région) se trouvant en bout de la jetée Carnot sur des anciennes fortifications. La tour cylindrique est en maçonnerie lisse blanche, et verte en son sommet. Il existait un phare antique, la Turris Ardens. Cette tour fut érigée sur ordre de l'empereur romain Caligula en l'an 39 ap. J.-C., après qu'il eut renoncé à envahir l'Angleterre. Ses feux devaient briller toutes les nuits comme à Alexandrie. À partir de 39 ap. J.-C., la côte de Boulogne-sur-Mer est donc éclairée par l'un des premiers phares au monde avec la Tour de Pharos à Alexandrie. La tour ne se trouvait pas à la place du phare actuel, mais sur la falaise, à l'emplacement de l'actuel Calvaire des Marins. Haute de 60 mètres, hauteur remarquable pour l'époque, elle était de forme pyramidale sur plan octogonal et comportait 13 niveaux. Elle était faite de rangs alternés de pierres et de briques. Le phare actuel est construit en 1968. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Boulogne

Phare de Cayeux en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535927d6-phare-de-cayeux-sur-mer

Phare de Cayeux en Mer du Nord

Le phare de Cayeux est situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, au sud de la baie de Somme. Le phare est détruit le 31 août 1944 par les troupes allemandes. Un feu provisoire est mis en service le 25 avril 1947 en attendant la construction du phare actuel. En septembre 1951, le nouveau phare est mis en service. C'est une tour cylindrique en maçonnerie lisse, peinte en rouge et blanc. Un pavillon attenant sert de logement pour le gardien. Il est automatisé depuis 1999. Le contrôle s'effectue du bureau de Saint-Valery-sur-Somme où il y a toujours un membre du personnel d'astreinte. Hauteur : 28 m - Elévation : 35 m - Portée : 19 milles. Feux : 1 éclat rouge régulier, 5 secondes. Optique : éclats tournants, 4 lentilles de Fresnel, focale 0.375m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cayeux

Phare de Cordouan. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98a0b-phare-de-cordouan

Phare de Cordouan

Le phare de Cordouan est un phare situé à sept kilomètres en mer sur le plateau de Cordouan, à l'embouchure de l'estuaire de la Gironde, estuaire formé par la confluence de la Garonne et de la Dordogne, donnant dans l'océan Atlantique. Il éclaire et sécurise fortement la circulation dans les deux passes permettant l'accès à l'estuaire : la Grande passe de l'Ouest, balisée de nuit, qui longe le rivage nord depuis le banc de la Coubre, et la passe Sud, plus étroite, et qui n'est pas balisée la nuit. Construit de 1584 à 1611, il est le plus ancien phare de France encore en activité. Appelé parfois le "Versailles de la mer", le "phare des rois" ou encore le "roi des phares", il est le premier phare classé au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cordouan

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Phare de Gravelines en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591584-phare-de-graveline

Phare de Gravelines en mer du Nord

Le phare de Gravelines est situé dans le département du Nord, à Petit-Fort-Philippe, à l'origine hameau incorporé ensuite dans la commune de Gravelines. Il a été en service de 1843 à 1985. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Construit en 1843, il est en briques et enduit d’un badigeon qui le protège des embruns et de la pluie. Il mesure 29 mètres de haut et la maison des gardiens se trouve au pied de la tour. Pour atteindre son sommet, il faut préalablement gravir 116 marches. Jusqu’en 1932, le phare est peint en blanc. De cette manière, pense t-on, il se détache mieux sur le fond du paysage de Petit-Fort Philippe. Après sa restauration, en 1931 – 1932, il acquiert sa couleur actuelle qui le rend reconnaissable entre tous grâce à sa spirale noire et blanche qui lui valut le surnom de "Black and White". Le phare, qui échappe à la destruction durant la Seconde Guerre mondiale, est éteint au départ en retraite de Maurice Bienaimé en 1985. Il ne guide plus les marins mais fait toujours partie intégrante du paysage du hameau. Il offre une vue imprenable, du haut de son sommet. Hauteur : 25.5 m - Elévation : 29 m - Portée : 15 milles. Feux : fixe. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gravelines

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590a32-phare-du-cap-gris-nez-

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord

Le phare et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS). Le phare du cap Gris-Nez éclaire le Pas-de-Calais. Le phare actuel fut mis en service en 1957. C'est une construction en pierres apparentes se trouvant dans le site classé (1987) des deux caps de la côte d'Opale (cap Blanc-Nez et cap Gris-Nez). À son pied se trouve le CROSS Gris Nez. Le premier phare fut allumé en 1837 et rehaussé en 1861 ; l'électrification de celui-ci se fit en 1869. Détruit par les Allemands pendant l'été 1944, la tour fut reconstruite en 1952. Les optiques flottent dans un bain de mercure. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 31 m - élévation : 72 m - Portée : 29 miles marins. Feux : 1 éclat blanc toutes les 5 secondes. Optique : verre taillé à 2 panneaux, focale 0.375 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_cap_Gris-Nez

Phare du Hourdel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53592f23-phare-du-hourdel

Phare du Hourdel en Mer du Nord

Le phare du Hourdel est un phare situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, il est bâti sur le côté sud de la Baie de Somme, en bout de la pointe du Hourdel. Le premier feu date de 1840. En 1852, ce feu de port fixe est monté sur une potence de bois de 10 m. En 1905, un nouvel appareil est monté sur une potence métallique et cabane en tôle de 10,20 m de hauteur. Il est détruit en 1944. En 1948, une tour cylindrique de 18 m en béton armé et accolée à une chambre de service est construite. C'est un feu blanc et vert à 3 occultations toutes les 12 secondes. Hauteur : 18m - Elévation : 25 m - Feux : blanc et vert. Optique : directionnel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Hourdel

Phare du Portel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591a41-phare-d-alprech-le-portel-pas-de-calais

Phare du Portel en Mer du Nord

Phare situé sur la pointe d'Alprech au sud de la ville de Le Portel. Destiné à signaler le coté Sud du port de Boulogne sur Mer. Mise en service en 1963. Automatisé en 1977. Hauteur : 17 m - Elévation : 62.35 m - Porté : 26 milles (48 km). Feux : Blanc (3 éclats groupés 15 s). Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Portel

Phénomènes atmosphériques en 1878. Source : http://data.abuledu.org/URI/58b2df8a-phenomenes-atmospheriques-en-1878

Phénomènes atmosphériques en 1878

Phénomènes atmosphériques en 1878, par Jos. Gabriel Frey à Weyer, 1878, gouache sur papier, ca. 50 x 68 cm. Erdbeben = tremblement de terre, Gewitter = tonnerre, Leuchtkugel = éclair, Ihrlichter = feu follet, Sonne um Mitternacht in Nordpolle = Soleil de minuit au pole Nord, Mond mit seinen Hof = Nuit auréolée, Sonen Regenbogen = arc-en-ciel, Mond Regenbogen = arc-en-ciel lunaire, Nordlicht = aurore polaire, Seesturm = orage en mer, Waßerhose= tornades, Samuni = tempête de poussière.

Photo aérienne de la Mer Méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5073ff80-photo-aerienne-de-la-mer-mediterranee

Photo aérienne de la Mer Méditerranée

Vue satellite de la Mer Méditerranée (NASA World Wind)

Plage à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/59079c85-plage-a-maree-basse

Plage à marée basse

Plage à marée basse, 01-01-2000.

Plage de Juliusruh à l'aube dans l'île de Rügen. Source : http://data.abuledu.org/URI/5945b180-plage-de-juliusruh-a-l-aube-dans-l-ile-de-rugen

Plage de Juliusruh à l'aube dans l'île de Rügen

Restes d'une ancienne jetée sur la plage de Juliusruh, à l'aube, dans l'île de Rügen au nord-est de l'Allemagne. Elle fut utilisée par les pêcheurs à la nasse de la baie de Tromper Wiek, dans la mer Baltique.

Plate-forme pétrolière allemande. Source : http://data.abuledu.org/URI/56b6c3fa-plate-forme-petroliere-allemande

Plate-forme pétrolière allemande

Plate-forme pétrolière allemande en Mer du Nord.

Plate-forme pétrolière en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/56b6c322-plate-forme-petroliere-en-mer-du-nord

Plate-forme pétrolière en Mer du Nord

Plate-forme pétrolière en Mer du Nord.

Port-Goulphar à Belle-Île. Source : http://data.abuledu.org/URI/5019cb9a-port-goulphar-a-belle-ile

Port-Goulphar à Belle-Île

'Port-Goulphar, à Belle-Île', tableau de Claude Monet, 1887.

Portulan du XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50884d6c-maggiolo-portolankarte-1541-png

Portulan du XVIème siècle

Portulan (carte nautique) de Vesconte Maggiolo (1541) : Europe, Méditerranée et Afrique du Nord

Provinces de l'empire romain. Source : http://data.abuledu.org/URI/50766b62-provinces-de-l-empire-romain

Provinces de l'empire romain

Carte de l'empire romain avec limites des provinces, légendée en latin pour la Mer Méditerranée, la Mer Adriatique, la Mer Noire, l'Océan Atlantique et la Mer du Nord.

Raoul, un des géants de la ville de Lille. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc7043-raoul-un-des-geants-de-la-ville-de-lille

Raoul, un des géants de la ville de Lille

Raoul de Godewarsvelde, de son vrai nom Francis Albert Victor Delbarre, est un chanteur français (1928-1977) né à Lille. Son amour de la mer se caractérisait également par sa casquette de pêcheur qu'il ne quittait que très rarement. Jean-Claude Darnal écrira pour lui sa chanson la plus célèbre "Quand la mer monte" (vendue à 150 000 exemplaires), dans laquelle il évoque la vie de marin-pêcheur au Cap Gris-Nez et à l'estaminet de Léonce. En 1982, un géant à son effigie fut créé à Lille et participe depuis à toutes les processions.

Rivière en Slovénie. Source : http://data.abuledu.org/URI/502115e5-riviere-en-slovenie

Rivière en Slovénie

Photo de la rivière Soca en Slovénie, dans le nord ouest du pays bordé par l’Italie et l’Autriche. La Soca prend sa source dans le massif du Triglav, qui est le plus haut sommet des Alpes Juliennes « 2864m », et se jette dans la mer Adriatique en Italie en changeant de nom « fiume Isonzo ».

Royaume du Bosphore. Source : http://data.abuledu.org/URI/51f30cf5-royaume-du-bosphore

Royaume du Bosphore

Carte montrant l'extension du Royaume du Bosphore sous la dynastie des Spartocides.

Sept zones des alertes cycloniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/51f3f057-sept-zones-des-alertes-cycloniques

Sept zones des alertes cycloniques

Carte des sept zones des alertes cycloniques : les différents bassins et les centres responsables. Une alerte cyclonique est un dispositif de sécurité civile visant à protéger les personnes et les biens menacés par un cyclone tropical en les prévenant de l'imminence de l'irruption des phénomènes les plus violents puis en les informant sur la réalité de leur passage au-dessus des zones concernées. Ces bulletins permettent aux autorités civiles de prendre les mesures nécessaires dont l'évacuation des zones côtières, l'ouverture d'abris, la mise en alerte des services médicaux, etc. Chaque pays pouvant être affecté par de tels systèmes a développé son propre code pour les alertes cycloniques. Par exemple, dans les départements outre-mer de France, le niveau d'alerte est relié à un code de couleurs (orange et rouge) alors qu'en Amérique du Nord on a des veilles et des alertes météorologiques.

Station radar du Cap Leucate. Source : http://data.abuledu.org/URI/55450caf-station-radar-du-cap-leucate

Station radar du Cap Leucate

Station radar du Cap Leucate (Aude).

Sterne arctique en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e3f41e-sterne-arctique-en-vol

Sterne arctique en vol

Sterne arctique en vol (sterna paradisae) près du barrage de l'Eider en mer du Nord (Allemagne). Les sternes sont aussi appelées hirondelles de mer. C'est un oiseau migrateur qui est témoin de deux étés chaque année, puisqu’il effectue un aller-retour à partir de ses aires de reproduction dans le nord, jusqu’aux océans près de l’Antarctique où il hiverne (ce qui représente un trajet pouvant atteindre couramment 70 000 km). La Sterne arctique vole de ce fait huit mois par an.

Tempête et naufrage en mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ee5cf-tempete-et-naufrage-en-mer

Tempête et naufrage en mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.255 : manuel scolaire, édition de 1904. LA TEMPÊTE. - Les tempêtes de la mer sont produites par le vent et l'orage qui bouleversent les flots. Sous ce rapport, le nord-ouest de la France est parmi les contrées de l'Europe les plus exposées aux orages. Dans la tempête, les vagues fouettées par le vent bondissent jusqu'à une hauteur de douze mètres.

Thon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4cfec-thon

Thon

Le thon rouge du Nord (Thunnus thynnus), aussi appelé thon rouge de l'Atlantique ou « scombres », ou thon rouge de Méditerranée plus au sud, est l'une des trois espèces de thon rouge avec le thon rouge du Pacifique (Thunnus orientalis) et le thon rouge du Sud (Thunnus maccoyii). Il est rapide, pouvant atteindre 20 à 30 km/h, et de grande taille, puisque les spécimens les plus grands mesurent plus de 3 m et pèsent plus de 650 kg. Grâce à son sang chaud, il est capable de nager très rapidement et de chasser dans des eaux très froides. Le thon rouge vit principalement entre deux eaux, c'est-à-dire entre la surface de l'eau et jusqu'à 500 à 1 000 m de profondeur, ce qui lui vaut d'être qualifié de «pélagique».

Tour génoise des îles Finocchiarola. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20594-tour-genoise-des-iles-finocchiarola

Tour génoise des îles Finocchiarola

Les îles Finocchiarola (en corse Finuchjarola) forment un archipel inhabité de la mer Tyrrhénienne. Elles se trouvent toutes proches de la côte nord-est du Cap Corse, sur la commune de Rogliano, entre la baie de Tamarone (au sud) et celle de Santa Maria (au nord), et sont constituées de trois îlots désertiques : A Terra, le plus proche de la côte (200 m) ; Mezzana, l'îlot central ; Finocchiarola, le plus grand, le plus haut et le plus au large des îlots (500 m), qui culmine à 27 m au niveau de la tour ruinée. En 1594, une tour littorale fut construite au point culminant du plus grand îlot. Elle était destinée à la défense du Cap corse sous l'occupation génoise et est aujourd'hui en état de ruine. Les deux îlots les plus au larges sont la propriété du Conservatoire du littoral aujourd'hui, et le troisième entre dans sa zone d'intervention. L'archipel fait partie de la Réserve naturelle des îles Finocchiarola depuis 1987. La réserve fut principalement mise en place pour la préservation du goéland d'Audouin, espèce endémique. Les îlots présentent une faune et une flore très particulière. Ils tirent d'ailleurs leur nom d'une plante caractéristique, le fenouil sauvage, finochju en corse.

Triptérygion à bec jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c0c072-tripterygion-a-bec-jaune

Triptérygion à bec jaune

Le triptérygion à bec jaune est un poisson osseux de la famille de Tripterygiidé. Sa taille maximale est de 8,5 cm à 9 cm. C'est une espèce que l'on rencontre principalement en Méditerranée mais aussi à l'Est de Atlantique Nord. Le mâle est de couleur jaune et noir (comme sur la photo) alors que la femelle porte des couleurs plus sombres et moins visibles.

Triptérygion à bec jaune de face. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c0c1bd-tripterygion-a-bec-jaune-de-face

Triptérygion à bec jaune de face

Le triptérygion à bec jaune est un poisson osseux de la famille de Tripterygiidé. Sa taille maximale est de 8,5 cm à 9 cm. C'est une espèce que l'on rencontre principalement en Méditerranée mais aussi à l'Est de Atlantique Nord. Le mâle est de couleur jaune et noir (comme sur la photo) alors que la femelle porte des couleurs plus sombres et moins visibles.

Ville fortifiée de Mali Ston en Croatie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55610767-ville-fortifiee-de-mali-ston-en-croatie

Ville fortifiée de Mali Ston en Croatie

Ville fortifiée de Mali Ston en Croatie. Les murs s'étendaient jusqu'à Mali Ston (le petit Ston), une ville plus petite sur le côté nord de l'isthme de Peljesac et la fin du Golfe de Mali Ston (Malostonski zaljev), réputée pour sa culture de fruits de mer. La Baie de Mali Ston est connue pour ses huîtres, en 2003, 700 000 y étaient produites en 2004. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ston

Vue du fjord de Geiranger en Norvège. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357b84e-vue-a-geiranger-de-flydalsjuvet-2013-june-jpg

Vue du fjord de Geiranger en Norvège

Le fjord de Geiranger est un fjord dépendant de la municipalité de Stranda au sud du comté de Møre og Romsdal en Norvège. C'est une branche d'une quinzaine de kilomètres du Storfjord (Sunnmøre). Au fond du fjord se trouve le village de Geiranger. Le fjord est l'une des principales attractions touristiques du pays, et il est accessible par les bateaux de haute mer, y compris de gros paquebots de croisière. L'express côtier (Hurtigruten) y fait un détour quotidiennement lors de ses voyages sud-nord entre les escales d'Ålesund et de Molde lors du service d'été. Il est inscrit avec le Nærøyfjord sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2005 sous l'appellation de fjords de l'Ouest de la Norvège.