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Photographie | Canada (Nouvelle-France) (Jusqu'à 1763) | Gravure | La Rochelle (Charente-Maritime) | Expositions -- Mise en scène | La Rochelle (Charente-Maritime) -- Tour de la Chaîne | Dessins et plans | Canadiens francophones | Canada -- Histoire | Expositions | Géographie | Dix-huitième siècle | Dix-neuvième siècle | Histoire | Cartes du monde | Peinture | Nouvelle-Calédonie | Ballons dirigeables | Jules-Gabriel Verne (1828-1905) | Sites historiques | ...
Carte de la Nouvelle-France. Source : http://data.abuledu.org/URI/511529f2-carte-de-la-nouvelle-france

Carte de la Nouvelle-France

Carte de la Nouvelle-France vers 1750. Sources : 1) "Les Villes françaises du Nouveau Monde : des premiers fondateurs aux ingénieurs du roi, XVIe-XVIIIe siècles" ; sous la direction de Laurent Vidal et Emilie d'Orgeix ; Éditeur : Paris, Somogy 1999. 2) "Canada-Québec 1534-2000", Jacques Lacoursière, Jean Provencher et Denis Vaugeois, Éditeur : Sillery (Québec), Septentrion 2000.

Bataille contre les Yroquois au Lac Champlain.. Source : http://data.abuledu.org/URI/565718ba-bataille-contre-les-yroquois-au-lac-champlain-

Bataille contre les Yroquois au Lac Champlain.

Défaite des Iroquois au lac Champlain (1609), dans Voyages de Champlain, tome III, publié en 1613, puis réimprimé en 1632. Cartographe et dessinateur. - Lieutenant général en Nouvelle France (à partir de 1612). - Géographe du Roi. - Fondateur de Québec.

Carte de France corrigée de 1682. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bee1a-carte-de-france-corrigee-de-1682

Carte de France corrigée de 1682

Carte de France corrigée de l'Académie des Sciences, sous la direction de Jean Picard et Philippe de la Hire, datant de 1682 (les nouveaux contours sont en rouge par rapport à ceux des cartes antérieures). Cette nouvelle carte fit dire à Louis XIV que la nouvelle carte lui coûtait cher car les dimensions de la France s'en trouvaient réduites par rapport aux cartes antérieures (carte publiée en 1693 dans le ''Neptune français'')

Carte de L'Isle de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/521be4f8-carte-de-l-isle-de-bourbon

Carte de L'Isle de Bourbon

Carte de l'Isle Bourbon, 1763, par Jacques-Nicolas Bellin (1703-1772) du Musée de la Compagnie des Indes à Port-Louis. En 1721, Bellin est nommé hydrographe du ministère de la Marine suite à la création de l’office hydrographique français et du Dépôt des cartes et plans de la Marine. Nommé ingénieur hydrographe en août 1741. Membre de l’Académie de Marine et la Royal Society of London. Au cours d’une carrière de 50 ans, il est l’auteur d’un grand nombre de cartes et d’atlas. Ses cartes du Canada et des territoires français de l’Amérique du Nord (Nouvelle-France, Acadie, Louisiane) sont d’une valeur considérable. Il a donné 994 articles à l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. Une grande partie de ses travaux sont aujourd'hui conservés au département des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France, ce qui permet l'étude de l'homme, de l'œuvre et de l'histoire de la cartographie marine. Le fonds d'archives de Jacques-Nicolas Bellin est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Carte des territoires et départements d'outre-mer en 2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc4bcb-carte-des-territoires-et-departements-d-outre-mer-en-2007

Carte des territoires et départements d'outre-mer en 2007

Carte des territoires et départements d'outre-mer en 2007 : en bleu, France métropolitaine et départements-régions d'outre-mer (DOM-ROM) ; en orange, collectivités d'outre-mer et la Nouvelle-Calédonie ; en vert, Terres australes et antarctiques françaises ; en jaune, Clipperton, propriété domaniale de l'État. Nomenclature en grand : territoire habité en permanence. Nomenclature plus petite : territoire non-habité en permanence, principalement par des missions scientifiques.

Chateau Frontenac à Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/53569668-chateau-frontenac-a-quebec

Chateau Frontenac à Québec

Château Frontenac à Québec, Canada, 2011. Le Château Frontenac est nommé ainsi en l'honneur de Louis de Buade, comte de Frontenac, qui fut gouverneur de Nouvelle-France de 1672 à 1682 et de 1689 à 1698.

Chevaux de cirque. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ea96c-chevaux-de-cirque

Chevaux de cirque

Croquis de chevaux de cirque, 1899, par Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901). Dans son acception moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, des numéros de dressage et de domptage d’animaux, des spectacles de clowns, des tours de magie. La première représentation d’un cirque moderne date du 9 janvier 1768 et a été présentée par Philip Astley à Londres. Vétéran de retour d’Amérique, il décide de représenter surtout des spectacles équestres égayés par des bateleurs. Le mariage du monde équestre militaire et du monde forain autour du cercle est établi. Cette nouvelle forme de spectacle, fondée essentiellement sur des exercices équestres, fut ensuite introduite en France par Astley en 1774, puis reprise par Antonio Franconi et ses descendants. C'est seulement au XIXe siècle lors des vagues de colonisation que furent introduits en France et en Allemagne les premiers animaux sauvages.

Drame dans les airs 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b03757-drame-dans-les-airs-03

Drame dans les airs 03

Un drame dans les airs, 1851, nouvelle de jeunesse de Jules Verne (1828-1905) : Les débuts de l'aérostation (678 mots).

Drame dans les airs 06. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b05b8f-drame-dans-les-airs-06

Drame dans les airs 06

Un drame dans les airs, 1851, nouvelle de jeunesse de Jules Verne (1828-1905) : la traversée de Douvres à Calais faite par Blanchard et Jefferies en 1785.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217a6b-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217abe-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217b03-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217b3d-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217b7c-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217b9d-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada.

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58217c59-exposition-dans-la-tour-de-la-chaine-a-la-rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle

Exposition dans la tour de la Chaîne à La Rochelle : Partir en Canada. Citation de Claude Beausoleil, Grand Hôtel des étrangers.

Fabrication du sirop d'érable par les Amérindiens en Nouvelle-France. Source : http://data.abuledu.org/URI/505b9871-fabrication-du-sirop-d-erable-par-les-amerindiens-en-nouvelle-france

Fabrication du sirop d'érable par les Amérindiens en Nouvelle-France

Illustration extraite de "Coutumes des Amérindiens" par Joseph François Lafitau (1681-1746), publié en 1724 : Étapes de fabrication du sirop d'érable par les Amérindiens en Nouvelle-France au XVIIIème siècle.

France d'outre-mer en 2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c62b77-france-d-outre-mer-en-2007

France d'outre-mer en 2007

La France d'outre-mer dans le monde en 2007. Légende : 1) en bleu, la France métropolitaine et les départements-régions d'outre-mer (DOM-ROM) ; 2) en orange : les collectivités d'outre-mer et la Nouvelle-Calédonie ; 3) en vert, les Terres australes et antarctiques françaises ; en jaune, Clipperton, propriété domaniale de l'État. Nomenclature en grand : territoire habité en permanence ; nomenclature plus petite : territoire non-habité en permanence, principalement par des missions scientifiques.

Habitation de Champlain à Quebec. Source : http://data.abuledu.org/URI/511530ec-habitation-de-champlain-a-quebec

Habitation de Champlain à Quebec

Habitation de Québec : A) Le magazin. B) Colombier. C) Corps de logis où sont nos armes, & pour loger les ouvriers. D) Autre corps de logis pour les ouvriers. E) Cadran. F) Autre corps de logis où est la forge, & artisans logés. G) Galeries tout au tour des logemens. H) Logis de sieur de Champlain. I) La porte de l'habitation, où il y a pont-levis. L) Promenoir autour de l'habitation concernant 10 pieds de large jusques sur le bort du fossé. M) Fossés tout autour de l'habitation. N) Plattes formes, en façon de tenaille pour mettre le canon. O) Jardin du sieur de Champlain. Q) Place devant l'habitation sur le bort de la rivière. R) La grande rivière de sainct Lorens. vers 1608. Source : "The works of Samuel de Champlain in six volumes", Toronto, The Champlain Society, 1925, reprinted 1971 by University of Toronto press, volume II, p. 39. Samuel Champlain fonde Québec en 1608, mandaté par Pierre Dugua de Mons, « là où le fleuve se rétrécit », selon l'appellation algonquienne, et il en fait la capitale de la Nouvelle-France aussi dite le « Canada ». Québec sera, jusqu'aujourd'hui, le premier lieu habité à l'année de façon continue par des Français et leurs descendants, en Amérique du Nord. Champlain remonte aussi le fleuve en 1615 jusqu'au-delà du Sault Saint-Louis (rapides de Lachine), à la baie Georgienne (partie ouest du lac Huron) et navigue sur les eaux de la rivière Richelieu jusqu'à ce qui est aujourd'hui le lac Champlain. Tout au long de son périple en Nouvelle-France, il établit notamment avec les Innus-Montagnais, les Algonquins et les Hurons-Wendats, d'excellentes relations diplomatiques et commerciales, et agit, d'office (non en titre), comme premier gouverneur de la Nouvelle-France. Cependant, les colons européens apportent de nombreuses maladies qui, par les routes commerciales, se propagent rapidement au sein des populations autochtones, faisant des ravages parmi celles-ci. Les colons français, arrivant souvent très malades dans des bateaux qui ne sont pas très sains, sont sauvés par les remèdes amérindiens. Ainsi, pour soigner le scorbut, les Iroquoiens du Saint-Laurent proposent à Cartier des décoctions d'écorce de cèdre blanc, appelé annedda.

Havre Dubus en Nouvelle-Guinée en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/598165f7-havre-dubus-en-nouvelle-guinee-en-1838

Havre Dubus en Nouvelle-Guinée en 1838

Havre Dubus (baie Triton). Atlas pittoresque, planche 124 - Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

La chaudière des sept villes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f46961-la-chaudiere-des-sept-villes

La chaudière des sept villes

L'île de Sao Miguel (Açores), La chaudière des sept villes, LAS DAS SETE CIDADES (Élisée Reclus, 1887 ed.), Dessin de Taylor, d'après une photographie de Raposo. Source : "Nouvelle géographie universelle ; la terre et les hommes" (1876), livre XII. Table des matières : I. L'Europe méridionale.--II. La France.--III. L'Europe centrale.--IV. L'Europe du nod-ouest.--V. L'Europe scandinave et russe.--VI. L'Asie russe.--VII. L'Asie orientale.--VIII. L'Inde et l'Indo-Chine.--IX. L'Asie antérieure.--X. L'Afrique septentrionale-1 --XI. L'Afrique septentrionale-2 --XII. L'Afrique occidentale.--XIII. L'Afrique méridionale.--XIV. Océan et terres océaniques.--XV. Amérique boréale.--XVI. Les Etats-Unis.--XVII. Indes occidentales.--XVIII. Amérique du Sud: les régions andines.--XIX. Amérique du Sud : L'Amazonie et La Plata.

La cité de Carcassonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dd0cc-la-cite-de-carcassonne

La cité de Carcassonne

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.209 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA CITÉ DE CARCASSONNE - La vieille cité de Carcassonne est encore à peu près telle qu'elle était au moyen-âge. Elle se dresse au sommet d'une colline avec ses hautes murailles, ses tours aux formes les plus variées et ses portes fortifiées. - La nouvelle ville, très régulièrement bâtie, s'étend au pied de la colline, au bord de l'Aude.

La nouvelle Jérusalem de la tapisserie de l'apocalypse. Source : http://data.abuledu.org/URI/56dd9b2e-la-nouvelle-jerusalem-de-la-tapisserie-de-l-apocalypse

La nouvelle Jérusalem de la tapisserie de l'apocalypse

La nouvelle Jérusalem (Tapisserie de l'Apocalypse), château d'Angers.

Lac des quatre cantons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c58d-lac-des-quatre-cantons

Lac des quatre cantons

Joseph Mallord William Turner (1775-1851), Le lac des quatre cantons, aquarelle, 1802. C'est en Angleterre, où l'enseignement de la peinture est moins encadré qu'en France, que l'aquarelle, par l'intermédiaire de la "Royal Watercolour Society", fondée en 1804 à Londres, acquiert une dimension nouvelle. Samuel Palmer, Richard Bonington, William Turner en sont ses principaux acteurs. La maison Winsor et Newton, célèbre fabrique d'aquarelles, est fondée en 1834.

Maquette de moulin à eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/508d62cf-maquette-de-moulin-a-eau

Maquette de moulin à eau

Maquette du Moulin des Jésuites, Ville de Québec (Québec) Canada. Le Moulin des Jésuites de Charlesbourg est un moulin à eau situé à Québec, à l’est de l'arrondissement historique de Charlesbourg (Trait-Carré). Il a été construit en pierre en 1740 et a cessé de fonctionner en 1940. Il abrite aujourd'hui un centre d'interprétation historique.

Migration du Cap tourmente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fddef0-migration-du-cap-tourmente

Migration du Cap tourmente

Les migrations de la grande oie blanche à la réserve nationale de faune du Cap-Tourmente, Québec, Canada. La réserve nationale de faune du cap Tourmente est l'une des huit réserves nationales de faune du Canada présentes au Québec. Établie dans une région liée aux premiers temps de l'histoire de la Nouvelle-France, cette réserve est destinée à protéger les marais à Scirpe d'Amérique, une plante qui constitue l'alimentation de l'Oie des neiges (ou oie blanche) lors de ses migrations annuelles. Le nom de « cap Tourmente » apparaît pour la première fois en 1608 sous la plume de l'explorateur Samuel de Champlain qui notait ainsi la propension des eaux du fleuve Saint-Laurent à s'agiter sous le vent à cet endroit : "De l'isle aux Couldres costoyans la coste, fusme à un cap, que nous avons nommé le Cap de Tourmente, qui en est à sept lieues, et l'avons ainsi appelé, d'autant que pour peu qu'il face de vent, la mer y esleve comme si elle estaoit pleine."

Migrations du corbeau freux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fde805-migrations-du-corbeau-freux

Migrations du corbeau freux

Le corbeau freux prospère des îles Britanniques aux steppes du plateau de l’Altaï en passant par la France et le nord de l’Espagne. Il est absent de la Suisse méridionale, d'une grande partie de l’Autriche et de l’Italie. Au nord, les populations atteignent le Danemark et la Suède méridionale ; au sud-est les côtes de la mer Noire et de la mer Caspienne. Pendant les mois d'hiver, l'espèce colonisera en outre le long des côtes norvégiennes jusqu'au tropique du Cancer, dans une grande partie des Balkans et de la Turquie. Le freux a été acclimaté avec succès en Nouvelle-Zélande, où il bénéficie même depuis des décennies du statut d'espèce protégée, bien que les populations continuent d'y être énergiquement décimées. Vert : habitat permanent ou partiellement migratoire ; bleu : zone d’hivernage ; orange : source préférentielle de migration. Flèches en orange : directions connues de migration.

Montagne de la Menchiri en Nouvelle-Guinée en 1838. Source : http://data.abuledu.org/URI/5981667a-montagne-de-la-menchiri-en-nouvelle-guinee-en-1838

Montagne de la Menchiri en Nouvelle-Guinée en 1838

Montagne de la Menchiri. Atlas pittoresque, planche 125 - Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Musée des santons à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e8e8fe-musee-des-santons-a-marseille

Musée des santons à Marseille

Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.

Phare du Cap Lévi sur la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e71e6-phare-du-cap-levi

Phare du Cap Lévi sur la Manche

Le phare du cap Lévi est situé au cap Lévi, sur la commune de Fermanville, dans la Manche. Il sert de relais entre le phare de la Hague et le phare de Gatteville. La tour est édifiée en 1947 sur les dessins des architectes Levasseur et Chauliat qui ont gardé le type de construction du phare détruit en 1944. La nouvelle tour est plus petite (28 mètres contre 31), mais a été construite à 2 mètres de plus au-dessus de la mer. Hauteur : 28 m - Elévation : 36 m - Portée 20 milles ; Feux : rouge à éclats, 5 secondes - Optique : type STPB en verre moulé à 4 panneaux, focale 0.375 m monture en aluminium Lanterne : lampe halogène 650 W. Kapelwic "l'anse de la chapelle" au Moyen Âge est le nom primitif d'un hameau dans une anse (vik en norrois) à proximité ; le nom est d'abord devenu "Caplevy" par métathèse de L et amuïssement du C. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Cap_L%C3%A9vi

Plaque commémorative du Château Frontenac à Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/53569931-plaque-commemorative-du-chateau-frontenac-a-quebec

Plaque commémorative du Château Frontenac à Québec

Plaque commémorative bilingue du Château Frontenac à Québec : Construit en sept étapes à partir de 1892-93, cet édifice offre un excellent exemple des hôtels de style Château établis par les compagnies ferroviaires du Canada. Rehaussé par la splendeur du site, il évoque le romantisme des châteaux de la Loire des XIV° et XV° siècles. Bruce Price, qui en a conçu le plan, a toutefois délaissé la symétrie classique de ces modèles au profit de l'éclectisme pittoresque en vogue à la fin du XIX° siècle. Les interventions subséquentes des architectes Painter et Maxwell et de la firme ARCOP ont respecté l'esprit initial de sa sihouette imposante, qui est l'un des points dominants du Vieux-Québec. Commission des lieux et monuments historiques du Canada. Gouvernement du Canada.

Pomme rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/534276ba-pomme-rouge

Pomme rouge

Pomme rouge : Royal Gala. La Gala est une pomme rouge issue du croisement entre la Kidd's Orange Red et la Golden delicious. La variété a été créée en Nouvelle-Zélande dans les années 1920 par le pépiniériste J.H. Kidd. Elle est disponible de septembre à mai. En France, c'est la deuxième pomme la plus cultivée (après la Golden delicious) puisque les Galas et ses variantes représentent près de 17 % de la production nationale. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gala_%28pomme%29

Portrait d'Ambroise Paré. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ebdec-portrait-d-ambroise-pare

Portrait d'Ambroise Paré

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : AMBROISE PARÉ est un chirurgien et anatomiste français du XVIème siècle. Ambroise Paré est le chirurgien des champs de bataille, le père de la chirurgie moderne. Il est l'inventeur de nombreux instruments. La généralisation alors relativement récente de l’usage des armes à feu rend les chirurgiens familiers avec des plaies d'une sorte nouvelle, que l’on cautérise au fer rouge ou à l’huile bouillante au risque de tuer le blessé. Paré met au point la ligature des artères, qu'il substitue à la cautérisation, dans les amputations.

Racine fossile. Source : http://data.abuledu.org/URI/551c49bc-racine-fossile

Racine fossile

Structure gréseuse et ferrugineuse en forme de tuyau ramifié, comme on en trouve dans les couches de sable du Plateau d'Helfaut (près de Saint Omer, nord de la France). Exemplaire trouvé lors du creusement du chantier de la VNVA (Voie nouvelle de la vallée de l'Aa) qui a traversé en déblai-remblai le plateau d'Helfaut. La forme de ces structures évoque des racines fossiles ou des galeries animales fossilisées, mais il pourrait aussi s'agir d'une structure laissée par la foudre. Certains de ces "tuyaux" contiennent un sable très blanc. Origine à confirmer.

Rade de Port-de-France en Nouvelle-Calédonie en 1857. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e4172c-rade-de-port-de-france-en-nouvelle-caledonie-en-1857

Rade de Port-de-France en Nouvelle-Calédonie en 1857

Vue de la rade de Port-de-France (Nouvelle-Calédonie), d'après un croquis communiqué par un officier de l'établissement, 25 avril 1857. Source : Fulgence Girard, in Le Monde illustré, n°2, 25/04/1857. Le 25 juin 1854, les militaires français fondent au sud-ouest de la Grande Terre Port-de-France pour servir de chef-lieu à la colonie, simple garnison qui deviendra rapidement une petite ville et prendra le nom de Nouméa le 2 juin 1866. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle-Cal%C3%A9donie.

Remparts de la citadelle d'Essaouira au Maroc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309e254-remparts-de-la-citadelle-d-essaouira-au-maroc

Remparts de la citadelle d'Essaouira au Maroc

Essaouira (Maroc), le port, les barques de pêcheurs et les remparts de la citadelle. En tamazight تصورت tassourte "la bien gardée", en arabe : الصويرة, transcription : Al-Suwayra, "la bien dessinée". En 1764, le sultan Mohammed ben Abdellah décide d'installer à Essaouira sa base navale, d'où les corsaires iront punir les habitants d'Agadir en révolte contre son autorité. Il fait appel à Théodore Cornut, un architecte français à la solde des Britanniques de Gibraltar. Le sultan le reçoit avec tous les honneurs dus à un grand artiste et lui confie la réalisation de la nouvelle ville « au milieu du sable et du vent, là où il n'y avait rien ». Cornut l'Avignonnais, disciple de Vauban, et qui avait été employé par Louis XV à la construction des fortifications du Roussillon, travailla trois ans à édifier le port et la kasbah, dont le plan original est conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris. Il semblerait que la seconde ceinture de remparts et la médina aient été dessinées bien après le départ de Cornut. Le sultan n'avait pas souhaité prolonger leur collaboration, reprochant aux Français d'être trop chers et d'avoir travaillé pour l'ennemi britannique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Essaouira.

Repère géodésique sur une borne ancienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096a2c3-repere-geodesique-sur-une-borne-ancienne

Repère géodésique sur une borne ancienne

Borne kilométriquecomportant un point géodésique, sur l'ancien tracé de la RN 301 à Stains (Seine Saint Denis - France), rue Carnot. Des repères de nivellement étaient fréquemment implantés sur des édifices publics (mairies et églises) ou des bornes routières. Le système traditionnel en France jusqu'à la fin du XXe siècle était la Nouvelle triangulation de la France (NTF) : système géodésique classique associé à un réseau géodésique terrestre ; il était associé à la projection de Lambert ; la coordonnée verticale se référait au système Nivellement général de la France (NGF).

Sémaphore de Gatteville. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b88901-semaphore-de-gatteville

Sémaphore de Gatteville

Les courants forts au large de la pointe de Barfleur, et les nombreux naufrages rendent indispensable l'édification d'un phare. En 1774, sous le règne de Louis XVI, la Chambre de commerce de Rouen décide de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée. Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide d'ériger une nouvelle tour en 1825. L'ancien phare devient sémaphore. Celui-ci est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 mai 2009.

Serre tropicale de la Nouvelle-Calédonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e27ae5-serre-tropicale-de-la-nouvelle-caledonie

Serre tropicale de la Nouvelle-Calédonie

Composition géométrique à partir de la serre tropicale de la Nouvelle-Calédonie restaurée et réouverte au public en 2010, au Jardin des Plantes de Paris 15 septembre 2010.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.

Vélomobiles Leitra. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fb6aa0-velomobiles-leitra

Vélomobiles Leitra

Vélomobiles Leitra : apparue avant les autres, dans les années 1980 au Danemark, la marque Leitra est la première à avoir fabriqué des vélomobiles modernes, destinés à une utilisation régulière comme véhicule de déplacement quotidien. Une version modernisée est réalisée par Bike Revolution / Steintrike sous le nom de Leitra avancé ; ils réalisent aussi un autre vélomobile sur la base d'une carrosserie de Leitra : le Thunderstorm (orage). Leitra propose aussi des coques profilées à adapter à l'avant des trikes, nommées Wildcat, d'un poids réduit, qui les transforme presque en vélomobile. En France, Vélovergne les fabrique sous licence. Une des particularités de la marque est de réaliser ses vélomobiles à la carte, en adaptant ses dimensions à la taille du pilote.