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Fabrication industrielle du noir de fumée, image scannée dans : "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39. « Dans l’industrie, on prépare le noir de fumée en brûlant des résines dans un espace restreint. La fumée épaisse qui se dégage passe dans une vaste chambre cylindrique tendue de toile, et dont le toit, de forme conique présente une ouverture pour la sortie des gaz dus à la combustion. Le noir de fumée se dépose sur les toiles et on le fait tomber au moyen d’un cône mobile engagé dans la toiture et dont le bord inférieur s’applique exactement contre la paroi de la chambre. »
Fabrication industrielle du noir de fumée, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39.
Dessins et plans, Surprise, Sapeurs-pompiers, Albums pour enfants, Fumée, Poêles (appareils de chauffage), Poêles à charbon, Trous, Maîtresses de maison, Peter Newell (1862-1924), Humour dans l'éducation, Poêles en fonte (appareils de chauffage)
Illustration de l'album The Hole Book, 1908, par Peter Newell (1862-1924), téléversée par Cyrille Largillier.
Planche botanique de Bouillon-blanc, Molène faux-phlomis (Verbascum phlomoides), Atlas des Plantes de France, 1891 : commune dans les champs incultes, sur les bords des routes, sur les décombres ensoleillés. Sa fleur est très utilisée dans les inflammations de la gorge, des poumons et des intestins. Ses feuilles séchées sont utilisées en infusion pour leurs propriétés adoucissantes et pectorales ; Fumée, elle procure un soulagement aux asthmatiques. Les graines contiennent une huile efficace sur les gelures et les crevasses de la peau.
Photographie, Saucisses, Alimentation, Cuisine polonaise, Produits de la charcuterie, Saucissons secs
Kiełbasa est un type de saucisse originaire de la Pologne. Le mot signifie "saucisse" en polonais. Le kabanos, signifiant "saucisson", est une kiełbasa fumée.
Gravure, Couples, Cigares, Fumée du tabac, Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Dessin en noir et blanc, Collections de costumes, Proverbes français, Arrogance, Cirages à chaussures, Suffisance
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Tout ce qui reluit n'est pas en or." Un cireur de chaussures au travail et un couple bougeois plein d'arrogance ; à l'arrière-plan une boutique de couverts "Imitation d'or, strass, chrysocalque, Melchior etc."
Contes de fées japonais - 40, traduction en anglais par 0zaki, 1908 : Une légère fumée rose s'envola de la boite.
Dessins et plans, Couleurs, Lumière du jour, Ciel, Lumière, Diffusion atmosphérique, Lumière -- Diffusion, Aurores, Diffusion (physique), Lumière du ciel
Illustration de la diffusion de Raleigh et de Mie sur une particule sphérique. De gauche à droite : intensité de la diffusion Rayleigh, de la diffusion Mie pour de petites particules et de la diffusion Mie pour de grosses particules, en fonction de la direction. L'onde incidente arrive par la gauche. La diffusion par des très petites particules, telles que des molécules, de dimensions inférieures au dixième de la longueur d'onde considérée, est un cas limite appelé diffusion Rayleigh. Pour les particules plus grosses que cette longueur d'onde, on doit prendre en compte la diffusion de Mie dans son intégralité : elle explique dans quelles directions la diffusion est la plus intense, on obtient ainsi un « patron de réémission » qui ressemble à celui des lobes d'émission d'une antenne, avec, dans le cas de grosses particules, un lobe plus intense dans la direction opposée à celle d'où provient l'onde incidente. La diffusion de Mie n'est pas fortement dépendante de la longueur d'onde utilisée comme c'est le cas dans celle de Rayleigh. Elle produit donc une lumière presque blanche lorsque le Soleil illumine de grosses particules dans l'air : c'est cette dispersion qui donne la couleur blanc laiteux à la brume et au brouillard. La couleur du ciel, pendant toute la durée du jour, est provoquée par diffusions Rayleigh et Mie de la lumière solaire dans l'atmosphère. La diffusion Rayleigh provoque les teintes bleues, violettes et vertes du ciel. Les couleurs caractéristiques du lever de soleil sont causées par diffusion de Mie de sa lumière par les particules de poussière, suie, fumée et cendre en suspension dans l'atmosphère : lorsque le Soleil est près de l'horizon, sa lumière traverse une plus grande épaisseur d'atmosphère, elle est donc plus susceptible d'être diffusée.
Fabrication du noir de fumée, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39 : Dans l’industrie, on prépare le noir de fumée en brûlant des résines dans un espace restreint. La fumée épaisse qui se dégage passe dans une vaste chambre cylindrique tendue de toile, et dont le toit, de forme conique présente une ouverture pour la sortie des gaz dus à la combustion. Le noir de fumée se dépose sur les toiles et on le fait tomber au moyen d’un cône mobile engagé dans la toiture et dont le bord inférieur s’applique exactement contre la paroi de la chambre. (p.38-40)
Photographie, Îles, Île-d'Aix (Charente-Maritime), Géographie, Monuments historiques, Forts, Archipels, Enet (charent-maritie), Fort, Fort Énet, Île de la Charente-Maritime, Monument historique inscrit en 1994, Fort Énet (Charente-Maritime)
Fort Énet dans la rade de l'île d'Aix en Charente-Maritime. Le fort Énet est une fortification située sur le rocher du même nom, entre Fouras et l'île d'Aix, appartenant à l'archipel charentais. À marée basse, il est accessible à pied depuis la pointe de la Fumée. Le fort actuel fut construit sous Napoléon suite à l'affaire des brûlots qui vit la destruction partielle de l'escadre de Rochefort. La construction s'étale de 1809 à 1812. Le fort est remis à la marine dès le mois de décembre 1811 pour permettre son armement. Jusqu'au milieu du XIXe siècle le fort subit quelques adaptations à cause des assauts des marées. On installe, entre 1848 et 1850, des Casemates. Le fort sert aussi de prison pour les communards en 1871 et au début du XXe siècle, il sert de prison de transit aux bagnards. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_%C3%89net
Fumée de l'éruption du volcan Kanaga situé en Alaska, dans les îles Aléoutiennes, sur l'île Kanaga. Photo prise le 27 janvier 1994.
Fumées émanant des chemines de la centrale thermique du Havre (France).
Planche botanique de la fumeterre officinale (Fumaria officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle fleurit depuis le mois d'avril jusqu'au milieu de l'été et pousse dans les champs, les terrains vagues, les décombres et sur les bords des chemins. Selon Olivier de Serres, son nom, qui signifie fumée de terre, serait dû au fait que le jus de la plante fait pleurer les yeux, comme la fumée. Elle a des vertus dépuratives sur les reins, la vésicule biliaire et le foie.
Procédé traditionnel des noix de cajou grillées, phase 2. Prainha près de Fortaleza, Ceará, Brésil : la résine commence à chauffer, les noix sont régulièrement remuées pour en harmoniser la température. Après quelques minutes, elles noircissent et de la fumée commence à s'en dégager.
Chats, Gravure, Nouveau-nés, Cuisine -- Appareils et matériel, Potages, Cuisine (poivre), Poivre, Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898), Soupes, Cuisines, Cuisines -- Meubles, Lewis Carroll (1832-1898), Chaudrons, Robes de bébé
La cuisine de la duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : La porte donnait sur une grande cuisine qui était pleine de fumée d’un bout à l’autre. La Duchesse était assise sur un tabouret à trois pieds, au milieu de la cuisine, et dorlotait un bébé ; la cuisinière, penchée sur le feu, brassait quelque chose dans un grand chaudron qui paraissait rempli de soupe. « Bien sûr, il y a trop de poivre dans la soupe, » se dit Alice, tout empêchée par les éternuements.
Peinture, Vingtième siècle, Fumeurs, Cubisme, Juan Gris (1887-1927), Céret (Pyrénées-Orientales), Cigares, Frank Burty-Haviland (1886-1971), Fumée du tabac
"El Fumador", Le Fumeur, 1916, par Juan Gris (1887-1927). Frank Burty-Haviland, né en 1886 à Limoges et mort en novembre 1971 à Perpignan est un artiste-peintre cubiste. Il signe ses œuvres "Frank Burty", du nom de sa mère. En 1875, Léon Madesclaire fait édifier un atelier de décoration sur porcelaine qui est acquis en 1909 par Frank Burty-Haviland, fils du porcelainier Charles Haviland. En 1950, Pierre Brune et Frank Burty-Haviland créent le Musée d'art moderne de Céret et invitent les artistes qui ont fréquenté la ville à faire don de quelques-unes de leurs œuvres. Picasso offre 53 tableaux et Matisse, 14 dessins. En 1956, il succède à Pierre Brune à la tête du musée qu'il dirige jusqu'en 1961.
Photographie, Arts plastiques, Lithographie, Pierres lithographiques, Aloys Senefelder (1771-1834), Munich (Allemagne)
Exemple de lithographie d'une ancienne carte de Munich : la pierre en négatif et le papier en positif. Inventée par Aloys Senefelder (1771-1834) en 1796 en Allemagne, la lithographie (du grec lithos, « pierre » et graphein, « écrire ») est une technique d’impression à plat qui permet la création et la reproduction à de multiples exemplaires d’un tracé exécuté à l’encre ou au crayon sur une pierre calcaire. Après avoir essayé de devenir acteur, il s’essaya à l’écriture dramatique avec un certain succès. Des déboires avec plusieurs éditeurs le persuadèrent d'imprimer lui-même ses textes, mais il ne disposait pas des fonds nécessaires à l'achat d'une presse, de caractères et de papier. Senefelder chercha un procédé moins coûteux qui lui permettrait d'imprimer ses œuvres sans avoir recours aux techniques traditionnelles de l'imprimerie. Il expérimenta différents procédés, découvrant ainsi la stéréographie. Après une longue période d'essais et d'erreurs, il eut l'idée d'utiliser la pierre qui lui servait à préparer ses couleurs au lieu des plaques de cuivre et de zinc qui ne lui avaient donné que des résultats médiocres. Cependant le procédé qui consiste à remplacer la plaque de métal par une plaque de pierre n'avait en soi rien de nouveau puisque Senefelder reconnaît avoir vu des plaques d'ardoises dans la boutique d'un imprimeur. La véritable découverte de Senefelder relève de la chimie. Ayant un jour, faute d'encre et de papier, utilisé une pierre pour y écrire une liste en se servant du mélange de cire, de suif, de noir de fumée et d'eau dont il se servait pour ses plaques de métal, il eut l'idée de plonger la pierre dans un bain fait d'une mesure d'eau-forte pour dix mesures d'eau. Au bout de cinq minutes, les parties écrites étaient restées intactes et faisaient maintenant saillie de l'épaisseur d'une carte à jouer. Les ayant encrées de façon satisfaisante au bout d'un certain nombre d'essais et d'erreurs, il réalisa un tirage dont la qualité le persuada de continuer à développer ce procédé.
Peinture, Écureuils, Noisettes, Hiboux, Albums pour enfants, Serrures, Fumées, Beatrix Potter (1866-1943), Devinettes et énigmes anglaises
Noisette l'écureuil, 1903, par Beatrix Potter (1866-1943). The Tale of Squirrel Nutkin-11, Source : http://www.gutenberg.org/files/14872/14872-h/14872-h.htm : Noisette regarda par le trou de la serrure en fredonnant la devinette de la fumée.
Schéma non légendé d'une cigarette : 1) Fumée principale, 2) Matériaux de filtration (charbon actif et autres), 3) Colle, 4) Trous d'aération (allège le goût de la cigarette), 4) Encre, 6) Colle, 7) Fumée latérale, 8) Filtre, 9) Papier du filtre, 10) Tabac et additifs, 11) Papier, 12) Point de combustion et cendres.
Tableau de Frédéric Remington (1861-1909) montrant un groupe d'indiens envoyant un message de fumée (1896).
Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.
Volcano et volcanello. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.409, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Anciennement on nommait Vulcanie une des îles Éoliennes, près de la Sicile. Cette île est couverte de rochers dont le sommet vomissait des tourbillons de flamme et de fumée. C’est là que les poètes ont placé la demeure ordinaire de Vulcain, dont elle a pris le nom, car on l’appelle encore aujourd’hui Volcano, d’où est venu le nom de volcan appliqué à toutes les montagnes qui jettent du feu.