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Photographie | Zones de cultures | Dessins et plans | Agriculture | Aquitaine (France) | Pin maritime | Landes de Gascogne (France) | Kookaburra | Oiseaux carnivores | Alimentation | Carnivores (comportement alimentaire) | Alcédinidés | Australie | Ornithologie | Animaux carnivores | Animaux sauvages | Autoroutes | Linguistique | Provence (France) | Cartes | ...
Cueillette des fraises en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ba876-cueillette-des-fraises-en-bretagne

Cueillette des fraises en Bretagne

Cueillette des fraises d'antan en Bretagne, à Plougastel-Daoulas : carte postale ancienne en noir et blanc n°399, femmes, hommes et deux enfants.

Élevage en bocage et openfield. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ba596a-elevage-en-bocage-et-openfield

Élevage en bocage et openfield

L'openfield est un terme de géographie qui désigne un paysage agraire à champ ouverts. Les géographes francophones ont décidé de recourir à ce vocable anglais pour éviter le mot français correspondant (campagne ou champagne) que les multiples sens et l'usage toponymique rendaient trop ambigu. On appelle bocage la région où les champs et les prés sont enclos par des levées de terre portant des haies ou des rangées d'arbres qui marquent les limites de parcelles de tailles inégales et de formes différentes, et où l'habitat est dispersé généralement en fermes et en hameaux.

Anémone coronaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b524c9-anemone-coronaire

Anémone coronaire

D'après les aquarelles de J. Eudes (Société Linéenne de Caen) dans : A. Guillaumin, ''Les Fleurs de Jardins'', tome I : ''Les Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'Anémone coronaire ou Anémone couronnée (Anemone coronaria) est une plante de la famille des Ranonculacées répandues sur les pelouses, champs, oliveraies, vignes ou cultures à l’abandon des zones basophiles méditerranéennes. Il existe deux types d'anémone couronnée : l'anémone de Caen à fleur unique et l'anémone "St. Brigid'" à fleur double. L'anémone couronnée est également appelée anémone coronaire, anémone des fleuristes ou anémone cultivée. En France, l'anémone couronnée est protégée sur l'ensemble du territoire par l'arrêté du 20 janvier 1982, modifié par l'arrêté du 31 août 1995. Dès le IVe siècle avant notre ère, Théophraste (-372, -288) signalait la floraison précoce de « l'anémone dite « des prairies » [A. coronaria L. et A. pavonina Lam] avec le glaïeul, une jacinthe et presque toutes les autres fleurs de montagnes dont il est fait usage » (Recherche sur les plantes, livre VI).

Forêt de pin maritime dans les Landes de Gascogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51321d60-foret-de-pin-maritime-dans-les-landes-de-gascogne

Forêt de pin maritime dans les Landes de Gascogne

Forêt des Landes (La Teste de Buch), avec le pin maritime (Pinus pinaster). La loi du 19 juin 1857, également appelée loi relative à l'assainissement et de mise en culture des Landes de Gascogne, marque un tournant dans l'histoire des Landes de Gascogne. Elle vise à assécher les vastes zones humides marécageuses présentes sur la majeure partie du territoire et à les mettre en exploitation. Elle marque le début de l'extension de la forêt des Landes, conduisant à la généralisation du procédé de gemmage dans la région, mais aussi la fin du système agro-pastoral traditionnel et la disparition du berger landais. Les parcelles sont plantées de pins d'âge différents de manière à arriver à un seuil de rentabilité.

Kookaburra en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b62b-kookaburra-en-australie

Kookaburra en Australie

Le Martin-chasseur géant ou kookaburra (Dacelo novaeguineae), oiseau célèbre en Australie pour son cri. Oiseau mythique dans la culture aborigène, son chant ressemble à un rire rauque. Son nom australien (de la langue morte wiradjuri) est d'ailleurs "Laughing Kookaburra" (littéralement « Kookaburra rieur »). Il habite dans toutes les zones boisées où il peut trouver à proximité des zones dégagées pour pouvoir chasser. Il ne craint pas la proximité de l'homme. Comme tous les martins-chasseurs, il se nourrit en attendant patiemment installé sur une branche qu'une proie passe à proximité pour se précipiter dessus : carnivore, il mange ainsi souris et autres petits mammifères analogues, gros insectes, lézards, petits oiseaux et oisillons, et, surtout serpents. Il s'attaque de préférence à des proies plus petites que lui mais il n'est pas rare qu'il s'attaque par surprise à des animaux nettement plus gros que lui, en particulier des serpents venimeux. Les proies les plus petites sont avalées vivantes, les proies plus grosses sont d'abord tuées en les frappant vivement sur le sol.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc07cb-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés. Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres (Fagus), d’érables (Acer), de bouleaux (Betula), d’aulnes (Alnus) et de résineux. Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières (surtout le colza) sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux. Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.

Vue aérienne de l'autoroute A63 dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51321b52-vue-aerienne-de-l-autoroute-a63-dans-les-landes

Vue aérienne de l'autoroute A63 dans les Landes

Vue aérienne de l'autoroute A63 (N10) dans le nord du département des Landes. Cet axe est source de fragmentation forestière et d'autres milieux. Une minorité des zones de landes sont naturelles. D'après les dépôts de pollens retrouvés, ces zones étaient couvertes d'arbres. Un défrichage ancien, puis des techniques de culture peu judicieuses (écobuage, soutrage, brûlis, retournement du sol), amena la désertification donc l'abandon de ces terres. La résilience de l'ancien écosystème forestier ayant été dépassée, seule la lande put s'implanter. Sur ces sols ruinés, la culture des pins paraît la plus intéressante, puisque ces arbres s'implantent facilement et le délai d'exploitation est très court. Cependant, comme toutes les cultures mono-spécifiques, celles de pins est judicieuse économiquement à court terme, au prix d'un bilan écologique néfaste. La forêt de résineux est la seule pouvant s'implanter dans des zones où les conditions sont trop extrêmes pour les forêts de feuillus ou mixte. La monoculture de résineux dans tous les autres endroits est donc contre nature. Elle amène la podzolisation du sol, c'est-à-dire une stérilisation de la couche arable du sol par le lessivage systématique des substances nutritives qui s'y trouvent. À une certaine profondeur, les substances emportées se concentrent et forment de l'alios, le sol y est dur et imperméable comme de la pierre. Comparée aux autres types de forêts, celles composées uniquement de conifères ont une biodiversité très pauvre, car leur litière est toxique.

Zone de diffusion du provençal. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c9fa8c-zone-de-diffusion-du-provencal

Zone de diffusion du provençal

Zones de diffusion du provençal : Zone de diffusion de la langue provençale. La Provence linguistique : 1 Limite de langue, 2 Limite de dialecte, 3 Limite de sous-dialecte ; Points de vue de P. Blanchet : 4 Limite de la langue provençale, a : La Provence historique et culturelle, b : Zones extérieures de culture provençale, c : Zone historique provençale ayant appartenu au Piémont de 1388 à 1713 et surtout de culture alpine, d : Zone dauphinoise aujourd'hui rattachée à la région Provence Alpes Côte d'Azur, e : Pays niçois (Provençal jusqu'en 1388, Piémontais jusqu'en 1860, aujourd'hui rattaché à la région Provence Alpes Côte d'Azur).