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Dessins et plans | Photographie | Température atmosphérique | Météorologie | Thermomètres | Clip art | Vaporisation | Température | Physique | Solides | Pression | Gaz | Changement d'état (physique) | Orages | Plasmas | Thermodynamique | Gazomètres | Néo-impressionnisme (art) | Peinture | Troposphère | ...
Tempéré. Source : http://data.abuledu.org/URI/5027c4a6-tempere
Thermomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/520bfe3f-thermometre

Thermomètre

Thermomètre en degrés celsius : 21°C.

Très froid. Source : http://data.abuledu.org/URI/5027d3e8-tres-froid
Canal dans la forêt amazonienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f452f9-canal-dans-la-foret-amazonienne

Canal dans la forêt amazonienne

Plan du canal de Casiquaire dressé par Humboldt. Légende d'origine : "Carte de l'Intérieur de la Guyane Espagnole dressée sur les lieux d'Humboldt". En 1799, Humboldt est présenté au roi et à la reine d'Espagne. Il obtient des passeports avec le sceau royal qui garantit aux voyageurs l'assistance des autorités qu'ils rencontrent. Bonpland devient officiellement compagnon et secrétaire de Humboldt. Humboldt et Bonpland sont les premiers à effectuer une exploration scientifique digne de ce nom. L'ambition majeure de Humboldt pendant son voyage aux Amériques est de découvrir l'interaction des forces de la nature et les influences qu'exerce l'environnement géographique sur la vie végétale et animale. Le 5 juin 1799, ils embarquent, à La Corogne, à bord de la corvette « Le Pizarro » à destination du Venezuela, et après une escale aux Canaries, ils arrivent le 16 juillet à Cumaná au Venezuela, à l'est de Caracas. Pendant la navigation, Humboldt fait des mesures astronomiques, météorologiques, de magnétisme, de température et de composition chimique de la mer. En Amérique, il a un profond dégoût pour la façon dont se vendent et s'évaluent les esclaves, même si c'est dans les possessions espagnoles qu'ils sont le moins maltraités. Chateaubriand dira de lui dans son édition de 1827 de "Voyages en Amérique" : « En Amérique, l'illustre Humboldt a tout peint et tout dit ». Humboldt et Bonpland explorent la forêt tropicale pour tenter de confirmer la présence, considérée comme impossible, d'un canal naturel entre l'Orénoque et l'Amazone, le canal de Casiquiare, et de localiser le lieu exact de la source de l'Orénoque. Ils récoltent de nombreux spécimens d'animaux et de plantes inconnus, et Humboldt relève méticuleusement la température du fleuve, du sol et de l'air, et la pression atmosphérique, l'inclinaison magnétique, la longitude et la latitude.

Circulation thermohaline. Source : http://data.abuledu.org/URI/518be355-circulation-termohaline

Circulation thermohaline

La circulation thermohaline mondiale correspond au couplage de plusieurs cellules de convections océaniques et participe à la redistribution de la chaleur. La circulation thermohaline est la circulation permanente à grande échelle de l'eau des océans, engendrée par des écarts de température et de salinité des masses d'eau. La salinité et la température ont en effet un impact sur la densité de l'eau de mer. Les eaux refroidies et salées plongent au niveau des hautes latitudes (Norvège, Groenland, etc.) et descendent vers le sud, à des profondeurs comprises entre 1 et 3 km. Elles sont alors réchauffées sous les Tropiques, et remontent à la surface, où elles se refroidissent à nouveau, et ainsi de suite au travers de courants à forte composante latitudinale transverse. On estime qu'une molécule d'eau fait le circuit entier en environ 1 000/1 500 ans.

Colonnes de distillation industrielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5132fd21-colonnes-de-distillation-industrielle

Colonnes de distillation industrielle

Colonnes de distillation : La distillation industrielle est un procédé de raffinage qui consiste à traiter le pétrole brut préalablement chauffé à 360 degrés afin d'en séparer les différentes fractions. Après vaporisation, il est envoyé dans une tour de distillation atmosphérique. Chaque niveau de température correspond à une étape du fractionnement et donne un produit spécifique : les produits légers sont recueillis dans la partie supérieure de la tour (butane et propane, essence légère ou naphta), les produits moyens (essence lourde, kérosène et gazole) sont récupérés en soutirage latéral, et le résidu atmosphérique est recueilli au fond de la tour. Cette séparation n'est pas suffisante pour donner toutes les qualités requises à chacun des produits obtenus. Interviennent alors le craquage et le reformage pour les carburants.

Couches de l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be35d9-couches-de-l-atmosphere

Couches de l'atmosphère

Température des couches de l'atmosphère (en °C) en fonction de l'altitude (en km) : troposphère, stratosphère (couche d'ozone), mésosphère, thermosphère.

Gazomètres à Clichy. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8e2e4-gazometres-a-clichy

Gazomètres à Clichy

Gazomètres à Clichy, 1886, par Paul Signac (1863-1935). Un gazomètre est un réservoir servant à stocker le gaz de ville ou le gaz naturel à température ambiante et à une pression proche de la pression atmosphérique.

Les quatre états de la matière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd996c-les-quatre-etats-de-la-matiere

Les quatre états de la matière

Graphique des relations des quatre états de la matière, terminologie des changements d'état. En thermodynamique, un changement d'état est une transition de phase lors du passage d'un état de la matière à un autre. Les trois principaux états de la matière sont : solide, liquide, gaz. On distingue également un quatrième état, celui de plasma. La thermodynamique attribue un terme spécifique à chaque changement d'état. Les paramètres fixant le changement d'état d'un corps pur sont la pression et la température. À pression atmosphérique, l'eau est solide pour une température inférieure à 0 °C, liquide pour une température comprise entre 0 °C et 100 °C, et à l'état de gaz pour des températures supérieures. À pression plus faible, le changement d'état se produit pour des températures plus basses. Ainsi, l'eau bout à une température inférieure à 100 °C en montagne car la pression diminue avec l'altitude.

Orage de grêle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52349bd5-orage-de-grele

Orage de grêle

Coupe verticale d'un orage de grêle avec l'air entrant soulevé en altitude et formant les grêlons. Dès qu'une goutte gèle dans les niveaux supérieurs de la troposphère (couche inférieure de l'atmosphère terrestre) où la température est inférieure à -10 °C, elle devient un tel noyau de congélation qui peut commencer le grêlon. L'embryon se retrouve alors entouré de vapeur d'eau et de gouttes restées liquides, la surfusion pouvant exister jusqu'à une température de -39 °C. Comme la pression de vapeur de saturation de la glace est moindre que celle de l'eau à ces températures, la vapeur d'eau contenue dans l'air en ascension rapide va se condenser en priorité sur les noyaux de glace. Les grêlons croîtront donc plus rapidement que les gouttes de pluie dans une atmosphère humide comme celle de l'orage. De plus, les embryons de grêle cannibalisent la vapeur d'eau des gouttes surfondues dans leur entourage. En effet, à la surface des gouttes il y a toujours un échange de vapeur d'eau avec l'air environnant et le grêlon semble attirer les molécules d'eau vers lui parce qu'il leur est plus facile de s'y condenser que sur la goutte (Effet Bergeron). Finalement, les gouttes de pluie qui entrent en contact avec les grêlons, gèlent instantanément sur sa surface.

Sécheur d'air comprimé frigorifique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5425dca9-secheur-d-air-comprime-frigorifique

Sécheur d'air comprimé frigorifique

Ce type de sécheur consiste à refroidir l'air comprimé à une température inférieure à son point de rosée à l'aide d'un échangeur de chaleur raccordé à un groupe frigorifique conventionnel (compresseur-condenseur-évaporateur) ce qui provoque de la condensation de l'humidité qu'il contient. L'eau liquide ainsi formée est récupérée par un séparateur d'eau, tandis que l'air comprimé asséché est dirigé vers le réseau. Généralement, un échangeur air-air réchauffe l'air en sortie de sécheur pour éviter toute condensation sur les canalisations d'air comprimé. Le point de rosée sous pression obtenu est de l'ordre de 3 °C. Le point de rosée de l'air ainsi séché détendu à la pression atmosphérique est de l'ordre de −20 °C. Un point de rosée de 3 °C constitue un maximum sous peine de voir l'échangeur se boucher par givrage. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9cheur_d%27air

Soupape d'autocuiseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d71dc8-soupape-d-autocuiseur

Soupape d'autocuiseur

Principe du fonctionnement de la soupape d'un autocuiseur : Règle de Trouton. Le point d'ébullition de l'eau dépendant de la pression atmosphérique, l'augmentation de pression permet de faire monter la température de cuisson plus haut que 100 °C (122 °C). Une soupape de sécurité relâche la vapeur quand la pression dépasse 1,8 bar. Il faut alors diminuer l'intensité du feu et commencer le décompte du temps de cuisson. Frederick Thomas Trouton (1863-1922) en 1884 a constaté la croissance régulière de l'enthalpie de vaporisation des liquides purs en fonction de leur température d'ébullition. L'entropie de vaporisation qui s'en déduit est à peu près constante et, sauf exception, égale à 10,5 R ou 87 J.K-1.mol-1. Ce résultat empirique constitue la règle de Trouton, simplification de la formule de Clapeyron. On relève de nombreux accidents causés par l'ouverture d'anciens modèles d'autocuiseur restés sous pression. Ceci peut se produire après obstruction de la soupape et provoquer de graves brûlures. Les autocuiseurs modernes sont pourvus d'un mécanisme de sécurité qui empêche l'ouverture du couvercle tant que le récipient est sous pression. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autocuiseur.

Stratus. Source : http://data.abuledu.org/URI/5234a62d-stratus

Stratus

Un stratus est un genre de nuage bas dont la base se trouve à des altitudes inférieures à quelques centaines de mètres. Lorsque cette base touche le sol, cela correspond à du brouillard. Le stratus a généralement un aspect assez uniforme (stratus nebulosus) mais est parfois constitué d'éléments séparés ayant un aspect déchiqueté (stratus fractus). Le stratus s'accompagne souvent d'une atmosphère brumeuse, et a une couleur grisâtre caractéristique. On utilise parfois le terme générique « grisaille », qui englobe à la fois les brouillards, les brumes, et les nuages très bas. Le stratus (avec le brouillard) est le seul nuage susceptible de donner de la bruine (précipitation de très fines gouttelettes d'eau, également appelée crachin), ou lorsque la température est sous 0 degré Celsius, de la neige en grain (très fines particules de glace de diamètre inférieur à un millimètre).

Super-réfraction de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e4e2-superrefraction-de-radar-meteorologique

Super-réfraction de radar météorologique

Effet de la super-réfraction dans une atmosphère non standard sur le faisceau radar qui peut voir au-delà de l'horizon car le faisceau se recourbe vers le sol (ex. inversion de température) et qui peut noter des précipitations sous l'horizon. Il arrive souvent que des inversions de températures se produisent à bas niveau par refroidissement nocturne sous un ciel clair, ou en altitude par subsidence. Également, l'humidité peut être capturée près du sol et diminuer rapidement avec l'altitude dans une goutte froide sous un orage, en situation du passage d'air chaud sur de l'eau froide, ou dans une inversion de température. Ces différents cas changent la stratification de l'air. L'indice de réfraction diminue alors plus rapidement que la normale dans la couche en inversion de température ou d'humidité ce qui fait recourber le faisceau radar vers le bas. Si l'inversion est près du sol, le faisceau frappe celui-ci à une certaine distance du radar puis retourne vers ce dernier. Comme le traitement radar s'attend à un retour d'une certaine hauteur, il place erronément l'écho en altitude. Ce type de faux échos est facilement repérable, s'il n'y a pas de précipitations, en regardant une séquence d'images. On y voit dans certains endroits des échos très forts qui varient d'intensité dans le temps mais sans changer de place. De plus, il y a une très grande variation d'intensité entre points voisins. Comme cela se produit le plus souvent en inversion nocturne, le tout commence après le coucher du soleil et disparait au matin. L'extrême de ce phénomène se produit quand l'inversion est si prononcée (et sur une mince couche) que le faisceau radar devient piégé dans la couche comme dans un guide d'onde. Il rebondit plusieurs fois au sol avant de revenir au radar. Ceci crée des échos de propagation anormale en bandes concentriques multiples. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Radar_m%C3%A9t%C3%A9orologique