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Photographie | Dessins et plans | Géométrie | Euler, Cercle d' | ryxeo-yvain coudert | Oxydoréduction | Cuivre | Piles électriques | Vent | Piles voltaïques | RyXéo | Dessin en noir et blanc | Zinc | Voiles (marine) | Téléphones | Téléphone -- Appareils et matériel | Sports nautiques | Équinoxe de printemps | Cuirs et peaux | Temps, Mesure du | ...
Les fantômes du passé. Source : http://data.abuledu.org/URI/53443a06-les-fantomes-du-passe

Les fantômes du passé

Apparitions, par Tsukioka Yoshitoshi, série des "Trente-six fantômes" : Jigoku-dayū, ancienne courtisane, reçoit la visite de ses erreurs du passé qui défilent comme autant de fantômes.

Colophane. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131bd4a-colophane

Colophane

Différents types de colophane pour les archets de violon ou de violoncelle. La colophane est le résidu solide obtenu après distillation de la térébenthine, oléorésine (appelée aussi gemme), substance récoltée à partir des arbres résineux et en particulier les pins (le genre Pinus) par une opération que l'on appelle le gemmage. La colophane est utilisée pour les instruments à cordes frottées. On la frotte sur la mèche des archets pour permettre la mise en vibration de la corde, car sans colophane les crins glissent sans frottements sur la corde presque sans en tirer un son. Elle est aussi utilisée sur les archets des scies musicales afin de mieux frotter sur la lame. La colophane se présente sous la forme d'un petit bloc (cubique ou cylindrique) solide et transparent en général de couleur jaune ou noire (mais certaines fois de couleur rouge ou verte). « Cette résine de pin, autrefois produite à Colophon, en Asie Mineure, est indispensable au travail des crins : c'est elle qui leur confère l'aspérité dont ils ont besoin pour frotter les cordes du violon. Si la mèche de l'archet était enduite de savon, elle ne produirait aucun son. Ce sont les grattements de ces milliers de rugosités qui tirent la corde et la laissent repartir. Tout cela est bien évidemment invisible à l'œil nu, mais dans cette combinaison des crins et de la colophane, tout se passe comme si des milliers de petits doigts onglés exécutaient une sorte de pizzicato continu. Ainsi naît la vibration. De cette mécanique microscopique éclot la voix du violon. » Yehudi Menuhin, "La légende du violon".

Cône de Lumière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad8434-cone-de-lumiere

Cône de Lumière

Le cône de lumière de l'évènement e0. La flèche rose montre la dimension temporelle et les flèches grises, les dimensions spatiales. Un événement étant donné, l'ensemble des événements physiquement joignables dans le futur et de ceux du passé à partir desquels on pouvait joindre l'événement donné, forme un cône dans l'espace de Minkowski, appelé cône de lumière, et permettant des raisonnements purement géométriques par des dessins appelés diagrammes de Minkowski. Cet espace est pseudo-euclidien : bien que la métrique ne soit qu'une pseudo-métrique, les géodésiques y sont les droites, ce qui fait dire que cet espace est plat comme dans un espace euclidien. Les inégalités triangulaires qui y sont valables montrent qu'un segment est le chemin le plus long entre deux points, ce qui est une nette différence avec la géométrie euclidienne.

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea448-construction-d-une-pyramide-d-apres-herodote

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote

Interprétation du témoignage d'Hérodote sur la construction d'une grande pyramide. Source : Antoine-Yves Goguet, "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. Lorsque Hérodote visite l'Égypte vers -450, le pays est sous domination perse depuis un peu moins d'un siècle (XXVIIe dynastie). Ne parlant pas la langue des Égyptiens, Hérodote doit faire appel à des traducteurs, ou bien se contenter des dires des colons grecs qui habitent le pays. Il est difficile de savoir quelle connaissance les Égyptiens de l'époque pouvaient avoir des méthodes de construction de monuments vieux déjà de plus de 2000 ans, et on ne peut que s'interroger sur la véracité des propos rapportés par Hérodote ; il apparaît peu probable qu'ils soient entièrement conformes à la réalité. « Les uns durent, depuis les carrières de la Chaîne Arabique, traîner jusqu'au Nil les blocs de pierre qu'on en tirait ; d'autres eurent la tâche de recevoir ces pierres, passées en barques sur l'autre rive, et de les traîner jusqu'à la montagne qu'on appelle la Chaîne Libyque. Cent mille hommes travaillaient à la fois, relevés tous les trois mois. » Hérodote, L'Enquête II-124, traduction d'Andrée Barguet.

Droite d'Euler. Source : http://data.abuledu.org/URI/518452dd-droite-d-euler

Droite d'Euler

En géométrie euclidienne, dans un triangle non équilatéral, l'orthocentre H, le centre de gravité ou isobarycentre G et le centre du cercle circonscrit \Omega sont alignés et ne sont pas confondus. On appelle droite d'Euler la droite passant par ces trois points. Traduction en français Christophe Catarina.

Droite d'Euler dans un triangle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51843031-droite-d-euler-dans-un-triangle

Droite d'Euler dans un triangle

En bleu : les hauteurs ; en orange : les médianes ; en vert : les médiatrices ; en rouge : la droite d'Euler. En géométrie euclidienne, dans un triangle non équilatéral, l'orthocentre H, le centre de gravité ou isobarycentre G et le centre du cercle circonscrit Omega sont alignés et ne sont pas confondus. On appelle droite d'Euler la droite passant par ces trois points.

Explosion météorique en 1995. Source : http://data.abuledu.org/URI/534310ab-explosion-meteorique-en-1995

Explosion météorique en 1995

Image de l'explosion de météore Alpha-Monocerotid en 1995. Une étoile filante est le phénomène lumineux qui accompagne l'entrée dans l'atmosphère d'un corps appelé météoroïde, qui correspond à un petit corps circulant dans l'espace à des vitesses de l'ordre de 70 km/s, son orbite croisant celle de la Terre. Cette traînée lumineuse est causée par la vaporisation du corps et l'ionisation de l'air sur sa trajectoire, ce qui provoque la combustion de ce corps qui laisse derrière lui un sillage de gaz ionisé, le plasma. Ce phénomène est du principalement à la compression de l'atmosphère en avant du corps supersonique et non à la friction. L'étoile filante est une fine poussière cosmique qui est vaporisée entièrement avant d'atteindre le sol tandis que le bolide, météoroïde de masse et taille importantes, produit un disque lumineux intense lors de sa rentrée atmosphérique. Ce bolide peut exploser, généralement à 90 ou 70 kilomètres d'altitude ou atteindre le sol (bolide lui-même ou les fragments issus de son explosion), devenant une ou des météorites. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_filante Le phénomène se passe généralement entre 120 et 85 kilomètres d'altitude, bien que certaines étoiles filantes peuvent être visibles à 400 ou 600 km au-dessus du sol.

Le Géant Pierrot Bimberlot. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc4ea0-le-geant-pierrot-bimberlot

Le Géant Pierrot Bimberlot

Un des deux Géants de la ville, Pierre Bimberlot, créé en 1904, conservé au premier étage de l'Hôtel de Ville de Le Quesnoy, département du Nord.Chaque premier dimanche du mois d'août, Pierrot Bimberlot parcourt la ville en distribuant des berlingots aux spectateurs. Les troupes néo-zélandaises qui libérèrent la ville en 1918 comptaient dans leurs rangs une compagnie théâtrale appelée digger pierrots dont les acteurs étaient grimés en Pierrot. La coïncidence est passée inaperçue à l'époque.

Le jeu du lièvre et de la tortue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eabf63-le-jeu-du-lievre-et-de-la-tortue

Le jeu du lièvre et de la tortue

Le Lièvre et la Tortue (ici en allemand "Hase und Igel") est un jeu de société créé par David Parlett en 1974 et publié en français par Ravensburger en 1979. C'est un jeu pour 2 à 6 joueurs, à partir de 8 ans. Une partie dure environ 60 minutes. Les joueurs peuvent faire appel au hasard mais on peut également s'en passer totalement. Les joueurs ne tirent pas au hasard la case où ils se rendent mais la choisissent librement. Plus ils veulent aller vite, plus le coût est important. Matériel : un plan de jeu, 120 cartes de jeu, 90 cartes "carottes" : l'énergie pour avancer, 18 cartes "salade" : chaque joueur doit s'arrêter en route pour manger 3 salades, 12 cartes "lièvre" : les cartes de chance ; dans certaines versions, les cartes de chance sont remplacées par un tableau d'évènements déterminés par la place dans la course et un tirage aléatoire ; 6 tablettes de course : indiquant le nombre de carottes nécessaires pour le nombre de cases avancées ; 6 pions de couleur. Pour gagner, il ne faut pas forcément être en tête de la course. Des gains importants sont d'ailleurs réservés aux joueurs se trouvant en fin de peloton. Le jeu n'est régi par aucun hasard... sauf si un joueur décide d'aller sur une case lapin qui lui permettra de tirer une carte chance. On avance en dépensant des carottes. Plus l'avancée est rapide plus la dépense est importante. Pour avancer de N cases, il faut en effet dépenser Nx(N+1)/2 carottes, par exemple 1 carotte pour une case, 15 carottes pour 5 cases, 55 carottes pour 10 cases, etc. Les carottes sont en nombre insuffisant. Il faut en gagner en route, soit en reculant, soit en prévoyant sa place dans la course.

Le papangue mâle, ailes déployées. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a0cea-le-papangue-male-ailes-deployees

Le papangue mâle, ailes déployées

Papangue, ou Pieds-Jaune ou Busard de Maillard (Circus maillardi) mâle, lithographie de Louis Antoine Roussin (1819-1894). Son nom vernaculaire est d'origine malgache. Il dériverait de papangoet. Il tire son nom spécifique de Maillard, l'auteur qui distingua cet oiseau des busards européens. Cet oiseau mesure 50 à 53 cm de longueur (femelle plus grande que le mâle) pour une envergure de 110 à 150 cm (le plus grand oiseau de La Réunion) et une masse de 650 à 1500 g. Le mâle est noir avec de grandes taches blanches et la femelle est brune. Le papangue aime vivre dans les champs de canne, entre 500 m et 1 500 m d'altitude. On le retrouve aussi sur les hautes plaines à l'est et au sud de l'île. Il est rare dans les cirques de Cilaos et Mafate, sans doute en raison des persécutions dont il est encore l'objet. Il se nourrit de rats, souris, jeunes tenrecs qu'il va talonner au sol et de tec-tecs, cardinaux et moineaux qu'il attrape au vol. Les busards pratiquent les échanges de nourriture en vol, appelés passes par les admirateurs des oiseaux chasseurs. Le mâle lâche sa prise comme par mégarde avant même que sa compagne n'arrive jusqu'à lui. Cette dernière arrive à se saisir de la minuscule proie au prix d'une extraordinaire accélération puis d'une virevolte quelque cinq ou six mètres au-dessous du point de lâché. Il fouille très souvent dans les poubelles. Seul oiseau prédateur de l'île, le papangue n'est pas aimé des Réunionnais qui pensent qu'il pourrait voler des poules dans les poulaillers : fait impossible vu son poids. Mais bien qu'il doive encore essuyer quelques coups de fusil, l'animal est protégé depuis 1989. Actuellement la population de cette espèce est d'environ 200 couples.

Le Rocher de Bizeux en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357dc0e-le-rocher-de-bizeux

Le Rocher de Bizeux en Bretagne

Le rocher de Bizeux est un rocher situé dans l'estuaire de la Rance, entre Saint-Servan (commune de Saint-Malo) et La Vicomté (commune de Dinard). Il est surtout connu pour la statue de la vierge, "Notre Dame la dominatrice", communément appelée "Notre Dame de Bizeux", qui se trouve à son sommet. Le rocher se trouve à un peu plus d'1km en aval du barrage de la Rance, au milieu de l'estuaire, à 350 mètres de la pointe de la Vicomté à l'ouest (la passe principale pour les navires se trouvant entre les deux) et 550 mètres de la pointe de l'Aiguille à l'est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rocher_de_Bizeux

Minkowski, le trajet d'un photon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7bd4-minkowski-le-trajet-d-un-photon

Minkowski, le trajet d'un photon

Référentiel inertiel de Minkowski : Ligne d'univers du photon. En jaune le trajet d'un photon x = ct, avec c = vitesse de la lumière. Le diagramme de Minkowski est un diagramme d'espace-temps développé en 1908 par Hermann Minkowski, qui fournit une représentation des propriétés de l'espace-temps défini par la théorie de la relativité restreinte. Il permet une compréhension qualitative et intuitive de phénomènes comme la dilatation du temps, la contraction des longueurs ou encore la notion de simultanéité, sans utiliser d'équations mathématiques. Pour la lisibilité du diagramme, une seule dimension spatiale est représentée. Contrairement aux diagrammes distance/temps usuels, la coordonnée spatiale est en abscisse et le temps en ordonnée. Les objets décrits par ce diagramme peuvent être pensés comme se déplaçant du bas vers le haut à mesure que le temps passe. La trajectoire d'un objet dans ce diagramme est appelée ligne d'univers. Une particule immobile aura une ligne d'univers verticale. Chaque point du diagramme représente une certaine position dans l'espace et le temps. Cette position est appelée un événement, indépendamment du fait qu'il se passe réellement quelque chose en ce point ou non. Pour faciliter l'utilisation du diagramme, l'axe des ordonnées représente une quantité "ct" qui est le temps multiplié par la vitesse de la lumière "c". Cette quantité est assimilable également à une distance. De cette manière, la ligne d'univers du photon est une droite de pente 45°, l'échelle des deux axes étant identique dans un diagramme de Minkowski.

Noble rhubarbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81b86-noble-rhubarbe

Noble rhubarbe

La noble rhubarbe ou rhubarbe du Sikkim (Rheum nobile) est une plante herbacée géante de la famille des Polygonaceae. Elle est originaire de l'Himalaya, on la trouve dans le nord-est de l'Afghanistan, au nord du Pakistan et de l'Inde, au Népal, au Sikkim (en Inde), au Bhoutan, au Tibet et au Myanmar, localisée dans l'étage alpin entre 4 000 à 4 800 m d'altitude. C'est une espèce extraordinaire de rhubarbe (genre Rheum). De ses 1 à 2 m de hauteur, Rheum nobile culmine au-dessus de tous les buissons et les herbes courtes dans son habitat, et elle est visible à plus d'un kilomètre. Rheum nobile est souvent appelée par les anglophones "glasshouse plant" = plante de serre, à cause de sa rangée externe de bractées translucides qui laisse passer la lumière visible, créant un effet de serre, mais arrêtant les rayons ultraviolets. Ceci constitue une importante défense contre l'augmentation de l'exposition aux UV-B et le froid extrême dû à l'altitude élevée de sa distribution.

Plateau de safous mûrs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5380ee8b-plateau-de-safous-murs

Plateau de safous mûrs

Plateau de 22 safous très mûrs (Dacryodes edulis). Le safou est le fruit du safoutier. Le safou s’appelle prune en français courant, ceci est une appellation erronée. Il est aussi appelé atanga, en réalité il s'agit d'un emprunt de l’appellation indigène Atanga, au Gabon plus spécifiquement. Ainsi, en français on a créé le terme Atangatier pour désigner l'arbre qui produit les atangas. Il existe plusieurs variétés, le safou se distingue par la variété de ses couleurs d'un fruit à un autre, du rose clair au bleu marine en passant par le bleu ciel et le violet. Il renferme un noyau. La chair du safou est souvent grasse. Le safou contient 59 % d’humidité soit (53,3 g/100 g) d'eau, 4 % soit 11,2 g de protéines, 5 % de glucides, 8,7 % de fibres, 1,4 % de minéraux et fournit 234 cal pour 100 g. Sa teneur en acide gras (22,1 %) est équivalente à celle de l’avocat. On compte aussi le cuivre (0,93 mg/100 g), les lipides (29,4 mg/100 g). La pulpe fraîche contient des quantités considérables d'acides palmitique et linoléique. On trouve aussi dans le safou de la provitamine A (72 mg/100 g), de la vitamine C 11 mg (acide ascorbique), de la vitamine E (1,3 mg/100 g) et des minéraux, dont les plus présents sont le calcium (65 mg/100 g), le potassium (443 mg/100 g) et le phosphore (68 mg/100 g). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Safou

Point vernal et coordonnées équatoriales. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b09b37-point-vernal-et-coordonnees-equatoriales

Point vernal et coordonnées équatoriales

Sur la sphère céleste, l'équateur et l'écliptique se croisent. Les deux intersections sont appelées des nœuds. Au cours de son mouvement apparent, le Soleil croise ces deux points, l'un en passant de l'hémisphère Nord à l'hémisphère Sud, c'est le nœud descendant ; l'autre en passant de l'hémisphère Sud à l'hémisphère Nord, c'est le nœud ascendant. Ce dernier est le point vernal (noté γ, parfois g), parfois noté point de l'équinoxe vernal ou point de l'équinoxe de printemps. Les références du système de coordonnées équatoriales sont d'une part le méridien passant par le point vernal, il définit le méridien zéro pour la mesure des ascensions droites, et d'autre part l'équateur céleste à partir duquel la déclinaison est mesurée (positivement au-dessus de l'équateur, négativement en dessous). Les coordonnées du point vernal sont l'ascension droite (α) = 0 h (étant situé sur le méridien zéro) et sa déclinaison (δ) est nulle (étant situé sur l'équateur céleste). Le point vernal étant défini comme le croisement de l'écliptique et de l'équateur céleste, il change de position avec les mouvements de précession et de nutation de l'axe de rotation de la Terre. Ces paramètres sont déterminés par l'"International Earth Rotation and Reference Systems Service" (IERS) en combinant les données fournies par un réseau de surveillance mondial. En raison des mouvements du point vernal, ce sont ses coordonnées J2000.0, c'est-à-dire au 1er janvier 2000 à midi UTC, qui servent de référence pour le système de coordonnées équatoriales.

Quatre aiguilles à coudre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9baaa-quatre-aiguilles-a-coudre

Quatre aiguilles à coudre

Quatre aiguilles à coudre, deux ordinaires (au centre), une courbe de tapissier (en hau à gauche) et la dernière pour le cuir.Une aiguille à coudre ou aiguille à chas est un instrument de couture permettant de faire passer un fil à travers un tissu ou un cuir. L'une des extrémités est pointue et permet de percer le tissu. L'autre est munie d'une perforation appelée « chas », dans laquelle on passe le fil afin qu'il soit entraîné avec l'aiguille à travers le tissu.

Requin longimane océanique et poissons pilotes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6423b-requin-longimane-oceanique-et-poissons-pilotes

Requin longimane océanique et poissons pilotes

Le Requin longimane (Carcharhinus longimanus), encore appelé requin océanique, aileron blanc du large ou encore requin pointes blanches du large, est très facile à reconnaître du fait de sa forme caractéristique, à la fois massive et fusiforme. Il possède de très grandes nageoires pectorales et une très haute première nageoire dorsale, toutes trois munies d'extrémités maculées de blanc nacré et arrondies à l'apex. Son corps est de couleur gris, bronze ou beige sur le dessus (selon les régions) et blanc en dessous. Sa taille maximale est de 3,95 mètres. La taille la plus fréquente pour ces requins est comprise entre deux et trois mètres. Le requin longimane est un poisson pélagique. Il se trouve en pleine mer dans toute la ceinture tropicale et ne s'approche que rarement des côtes pour fréquenter les tombants et les passes. Il est solitaire selon certains auteurs et peut se déplacer en groupe selon d'autres. On le trouve entre 0 et 180 mètres de profondeur. Il est très souvent escorté de poissons pilotes (Naucrates ductor), remoras (Remora sp.), dorades coryphènes (Coryphaena hippurus) et tortues.

Schéma de grand-voile. Source : http://data.abuledu.org/URI/52617902-schema-de-grand-voile

Schéma de grand-voile

Une voile est caractérisée principalement par sa forme, son grammage et le(s) matériau(x) dont elle est composée.Les trois angles de la voile (sur une voile à forme triangulaire) ont une appellation spécifique : 1) Le point de drisse désigne l'angle situé au sommet de la voile une fois celle-ci hissée : c'est l'endroit où la drisse est frappée. 10) Le point d'amure désigne l'angle attaché au point fixe du bateau : lorsque la voile est en position, le point d'amure est sur l'avant du bateau. 12) Le point d'écoute désigne l'angle de la voile auquel est frappée l'écoute (foc) ou non loin duquel est passée l'écoute (grand-voile). Chacune des extrémités de la voile reçoit un renfort (3) constitué de plusieurs épaisseurs de tissus cousues ensemble parfois renforcées par une structure rigide. La têtière (3) est la partie renforcée de l'extrémité supérieure de la voile. Un œillet situé à chacun des angles permet de fixer la voile au gréement. Les côtés d'une voile triangulaire sont : la bordure (11), encore appelée l'envergure, car souvent reliée à une vergue (ici la bôme) est le côté de la voile parallèle au pont : c'est le bas de la voile lorsque celle-ci est hissée ; le guindant (6) est le côté de la voile solidaire de l'étai (foc) ou du mât (grand-voile) ; la chute (5) est le côté de la voile situé vers l'arrière, toujours libre : sa tension est réglée par un nerf de chute (8). Sur la grand-voile on trouve également 2 à 3 bandes de ris (9) - zones horizontales en partie renforcées et comportant des œillets aux extrémités qui sont utilisées pour réduire la surface de la grand-voile lorsque le vent forcit (prise de ris). Une voile est généralement composée de laizes (7) bandes de tissus cousues, découpées de manière à répartir l'effort en faisant éventuellement varier le grammage et positionner le creux de la voile (une voile n'est pas plate sauf s'il s'agit d'une voile de tempête comme le tourmentin). La chute des grand-voiles modernes est arrondie : c'est le rond de chute qui est autorisé par 3 à 4 lattes (4). Sur les voiliers très rapides, la voile peut aussi être complètement lattée, la tension des dites lattes permettant d'obtenir très exactement le profil souhaité. Le guindant de la grand-voile est rendu solidaire du mât soit grâce à des coulisseaux (2) fixés à la voile et passés dans la gorge du mât soit grâce à une ralingue (c’est-à-dire un cordage cousu le long de la voile). La bordure de la grand-voile est également tenue par une ralingue ou un/des coulisseau(x) passée dans la gorge de la bôme.

Schéma de la pile Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26934-schema-de-la-pile-volta

Schéma de la pile Volta

Schéma résumant le principe de fonctionnement de la pile Volta : disque de cuivre, disque de zinc, solution aqueuse. Oxydation du zinc : libération de deux électrons. Réduction de deux molécules d'eau, dégagement gazeux d'hydrogène. Il se produit au niveau de chaque couche, qu'on appellera désormais une superposition d'un disque de cuivre et d'un disque de zinc, séparés par un tissu retenant la solution, une réaction d'oxydo-réduction. Il ne se passe rien au niveau du disque de cuivre. Les éléments participant à l'oxydation et à la réduction sont les éléments zinc et eau. Au niveau atomique, l'oxydation d'un atome de zinc, selon la réaction Zn → Zn2+ + 2 e- produit deux électrons qui vont transiter dans le circuit électrique, pour atteindre le disque de cuivre. Les électrons vont alors rencontrer deux molécules d'eau, et une autre réaction de réduction va se produire, selon la réaction 2 H2O + 2 e- → 2 OH- + H2. On constate ainsi que le disque de zinc est petit à petit consommé et qu'il y a production de dihydrogène.

Téléphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d86074-telephone

Téléphone

Téléphone d'intérieur fixe à cadran. Le téléphone se compose historiquement de deux blocs : 1) un boîtier contenant les organes de transmission de la parole, très souvent un système de sonnerie pour signaler un appel et un cadran ou un clavier permettant un dialogue avec le central téléphonique. Ce dialogue est effectué en composant le numéro d'un autre abonné. Le commutateur du central y répond en envoyant des tonalités d'acceptation, de refus ou d'acheminement. En France, la tonalité d'acheminement a été supprimée le 18 octobre 1996 à 23 heures, en même temps que la numérotation est passée à dix chiffres ; 2) un combiné qui permet d'échanger les sons de la voix entre les deux interlocuteurs sur la ligne téléphonique. Le bloc combiné est composé de deux parties : une partie microphone qui se place devant la bouche et une partie haut-parleur qui se place à proximité de l'oreille. Le combiné est une invention relativement récente : dans les premiers temps, l'interlocuteur parlait devant une plaque de bois solidaire du boîtier ou, selon le cas, dans un petit entonnoir, en portant à son oreille l'écouteur relié au boîtier par un fil.

Thalès de Milet. Source : http://data.abuledu.org/URI/505eba08-thales-de-milet

Thalès de Milet

Buste de Thalès (illustration de l'ouvrage d'Ernst Wallis, 1877) "Illustrerad verldshistoria utgifven av E. Wallis. band I". Thalès de Milet, appelé communément Thalès (en grec ancien : Θαλῆς ὁ Μιλήσιος / Thalễs ho Milếsios), était un philosophe et savant grec né à Milet vers 625 av. J.-C. et mort vers l'an 547 av. J.-C dans cette même ville d'Ionie. L'Ionie est une région historique du monde grec antique située à l'ouest de l'Asie mineure, entre Phocée et Milet. Elle emprunte son nom à Ion, ancêtre légendaire des peuples de cette région. C'est en Ionie que se sont développées les premières formes de science de la philosophie en Occident, chez les penseurs appelés Présocratiques. Il fut l'un des « Sept sages » de la Grèce antique et le fondateur présumé de l'école milésienne. Philosophe de la nature, il passe pour avoir effectué un séjour en Égypte, où il aurait été initié aux sciences égyptienne et babylonienne. On lui attribue de nombreux exploits arithmétiques, comme le calcul de la hauteur de la Grande Pyramide ou la prédiction d'une éclips

Trois noisettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/505ba90e-trois-noisettes

Trois noisettes

Photographie de trois jeunes noisettes encore protégées dans leurs involucres. La noisette est le fruit du noisetier (Corylus L.), anciennement appelé coudrier, dont le bois est réputé pour sa souplesse : les enfants en font des arcs. Le conte de Cendrillon (Grimm) évoque le rôle d'une branche de noisetier : " Et toi, Cendrillon, qu'aimerais-tu? demanda le père à sa fille. - La première branche qui cinglera votre chapeau en cours de route, père, coupez-la pour moi, répondit-elle. Il acheta donc pour ses deux belles-filles de jolies toilettes, des perles et des pierres précieuses; et, il s'en revenait, quand en passant à cheval dans un bosquet, une branche de noisetier lui cingla le chapeau et le fit tomber à terre. Il coupa le rameau et l'emporta."

Vecteur vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccd4e5-vecteur-vitesse-angulaire

Vecteur vitesse angulaire

Le vecteur vitesse angulaire d'une particule au point P par rapport à l'origine O est déterminé par la composante orthogonale du vecteur vitesse v. La vitesse angulaire d'une particule est mesurée par rapport ou relativement à un point, appelé origine. Comme indiqué sur la figure (avec les angles phi et heta en radians, si l'on trace une droite depuis l'origine (O) jusqu'à la particule (P), alors le vecteur vitesse (v) de la particule a une composante le long de la droite (composante radiale, v∥) et une composante orthogonale (v_perp). Si la composante radiale est nulle, la particule se déplace sur un cercle, alors que si la composante orthogonale est nulle, la particule se déplace sur une ligne droite passant par l'origine. Un mouvement radial n'induit aucun changement dans la direction de la particule par rapport à l'origine, c'est pourquoi, lorsque l'on s'intéresse à la vitesse angulaire, la composante radiale peut être ignorée. Ainsi, la rotation est entièrement produite par le mouvement orthogonal relativement à l'origine, et la vitesse angulaire est entièrement déterminée par cette composante.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».