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Peinture, Couteaux, Dix-septième siècle, Mendiants, Flûte, Violon, Bagarres, Rixes, Groupes de musiciens, Musiciens ambulants, Musiciens instrumentistes, Musique de rues
Bataille de musiciens de rue, Georges de La Tour (1593-1652), peintre lorrain.
Un chevalet de violon, taillé un peu plus aplati que la moyenne afin de faciliter les doubles cordes.
Photographie, Archets, Violoncelle, Distillation, Violon, Agriculture, Gemmage, Pin maritime, Pinus pinaster, Colophanes
Différents types de colophane pour les archets de violon ou de violoncelle. La colophane est le résidu solide obtenu après distillation de la térébenthine, oléorésine (appelée aussi gemme), substance récoltée à partir des arbres résineux et en particulier les pins (le genre Pinus) par une opération que l'on appelle le gemmage. La colophane est utilisée pour les instruments à cordes frottées. On la frotte sur la mèche des archets pour permettre la mise en vibration de la corde, car sans colophane les crins glissent sans frottements sur la corde presque sans en tirer un son. Elle est aussi utilisée sur les archets des scies musicales afin de mieux frotter sur la lame. La colophane se présente sous la forme d'un petit bloc (cubique ou cylindrique) solide et transparent en général de couleur jaune ou noire (mais certaines fois de couleur rouge ou verte). « Cette résine de pin, autrefois produite à Colophon, en Asie Mineure, est indispensable au travail des crins : c'est elle qui leur confère l'aspérité dont ils ont besoin pour frotter les cordes du violon. Si la mèche de l'archet était enduite de savon, elle ne produirait aucun son. Ce sont les grattements de ces milliers de rugosités qui tirent la corde et la laissent repartir. Tout cela est bien évidemment invisible à l'œil nu, mais dans cette combinaison des crins et de la colophane, tout se passe comme si des milliers de petits doigts onglés exécutaient une sorte de pizzicato continu. Ainsi naît la vibration. De cette mécanique microscopique éclot la voix du violon. » Yehudi Menuhin, "La légende du violon".
Gravure, Eau, Magiciens, Violon, Contes indiens, Joseph Jacobs (1854-1916), John Dickson Batten (1860-1932)
Conte indien du violon enchanté, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.
Gravure, Magiciens, Violon, Contes indiens, Joseph Jacobs (1854-1916), John Dickson Batten (1860-1932)
Conte indien du violon enchanté, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.
Photographie, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Violon, Kerala (Inde), Instruments à cordes frottées -- Archet, Musique indienne (de l'Inde)
Indienne jouant du Pulluvan pattu dans le temple d'Ashtamudi : violon à une corde.
Musique, Gravure, Contrebasse, Archets, Instruments à cordes frottées, Violoncelle, Pupitres, Violon, Instruments à cordes frottées -- Archet
Instruments à cordes de la famille du violon : viole, violoncelle et contrebasse, in "l mundo físico : gravedad, gravitación, luz, calor, electricidad, magnetismo, etc.", par A. Guillemin. - Barcelona Montaner y Simón, 1882 (Biblioteca de la Facultad de Derecho y Ciencias del Trabajo Universidad de Sevilla).
Photographie, Musique, Piano, Violonistes, Instruments à cordes frottées, Violon, Instruments à cordes frottées -- Archet, Jeunes musiciens, Pablo de Sarasate (1844-1908)
Francisco Garcia Fullana, violiniste espagnol, gagnant du premier prix national Pablo de Sarasate (1844-1908).
Le violon et le violoniste au coin du feu en 1896, par Félix Vallotton (1865-1925).
Photographie, Musique, Violonistes, Instruments à cordes frottées, Concerts, Violon, Instruments à cordes frottées -- Archet, Musique celtique
Adam Romański, le violoniste du groupe polonais celtique Beltaine, en concert.
Schéma légendé de l'intérieur d'un violon : tête, 4 chevilles, manche, tasseau, 7 tasseaux, 4 coins,fond, 6 éclisses, 6 contre-éclisses, tasseau, bouton.
Schéma légende de la coupe de la caisse d'un violon : chevalet, table, éclisse, barre, âme, contre-éclisses (2), fond.
Violon créé en 1770, légende en français de SuperManu : 1-Mentonnière. 2-Cordier. 3-Chevalet. 4-Corde. 5-Touche. 6-Tendeur. 7-Ouïe. 8-Onglet de l'échancrure. 9-Double filet. 10-Table d'harmonie. 11-Éclisse. 12-Bouton.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Violon, Instruments de musique -- Irlande, Fiddle, Instruments de musique -- Celtique, Violon hardanger, Art -- Norvège, Ethnologie -- Norvège, Violon de Hardanger
Violon Hardanger dit fiddle fabriqué par Knut Gunnarsson Helland. Propriété de Monica Skaro, héritage de son grand-père Knut Skaro originaire de Geilo, Norvège. Le violon Hardanger (en norvégien : Hardingfela) est une variante norvégienne du violon. En plus des 4 cordes traditionnelles, il y a 4 ou 5 cordes sous-jacentes pour la résonance. Isaac Nilssen Botnen (1669-1759) est considéré comme l'inventeur ou le constructeur du violon Hardanger moderne. Il est né dans la région de Hardanger. Il a fait des violons avec un nombre variable de cordes, généralement 2, mais aussi jusqu'à 6. Il existe encore environ 15 violons qu'il a construits. Au XXe siècle, le violon Hardanger a inspiré la musique actuelle et des compositeurs comme Geirr Tveitt ou Kirsten Bråten Berg. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Violon_Hardanger
Faïence de Quimper : violon peint sur émail cru (par H. Guibénat, 1876, Musée de la faïence de Quimper).
Peinture, Cartes à jouer, Tables (meubles), Vingtième siècle, Cubisme, Juan Gris (1887-1927), Violon
Violon et cartes à jouer sur une table, 1913, par Juan Gris (1887-1927).
Photographie, Violonistes, Concerts, Instruments à cordes, Violon, Musique contemporaine, Instruments à cordes frottées -- Archet
Violoniste du groupe autricien (dark metal) Dornenreich en concert au Glazart, à Paris, le 25/03/2009.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à vent, Accordéon, Instruments à clavier, Musique folklorique, Musique traditionnelle, Accordéon diatonique, Instruments de musique -- Suisse
Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli
Photographie, Instrument à cordes, Musique d', Musique, Archets, Instruments à cordes frottées, Cordes (musique), Bois (instruments de musique), Instruments à cordes, Luthiers, Vibrations
Utilisé pour jouer de certains instruments de musique à cordes frottées, un archet est une baguette de bois sur laquelle est fixée une mèche de crins. Nommé ainsi pour sa ressemblance avec un arc, le plus souvent en pernambouc, mais parfois en fibre de carbone, c'est le mouvement de l'archet sur des cordes tendues qui crée une vibration, un son amplifié par le corps d'instruments comme le violon, l'alto, le violoncelle, la contrebasse ou la viole de gambe.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Cordes (musique), Instruments à cordes, Jeux de cordes, Musique ancienne, Citole, Warwick (Warwickshire, GB)
Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.
Dessins et plans, Instruments de musique, Instruments à percussion, Inventeurs, Johann Nepomuk Maelzel (1772-1838), Orchestrion, Panharmonicon, Vitoria (1813), Bataille de
Croquis de Panharmonicon. Le panharmonicon était un instrument de musique mécanique inventé par Johann Nepomuk Maelzel (1772-1838) en 1804 dont il ne subsiste aujourd'hui aucun exemplaire. De très grande taille, il consistait en une sorte de clavier qui reproduisait les sons d'instruments mécaniques spécialement conçus pour lui, par la mise en jeu d'un soufflet et de rouleaux musicaux mécaniques. Les quarante-deux instruments qui composaient le panharmonicon étaient ceux d'un orchestre militaire : flûte, clarinette, trompette, violon, violoncelle, percussions, triangle. Maelzel commanda à Beethoven en 1813 une œuvre orchestrale pour inaugurer cet instrument singulier : ce fut la Victoire de Wellington (ou Bataille de Vitoria).
Musique, Gravure, Instruments de musique, Instruments à vent, Instruments à cordes, Musiciens instrumentistes
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.53 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LES PRINCIPAUX INSTRUMENTS DE MUSIQUE : Piano. Violon. Basson. Trombone. Cor. Cornet à piston. Clarinette. Flûte. Harpe.
Musique, Peinture, Vêtements, Peintres français, Archets, Dix-neuvième siècle, Peintres paysagistes, William Bouguereau (1825-1905), Bohémiens, Violons (musique)
La bohémienne, 1890, par William Bouguereau (1825-1905) : elle est pieds nus, elle porte une robe à manche longue grise et un châle sur les épaules, elle a un violon et son archet sur les genoux. Le paysage représente un fleuve et un pont, ainsi qu'une cathédrale à l'arrière-plan (Notre-Dame de Paris ?).
Textes, Diable, Rêves, Louis-Léopold Boilly (1761-1845), Giuseppe Tartini (1692–1770), Musique baroque, Sonates (violon et basse), Trilles (musique)
Anecdote devenue légendaire où le violoniste Guiseppe Tartini (1692-1770) a raconté à l'astronome Jérôme Lalande la genèse de cette sonate pour violon et basse continue qui demande beaucoup de virtuosité à l'interprète. Le satiriste Louis-Léopold Boilly (1761-1845) l'a illustrée en 1824. Texte court (187 mots) mais littéraire : fin de cycle 3. Source : Arthur Pougin, Violon, les violonistes et la musique de violon du XVIe au XVIIIe siècle, Paris : Fischbacher, 1924, p. 106-107.
Peinture, Diable, Rêves, Satiristes français, Giuseppe Tartini (1692–1770), Musique (18e siècle), Musique baroque, Sonates (violon et basse)
Le Songe de Tartini, 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Illustration de l'anecdote légendaire sur l'origine de la Sonate des trilles du Diable de Giuseppe Tartini (1692–1770) : « Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »
Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le violon enchanté" (The magic fiddle), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : Le magicien empêche la jeune fille de remplir sa cruche et elle appelle ses sept frères au secours.
Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le violon enchanté" (The magic violon), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : tous les jours, la jeune fille retournait se cacher dans le violon de bambou après avoir préparé le repas du prince.
Gravure, Lettres (alphabet), Violon, Musique de, Magie, Contes indiens (de l'Inde), Musique et magie, Violons
Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le violon merveilleux" (The magic fiddle), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : Initiale de ONCE.
Photographie, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Instruments à cordes, Animaux -- Légendes et histoires, Cordes (instruments de musique), Instruments de musique -- Mongolie, Morin Khuur, Musique mongole, Viole
Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.
Photographie, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Légendes, Ceylan, Vièle, Instruments à cordes frottées -- Archet, Ravanastron, Ravanhatta
Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta
À cause d'une mauvaise conception du chevalet, d'une épaisseur trop faible de la table ou de défauts de l'âme ou de la barre, la forme de la voûte de la table peut être altérée. Le principe de la réparation consiste alors à mettre sous une presse et dans l'ordre suivant : un moule correctif, ayant exactement la forme à donner à la table ; une feuille de papier frottée de savon sec, ce qui évite que sous la pression le vernis ne fasse corps avec le moule ; la table déformée, imbibée d'eau dans les zones les plus atteintes pour lui donner plus de souplesse ; une seconde feuille de papier ; un sac de sable chaud ; une pièce de bois pour appuyer uniformément sur le sac. L'ensemble est laissé ainsi vingt-quatre heures, sans trop serrer pour éviter que les fibres de la table ne soient compressées.
Photographie, Musées, Instruments à cordes frottées, Instruments à cordes, Quimper (Finistère), Émaillage (céramique), Émaillage (art)
Violon peint sur émail cru, par H. Guibénat, 1876, Musée de la faïence de Quimper.