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Nuage de mots clés

Photographie | Instruments de musique anciens | Musique | Instruments de musique | Instruments à vent | Instruments à cordes pincées | Instruments à cordes | Instruments à percussion | Cordes (instruments de musique) | Bois (instruments de musique) | Flûte | Idiophone | Musiciennes | Cordes (musique) | Instruments à cordes frottées | Art grec de l'Antiquité | Cordes pincées (instruments de musique) | Vents (instruments de musique) | Luth | Flûtes | ...
Berger grec jouant de la flûte. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b45fbe-berger-grec-jouant-de-la-flute

Berger grec jouant de la flûte

Berger monté sur un bélier et jouant de l'aulos. Face A d'un pélikè attique à figures noires, vers 470 av. J.-C. Provenance : Athènes.

Binzasara japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533159c0-binzasara-

Binzasara japonais

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Buccin antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ababf-buccin

Buccin antique

Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29

Carnyx celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533acc0d-carnyx

Carnyx celtique

Un carnyx ou carnynx ou carnux est un instrument de musique celtique à caractère guerrier. Il est utilisé lors des guerres celtes pour contribuer à effrayer l’ennemi et pour mener les troupes. Il est constitué d'une trompe verticale pouvant mesurer jusqu'à 3 m, en tôle de bronze ou laiton, et d'un pavillon perpendiculaire sous forme principalement de hure de sanglier à gueule ouverte ou de tête de dragon, de cheval ou de serpent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carnyx

Crécelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9b73-crecelle

Crécelle

Une crécelle est un instrument de musique idiophone datant du Moyen Âge, aussi appelée brouan ou tartuleuil, et répandue aujourd'hui encore partout en Europe. De conception et d'utilisation simples, elle est un instrument populaire mais aussi un jouet pour les enfants. Ce terme est attesté depuis la première moitié du XIVe siècle mais son origine n'est pas connue. Grâce au bruit puissant qu'elle émet, elle était aussi utilisée au Québec par les femmes des agriculteurs pour appeler leur mari au champ, avant la mécanisation de l'agriculture. On l'utilisait afin d'avertir du passage de personnes infectieuses, atteintes de maladies redoutées au Moyen Âge : la lèpre, la peste. Petite (5 cm) ou géante (5 m), manuelle ou mécanisée, elle est composée d'un manche et d'une partie rotative parfois multiple dont la lame en bois racle et craque sur la partie crantée du manche. Dotée d'un son très puissant, elle était utilisée dans les monastères et durant les carnavals (en Suisse notamment) ou charivaris. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9celle

Crwth celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9a25-crwth

Crwth celtique

Le crwth ou crouth (prononcé kruːθ ou krʊθ en gallois) est un instrument d'origine galloise ou irlandaise, probablement du Xe – XIe siècle, date à laquelle l'emploi de l'archet est devenu commun en Europe occidentale. Il s'agit de l'un des derniers instruments dont aient joué les bardes historiques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance. Le mot gallois crwth et le mot gaélique cruit étaient des termes génériques renvoyant aux instruments à cordes pincées en général, y compris les premières harpes, et les lyres à six cordes communes à toute l'Europe "barbare" du Haut Moyen Âge. Il se joue comme le fiddle qui l'a supplanté. Il connaît un regain d'intérêt depuis quelques années. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crwth

Dix instruments de musique chinois au 17ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbe3a2-dix-instruments-de-musique-chinois-au-17eme-siecle

Dix instruments de musique chinois au 17ème siècle

Dix instruments de musique chinois : en haut à gauche, guqin (cithare) ; en haut au centre, yunluo à 5 gongs ; en haut à droite : sheng (orgue à bouche) ; centre gauche : sanxian (instrument à cordes pincées) ; centre : dizi (flûte traversière), guan (oboé) ou dongxiao (flûte verticale) ; centre à droite : paiban (claquettes de bois) ; en bas à gauche : konghou (harpe) ; en bas au milieu : guzheng ; en bas à droite : pian gu (tambour). Source : Li Zhuowu Ping Ben Pipa Ji 李卓吾評本琵琶記 (Li Zhuowu Critizes Pipa Ji), 1573-1619.

Dulcitone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fef8-dulcitone

Dulcitone

Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone

Flûtiste et danseuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b45e6c-flutiste-et-danseuse

Flûtiste et danseuse

Musicienne et danseuse, col d'un rhyton plastique en forme de tête d'âne. Provenance : Athènes. Date : 470-460 BC ; Dimensions : H. 17 cm, Diam. 8.9 cm. Musée du Louvre.

Flûtiste grecque. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b460ef-flutiste-grecque

Flûtiste grecque

Jeune fille jouant de l'aulos (double flûte), lécythe attique à figures rouges. Date : vers 480 av. J.-C. Céramique à figures rouges. Metropolitan Museum à New York.

Gemshorn en corne médiéval. Source : http://data.abuledu.org/URI/5348027b-gemshorn

Gemshorn en corne médiéval

Le gemshorn ou flûte en corne est un instrument de musique du Moyen Âge fabriqué au XVe siècle. Il est composé d'une corne d'animal évidée puis percée de six trous ; à la fin on bouche le fond de la corne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gemshorn

Guimbarde italienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c1ada-marranzano

Guimbarde italienne

Guimbarde italienne dite marranzano. La guimbarde est un instrument de musique utilisant une lamelle actionnée par le doigt comme élément vibrant et la bouche du musicien comme cavité de résonance. Elle existe en Europe depuis au moins l'époque gallo-romaine, et elle est répandue en Asie et en Mélanésie. La guimbarde est composée de deux éléments : 1) une armature, d'une forme quelconque, qui comprend invariablement deux barres parallèles assez rapprochées; 2) une languette fine, haute de quelques millimètres, fixée à l'armature par l'une de ses extrémités, libre de l'autre côté et qui passe entre les deux barres. Un joueur de guimbarde place l'instrument devant la bouche d'une main, en la tenant par l'armature (à l'opposé des branches parallèles). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guimbarde_%28instrument%29

Guzheng chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbe46e-guzheng-chinois

Guzheng chinois

Guzheng, cithare chinoise.

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Joueuse d'aulos. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b461d4-joueuse-d-aulos

Joueuse d'aulos

Joueuse d'aulos (flûte grecque double). Kylix attique à figures rouges, vers 490 av. J.-C. Provenance : Vulci. Dimensions : H. 22.10 cm; D. 7.50 cm.

La joueuse de cithare du Théâtre Nord de Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b459c4-la-joueuse-de-cithare-du-theatre-nord-de-jerash

La joueuse de cithare du Théâtre Nord de Jerash

La joueuse de cithare du Théâtre Nord de Jerash en Jordanie, bas-relief de la cavea, 8 novembre 2014.

La musicienne du Théâtre Nord de Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b45a47-la-musicienne-du-theatre-nord-de-jerash

La musicienne du Théâtre Nord de Jerash

La musicienne du Théâtre Nord de Jerash en Jordanie, bas-relief de la cavea, 8 novembre 2014.

Lur en bronze danois. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c24b5-lure-brudevaelte-anagoria

Lur en bronze danois

Le lur ou lure est un instrument de musique à vent scandinave. C'est une sorte de trompe plus ou moins droite. On retrouve l'appellation lur dans les Sagas islandaises (lors du Ragnarök, Heimdall, gardien de Bifröst, souffle dans son lur pour appeler hommes et dieux au combat). Lors de fouilles, les lurs sont souvent retrouvés par paires. Plus d'une cinquantaine de lurs en bronze ont ainsi été retrouvés en Suède, Danemark, Norvège et Allemagne. Le lur était utilisé à des fins guerrières, servant à rassembler les troupes et à effrayer l'ennemi. Il servait aussi aux funérailles. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Il en existe deux types : le lur en bois (du Moyen Âge) et le lur en bronze (de l'âge du bronze), datant d'environ 14 siècles avant Jésus-Christ. Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. Il est en forme de S et se termine par un disque décoré faisant office de pavillon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lur_%28instrument%29

Lur norvégien en bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2603-neverlur

Lur norvégien en bois

Lur norvégien en bois datant du Moyen Âge (le lur en bronze date de l'âge du bronze). Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Neverlur.JPG.

Muse accordant deux cithares. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b45d5d-muse-accordant-deux-cithares

Muse accordant deux cithares

Muse accordant deux cithares. Détail de l'intérieur d'une coupe attique à fond blanc, vers 470-460 av. J.-C. Provenance : Érétrie ; diamètre 15cm ; Musée du Louvre.

Sheng asiatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53303f43-sheng-

Sheng asiatique

Le sheng est un instrument de musique à vent à anche libre. Orgue à bouche chinois, il date de 2000 avant JC puisqu'il est mentionné dans le Che-king (Livre des Odes ou de la Poésie). Le sheng a un réservoir en métal et entre 17 et 30 tuyaux en bois d'ébène ou en métal chromé, muni chacun d'un petit orifice à couvrir avec les doigts (comme une flûte) et une anche libre, permettant ainsi une polyphonie tant à l'inspiration qu'à l'expiration. On pense souvent que ce sont Johann Wilde et le Père Amiot (respectivement en 1740 et 1777) qui ont ramené les premiers shengs en Europe à la suite de leur voyage en Chine. C'est seulement au début du XIXe siècle que le sheng d'Amiot inspira l'invention de l'harmonium, de l'harmonica puis de l'accordéon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheng

Târ iranien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53304328-tar-iranien

Târ iranien

Le târ est un instrument à cordes pincées trouvé en Iran, en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Arménie, en Turquie, en Ouzbékistan et au Tadjikistan. C'est un luth à long manche avec un corps en forme de double cœur. Les interprètes sont appelés tarzen. Le tar est le principal symbole de la culture azerbaïdjanaise. La facture et la pratique musicale du tar ont été inscrites en 2012 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A2r_%28luth%29

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Ancien cor de chasse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300ad7b-ancien-cor-de-chasse

Ancien cor de chasse

Trompe du milieu du XVIIIe siècle : Carlin, Paris, Musée de la musique.

Bianzhong ou cloches chinoises. Source : http://data.abuledu.org/URI/533049ef-bianzhong

Bianzhong ou cloches chinoises

Les bianzhong ou cloches chinoises sont des instruments anciens de la musique chinoise. Il s'agit d'un ensemble de cloches de bronze, jouées mélodiquement. Les cloches sont suspendues à un cadre en bois et frappées à l'aide d'un maillet. Avec les instruments de pierre appelés bianqing, elles étaient un instrument important dans les rituels de Chine et la musique de cour en remontant dans les temps anciens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bianzhong

Bodhran. Source : http://data.abuledu.org/URI/511268d9-bodhran

Bodhran

Le bodhrán (prononc. "bawraa-n" ou en API [ˈbaʊrɑːn]), pluriel bodhráin, est un instrument de percussion utilisé dans la musique irlandaise. C'est un tambour sur cadre joué avec un bâtonnet (stick) qui est sans doute dérivé du daf oriental et plus anciennement d'un tamis, un outil agricole servant à séparer les grains de leur enveloppe (son).

Chalumeau moderne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533acdc6-chalumeau-modern

Chalumeau moderne

Nom générique au Moyen Âge et à la Renaissance, le chalumeau désigne tout instrument à vent de la famille des bois composé d'un tuyau conique ou cylindrique et d'une anche simple ou double. Puis, pendant la période baroque et classique, le chalumeau désigne spécifiquement un instrument de perce cylindrique et à anche simple, la chalemie (ou hautbois ancien) désignant un instrument en perce conique et à anche double. Chalumeau est donc le nom donné aux premières clarinettes, qui ont gardé ce terme pour leur registre grave. On trouve la musique pour chalumeau surtout dans deux centres différents : d'un côté Vienne, ou des compositeurs d'opéras comme Bononcini, Caldara, Fux etc. emploient souvent le chalumeau en combinaison avec la voix humaine ; de l'autre côté Hambourg et Darmstadt, où Telemann et Graupner montrent une préférence pour les chalumeaux à basse tessiture. Antonio Vivaldi a employé le chalumeau dans plusieurs de ses concertos où il est mentionné sous son nom italien de Salmoè. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chalumeau_%28musique%29

Chapeau chinois de musique militaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347eff5-chapeau-chinois

Chapeau chinois de musique militaire

Le chapeau chinois est un instrument de musique militaire, à percussion, également appelé bonnet chinois ou pavillon chinois. Il est décrit dans le "Dictionnaire pratique et raisonné des instruments de musique anciens et modernes de A. Jacquot" de 1886 comme un instrument à percussion en cuivre, inventé par les Chinois. Le chapeau proprement dit, a la forme du toit d’une petite pagode, les grelots et les sonnettes sont suspendus au bord et à l’extrémité de différentes tiges de métal. Ce qui lui fait donner le nom de "demi-lune" c’est qu’au-dessous du chapeau se trouve aussi un croissant ou demi-lune garnie de sonnettes. Le tout est supporté par un bâton tenu et agité en mesure, de bas en haut, par l’exécutant. On s’en sert dans les musiques d’Orient, et il fut en usage dans celles de France pendant un certain temps. Il ne figure plus dans notre pays que parmi les instruments de musées ou dans les collections d’amateurs de musique. Au Moyen Âge, on l’appelait "tymbe-cembel", et, dès le XIIe siècle, Bombulum. Il est utilisé par les musiques militaires suivantes et décrit comme suit : 1) La musique des régiments sous Napoléon Bonaparte ; 2) La musique de la légion étrangère ; 3) Le 1er régiment de tirailleurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chapeau_chinois_%28musique%29

Citole Anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c6797-citole-anglaise

Citole Anglaise

Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.

Clarinette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed9340-clarinette

Clarinette

La clarinette (du provençal clarin, « hautbois ») est un instrument de musique à vent de la famille des bois caractérisée par son anche simple et sa perce quasi cylindrique. Elle a été créée vers 1690 par Johann Christoph Denner (1655-1707) à Nüremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le « chalumeau ». La clarinette soprano (en si♭) est le modèle le plus commun.

Claves cubaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53286353-claves

Claves cubaines

Les claves sont des instruments de musique de percussion idiophone très anciens joués dans la musique aborigène d'Australie, sous d'autres noms. Les claves proprement dites, apparaissent à Cuba vers le XVIe siècle, sur les docks du port de La Havane. Entrechoquées au rythme du travail, elles deviennent au XVIIe siècle un instrument de percussion, les « claves » (mélange des mots « clavar » et « llaves »). Les chevilles (« llaves » en espagnol) que l'on cloue (« clavar » en espagnol) pour fixer les pièces du navire sont en bois tropical dur (acana, jiqui, guayacan, jucaro, quiebrahacha...), longues de 20 cm. La clave tenue dans la main droite par l'une des extrémités (macho = mâle) vient percuter en cadence l'autre placée dans la main gauche (hembra = femelle). Le son est très sec et très fort.

Corne de brume embarquée ancienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347f4f6-corne-de-brume

Corne de brume embarquée ancienne

Corne de brume embarquée : modèle embarqué sur les bateaux de pêche du début du 20ème siècle (Musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin). Une corne de brume est un instrument de signalisation maritime, émettant des signaux sonores par temps de brume pour signaler un obstacle ou danger (récif, banc, jetée..) ou pour signaler leur présence. Il s'agissait autrefois d'une corne animale, remplacée depuis par des cornes en laiton puis en plastique, puis par des cornes alimentées par une cartouche de gaz comprimé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corne_de_brume

Flute de Pan. Source : http://data.abuledu.org/URI/549df143-flute-de-pan

Flute de Pan

Flûte de Pan des îles Salomon ; Date de collecte : fin XIX ème siècle - Ancienne collection de Théophile Savès ; Matériaux : Roseau, Bambou, Corde ; Taille: 22 x 11 x 1,5 cm ; Muséum de Toulouse.

Joueur de rabab à Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/530294a0-joueur-de-rabab-a-palmyre

Joueur de rabab à Palmyre

Joueur de rabab à Palmyre en Syrie.

Koauau maorie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53285ddb-koauau

Koauau maorie

La kōauau est une flûte maorie, longue de 10 à 20 centimètres et possédant de trois à six trous pour les doigts. Les joueurs maori de kōauau étaient supposément renommés pour le pouvoir que leur instrument leur donnait pour obtenir l'affection des femmes (pouvoir illustré notablement par l'histoire de Tūtānekai, qui, en jouant de son kōauau, a convaincu Hinemoa de traverser le lac Rotorua à la nage pour le rejoindre). La flûte kōauau est faite de bois ou d'os. Anciennement, des os d'oiseaux étaient utilisés, comme des os d'albatros ou de moa. Certains instruments furent aussi fabriqués à partir d'os humains et étaient associés à un statut de chef et à la pratique précoloniale du utu.

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Mobilier égyptien ancien. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b4005-mobilier-egyptien-ancien

Mobilier égyptien ancien

Planche 03, Mobilier égyptien ancien, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-3, étendards militaires ; 4-9, armes ; 10-13, sceptres et fléaux ; 14, bâton à crochet (Le Pharaon, le jour de son sacre, recevait une houlette et un fléau. Houlette dont l'image retrouvée dans les écrits et l'iconographie de l'Égypte ancienne correspond à celle du "bâton à crochet". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Houlette_%28agriculture%29.), 15-20, vases à boire ; 21-22, boucliers ; 23-27, bijoux ; 28, miroir ; 29-31 ; 34-35, instruments de musique ; 32-33, éventails ; 36, Horus ; 37-39, sandales ; 40-41, paniers ; 42, table ; 43-46, sièges.

Mobilier grec antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b4e05-mobilier-grec-antique

Mobilier grec antique

Planche 14, Mobilier grec antique, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, 11, flambeaux ; 2, miroir ; 3-7, 10, 12-13, bijoux ; 8-9, sceptres ; 14, 17, éventails ; 15-16, cornes à boire ; 18-21, sandales ; 22-29, vases et cratères ; 30-31, couteaux sacrificiels ; 32, 34, 42-43, paniers ; 33, lampe à huile, 35-41, instruments de musique ; 44, lit de repas avec table et candélabre ; 45-47, sièges.

Morin khuur mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330416d-morin-khuur

Morin khuur mongol

Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.

Qraqebs maghrébins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331af54-krakeb

Qraqebs maghrébins

Les qraqeb sont des instruments de percussions idiophones maghrébins. C'est un genre de castagnettes utilisé par les Gnaouas, assez similaires aux anciens crotales. Généralement en fer battu, mais des variétés en bois existent, les qraqeb sont des castagnettes montées sur un manche, ayant la forme d'une cuillère à double embout, de 20 à 30 cm de long. Chaque exécutant utilise deux paires, et les entrechoque par des mouvements d'ouverture-fermeture. Ces quatre qraqeb sont très sonores et rythment la musique gnaoui jouée sur le luth guembri. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Qraqeb

Sarod indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323250c-sarod-

Sarod indien

Le sarod (ou sarode) est un instrument de musique à cordes pincées apparu au XIXe siècle au nord de l'Inde et utilisé en musique indienne classique. C'est un luth hybride issu du dhrupad rabâb, un instrument indien ancien et du rabâb afghan. Le nom dérive peut-être du persan sarûd (chanter) car nombre de chanteurs s'accompagnaient ainsi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarod.

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Siyotanka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287213-siyotanka

Siyotanka indien

Le siyotanka - « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota - (Iroquois, Winnebagos, Ojibwés, Mandans, Hidatsas, Cris, Sioux. C'est une « flûte de courtoisie » à double conduit jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil. Une légende voudrait que c'est un pivert en creusant une branche de cèdre avec son bec qui a offert cet instrument à un jeune guerrier amoureux. Une autre légende hidatsa parle de « la squaw qui ne meure jamais » qui offrit cette flûte à son petit-fils et qu'elle confectionna dans la tige d'un tournesol avec sept trous représentant les mois de l'hiver. La représentation la plus ancienne de cet instrument est un pictogramme sur des rochers très connu appelé Kokopeli. Le siyotanka désigne aussi un sifflet sacré taillé dans un os d'aigle chez les Sioux.

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin

Xun chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53398641-xun

Xun chinois

Le xun (prononcer "chun") est un instrument chinois très ancien, dont l'origine remonterait à 7 000 ans. Il s'agit d'une flûte globulaire en terre cuite, dont le musicien joue en soufflant sur un trou ouvert (embouchure), au contraire de l'ocarina européen où le jeu se fait en soufflant dans un conduit, comme pour la flûte à bec. En général percé de neuf trous, le xun possède un son très doux et peu puissant, favorisant un jeu intimiste en général soliste. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Xun