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Photographie, Signes et symboles, Chance, As (cartes à jouer), Année 1918, Chars de combat, Rethondes (Oise) -- Clairière de l'armistice
Char RENAULT FT17 (1918), devant l'entrée du musée de l'Armistice à Rethondes/Compiègne : as de pique censé représenter la chance en temps de guerre.
Peinture, Parasols, Peintres français, Autoportraits, Peinture de portraits (17e siècle), Cavaliers -- Dans l'art, Charles Lebrun (1619-1690), Écuyers
Portrait équestre de Pierre Séguier, chancelier de France (1655-1661), par Charles Le Brun (1619–1690) et autoportrait comme écuyer. Musée du Louvre, Sully, 2e étage, Salle 31 : Philippe de Champaigne. Le chancelier sur un cheval, est placé au centre de la composition et est entouré de six écuyers et pages à pied, habillés dans des tons bleu. Le fond est composé d'un ciel sombre. Le chapeau à bordure ronde que porte Séguier est le mortier traditionnel des chanceliers de France. Sa présence est un marqueur de son statut. Le cordon de l'Ordre du Saint-Esprit est peut-être une distinction à laquelle il attachait une importance particulière. La richesse des parures et broderies couleur or sont en lien avec les honneurs faits au cavalier. Les deux parasols sont signes de protection. Ce symbole réfère à la personnalité du chancelier, protecteur des arts. Le Brun s'est représenté sous les traits de l'écuyer qui tient le parasol. Ceci est une marque d'allégeance pour la protection de laquelle il a profité. Le regard qu'il jette vers la gauche du tableau réfère à son passé. En 1642, il part pour Rome avec une pension annuelle de 200 écus données par Séguier, auquel il doit de précieuses lettres de créance. Et de retour en France, en 1646, il obtient une place vacante de valet de chambre du roi, qu'il achète ou obtient de Séguier. Séguier est aussi devenu protecteur de l'Académie après la mort de Mazarin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Chancelier_Seguier
Dessins et plans, Rouge, Électrostatique, Charles Augustin de Coulomb (1736-1806), Coulomb, Fonctions de, Signes et symboles
Des charges électriques identiques se repoussent. Entre deux charges électriques q et q' séparées par une distance d s'exerce une force (électrostatique) d'intensité F=k_C~frac{q imes q'}{d^2}. Dans cette formule : les charges électriques q et q' s'expriment en coulombs (sans la majuscule). Le coulomb est l'unité de charge électrique, en l'honneur de Charles de Coulomb ; la distance d s'exprime en mètres ; la force F s'exprime en newtons. Chacune des deux charges exerce l'une sur l'autre une force de même intensité ; selon le signe des charges, elles s'attirent ou se repoussent. La constante kC est appelée constante de Coulomb et vaut environ 9cdot 10^9 en unités du système international.
Dessins et plans, Bleu, Rouge, Électrostatique, Charles Augustin de Coulomb (1736-1806), Balances de torsion, Électricité, Attraction, Champs électriques, Signes et symboles
Des charges électriques opposées s'attirent. C'est Charles de Coulomb qui, à l'aide d'une balance de torsion, a énoncé le premier la loi physique exprimant la force qui s'exerce entre deux charges électriques. Pour prendre en compte les phénomènes de répulsion et d'attraction, on a donc attribué un signe aux deux types de charges découverts par du Fay : l'« électricité résineuse » s'est vue attribuée aux charges négatives, l'« électricité vitreuse » s'est vue attribuée aux charges positives.
Photographie, Bleu, Drapeaux, Blanc, noir, Rouge, Jaune, Vert, Signes et symboles, Jeux olympiques, Pierre de Coubertin (1863-1937), Jeux olympiques -- Philosophie, Symboles graphiques, Jeux olympiques -- Organisation, Olympisme
Drapeau olympique aux cinq anneaux (bleu, noir, rouge, jaune, et vert) entrelacés sur fond blanc, afin de représenter l'universalité de l'olympisme, par Pierre de Coubertin (1863-1937)
Gravure, Symbolisme (mouvement artistique), Dessin en noir et blanc, Signes et symboles -- Dans l'art, Canaux -- Grande-Bretagne, Cours d'eau -- Canalisation, William Thomas Horton (1864-1919)
En bordure du canal, "A book of images", 1898, par William Thomas Horton, 1864-1919.
Photographie, Sydney (Australie), Signes et symboles, Vie nocturne, Jeux olympiques, Flammes, Torches, Cérémonies, Sports olympiques
Flamme olympique du 15 septembre 2000 à l'Olympic Stadium pour la cérémonie d'ouverture des Jeux de Sydney en Australie.
Dessins et plans, Signalisation routière, Routes, Bornes kilométriques, Cartes routières, Cartes -- Échelles, Cartes -- Symboles, Chemins, Guides verts Michelin (collection de monographies), Légendes de cartes, Localités, Signes conventionnels (cartographie)
Légende de carte Michelin en 1940 : routes, chemins divers, signes divers sur routes, voies ferrées, localités, kilométrage, signes conventionnels, échelle.
Quatre enseignes des cartes à jouer par ordre de grandeur ; couleurs : le rouge pour le coeur et le carré, le noir pour le trèfle et le pique. L'"enseigne" désigne la marque de reconnaissance des quatre séries. L'enseigne est plus communément appelée couleur, notamment dans certains jeux de cartes.
Dessins et plans, Musique, Notation musicale, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage, Portée
Dans le solfège, la portée est un ensemble de cinq lignes horizontales permettant de représenter les hauteurs. Elle est destinée à recevoir la figure de notes et de silences, les clefs, les altérations, et quelques autres symboles annexes. Dans le solfège, la représentation des hauteurs utilise six types de signes : la portée, les lignes supplémentaires, les figures de note, les clés, les signes d'octaviation et les altérations. Les cinq lignes de la portée sont également espacées et forment entre elles quatre interlignes. Les lignes et les interlignes sont numérotés du bas vers le haut. Le nombre de lignes a varié jusqu'à la Renaissance où il fut définitivement fixé à cinq. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Port%C3%A9e_%28musique%29
Clip art, Arithmétique, Multiplication (arithmétique), Signes et symboles, Addition, Soustraction, Fractions, Opérations (arithmétique), Sciences -- Notation
Quatre symboles d'opérations arithmétiques : addition (jaune), fraction (vert), soustraction (bleu) et multiplication (violet).
Dessins et plans, Afrique, Coiffure, Formes -- Aspect symbolique, Art africain, Attributs (symbolisme), Signes et symboles -- Dans l'art, Art ashanti, Ashanti (peuple d'Afrique) -- Art, Coiffure pour hommes, Symbolisme dans la communication, Symbolisme en anthropologie
Symboles d'art Adinkra relevés par Robert Sutherland Rattray (1881-1938) en 1927, "Religion and Art in Ashanti" (Oxford, 1927), p. 265. 1. Gyawu Atiko, lit. l'arrière de la tête de Gyawu, chef Bantama qui avait cette coupe de cheveux pour la cérémonie annuelle Odwira ; 2. Akoma ntoaso, lit. les coeurs joints ; 3. Epa, menottes ; 4. Nkyimkyim, le motif mélangé ; 5. Nsirewa, coquillages ; 6. Nsa, tissu nsa ; 7. Mpuannum, lit. cinq touffes de cheveux ; 8. Duafe. le peigne en bois ; 9. Nkuruma kese, lit. graines d'okra sèches ; 10. Aya, la fougère ou "je n'ai pas peur de vous", ou "Je ne dépends pas de vous" ; 11. Aban, maison à deux étages, château, motif réservé à l'origine au roi Ashanti ; 12. Nkotimsefuopua, pour serviteurs de la reine mère ; 13 et 14, Sankofa, lit. retourne-toi et va chercher ; 15. Kuntinkantan, lit. plié et dispersé ; nkuntinkantan veut dire "ne pas se vanter, ne pas être arrogant" ; 16. Epa, menottes.
Dessins et plans, Signes et symboles, Différences entre sexes, Différenciation sexuelle, Imagerie 3D, Symboles graphiques
Représentation tridimensionnelle des symboles masculin, féminin et hermaphrodite.
Photographie, feu, Sports, Signes et symboles, Nagano (Japon), Torches, Jeux olympiques d'hiver, Rituels sportifs, Sports -- Aspect symbolique
Torche olympique japonaise des jeux d'hiver de Nagano en 1998, s'inspirant du taimatsu, torche traditionnelle japonaise.