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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Artistes allemands | Haches | Jeux de plateau | Gravure | Chance | été | Plages | Saisons | Crabes | Vacances | Garçons | Phares | Bouées | Travail des enfants | Bletchley Park (GB) | Enigma (machine à chiffrer) | Savants anglais | ...
As de pique sur char de 1918. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b67642-as-de-pique-sur-char-de-1918

As de pique sur char de 1918

Char RENAULT FT17 (1918), devant l'entrée du musée de l'Armistice à Rethondes/Compiègne : as de pique censé représenter la chance en temps de guerre.

Le conte de Jean le Chanceux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5346fcf6-le-conte-de-jean-le-chanceux

Le conte de Jean le Chanceux

La fontaine des contes de fées, dans le parc de Berlin (Friedrichshain), statue de Ignatius Taschner (1871-1913), artiste allemand : Statue de Jean le Chanceux et son cochon, conte des frères Grimm.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Bateau des Pirates de la Ligue de baseball de 1909. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0a1af-bateau-des-pirates-de-la-ligue-de-baseball-de-1909

Bateau des Pirates de la Ligue de baseball de 1909

Bateau du club des pirates, champion de baseball de 1909 ; de gauche à droite et de haut en bas : "Shelton", Vic Willis, Chief Wilson, Bobby Byrne, Babe Adams, Gene Moore, Honus Wagner, Bill Abstein, Ed Abbaticchio, George Gibson, Mike Simon, Chick Brandon, Fred Clarke, Lefty Leifield, Deacon Phillippe, Bill Powell, Paddy O'Connor, Howard Camnitz, Tommy Leach, Ham Hyatt, Harry Camnitz, Sam Frock, Sam Leever, et Nick Maddox. Ainsi que John McGraw (directeur des New York Giants en 1909) sur la planche, et Frank Chance (des Chicago Cubs gagnant en 1906, 1907, 1908) déjà dans le bain. Les Pirates sortirent vainqueurs contre les Chicago Cubs par 6.5 et contre les Giants de New York par 18.5.

Bouquetins en position de combat. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d5c0e-bouquetins-en-position-de-combat

Bouquetins en position de combat

Bouquetins des Alpes dressés sur leurs pattes arrières, en position de combat, dans un troupeau. Le bouquetin est un animal polygame. La période de rut commence début décembre pour se terminer mi-janvier. Les bouquetins mâles et femelles se regroupent. Au sein de ces troupeaux se crée une hiérarchie. Il y a généralement un mâle dominant par groupe – souvent parmi les plus vieux-, qui s'impose après un combat de cornes, combats rarement violents qui s'échelonnent tout au long de l'année et dont on peut entendre le choc très caractéristique jusqu'à un kilomètre de distance. Le dominant se réserve le droit de saillir la femelle de son choix, de sorte que les mâles plus jeunes ont moins de chance de se reproduire, alors qu'ils se montrent beaucoup plus excités... La maturité sexuelle des mâles est atteinte vers 18 mois, 2 ans pour les étagnes. Pour les femelles, la meilleure productivité se situe entre 3 et 13 ans avec un maximum aux alentours de 8 ou 9 ans. Les mâles peuvent eux se reproduire jusqu'à l'âge de 16-17 ans et les femelles jusque vers 14-15 ans.

Brique en poudre pour Kolams en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/529fa020-brique-en-poudre-pour-kolams-en-inde

Brique en poudre pour Kolams en Inde

Brique en poudre pour dessiner les Kolams : Un kolam est un motif d'inspiration géométrique tracé avec de la poudre de riz à l'entrée des maisons et commerces en guise de bienvenue et pour porter chance. De nature éphémère, les kolams sont dessinés à main levée en laissant la poudre s'écouler. Ils sont déposés chaque matin devant l'entrée des maisons du sud de l'Inde afin d'apporter la prospérité.

Croisée d'ogives. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c35298-croisee-d-ogives

Croisée d'ogives

Genèse de la croisée d'ogives. La projection orthogonale de cette croisée selon l’axe de chacune des nefs donne une demi-ellipse posée dans sa hauteur, très résistante en son sommet. Par chance, il existe une bonne approximation de cet arc pour cette époque où, sur le chantier, à défaut de bons moyens de calcul et de mesures précises il vaut mieux recourir à des tracés simples à exécuter : il s’agit d'un arc brisé composé de deux arcs de cercle centrés respectivement au premier et au troisième quart de la distance à franchir. Cette approximation est souvent observable à une légère déformation de la voûte de la croisée à l'endroit où elle se raccorde aux nefs.

Cryptanalyse d'Enigma. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eca539-cryptanalyse-d-enigma

Cryptanalyse d'Enigma

Graphe de déchiffrement d'un message codé par Enigma. C'est Alan Turing qui va s'occuper de l'analyse de l'Enigma navale. Turing est le chef de la huitième section à Bletchley Park, un manoir proche de Londres où se sont retranchés tous les cryptologues et mathématiciens alliés. Avec Gordon Welchman, ils seront à l'origine du déchiffrement complet d'Enigma. Les membres de Bletchley Park travaillent dans le secret le plus total, toute fuite pouvant avoir des conséquences désastreuses sur la suite de la guerre. Les attaques développées par les Britanniques ressemblent à celles des Polonais. Une nouvelle attaque s'intéresse plus particulièrement au réflecteur, un élément qui garantissait que toute lettre était nécessairement différente après chiffrement. De plus, les Britanniques font appel à des techniques basées sur l'analyse des mots probables. Les messages avaient de forte chance de contenir des termes comme « Heil Hitler », « Panzer », « Führer », « Stuka », etc. Ces estimations du contenu du message étaient appelées des cribles. Les cryptologues pouvaient a posteriori deviner le contenu des messages en fonction de l'actualité et des assauts ennemis. En faisant quelques hypothèses sur le contenu et sachant qu'une lettre est obligatoirement modifiée lors du chiffrement, il n'était pas impossible de retrouver une partie du texte chiffré en essayant tous les alignements possibles. À partir des résultats positifs, on arrivait à retrouver le texte complet.

Deux petits vendeurs de journaux en 1874. Source : http://data.abuledu.org/URI/58cae066-deux-petits-vendeurs-de-journaux-en-1874

Deux petits vendeurs de journaux en 1874

Deux petits vendeurs de journaux en 1874, Augustus Edwin Mulready : "Luck in a Moment" = la chance sur le moment.

Jeu du moulin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb075c-jeu-du-moulin

Jeu du moulin

Plateau du jeu du moulin, dit des "Nine Men's Morris" avec coordonnées. Matériel : Un tablier formé de trois carrés imbriqués offrant vingt-quatre intersections, neuf pions blancs et neuf pions noirs. À tout moment du jeu, celui qui réalise un moulin — c'est-à-dire l'alignement de trois de ses pions — peut capturer un pion adverse. Ce pion doit être choisi parmi ceux n'appartenant pas à un moulin, s'il en existe, mais peut être quelconque dans le cas contraire. Le jeu s'achève quand un joueur n'a plus que deux pions ou ne peut plus jouer, il est alors le perdant. Une règle optionnelle donne une seconde chance à celui qui ne possède plus que trois pions : il peut alors se déplacer en sautant où il veut.

La rentrée de Loïc - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/523043d6-la-rentree-de-loic-1

La rentrée de Loïc - 1

LE CRABE : Bon d'accord, j'ai eu bcp de chance cet été, le garçon ne m'a pas arraché une seule patte, il m'a remis à l'eau chaque fois que je me suis laissé surprendre par la marée basse, il m'a caché dans son seau quand quelqu'un approchait. Mais bon, nous sommes quittes, je ne l'ai jamais pincé, pourtant la tentation était forte. Et je lui ai même montré tous les trous d'eau où il fait si bon vivre !!! Nous nous sommes quittés bons amis.

Le conte de l'épouvantail. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4c797-le-conte-de-l-epouvantail

Le conte de l'épouvantail

Le conte de la bête-épouvantail, illustration par Arthur Rackham (1867-1939) des « English Fairy Tales » de Flora Annie Webster Steel (1847-1929) : "Chic ! se dit-elle en riant, c'est mon jour de chance !

Le jeu du lièvre et de la tortue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eabf63-le-jeu-du-lievre-et-de-la-tortue

Le jeu du lièvre et de la tortue

Le Lièvre et la Tortue (ici en allemand "Hase und Igel") est un jeu de société créé par David Parlett en 1974 et publié en français par Ravensburger en 1979. C'est un jeu pour 2 à 6 joueurs, à partir de 8 ans. Une partie dure environ 60 minutes. Les joueurs peuvent faire appel au hasard mais on peut également s'en passer totalement. Les joueurs ne tirent pas au hasard la case où ils se rendent mais la choisissent librement. Plus ils veulent aller vite, plus le coût est important. Matériel : un plan de jeu, 120 cartes de jeu, 90 cartes "carottes" : l'énergie pour avancer, 18 cartes "salade" : chaque joueur doit s'arrêter en route pour manger 3 salades, 12 cartes "lièvre" : les cartes de chance ; dans certaines versions, les cartes de chance sont remplacées par un tableau d'évènements déterminés par la place dans la course et un tirage aléatoire ; 6 tablettes de course : indiquant le nombre de carottes nécessaires pour le nombre de cases avancées ; 6 pions de couleur. Pour gagner, il ne faut pas forcément être en tête de la course. Des gains importants sont d'ailleurs réservés aux joueurs se trouvant en fin de peloton. Le jeu n'est régi par aucun hasard... sauf si un joueur décide d'aller sur une case lapin qui lui permettra de tirer une carte chance. On avance en dépensant des carottes. Plus l'avancée est rapide plus la dépense est importante. Pour avancer de N cases, il faut en effet dépenser Nx(N+1)/2 carottes, par exemple 1 carotte pour une case, 15 carottes pour 5 cases, 55 carottes pour 10 cases, etc. Les carottes sont en nombre insuffisant. Il faut en gagner en route, soit en reculant, soit en prévoyant sa place dans la course.

Simplet trouve l'oie en or. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d2da11-simplet-trouve-l-oie-en-or

Simplet trouve l'oie en or

Illustration du conte de Grimm "L'oie aux plumes d'or" par Leonard Leslie Brooke (1862–1940) : Ils mangèrent et trinquèrent et quand le repas fut terminé, le petit homme lui dit : « Puisque tu as bon cœur et que tu partages tes biens si généreusement, je t'offre ta chance. Un peu plus loin se trouve un arbre, abats-le et dans ses racines tu trouveras quelque chose. Le vieil homme s'en alla, Simplet alla couper l'arbre et quand il tomba à terre, entre ses racines se trouvait une oie aux plumes d'or pur...

Tapirs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed708b-tapirs

Tapirs

Tapirs de Baird (Tapirus bardii). Cette famille est très proche de celles des chevaux (Equidae) et des rhinocéros (Rhinocerotidae), classés également dans les Perissodactyla en raison d'un nombre de doigts impair. Son corps est massif et est recouvert d'une peau très épaisse (il est d'ailleurs chassé pour son cuir). Il a une courte trompe, qui lui sert à attraper sa nourriture. D'une espèce à l'autre, les tailles peuvent varier, mais la plupart mesurent environ 2 mètres pour une hauteur pouvant aller jusqu'à approximativement 1 mètre, pour un poids allant de 150 à 300 kg. Il possède une ouïe et un odorat excellents, mais une vue peu développée. Dans la nature, un tapir vit approximativement 30 ans. C'est un animal vivant principalement la nuit, méfiant et solitaire (le couple ne se forme que pour l'accouplement) et résidant en forêt ; il est herbivore. La gestation du tapir est d'environ 13 mois, une femelle met au monde un petit (parfois deux), d'un poids d'environ 7 kg. Le petit est allaité pendant presque un an. Dans la culture asiatique, le tapir chasse les mauvais rêves, les cauchemars, et peut même les transformer en chance. Dans les mangas, le baku japonais apparaît souvent sous les traits d'un tapir. Joseph Wolf (1820-1899) était un artiste allemand spécialisé dans le naturalisme. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tapir.