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Photographie | Biologie marine | Biologie | Mer Rouge | Poissons | Anémones de mer | Poissons-clowns | Associations animales | Récifs | Récifs coralliens | Récifs coralliens -- Faune | six-minutes-pour-la-mer-rouge | Poisson | Amphiprion | Récifs coralliens -- Écologie | Animaux des récifs coralliens | Biologie des récifs coralliens | Biologie animale | Dessins et plans | Poissons de mer | ...
Mimétisme des phasmes. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f7d7ba-mimetisme-des-phasmes

Mimétisme des phasmes

Planche botanique et zoologique de Rémy Perrier sur le mimétisme de trois espèces de phasmes.

Mue de petit reptile en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cb1b5-mue-de-petit-reptile-en-guadeloupe

Mue de petit reptile en Guadeloupe

Mue d'un anolis marmoratus - Guadeloupe, Grande-Terre : Anolis marmoratus, ou Ctenonotus marmoratus, est une espèce de sauriens de la famille des Dactyloidae. Cette espèce est originellement endémique de Guadeloupe et a été introduite en Guyane. Les mâles mesurent jusqu'à 82 mm et les femelles jusqu'à 56 mm. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anolis_marmoratus

Otaries d'Alaska. Source : http://data.abuledu.org/URI/5372a60e-otaries-d-alaska

Otaries d'Alaska

Otaries d'Alaska, île de Middleton. Le lion de mer de Steller ou otarie de Steller (Eumetopias jubatus) est la plus grande des espèces d'otaries et peut vivre jusqu'à 51,5 ans. Les mâles sont quatre fois plus lourds que les femelles et les plus gros peuvent atteindre 1 tonne pour une longueur de 3 m. Une femelle pèse environ 270 kg pour 2,20 m de longueur. Malgré leur poids, ils sont d'excellents nageurs. Le lion de mer de Steller possède une fourrure brune, plus foncée pour les femelles, et des mâchoires si solides qu'elles sont capables de broyer leurs proies : calmars, harengs, saumons, capelans et autres poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lion_de_mer_de_Steller

Planche de bryozoaires en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d0434-planche-de-bryozoaires-en-1909

Planche de bryozoaires en 1904

Planche de bryozoaires, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 23 : Cristatella mucedo, Plumatella repens, Alcyonella flabellum, Lophopus crystallinus. Les ectoproctes (du grec ektós "dehors" et prōktós "anus"), appelés également et pour plusieurs raisons Bryozoaires (du grec brúon "mousse" et zōon "animal"), sont des animaux coloniaux. Ces métazoaires (pluricellulaires) sont dits triploblastiques (constitués de trois feuillets : endoderme, mésoderme, ectoderme) et cœlomates (cavité interne). Ils vivent le plus généralement fixés en colonie, le zoarium. Certaines espèces sont parfois confondues avec les coraux. Elles contribuent avec ces dernières, au même titre, au puits de carbone océanique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ectoprocta

Poisson ange empereur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543820a-poisson-ange-empereur

Poisson ange empereur

Les poissons-anges ont une taille petite à moyenne selon les espèces concernées. Sachant que le plus petit représentant, atteint 6 cm de long maximum, tandis que plus gros avoisine les 60 cm de long. Le corps des poissons-anges offre un aspect trapu, fortement comprimé latéralement, de forme ovale et ils sont tous dotés d'un aiguillon operculaire qui est un signe distinctif de l'espèce.

Poisson ange empereur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543821e-poisson-ange-empereur

Poisson ange empereur

Les poissons-anges ont une taille petite à moyenne selon les espèces concernées. Sachant que le plus petit représentant, atteint 6 cm de long maximum, tandis que plus gros avoisine les 60 cm de long. Le corps des poissons-anges offre un aspect trapu, fortement comprimé latéralement, de forme ovale et ils sont tous dotés d'un aiguillon operculaire qui est un signe distinctif de l'espèce.

Poisson ange géographe. Source : http://data.abuledu.org/URI/55437f2e-poisson-ange-geographe

Poisson ange géographe

Les poissons-anges ont une taille petite à moyenne selon les espèces concernées. Sachant que le plus petit représentant atteint 6 cm de long maximum, tandis que le plus gros avoisine les 60 cm de long. Le corps des poissons-anges offre un aspect trapu, fortement comprimé latéralement, de forme ovale et ils sont tous dotés d'un aiguillon operculaire qui est un signe distinctif de l'espèce.

Poisson ange géographe. Source : http://data.abuledu.org/URI/55437f47-poisson-ange-geographe

Poisson ange géographe

Les poissons-anges ont une taille petite à moyenne selon les espèces concernées. Sachant que le plus petit représentant, atteint 6 cm de long maximum, tandis que plus gros avoisine les 60 cm de long. Le corps des poissons-anges offre un aspect trapu, fortement comprimé latéralement, de forme ovale et ils sont tous dotés d'un aiguillon operculaire qui est un signe distinctif de l'espèce.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed64c-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed668-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed674-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed683-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed68f-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed699-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6a6-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6b1-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson-clown et anémone de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e64079-poisson-clown-et-anemone-de-mer

Poisson-clown et anémone de mer

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.

Poisson-licorne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543fb69-poisson-licorne

Poisson-licorne

Poisson licorne (Naso unicornis). Les Poissons-licornes ou nasons forment un genre de la famille des Acanthuridae, les poissons-chirurgiens. C'est le seul genre dans la sous-famille des Nasinae. Les membres des Nasinae sont communément appelés "licornes" à cause de leur unique "corne" qui se developpe sur le front des mâles de plusieurs espèces. Les espèces du genre Naso ont un corps ovale et allongé qui se rétrécit à l'arrière pour se terminer par un pédoncule caudal très étroit typique du genre. Le museau est pointu, la bouche est petite et située à mi-hauteur du corps. Elle est garnie de 60 à 80 petites dents par mâchoire. Elles sont minces mais coupantes avec leur bord denté. Les yeux sont situés haut et de part et d'autre de la tête. Les poissons-licornes sont présents dans tout l'Indo-Pacifique tropical. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Naso_%28poisson%29

Poisson-ogre. Source : http://data.abuledu.org/URI/542c87fc-poisson-ogre

Poisson-ogre

Le poisson-ogre (Anoplogaster cornuta) est une espèce de poisson abyssal de la famille des Anoplogastridae. Il a une distribution circumglobale dans les eaux tropicales et tempérées froides. Là où il vit, entre 500 et 5 000 m de profondeur, la nourriture est tellement rare qu'il doit pouvoir manger à peu près tout ce qu'il rencontre. Proportionnellement parlant, c'est l'animal qui possède les plus grandes dents au monde, il ne peut même pas fermer complètement sa mâchoire. Contrairement aux autres espèces qui vivent dans les profondeurs, il est puissant et robuste, c'est un vrai prédateur. Son nom est formé des racines grecques "anoplo" (= sans arme) et "gaster" (= estomac).

Porcelaines de toutes tailles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148d5ce-porcelaines-de-toutes-tailles

Porcelaines de toutes tailles

"Cypraea" est un genre de gastéropodes d'aspect lisse et brillant, dont les couleurs éclatantes sont à l’origine de la popularité. Il existe plus de 200 espèces distinctes dans ce genre, et plusieurs milliers de sous-espèces ou variétés ont été décrites. Elles sont aussi connues pour avoir servi de monnaie d'échanges dans les sociétés primitives en Chine environ 2100 ans avant Jésus-Christ et ceci jusqu'à l'apparition des premières monnaies en bronze sous les Shang (1766-1122 avant J-C). C'est d'ailleurs pour cette raison que de nombreux caractères chinois ayant un rapport avec l'argent contiennent le caractère qui représente le coquillage "Cypraea".

Punaise rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cacd5-punaise-rouge

Punaise rouge

Insecte nommé gendarme, Pyrrhocoris apterus, (du grec πύρρος(ο), « rouge » et κόρις, « punaise »), appelé aussi « suisse », « cordonnier », « soldat » ou encore « diable cherche-midi » en raison de son attirance pour le soleil au zénith : c'est un insecte hémiptère hétéroptère de la famille des Pyrrhocoridae. Il porte le nom scientifique français de pyrrhocore, soit « punaise rouge ». C'est la punaise d'Europe la plus commune et la plus répandue : on la rencontre dans les zones tempérées d'Europe et dans la zone méditerranéenne, jusqu'à l'Inde, partout sauf en haute montagne. Cet insecte ne sent pas mauvais comme bien d'autres espèces de punaises. L'origine du nom « gendarme » vient de ses couleurs caractéristiques rappelant les anciens uniformes des gendarmes qui étaient rouge et noir. La taille est d'environ 10 mm, de 9 mm à 11,5 mm de longueur. L'animal est, comme tous les insectes, doté d'un squelette externe. La cuticule présente des dessins en rouge orangé et noir évoquant un masque de style africain, et qui découragerait certains prédateurs (coloration aposématique). La teinte et la forme des taches sont conditionnées par des éléments extérieurs : l'étendue des pigments noirs par exemple est influencée par la température. Ils vivent souvent en grands groupes.

Rascasse volante (Pterois miles). Source : http://data.abuledu.org/URI/552ee28d-rascasse-volante-pterois-miles-

Rascasse volante (Pterois miles)

Pterois est un genre de poissons de la famille des Scorpaenidae (la plupart sont appelés « rascasses »). Ce sont des poissons colorés et rayés, pourvus de nageoires à longs rayons équipées de glandes contenant un puissant venin. Ses couleurs vives sont en fait des couleurs d'avertissement afin de prévenir les autres organismes de son caractère dangereux. Depuis quelques années, les espèces P. volitans et P. miles sont devenues des espèces exotiques envahissantes significatives pour les régions de l’Atlantique Ouest, de la mer des Caraïbes et du Golfe du Mexique. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Pterois

Rascasse volante (Pterois miles). Source : http://data.abuledu.org/URI/552ee2bb-rascasse-volante-pterois-miles-

Rascasse volante (Pterois miles)

Pterois est un genre de poissons de la famille des Scorpaenidae (la plupart sont appelés « rascasses »). Ce sont des poissons colorés et rayés, pourvus de nageoires à longs rayons équipées de glandes contenant un puissant venin. Ses couleurs vives sont en fait des couleurs d'avertissement afin de prévenir les autres organismes de son caractère dangereux. Depuis quelques années, les espèces P. volitans et P. miles sont devenues des espèces exotiques envahissantes significatives pour les régions de l’Atlantique Ouest, de la mer des Caraïbes et du Golfe du Mexique. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Pterois

Rascasse volante (Pterois miles). Source : http://data.abuledu.org/URI/552ee2c8-rascasse-volante-pterois-miles-

Rascasse volante (Pterois miles)

Pterois est un genre de poissons de la famille des Scorpaenidae (la plupart sont appelés « rascasses »). Ce sont des poissons colorés et rayés, pourvus de nageoires à longs rayons équipées de glandes contenant un puissant venin. Ses couleurs vives sont en fait des couleurs d'avertissement afin de prévenir les autres organismes de son caractère dangereux. Depuis quelques années, les espèces P. volitans et P. miles sont devenues des espèces exotiques envahissantes significatives pour les régions de l’Atlantique Ouest, de la mer des Caraïbes et du Golfe du Mexique. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Pterois

Répartition géographique du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4605d-repartition-geographique-du-krill-antarctique

Répartition géographique du krill antarctique

Répartition géographique du krill antarctique. Il contribue à la bioconcentration des toxiques dans la pyramide alimentaire, en particulier du mercure et d'autres polluants, qu'il contient cependant en proportion bien moindre que les prédateurs "supérieurs" (grands poissons (thon, marlin, espadon... et mammifères carnivores, tels que dauphin, orque ou cachalot)). Le krill fait l'objet d'une pêche industrielle qui alimente essentiellement le marché des aliments pour animaux en farine animale (ou krill lyophilisé), pêche dont les impacts ne sont pas finement mesurés. Le krill est un filtreur important des océans, dont il diminue la turbidité. Le krill par ses mouvements et migrations nocturne/diurne ou saisonnière, a probablement une importance significative, comme d'autres espèces de zooplancton en matière de mélange des couches thermiques et/ou plus ou moins salées dans les zones où il vit.

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.

Six fourmis de feu. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b9f58-six-fourmis-de-feu

Six fourmis de feu

Les fourmis de feu (Solenopsis invicta) sont plus agressives que la plupart des espèces de fourmis autochtones et se distinguent par leur piqûre douloureuse. Lorsqu'une personne marche par inadvertance sur un de leurs tumulus, elle provoque une effervescence des insectes qui essaiment rapidement sur ses jambes et l'attaquent en masse. Les fourmis sont réceptives aux phéromones émises par la première fourmi attaquante. Les fourmis se forment alors en essaim et piquent immédiatement et indistinctement au moindre mouvement. Les fourmis de feu sont toujours en mouvement, voyageant d'une région à l'autre dans les mottes de gazon, les racines de plantes de pépinières ou d'autres produits agricoles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Solenopsis_invicta

Tableau du Dodo. Source : http://data.abuledu.org/URI/573acaa8-tableau-du-dodo

Tableau du Dodo

Tableau d'un spécimen de Dodo par Roelant Savery à la fin des années 1620, offert par l'ornithologiste George Edwards qui en fit don au British Museum. L'oiseau mangeant une grenouille et les deux perroquets sont aussi des oiseaux disparus. Roelandt Savery est un peintre flamant qui étudie la ménagerie d'animaux exotiques de la cour de Rodolphe II de 1603 à 1613 : pélicans, autruches, chameaux, et même le dodo, animal éteint. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Roelandt_Savery

Traces des passages de tortue. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184c771-traces-des-passages-de-tortue

Traces des passages de tortue

Trace des deux passages d'une tortue marine sur une plage du Japon. Les femelles ne pondent que sur leur lieu de naissance, à quelques mètres ou centaines de mètres près suivant les espèces. C’est en général à la faveur de la nuit (une exposition trop longue au soleil leur serait fatale), au crépuscule, souvent à la marée montante que les femelles sortent pour pondre sur leur plage de sable d'origine.

Tripterygion delaisi mâle et Diplosoma spongiforme. Source : http://data.abuledu.org/URI/548db05e-tripterygion-delaisi-male-et-diplosoma-spongiforme

Tripterygion delaisi mâle et Diplosoma spongiforme

Tripterygion delaisi mâle et Diplosoma spongiforme à Banyuls-sur-Mer, avril 1989. Les Tuniciers (Tunicata) ou Urochordés (Urochordata) sont un sous-embranchement des Chordés. Ils comptent environ 1 500 espèces. Des éléments récents tendent à prouver que les Urochordés sont plus proches des Vertébrés que les Céphalochordés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tunicata

Types d'espèces marines dans une colonne d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b3adc-types-d-especes-marines-dans-une-colonne-d-eau

Types d'espèces marines dans une colonne d'eau

Concept de la colonne d'eau et les différents étages occupés par les espèces.

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d6a-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d89-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549da0-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Variations de populations clinales en boucle. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6cd0-variations-de-populations-clinales-en-boucle

Variations de populations clinales en boucle

Les variations des populations interfécondes (ici représentées par des blocs de couleurs) le long d'une cline peuvent suivre une courbe, formant au final un anneau. Une variation clinale (ring species, « espèce en anneau ») est une série de populations voisines connectées dont les populations relativement apparentées peuvent se reproduire entre elles, mais au sein de laquelle il existe au moins deux populations « terminales » qui sont trop peu apparentées pour qu'il y ait inter-reproduction. C'est un cas particulier de cline systématique.

Vieille d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/554519b3-vieille-d-arabie

Vieille d'Arabie

Vieille d'Arabie (Cephalopholis hemistiktos), poisson perciforme de la Mer Rouge et du Golfe Persique. Ce sont des poissons moins trapus que les mérous. Les vieilles sont réputées avoir beaucoup d'arêtes. Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae