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Dessins et plans, Cartes géographiques, Économie, Afrique de l'Ouest, Coopération intergouvernementale, Histoire économique (1945-....), Intervention militaire, Relations intergouvernementales, Union économique et monétaire
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est une organisation intergouvernementale ouest-africaine créée le 28 mai 1975. C'est la principale structure destinée à coordonner les actions des pays de l’Afrique de l'Ouest. Son but principal est de promouvoir la coopération et l'intégration avec pour objectif de créer une union économique et monétaire ouest-africaine. En 1990, son pouvoir est étendu au maintien de la stabilité régionale avec la création de l'ECOMOG, groupe militaire d’intervention qui devient permanent en 1999. La CEDEAO compte aujourd'hui 15 États membres. Selon le FMI, en 2012, le PIB PPA global des États membres de la CEDEAO s'élève à 564,86 milliards de dollars US ce qui en fait la 25e puissance économique du Monde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Communaut%C3%A9_%C3%A9conomique_des_%C3%89tats_d%27Afrique_de_l%27Ouest.
Photographie, Ports, Quais, Conteneurs, Conteneurs-citernes, Économie, Parallélépipèdes (formes), Ports maritimes, Transport par conteneurs
Conteneurs en attente d'embarquement sur le quai d'un port maritime. Source : Image ID: line3174, America's Coastlines Collection ; Port Elizabeth, New Jersey (USA), Juin 2004. Dans le domaine du transport, un conteneur (forme recommandée en France par la DGLFLF et au Canada par l'OQLF), est un caisson métallique, en forme de parallélépipède, conçu pour le transport de marchandises par différents modes de transport. Ses dimensions ont été normalisées au niveau international. Il est muni, dans tous les angles, de pièces de préhension permettant de l'arrimer et de le transborder d'un véhicule à l'autre (pièces de coin). Il fait partie, avec les caisses mobiles et certains semi-remorques, de la catégorie des UTI (« unités de transport intermodal »). Il permet ainsi de diminuer les temps de rupture de charge et de transbordement. Ses adaptations spécifiques permettent de faciliter les opérations de « mise en boîte » des marchandises (= empotage) et de vidage (= dépotage).
Photographie, Fixations, Transports maritimes, Conteneurs, Économie, Transport par conteneurs, Transports, Porte-conteneurs, Amarrage (marine), Transports de marchandises
Détail du système d'accorage (amarrage) d'un conteneur sur un porte-conteneur maritime. Le principe du conteneur a été inventé en 1956 par Malcom McLean (en), un transporteur routier américain qui trouvait que le transbordement en vrac des marchandises était trop long. Il charge d'abord directement le camion dans le bateau, puis perfectionne cette idée en rendant la caisse du camion mobile. Son invention restera confinée à la côte est des États-Unis pendant 10 ans, puis franchira l'Atlantique en 1966 et connaîtra ensuite une croissance fulgurante. Si le conteneur « de base » (et le plus répandu) reste une simple boîte, il existe des conteneurs spécialisés : réfrigérés, ventilés, déshumidifiés, avec un réservoir de carburant, à munitions, à vêtements, sans toit, pliants, à bétail, à voitures, plats, citernes, etc. En revanche, ils partagent le même système de fixation, par pièces de coin présentes sur les huit sommets du parallélépipède et verrous tournants fixés sur les châssis des véhicules ou les engins de manutention.
Atelier de distillation de l'absinthe . Image provenant du "Dictionnaire encyclopédique de l'épicerie et des industries annexes" par Albert Seigneurie, édité par "L'Épicier" en 1904, page 14.
Intérieur d'un conteneur fermé destiné aux marchandises en général par opposition au vrac, conteneur standard équipé de portes aux extrémités utilisé pour les marchandises sèches.
Photographie, Conteneurs, Conteneurs-citernes, Économie, Transport par conteneurs, Transports, Navires frigorifiques, Porte-conteneurs, Ventilateurs, Transports de marchandises
Pile de conteneurs accorés (avec des amarres) sur un porte-conteneurs, incluant des conteneurs réfrigérés (avec un ventilateur).
Dessins et plans, Cuivre, Vingtième siècle, Économie, Commerce mondial, Matières premières, Économie mondiale, Histoire économique, Histoire mondiale
Évolution de la production mondiale de cuivre en millions de tonnes depuis 1900. Traduction Christophe Catarina.
Dessins et plans, Cartes du monde, Cuivre, Économie, Commerce mondial, Matières premières, Production industrielle, Réserves de matières premières
Production mondiale de cuivre en 2005 par comparaison avec le Chili : en vert, Chili - 5.320.500 tonnes ; en rouge 10% ; en jaune 1%. Les principaux producteurs sont la Chine, le Chili, le Japon, les États-Unis, la Russie.
Photographie, Transports routiers, Conteneurs, Conteneurs-citernes, Économie, Transport par conteneurs, Transports de marchandises, Acide chlorhydrique, Matériel de transport, Produits dangereux, Transporteurs de conteneurs, Véhicules semi-remorques
Semi-remorque pour conteneur de 20 pieds : l'immense majorité des conteneurs a des dimensions extérieures : 1) longueur de 20 pieds (6,096 m) ou 40 pieds (12,192 m) ; 2) largeur de 8 pieds (2,438 m) ; 3) hauteur de 8,5 pieds (2,591 m). Conteneur à parois latérales largement ouvrantes permettant l'évolution de chariots à fourches.
Photographie, Ports, Conteneurs, Économie, Ports maritimes, Transport par conteneurs, Le Havre (Seine-Maritime), Le Havre (Seine-Maritime) -- Port, Transports, Transports de marchandises
Conteneurs sur le port du Havre, photographie personnelle de l'utilisateur Urban, prise en octobre 2004.
Photographie, Transports ferroviaires, Années 1950, Économie, Transports de marchandises, Wagons de marchandises, Trains express
Wagon couvert de type G de la DB (des années 1950) semblable au type 2 UIC mais avec des portes de seulement 1.80 m de large. Un wagon couvert est un type de wagon ferroviaire constitué d'une caisse, généralement en bois, couverte d'un matériau étanche permettant de transporter des marchandises craignant l'eau ou d'une certaine fragilité. Dans certaines circonstances, ces wagons furent amenés à transporter des hommes. Afin de permettre chargements et déchargements, ce type de wagon comporte une ou deux portes de grande largeur par côté. Certains wagons couverts pouvant être intégrés à des trains dits de messageries, ils disposent d'un châssis roulant et des organes de freinage apte à des vitesses pouvant aller jusqu'à 160 km/h. C'est le cas des wagons qui transportèrent pendant de nombreuses années les fruits et légumes du midi jusqu'aux halles parisiennes en formant le « Provence Express ». De nombreux autres wagons qui ont assuré le service des colis (SERNAM) jusque dans les années 1980 étaient aptes aux 120 km/h.
Photographie, Transports ferroviaires, Wagons-citernes, Économie, Transports de marchandises, Tombereaux, Ballast (chemins de fer), Bogies, Produits métalliques, Wagons de marchandises
Wagon-tombereau à bogies, utilisé pour le transport de ballast. Malgré leurs diverses spécialités, les wagons-tombereaux sont constitués de la même manière. Outre le châssis et les organes de traction, ils comportent une « caisse » en bois (ou en métal pour la majorité d'entre eux actuellement, d'où leur nom de tombereau). Pour les opérations de manutention, ces wagons sont généralement équipés de portes à double-battant. Les wagons à essieux sont munis d'une porte par face et ceux à bogies, de deux. Tous les tombereaux disposent de crochets permettant de bâcher le wagon ou de fixer un filet. Les marchandises transportées sont assez diverses : de la ferraille aux déchets ménagers en passant par les copeaux de bois. Les wagons-tombereaux sont souvent adaptés à la marchandise transportée. Ainsi, les wagons à ballast, comme sur cette image, sont entièrement métalliques et disposent de renforts. Ils sont également relativement bas. Au contraire, les wagons à sciure sont plus hauts et disposent d'un système de bâchage.
Bison américain. Image prise par Jack Dykinga pour l'USDA. Légende originale de l'USDA : "Les scientifiques aident les utilisateurs des pâturages américains à relever le défi de la gestion multiusage durable." Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière. Le bison a été un animal caractéristique de l'Amérique du Nord et un symbole pour de nombreuses cultures amérindiennes. Les Amérindiens des grandes plaines de l'Amérique du Nord avaient une économie largement basée sur le bison. Les bisons d'Amérique du Nord étaient encore 50 à 70 millions avant l'arrivée des Européens en Amérique, vivant et migrant sur les plaines herbeuses d'Amérique du Nord, du Mexique au Canada. Ils ont frisé l'extinction avec la conquête de l'Ouest, l'introduction des chevaux et la construction du chemin de fer (vers 1870-1880), où le massacre des bisons fut une entreprise économique à très grande échelle, mais aussi une stratégie pour affecter les Amérindiens. Buffalo Bill (William Frederick Cody 1846-1917) fut un des plus grands chasseurs de bisons.
Gravure, Sphère, Dix-septième siècle, Ferronnerie d'art, Objets en fer, Cantines, Économie domestique -- Appareils et matériel, Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), Musée de Cluny. Paris
Dessin d'une cantine portable du XVIIe siècle conservée au musée de Cluny. Fer battu et étamé, 40 cm de hauteur. L'anse supérieure en bronze permet de dévisser le bouchon de l'orifice A) par lequel on introduit de l'eau bouillante dans la moitié de la sphère. Les oreilles C) permettent le passage d'une courroie d'attache. Dans la cantine ouverte (fig. 2), deux disques bouchent des manchons (petits fours) qui peuvent contenir au chaud des viandes cuites. Dans la partie rabattue F) posée sur un brasier, ou dans la poche G) on peut cuire des légumes ou une soupe. Cette coquille fait office de gamelle, mais on peut aussi y loger pain, serviette, couteaux, cuillers et fourchettes. Source : Eugène Viollet-le-Duc (1814–1879), Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'époque carolingienne à la Renaissance, t. 2, Paris, 1871, p. 49-51 avec 2 fig.
Photographie, Cathédrales, Contreforts, Carrières (exploitations minières), Art chrétien (Moyen âge), Architecture, Ressources minérales, Paris (France) -- Notre-Dame de Paris
Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".
Gravure, France (Révolution) (1789-1799), Montagnards (Histoire de France), Georges-Jacques Danton (1759-1794), Jacques-Louis David (1748-1825)
Croquis de Danton à la Convention par David, 1793 (Musée Carnavalet). C'est le Danton un peu fatigué et alourdi de 1794. L'artiste, qui a cédé à quelques préoccupations caricaturales, a saisi une attitude caractéristique de l'orateur écoutant et bougonnant à part lui. Danton, « le plus modéré des Montagnards », se refuse aux mesures révolutionnaires réclamées par les sections et les clubs parisiens (économie dirigée, levée en masse, loi des suspects) face à une situation extérieure et intérieure de plus en plus menaçante (invasion étrangère, contre-révolution intérieure). La Terreur ne sera mise à l’ordre du jour qu’après son départ. Chargé au Comité de salut public des Affaires étrangères, il rêve d’un compromis avec l’Europe et essaie de négocier en secret pour fissurer le bloc de la coalition, prêt à offrir la libération de la reine. Le 13 avril, il détermine la Convention à désavouer la guerre de propagande et à déclarer qu’elle « ne s’immiscerait en aucune manière dans le gouvernement des autres puissances ». Mais ses tentatives n’aboutissent pas et se heurtent à une situation militaire défavorable. La Belgique et la rive gauche du Rhin reprises par les coalisés, la France ne disposait plus de monnaie d'échange. Cette politique de ménagements mécontente les sans-culottes exaspérés par la cherté des denrées de première nécessité ainsi que Robespierre et ses amis qui aspirent à le remplacer. « Tes formes robustes, dira Saint-Just dans son réquisitoire, semblaient déguiser la faiblesse de tes conseils (…) Tous tes exordes à la tribune commençaient comme le tonnerre et tu finissais par faire transiger la vérité et le mensonge. »
Dessins et plans, Afrique, Mali, Mali (Empire) -- Histoire, Cartes historiques, Djenné (Mali), Gao (Mali. - région), Mali -- Antiquités, Mali -- Histoire, Tombouctou (Mali)
Empire du Mali au début du XIVème siècle : le long du Niger, Djenné, Toumbouctou et Gao. L’empire du Mali est un empire africain du Moyen Âge. Fondé au XIIIe siècle par Soundiata Keita, il connut son apogée au XIVe siècle. Il est le berceau de la charte du Manden. Il était un carrefour important entre les peuples nomades du Sahara et les peuples de l'Afrique noire équatoriale. Son économie reposait sur l'agriculture, l'artisanat, l'exploitation des mines d'or, et le commerce de l'ivoire vers le bassin méditerranéen.
Dessins et plans, Méridien de Greenwich, Heure avancée, Heure d'hiver et heure d'été, Éclairage, Ensoleillement, Heure d'été
Horaires du lever et coucher du soleil à Greenwich (GB) en 2007, tenant compte de l’heure d’été. L’objectif est de réduire les consommations d’électricité en matière d’éclairage en soirée. Par exemple, le 31 mars en région parisienne, le jour se lève (en heure d’hiver), vers 6 h, et la nuit tombe vers 19 h 45. En décalant l’horaire d’une heure en avant, le jour se lève vers 7 h, et la nuit tombe vers 20 h 45. Il y a économie si la consommation d’électricité pour l’éclairage est moindre entre 6 h et 7 h par rapport à ce qu’elle est entre 19 h 45 et 20 h 45.
Photographie, Appareils ménagers, Air, Air -- Humidité, Appareils électriques, Français (langue), Équipement domestique, Économie domestique -- Appareils et matériel, Humidificateurs
Humidificateur d'air : pièces jusqu'à 40m2 ; faible consommation 30W ; silencieux ; contrôle électronique.
Dessins et plans, Environnement, Bonheur, Géographie, Populations, Cartes mondiales, Espérance de vie, Bien-être, Contribution au concept de bonheur, Écologie des populations, Économie du bien-être, Efficience écologique, Empreinte écologique, Environnement -- Cartographie
Carte mondiale des pays du bonheur, selon les critères du HPI : L'indice de la planète heureuse (Happy Planet Index) est un indicateur économique alternatif au PIB. Créé par un "think tank" britannique, la "New Economics Foundation" (NEF), le HPI prend en compte le bien-être humain et les incidences sur l'environnement. Il classe 178 pays d'après 3 indicateurs : l’empreinte écologique, l’espérance de vie et le degré de bonheur des populations. Ainsi, ce classement donne une image très différente de la richesse et de la pauvreté des nations. C'est un indicateur d'efficience écologique.
Dessins et plans, Économie domestique, Garçons, Appareils ménagers, Équipement ménager, Enfants -- Chambres, Poussière, Poussière -- Lutte contre, Produits d'entretien ménager
MA TENUE DE CHANTIER : Qu'en pensez-vous ? On dirait une chambre bien rangée ? J'ai vidé tous mes tiroirs, passé le plumeau sur les étagères et rempli un plein sac poubelle. Je crois qu'il y avait beaucoup de poussière, n'est-ce pas ? À quoi le voyez-vous puisque j'ai tout enlevé ? Oui, je serai explorateur quand je serai grand. Comment l'avez-vous deviné ?
Photographie, Chats, Moyens de transport, Animaux -- Dans l'art, Films d'animation, Hayao Miyazaki, Studio Ghibli. Tokyo
Le chat-bus japonais, exposition itinérante du studio ghibli, Tokyo : Hayao Miyazaki est un auteur de dessins animés et de manga (bandes dessinées japonaises). - Diplômé en économie et en sciences politiques. - Entre comme petite main à la Tōhei, plus grand studio d'animation de l'époque (en 1963) et la quitte (en 1971). - En 1982, il commence à faire des manga dont il tirera des longs métrages (à partir de 1984). - Co-fondateur du "Studio Ghibli" avec Takahata Isao (en 1985). - Fondateur du musée "Ghibli", à Tōkyō, quartier de Mitaka (ouvert en 2001). - Lauréat de l'Ours d'or du festival de Berlin (en 2002). Source : notice Rameau.
Les 5 piliers nécessaires à la troisième révolution industrielle telle que présentée dans le projet de Jeremy Rifkin. Pour lui ces 5 piliers sont également indispensables et doivent être mis en œuvre ensemble. Un défaillance ou un retard de l'un des piliers empêcherait le développement des autres. L’expression « troisième révolution industrielle » (TRI), popularisée par Jeremy Rifkin désigne une nouvelle révolution industrielle et économique, peut-être déjà entamée. Elle est fondée sur une production d'énergie non plus « centralisée », mais « distribuée », l'énergie circulant dans le réseau de manière « intelligente », un peu comme l'information circule dans l'Internet. Des prospectivistes tels que J. Rifkin la jugent nécessaire et urgente pour notamment répondre à la diminution de la production de pétrole et pour une transition vers un développement plus soutenable nécessitant une « économie décarbonée » (produisant moins de gaz à effet de serre). L'enjeu est aussi la survie des écosystèmes et donc de l'humanité qui en dépend et Rifkin ne voit pas de « Plan B ». Elle a été récemment rendue possible par les progrès des Nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) mais reste à mettre en œuvre. En 2007, le Parlement européen a officiellement adopté cette vision. Ces 5 piliers sont : 1) La transition d'un régime d'énergies carbonées ou nucléaire vers les énergies renouvelables. 2) Reconfigurer les infrastructures et bâtiments (180 millions de bâtiments rien qu'en Europe) en mini-centrales électriques collectant in situ des énergies renouvelables ; au profit d’une production décentralisée d’énergies, proche des endroits où on en a besoin. 3) « installer dans chaque bâtiment et dans toute infrastructure de la société des technologies de l'hydrogène et d'autres moyens de stockage pour conserver l'énergie renouvelable intermittente et garantir la satisfaction de la demande par une offre fiable et continue d'électricité verte ». 4) le développement de "Smart grids" et "intergrids" grâce à une technologie inspirée d’Internet connectant les réseaux énergétiques et électriques (devenus bi-directionnels) en un réseau unique et intelligent. Le réseau électrique sera son propre réseau informationnel. Ceci implique que toutes les mini-centrales de productions d'énergie soient équipés d'un module électronique dans un esprit d'interopérabilité. 5) la transition des flottes de transport vers des véhicules hybrides ou à pile à combustible, pour tous les véhicules motorisés, chaque véhicule pouvant acheter et vendre de l'électricité en se connectant au réseau Smart grid. Ce réseau est continental et marin (hydrogène ou électricité produits par les éoliennes offshore eténergies marines. Il est ouvert et interactif ; chaque batterie ou réservoir d’hydrogène de véhicule ou navire y joue aussi potentiellement : 1) un rôle de réservoir « tampon » du réseau, et 2) un rôle de transporteur d'énergie. Tout véhicule connectable peut - selon les moments - prélever de l'énergie dans le réseau, ou lui en fournir (à partir de ses réserves inutilisées et/ou à partir de modules photovoltaïques.
Clip art, Aménagement du territoire, Agriculture durable, Aspect social, Commerce équitable, Décroissance soutenable, Développement durable, Développement économique, Écologie, Écologie agricole, Économie sociale et solidaire, Éducation au développement durable, Environnement -- Protection -- Participation des citoyens, Éthique de l'environnement, Évaluation écologique (biologie)
Les trois piliers du développement durable : développement social, écologique et économique et leurs interfaces : vivable, viable, équitable donc durable.
Marasmius androsaceus, en Estonie. Il s'agit de champignons petits, voire minuscules, généralement coriaces au dessèchement mais souvent hygrophanes. Leur nom a été tiré du grec Marasmos signifiant "dessèchement" en allusion à leur capacité à se dessécher longtemps sur place avant de pourrir (le marasme en médecine, puis, plus récemment, en économie, ont d'ailleurs la même étymologie).
Peinture, Villages, Marchés aux bestiaux, Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810), Marchés agricoles, Marchés de plein air, Économie agricole, Marchés de bétail
Marché d'animaux dans un village, par Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810), peintre, dessinateur et graveur à l'eau-forte, conseiller du Roi, trésorier de finances au bureau des finances de la généralité de Lyon.
Photographie, Dix-huitième siècle, Conventions (économie politique), Déclarations des droits, France (Révolution) (1789-1799), Thomas Paine
Plaque apposée au n° 10 de la rue de l'Odéon, Paris Thomas Paine (1737-1809) : Anglais de naissance, Américain d'adoption, Français par décret, a vécu dans cet immeuble de 1797 à 1802. Il mit sa passion de la liberté au service de la Révolution française, fut député à la Convention et écrivit ''Les Droits de l'Homme'' : « Lorsque les opinions sont libres, la force de la vérité finit toujours par l'emporter. » Ses écrits, parmi lesquels figure "Les Droits de l'Homme" (Rights of Man 1791), ont exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre "Le Siècle de la raison" (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans "La justice agraire" (Agrarian Justice, 1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt à 72 ans.
Peinture, Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques, Capitalisme -- Analyse marxiste, Économie politique et socialisme, Socialisme révolutionnaire
Affiche de 1911 (Industrial Worker newspaper) critiquant le capitalisme, reprenant une affiche de l'union des socialistes russes ayant circulé en 1900-1901. Source : International Pub. Co., Cleveland, Ohio. De bas en haut : Nous travaillons pour tous (We work for all), Nous les nourrissons tous (We feed all) ; Nous mangeons pour vous (We eat for you) ; Nous vous tirons dessus (We shoot at you) ; Nous nous moquons de vous (We fool you) ; Nous vous commandons (We rule you).
Dessins et plans, Meubles, Tables (meubles), Économie domestique, Chambres à coucher, Nuit, Tables (mobilier), Mobilier, Objets en bois, Chevets
Table de chevet, ou table de nuit avec tiroir. Une table de nuit ou de chevet est un petit meuble placé à côté d'un lit, à hauteur de la tête, et destiné à accueillir des choses utiles pour une nuit de sommeil, juste avant le coucher, ou au réveil : réveil, lampe, lunettes, téléphone, livre, verre d'eau, médicaments, etc. La hauteur d'une table de chevet n'excède généralement pas celle que l'on peut atteindre en étant allongé sur un lit, et elle peut être équipée de rangements tels que des niches, des tiroirs, ou des espaces fermés par des portes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Table_de_chevet.