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Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à cordes | Musique folklorique | Instruments à cordes pincées | Instruments à cordes frottées | Luth | Instruments à vent | Instruments à cordes frottées -- Archet | Musique traditionnelle | Hudukka | Instruments de musique -- Inde | Peinture | Peintres portraitistes | Portraitistes | Gustave Jacquet (1846–1909) | Tambour (membranophones) | Musiciens espagnols | Vielle à roue (vielles à roues (2)), Musique de | ...
Accordéon schwyzois suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2c11-schwyzerorgeli

Accordéon schwyzois suisse

Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Ektara du Bengale. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c528d-ektara-

Ektara du Bengale

L'ektara des bauls du Bengale, est un instrument unique en son genre. C'est une petite caisse de résonance cylindrique en bois ou gourde, sur laquelle une peau de chèvre est fixée ; une corde est nouée à celle-ci et tendue grâce à deux languettes d'un bambou fendu fixées elles au bord de la caisse. Une cheville y est placée pour accorder la corde. On en joue debout ou assis, et uniquement de la musique folklorique ou des bhajans dévotionnels. On obtient une mélodie sur l'instrument baul en pressant sur le bambou fendu en deux : plus on presse le bambou, plus la note devient grave, et plus on le relâche, plus la note devient aiguë. Pour l'autre, il suffit de pincer la corde avec le doigt, et il n'y a pas de variation mélodique : c'est un bourdon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ektara.

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Castagnettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea870-castagnettes

Castagnettes

Les castagnettes (en espagnol, « petite châtaigne ») sont un instrument de musique à percussion idiophone, typique du folklore espagnol (castañuela), portugais (castanholas) et italien (maroni).

Cithare. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232de1-cithare

Cithare

Si son origine remonte à la Grèce antique, de nos jours, la cithare (en allemand, Zither) est un instrument de musique à cordes pincées faisant partie du folklore autrichien ou germanique, répandu aussi en Suisse, en Slovénie et en France. La caisse de résonance a une forme trapézoïdale, relativement plate. La table d'harmonie a une grosse ouïe centrale et des décorations y sont souvent appliquées. La cithare possède autant de cordes que de notes jouables (par la main droite) pour la mélodie, et quelques chœurs, ensembles de quatre cordes assurant les accords de l'accompagnement (qui sont joués de la main gauche). Les cordes mélodiques sont fines et décroissent en longueur de la gauche vers la droite, c’est-à-dire des sons graves vers les sons aigus. Les chœurs consistent en groupes de quatre cordes approximativement de même longueur mais de grosseurs très différentes pour produire des accords montants lorsqu'elles sont grattées de la droite vers la gauche. Des chevilles en métal assurent fixation et accord. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cithare.

Danseur basque d'Aurresku. Source : http://data.abuledu.org/URI/527fe715-danseur-basque-d-aurresku

Danseur basque d'Aurresku

Danseur basque d'Aurresku, avec les txistulariak et tambourins au fond, et les officiels sur l'estrade, devant la paroisse de San Pío, à Durango (Biscaye).

Gaïta galicienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323189c-gaita-galega

Gaïta galicienne

Gaïta galicienenne : la gaïta est un instrument de musique à vent. Il s'agit d'une cornemuse ayant généralement un seul bourdon dont il existe plusieurs variantes en Europe, et en Amérique latine. La cornemuse traditionnelle de Galice "gaita galega" ou "gaita do fol" est utilisée en Galice, dans certaines zones de la province de Léon et au nord du Portugal entre le Douro et le Miño. Tous les sonneurs de musique traditionnelle galicienne n'utilisent pas la gaita galega. La gaita de boto est la cornemuse du folklore aragonais. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ga%C3%AFta.

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

Musiciens traditionnels à Oviedo. Source : http://data.abuledu.org/URI/55ddfdb0-musiciens-traditionnels-a-oviedo

Musiciens traditionnels à Oviedo

Musiciens traditionnels à Oviedo : trois joueurs de gaïta et un tambour.

Ravanhatta indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533454a2-ravanhatta

Ravanhatta indien

Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta

Viola de cocho brésilienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343e38-viola-de-cocho

Viola de cocho brésilienne

La violão et la viola sont les termes portugais (dérivés de la vihuela espagnole) désignant des variétés de guitares répandues dans le monde lusophone, au sein de la musique portugaise, capverdienne et brésilienne. Violão désigne la guitare classique et viola désigne la guitare folklorique. Elle se rencontre au Mato Grosso (Cuiabá) et Mato Grosso do Sul (Corumbá), et a des caractéristiques uniques, qui la rattachent plus aux instruments du Moyen Âge (guiterne). Le corps, le manche (très court) et le chevillier sont excavés d'un bloc de bois léger monoxyle. De fines plaques de bois sont ensuite collées sur la touche, sur la table d'harmonie et le chevillier légèrement courbé. Il n'y a aucun vernis et l'instrument semble rudimentaire. Il n'y a que deux ou trois frettes en boyaux. Elle est montée avec cinq cordes en nylon ou boyaux, fixées sur cinq chevilles à l'ancienne. L'accord est Sol - Ré - Mi - La - ré ou Sol - Do - Mi - La - ré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol%C3%A3o

Violoniste folk polonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1ab9b-violoniste-folk-polonais

Violoniste folk polonais

Adam Romański, le violoniste du groupe polonais celtique Beltaine.